Confinement Bis Ch. 03

BÊTA PUBLIQUE

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« aaaaaaaaaaaaah, ouui, ouiiiiiiiii, ouiiiiiiiiiiiiiiii, aaaaaaaaaaaaaaaah » hurle Anne-ka convulsive.

Tout en lui caressant le dos avec des mains attentives et douces Emma continue à lui parler, la réconforter et bien sûr inoculer les nouvelles règles « tu es belle quand tu jouis ma belle, c'était magnifique, j'aime te montrer combien je t'aime quand tu es respectueuse. En plus tu es adorable en salope décomplexée. Tu peux compter sur moi maintenant, je vais bien m'occuper de toi. Tu ne le savais pas avant mais tu tu le sais maintenant, tu as besoin qu'une personne s'occupe de toi. Ne me déçois pas, obéis moi simplement comme une gentille fille et tu vas t'épanouir comme une fleur. Je vais t'apporter énormément de plaisir. »

Anne-ka vient de succomber à un orgasme puissant et se remet lentement, mais son esprit embrumé a absorbé le discours comme un met savoureux. Cependant Emma ne veut pas en rester là. Apres quelques minutes de câlins apaisants, une main se dirige à nouveau vers les globes charnus, les survolent amoureusement puis se posent sur l'abricot charnu empaumant la chaire brulante. Anne-ka est encore dans le brouillard, savourant la quiétude de son corps lorsqu'elle ressent des petites piques de plaisir, une douceur euphorisante qui recommence à l'envahir, deux doigts viennent de se fixer autour de con clito. Emma ne laissent pas sa protégée se poser des questions, un instant inactif, elle recommence doucement à solliciter l'attention du bourgeon. Très lentement elle frotte la gangue protectrice puis sentant le développement du mini pénis, elle le masturbe à deux doigts avec une pression légère. « mmmmm, aaaah » émet Anne-ka sorti de sa torpeur. Ces émissions timides réveillent alors les exigences Emma, elle accentue la masturbation en serrage et rapidité jusqu'à ce que la parisienne redevienne folle. « aaaaaaaaaahhhhh... ummm... aaaaaaaah..., » hurle Anne-ka en plein délire

« tu veux que je te baise vraiment ma belle » susurre Emma en relâchant la pression. Elle veut avoir son accord, aussi elle la pousse à bout sans pour cela lui donner l'occasion de jouir. « Allez ma douce, dis-le-moi clairement.... Je voudrais tellement te faire plaisir. » Entretenu sur le fil du rasoir, à la limite du supportable Anne-ka ne peut se soustraire, son corps est au bord du gouffre, son ventre réclame une délivrance. Dans l'état actuelle d'excitation elle pense que la grande la fera jouir comme auparavant avec sa main, elle réplique donc immédiatement « oh oui Emma.... Baise moi.... Baise moi fort. » C'est le signal qu'attendait Emma. Immédiatement elle fait un signe à Julie.

Depuis dix minutes elle s'était préparée à cela. Sa chérie lui avait demandé sans que la parisienne l'entende, qu'elle aille lui chercher son joujou préféré. La parisienne ne pouvait pas se douter des manigances faites dans son dos car Emma avait parlé dans l'oreille de Julie lors de la montée en puissance du premier orgasme.

Placée derrière sa chérie, elle commence à lui descendre complétement son tanga, puis lui attache rapidement le gode ceinture. Elle lubrifie ensuite la bite factice pour plus de facilité. Celle-ci a une forme réaliste mais elle est conséquente et de plus, Julie sait que sa cousine est attirée par les filles mais ne lui a jamais demandé si elle avait déjà expérimenté de tels objets.

Prête, elle donne une petite tape sur les fesses de sa chérie et celle-ci lui répond par un clin d'œil avant de s'adresser à la parisienne : « tu veux toujours que je te fasse partir au nirvana ma belle » lui redemande t'elle sèchement en agaçant toujours l'impatient clitoris.

« aaaaaaaaaaaaaaaah .... Oui Emma... ne me fait pas attendre.... Baise-moi. » miaule Anne-ka.

« Je vais bien te baiser ma belle, oh crois moi tu vas prendre ton pied » enchaine la grande.

Les dés sont jetés.

Tenant fermement la hanche de sa main gauche tout en positionnant le gland massif à l'entrée de l'antre luisante Emma se projette en avant.

« aaaarrrrggghhh » crie Anne-Ka surprise, « noooonn pas ça, personne... sniff, sniff... n'est venu là... oooh.... C'est trop gros... sniff, sniff. » pleure t'elle en se redressant.

Anne-ka n'était pas la fille qu'elle voulait montrer, bien dans sa peau, équilibrée et libérée. Personne ne connaissait vraiment la vie d'Anne-ka même pas sa cousine. Il faut dire qu'elle ne s'est pas épanchée sur sa jeunesse. En effet la mère de Julie n'avait que très peu de nouvelles de sa sœur Christine, celle-ci mariée très jeune avait suivi Hubert son mari pour son travail en Afrique et lorsqu'ils avaient des vacances, ils ne rentraient pas en France mais voyageaient. Aussi, il avait fallu qu'Anne-ka rentre en métropole afin de poursuivre ses études pour que Julie puisse enfin la rencontrer. Au cours des deux dernières années elles s'étaient plus souvent rencontrées. Elle avait l'image d'une jeune femme extravertie, sure d'elle. La réalité est bien différente.

Tout d'abord elle avait eu une enfance compliquée, hyperactive, rebelle, menteuse et insolente, elle devait souvent répondre de ses actes. Sa mère avait graduellement augmenté les punitions pour en arriver à un traitement radical elle a alors adoptée la fessé.

C'est une maitresse femme autoritaire, puritaine et orgueilleuse soucieuse de sa respectabilité. Même si Christine est une petite bonne femme d'un mètre cinquante elle est suffisamment musclée pour incliner sa fille sur ces genoux et lui infliger une punition, de plus en plus dure et humiliante et cela jusqu'à ses treize ans. Et puis un jour, à l'aube de ses seize ans Anne-ka est sorti le soir alors que ses parents lui avaient interdit. Ils l'ont attendu jusqu'à trois heures du matin, assis dans le salon, inquiets et en colère. Lorsque Anne-ka est rentrée, après le départ pétaradant d'une moto, titubant dans l'entrée, sa mère s'est levée comme une furie et a allumé la lumière. Elle constate alors outrée que sa fille est maquillée comme une voiture volée, et qu'elle est vulgairement accoutrée. Vêtue d'un chemisier transparent révélant sa poitrine dans un soutien de dentelle et d'une jupe Ultra courte elle nargue sa mère. « C'est quoi ces habits de putain » hurle Christine. « Tu vas m'enlever ça tout de suite, il n'est pas question que tu portes ces fringues dans ma maison »

« Je les porte pour sortir d'abord. De toute façon je ne m'habillerais pas comme toi » réplique sa fille bravade. « Une catho coincée, a non certainement pas » continue t'elle prenant de l'assurance avec son état d'ébriété avancé. Hors d'elle Christine s'avance pour gifler sa fille, seulement celle-ci a grandi, elle dépasse d'une tète sa mère et a pris de l'assurance. Elle repousse violemment sa mère qui tombe sur son derrière. Elle est humiliée et en rage. Elle se relève, se tourne vers son mari et d'une voix forte lui demande s'il va rester là à regarder sa femme ridiculisée. « Viens ici et tiens-moi cette peste, elle a besoin d'une leçon. » harangue-t-elle. Hubert est un peu décontenancé, les événements le dépassent. Or il n'a jamais voulu se mettre en travers de sa femme. Aussi il se lève et exécute ce que Christine lui demande.

Attrapée rapidement, Anne-ka se débat, gesticule dans tous les sens mais son père est trop fort. Elle ne peut empêcher sa mère hystérique de lui arracher ses vêtements. Elle se retrouve alors totalement nue, ceinturée par son père.

« Allonge là et tiens la bien » dit Christine à son mari.

Hubert est perplexe mais ne dit mots, il s'assoit sur le fauteuil et maintient sa fille sur lui pendant que sa femme s'éclipse. Anne-ka se contorsionne, essaye de s'échapper sans résultat, crie, vocifère, injurie son père et sa mère. « Vas-y ma fille, défoule-toi tant que tu peux encore » dit Christine d'un ton dur. « Tu vas le regretter crois moi, tu ne sortiras plus habillée en putain. » Elle montre la cravache à sa fille et lui dit avec sarcasme « Prête pour les réjouissances ma fille! » Et pendant un temps extrêmement long elle cingle sans retenue les fesses de sa fille. Celle-ci supplier crie à tue-tête sous la douleur insupportable mais sa mère est intraitable, elle ne s'arrête seulement que lorsque sa fille n'a plus la force de bouger, le dos en sueur, la figure ravagée par les larmes et la souffrance. Elle s'assoit alors devant sa fille, se calme et lui demande. « Est-ce que j'ai été assez claire ma fille, vas-tu faire ce que je te dis. »

« Ouuuuiii » répond Anne-ka d'une voix sans timbre.

Christine se lève, prend un tube de pommade et le tend à son mari. « Mets-lui çà et tu la revoies se coucher ».

Son esprit est en totale confusion. Il n'était pas préparé à voir un tel spectacle. Il a caché ses émotions devant sa femme mais lorsqu'elle est montée, l'image de sa fille dans sa totale nudité et maintenant la position aussi suggestive ont fait surgir une excitation inavouable. Il bande. Son regard est aimanté par le cul rond et strié, les cuisses ouvertes lui donne des sueurs. Alors que sa main étale l'onguent sur les chaires brulantes, elle tourne, et tourne encore sur les orbes moelleux pour insidieusement, descendre vers l'intérieur des cuisses. Au début Anne-ka ressent un apaisement salvateur et puis, interloquée, choquée elle s'insurge :« Qu'est-ce que tu fais papa » Elle tente de se redresser, mais son père, en transe ne l'entend pas, il resserre sa prise, la maintient immobilisée et tandis que sa main en paume s'est fixée sur la vulve, il incurve un doigt et la sonde ignominieusement.

« noooooooooon... papaaaaaaaaa » crie Anne-ka affolée. Elle se cabre.

Son père se réveil, tente de s'excuser auprès de sa fille pour ensuite la relâcher. Anne-ka s'échappe alors, sans se retourner, elle monte en courant vers sa chambre et s'effondre sur son lit en pleure, dévastée. Cet nuit-là a changé toute sa vie. Meurtrie, salie, ne sachant pas à qui parler, Anne-ka s'est renfermée, ses amis ont disparus et à partir de ce jour elle n'accorde à sa famille que le minimum conventionnel, elle donne l'apparence d'une jeune fille raisonnable. Sa mère se félicite qu'elle soit rentrée dans le rang, quant à son père, il l'évite. Le seul but d'Anne-ka est de s'éloigner de sa famille, ne plus avoir de contact avec ses parents. Elle veut de plus s'éloigner de tout son entourage aussi elle s'est concentrée sur ses études pour obtenir le bac afin de rentrer en métropole et poursuivre son parcours en faculté. Elle n'a eu aucun mal à obtenir de son père le financement de son école d'architecture en France.

C'est donc à dix neufs ans qu'elle rencontre pour la première fois sa cousine, et plus tard Emma.

« Emma.... Je t'en supplie... je suis vierge »

« Oh ma belle... » réplique Emma surprise. « Ne t'inquiète pas tu vas aimer » reprend-elle en souriant. Avec sa main fermement agrippée aux hanches et l'autre soulevant les bras attachés, elle la force à se courber et se retire jusqu'à l'entrée. Anne-ka se détend, seulement un court instant car immédiatement après ce répit, Emma donne un coup de rein énergique. Le gode s'enfonce jusqu'à la garde. « Oooooooohhh » crie la parisienne le souffle coupé. Empalée, enterrée dans son vagin jusqu'à la garde, remplie comme jamais elle n'avait jamais connu, elle panique, tente de s'éloigner pour déloger l'intrus.

« Ooooh ouuiii , on y est! » fanfaronne la grande. « Attend ma douce, on va mieux se mettre » continue Emma en la tirant. Toujours collée à ses fesses elle l'emmène lentement vers le grand divan pour enfin la coucher en travers de l'accoudoir. Allongée maintenant sur le canapé trois places, la tête dans les coussins, le cul en l'air et les jambes écartées, les pieds effleurent le sol, Anne-ka est plus vulnérable que jamais. Emma en est parfaitement consciente. Elle voulait cette position pour affirmer sa domination, investir le corps sans défense, posséder tout son être jusqu'à l'entière reddition. « Oh que tu es serrée! » s'exclame t'elle en commençant les aller retours dans la gaine étroite.

« Ooooooooooooh... noooooon », gémit Anne-ka alors qu'Emma martèle le fourreau en vas et viens ininterrompus, ignorante aux supplications mais se délectant des bruits spongieux s'échappant de la vulve en effervescence. Le rythme est encore lent, cependant Anne-ka ressent indubitablement le plaisir l'envahir. « Aaaaaaaahhh » Elle grogne involontairement, ses hanches ne peuvent que bouger, se tortiller, son cul oscille à la rencontre de la bite qui la fore sans répit.

« C'est bon ma chérie? » demande Emma. « Tu en veux ma petite putain! » continue t'elle en accentuant ses vas et viens.

« Ooooooooooh » respire profondément Anne-ka. La voix défaillante se transforme en murmure rauque intensifiée par le désir, submergée par le besoin croissant de plaisir. Elle n'est plus maître d'elle-même, son esprit est corrompu par la luxure, impuissante elle se résigne. « aaaaaaaaaah... ouiii »

« Occupe-toi de ses seins mon amour » lance Emma à Julie. « Je parie que tu vas adorer ses grosses loches » insiste-t-elle lubrique. Dans la bulle ou elle se trouve, Anne-ka n'avait pas prêté attention à sa cousine assise au bout du canapé, or maintenant elle est obligée de constater sa présence. D'abord horrifiée de devenir aussi son jouet, les mains se faufilant sous son corps la perturbe. Elle constate ensuite avec horreur qu'elle n'est pas dégoutée par les caresses et pire encore, elle se tortille alors que sa cousine prend entièrement possession de sa poitrine, facilite l'étreinte.

« oh merde... ils sont adorable » constate Julie « mon dieu je n'arrivent pas à les prendre entièrement » continue t'elle en malaxant, compressant les seins avec passion.

« Mmmmmmmmm... aaaaaaaah » soupire Anne-ka

« On dirait que tu préfères ces miches à ma poitrine.... N'est-ce pas ma boulangère... Profites en coquine » retorque Emma.

« et toi tu es une belle garce... tu as bien caché ton jeu... en fait tu voulais qu'on s'occupe de toi... tu esperais que ta cousine te touche » insiste-t-elle. « Eh bien ne ménage pas cette salope!!... Donne-lui ce qu'elle attend » continue la grande en faisant un clin d'œil à son amour. Grisée par la situation, Emma saisit solidement les hanches d'Anne-ka et la baise en profondeur puis alterne avec des petits coups secs. Anne-ka est en apnée, sa croupe implore scandaleusement le contact, elle est impuissante à la montée du désir. « ooooooooh oui... plus vite » implore-t-elle. Mais Emma à d'autre desseins pour la parisienne, elle veut la rendre inconditionnellement addicte, incapable de résister à ce qu'elle peut lui apporter. Elle fait une mini pose, la brune râle. Emma libère alors un crachat entre les fesses, pose son pouce sur l'œillet plissé puis de concert elle recommence à bourrer la bouche gourmande et caresser la rosette palpitante. S'enfonçant profondément et titillant sans relâche le petit trou, Anne-ka perd tous repères. Elle gémit à tue-tête. « aaaaaaaaaaaaaah... oooooooooh »

« Prépare ses bouts ma chérie » demande Emma à son amour. Julie comprend immédiatement ce que veut dire la grande. Elle attend le signal alors que sa chérie se déchaine, elle démonte littéralement Anne-ka. Celle-ci est au bord du gouffre. Et puis Emma sentant l'orgasme tout prêt, se rue dans la parisienne, la poignarde sans concession tandis qu'elle enfonce durement son pouce dans l'annus. « aaaaaaaaaaaaaaaaah » hurle Anne-ka. Le cri déclenche alors la réaction de Julie qui pinces les énormes tétons et les étire sauvagement vers l'extérieur. « Oouuuuuuuaaaaaah » réagit instantanément la parisienne, l'orgasme qui l'étreint éclate comme mille pétards, elle rue, se cabre puis retombe vidée. Les deux amies, satisfaites de leur prestation se regardent alors, tout sourire, et se lèvent pour prendre un verre d'eau dans la cuisine.

Revenues dans le salon quelques minutes plus tard, Julie reprend le téléphone pendant qu'Emma délie enfin les poignets et aide la parisienne à se relever. Comme une marionnette Anne-Ka se laisse conduire. Revenue droite, hébété, le visage baissé, elle attend. La grande pose alors sa main sous son menton, lui relève la tête et la fixe de ses yeux perçants. « Fais-moi confiance, je sais ce dont tu as besoin ma belle. » lui dit-elle avec douceur. « Tu n'as plus à avoir peur, je vais bien m'occuper de toi » Et sur cette parole elle lui saisit la tête et plonge sa bouche sur ses lèvres, les écartant et l'embrasse langoureusement. Désemparée Anne-ka fini par participer à ce baiser intrusif et comme une poupée, accepte vaincue la main d'Emma qui se pose sur sa poitrine, la caresse, la palpe et la fait gémir dans sa bouche.

Soufflant le chaud et le froid, technique bien connu pour maintenir une emprise, Emma se détache de la parisienne, écarte avec ses deux mains le kimono puis ses mains se déplacent sur ses épaules tout en poussant le vêtement. Il tombe à terre. Anne-ka dans un réflexe met un bras sur sa poitrine et l'autre sur son pubis, elle tremble. « Pas de ça ma belle » reprend Emma d'une voix sèche. « Enlève tes mains » insiste t'elle d'un ton qui ne tolère aucune objection. Anne-ka retire immédiatement ses mains de ses atours pour placer les bras le long du corps. « Laisse-moi te regarder, tu es belle, non ce n'est pas exacte.... Tu es magnifique » ajoute-t-elle doucereusement. La tête baissée, Anne-ka frissonne sous ce compliment. Personne ne lui avait dit avec tant de douceur qu'elle était belle et encore moins magnifique, une joie intérieure l'envahit.

Mais fidèle à elle-même, après le réconfort et les mots doux, Emma continue à placer la parisienne dans l'embarras, l'insécurité, la confusion et bien sur l'humiliation. « Tu te comportes comme une gentille fille » dit-elle condescendante. Assurée de son autorité et de son pouvoir, elle recule d'un pas et scrute la parisienne de la tête aux pieds. Celle-ci reste silencieuse. Elle n'aime pas cette situation inconfortable, humiliante et ne sait comment en sortir mais en même temps son corps lui dit l'inverse, traité comme un objet, obéir sans avoir à réfléchir enflamme son ventre. Emma est vulnérable, elle le devient de plus en plus à chaque demande, sa volonté chancelle de minutes en minutes.

Emma l'inspecte sans concession en accentuant son appréciation par des mots et des phrases plus crus et obscènes les uns que les autres. « Tu as des cruches absolument splendides ma belle. Et ces bouts si gros, mon dieu quelle plaisir ce sera de les faire grossir, les étirer. J'en ai l'eau à la bouche... ah oui il y a aussi ton bouton de plaisir que j'ai brièvement senti tout à l'heure... écarte un peu les jambes que je le vois mieux ». Anne-ka, hébétée par les paroles, ne réagit pas immédiatement. Il lui faut une nouvelle demande plus sèche pour qu'elle s'exécute. « Ah oui c'est un bel appendice... tu dois te régaler quand on s'occupe de lui. Je suis sûre qu'avec l'attention qu'il mérite tu dois décoller. » Anne-ka est totalement mortifiée, elle se sent crucifiée par les descriptions. Mais Emma n'en a pas encore fini, elle veut lui assener le coup de grâce. « Regarde ma chérie, tu en avais déjà vu d'aussi gros et longs avant » dit-elle en se tournant vers Julie, puis ajoute « Tu pourras le sucer, mais seulement après moi » Anne-ka réalise avec effroi que sa cousine la filme avec son portable, mais baisse la tête. Humiliée, elle se soumet. Emma fait face à nouveau vers la parisienne, observe avec jubilation sa fébrilité, la honte qui l'envahit. « Tu es d'accord avec moi...Allez, rhabille-toi ma belle » Emma s'approche d'elle et lui réajuste les deux pans du kimono qu'elle fixe en entourant la taille avec la ceinture de tissus. Elle reprécise enfin les termes de leur accord. « Tu connais les termes de notre accord? »

« Euh »

« Tu sais que tu dois m'obéir pour ton plus grand bien »

« Oui »

« Vas-tu m'obéir sans contestation, tu sais que je serais intransigeante »

« oui »

« Soit plus explicite »

« Je ferais ce que tu me demandes Emma, je promets de... T'obéir » murmure t-elle avec tressaillement.