Confinement Bis Ch. 03

BÊTA PUBLIQUE

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Et ce n'est pas fini car Emma a de la suite dans les idées.

A ce moment de la punition elle est certaine de faire vaciller Anne-Ka, ses résistances se fracturent une à une, la parisienne abandonne progressivement toute combativité, et malgré une endurance et une combativité sans pareille, elle se dirige inexorablement vers une sédition totale. Celle-ci ne se rebelle plus, ne crie plus, elle accepte sa condition en pleurant à chaudes larmes. Emma prend alors conscience de ce qui est en train de se passer, Anne-ka se soumet à sa volonté. Un sentiment de puissance et aussi de jouissance se dessine. Elle n'y avait jamais pensé jusqu'à maintenant, or devant cette garce pourrie gâté qui implore sa mansuétude, l'envie de la corriger, la mater, la soumettre à ses désirs devient une réalité. Elle se découvre une facette de sa personnalité qui lui plait. Elle pourrait peut-être pousser plus loin cette correction pour satisfaire un nouveau désir de luxure.

Aussi Emma fait une légère pause tout en insérant son genou droit entre les jambes de la parisienne et posant son pied sur le tanga elle lui ordonne : « Lève ta jambe droite ... Repose là ».

Anne-Ka réagit comme un robot, elle obtempère sans sourciller.

Evidemment le tanga reste au sol et les deux jambes ne sont plus tenues l'une à l'autre, ce que voulait Emma bien sûr.

Avec la fessée déculottée la jeune femme découvre la honte, toutes traces de condescendance se sont évaporées. Cependant pour Emma ce n'est pas suffisant. Depuis qu'elle a commencé à punir celle qu'elle surnomme la "Peste", une joie irrépressible s'est emparée d'elle, ce nouveau jeu lui plait énormément. Elle a ouvert la boite de pandore et il n'est pas question qu'elle se referme.

Emma va pousser Anne-ka dans ses retranchements les plus profonds, l'emmener sur des chemins ou le plaisir se mêle à la douleur, ou la honte côtoie la perversité, lui enlever toute fierté pour enfin devenir son jouet. Elle en est persuadée maintenant. « Ecarte tes jambes et cambre toi... plus que cela » lui crie-t-elle. Allez, on continue.

« Oh non s'il te plait » implore Anne-Ka, « j'ai trop mal. »

« Ce n'est pas toi qui commandes. J'arrêterai quand j'estimerai que tu as bien compris. Je n'en ai pas fini avec toi » lui intime-t-elle.

Sournoise autant que lubrique, Emma veut rendre le jeu encore plus humiliant, elle veut casser ses résistances, la briser. Aussi elle lève les bras attachés provoquant un levier obligeant sa suppliciée à s'incliner plus fortement jusqu'à ce que sa tête soit plongée sur l'assise du fauteuil. Résistant au début tout en criant sous la douleur que lui provoque la torsion de ses épaules, Anne-ka capitule, relâche ses muscles et résignée laisse son corps épouser le devant du fauteuil. Anne-caroline perd tout repère, elle n'est plus en état de penser, totalement inconsciente des voyeurs dans son dos, comme une automate, elle exécute les ordres. Elle pleure certes mais ne se rebelle pas.

Olivier a les yeux exorbités. Un nouveau degré de perversion vient d'être franchit. Avec les jambes écartées au maximum et surtout le bassin incliné honteusement, Anne-ka offre à ses amis une vision diaboliquement lubrique. C'est une exhibition sans fard. Olivier a les pupilles dilatées, Le cul de la parisienne est un véritable bijou. Un postérieur aux proportions idéales, des fesses joliment bombées et juste au-dessous, il aperçoit le double renflement charnu d'une jolie vulve nichée entre ses cuisses, un abricot parfait, très brun, pulpeux à souhait avec en son centre une fentine légèrement ouverte. Olivier n'est plus de ce monde, la scène est au-delà de tout ce qu'il pouvait imaginer. Ce cul l'excite terriblement, de plus, au centre le puit brun est maintenant bien visible avec l'écartement des cuisses, il aperçoit distinctement l'anneau serré et en se concentrant il le voit palpiter, un signe qu'il interprète avec son cerveau malmené comme une invite à la découverte. Il se sent très à l'étroit dans son boxer...

Machinalement il enserre son bâton dur comme du bois. L'instant n'est plus à la retenue, la bienséance n'a plus lieu d'être, d'ailleurs rien qu'en jetant de temps en temps un œil sur ses voisines il remarque que toutes les deux sont comme lui, elles ont basculé dans un autre univers, un espace ou la pudeur est proscrite, un temps ou la luxure s'affranchit de toutes les barrières. Hortense est rouge écrevisse, une main plongée dans sa fourche, quant à Julie elle respire sporadiquement, le téléphone bien en main pour capter l'essentiel.

"clic clac ... clic clac", la sarabande continue. Anne-Ka se contorsionne, râle, crie...

« Tu as intérêt à tenir la position » exige Emma en accompagnant sa phrase par un petit coup de pied lui signifiant de garder le compas largement ouvert.... « Tu m'entends bien? »

« Ouuii, » répond Anne-caroline avec une petite voix cassée.

Emma reprend la fessée, toujours aussi magistrale. Et puis comme pour vérifier son travail elle change le tempo, elle alterne deux trois claques sèches avec une pause le temps de poser sa main sur les hémisphères, sur le haut des cuisses, le bas des fesses, pour constater l'effet sur la peau. En retirant sa main tantôt elle la laisse glisser machinalement sur l'intérieur des cuisses, ou furtivement elle frôle la pulpe de l'abricot en effervescence.

Avant la mini pause, les fesses d'Anne-Ka étaient déjà précuites aussi les sensations maintenant sont différentes, rien que les mains simplement apposées sur les fesses la font sursauter. Au début les frôlements de ses zones sensibles ainsi que les mini attouchements électrisent tout le corps d'Anne-ka puis, quand ils se répètent, un étrange sentiment se propage insidieusement dans son ventre. Son corps a sa propre vie, il la trahit, sa vulve n'est plus un abricot sec, il s'éveille, il s'humidifie et cet état prend timidement puis doucement et enfin inexorablement une ampleur insoupçonnée. Elle ne pense plus qu'à cela, elle est mortifiée : "Pourvu que personne ne s'en rende compte".

Cela n'a malheureusement pas échappé à Olivier. Il doit d'ailleurs se faire violence pour ne pas se lever car les flagrances d'Anne-Ka se rependent dans la pièce, le parfum particulier d'une jeune femme excitée envahit ses narines et comme si cela n'était pas suffisant, il remarque qu'une excroissance est fortement visible au milieu des nymphes. Mais là, il reste bouche bée, il n'a jamais vu un appendice aussi long. Ce bout de chair ne cesse de se développer en écartant tout sur son passage, le bel abricot n'arrive pas à le cacher, il est fascinant. C'est lui le maitre des lieux.

Olivier devient fou. Il se voit le sucer, le mâchouiller, l'aspirer à la rendre folle. Et puis enfoncer son vi dans cette femelle, la pénétrer sans fioriture et la faire crier, non, la faire "gueuler" à tue tète. "ah ce clito, ce cul... Quelle beauté, si Emma me faisait signe d'approcher je renierais tout. Les mains accrochées sur ses hanches, les doigts serti sur cette peau tendre, je m'enfoncerai d'une seule poussée tel un hussard et je la besognerai comme un dément jusqu'à ce qu'elle rende grâce. Que ce serai bon de la faire couiner."

À ce stade de la punition, Emma a un moment de lucidité. Elle se dit que la situation est devenue quasiment incroyable. D'une Anne-Ka rebelle, insupportable, elle découvre une femme à la libido tout à fait passionnante. Emma a bien vu les changements, elle est surprise évidemment, intriguée, et heureuse que tout cela aille dans son sens, avide des promesses que cela engendre. Cependant elle se garde bien de montrer sa découverte, son cerveau reptilien a immédiatement enregistré cette évolution et il envisage déjà une suite. Les nuits et peut être même les jours risquent rapidement de devenirs agités.

Par contre, il faut battre le fer tant qu'il est chaud, elle accentue donc son côté dominateur, elle veut qu'Emma ne puisse revenir en arrière et inoculer dans son esprit la nécessité de ne pas se rebeller et cela pour son bien, se soumettre sans compromission, obéir sans discuter.

« Changeras-tu maintenant de comportement » demande Emma?

« Ohhh SNIF-SNIF oui. »

« Ok.... Mais je me sens coupable de tout ce qui est arrivé ici chez Hortense et Olivier. C'est une chance pour nous d'être la vu la pandémie et je ne te fais pas encore confiance... »

« SNIF-SNIF ... ah »

« C'est pourquoi j'ai décidé de veiller sur toi. »

« SNIF-SNIF... Ah »

« Oui, tu feras ce que je te dis. »

« SNIF-SNIF... tout ce... SNIF-SNIF que tu SNIF-SNIF voudras. »

« Tu vas m'obéir? »

« Oouuii SNIF-SNIF » laisse échapper Anne-ka dans un soupir.

« Tu sais ce que tu risques dans le cas contraire, alors je le répète, vas-tu te conformer à ce que je vais exiger de toi? Dis-le clairement. »

« Oui SNIF-SNIF je serais... obéissante SNIF-SNIF... je te promets. »

« C'est bien ... mais pour que tu ne l'oublies pas il te reste encore la fin de la punition. »

« Nooooonn.. SNIF-SNIF Pitié, j'ai compris SNIF-SNIF... je t'en supplie SNIF-SNIF j'ai tellement mal, s'il te plaît Emma... s'il te plaît SNIF-SNIF je te promet d'être agréable. Je ferai ce que tu veux »

« C'est presque fini, » lui répond alors Emma satisfaite. Elle continue cependant la punition afin de briser la parisienne. La fessée reprend encore une bonne minute. Emma jubile, le plaisir est indescriptible, punir cette bêcheuse, l'humilier, l'assouplir pour le futur, la soumettre pour assouvir ses fantasmes. Aussi pour le final, elle se met à taper très rapidement. « OOOWWWWHHHHH!! » Hurle Anne-ka à tue-tête. Ignorant complétement ses cris, depuis le haut des cuisses jusqu'au haut des fesses, Emma la cingle sans faiblir, attend ensuite deux trois secondes pour qu'elle sente encore mieux les derniers coups, lui demande encore si elle a compris la leçon, et avec la réponse affirmative, elle termine par une série de claques d'une violence sans pareilles. « OOOWWWWHHHHH!! » les cris d'Emma déchirent les tympans. « SNIF, SNIF, SNIF, SNIF... je t'en supplie SNIF, SNIF j'ai tellement mal. » implore Anne-ka. « Je ferais tout ce que tu me diras.... Je te jure » La peur, la douleur d'Anne-ka face à l'intransigeance et la rudesse des frappes que la grande lui inflige la plonge dans une grande détresse. Elle pourrait lui accorder tout ce qu'elle veut.

Le cul ainsi que le haut des cuisses sont complètement rouges, brûlants, marqués de tous les côtés. Anne-ka a l'impression de ne plus avoir de derrière mais à la place un brasier. Elle pleure à gros bouillon en gémissant tandis que ses fesses continuent à se contracter, se relâcher spasmodiquement. Elle souffre le martyr mais ce n'est pas ce qui captive les trois personnes dans les canapés. Les fesses sont marbrées mais au-delà de la fascination qu'exercent ces orbes rougeâtres, le bourgeon grandissime électrise les regards et la vulve maintenant ouverte montre des lèvres gonflées de sang, un puit scintillant surchargé de mouille. A aucun moment il leur vient à l'esprit d'arrêter la punition de leur copine. L'excitation annihile tout comportement rationnel.

Anne-Ka reste pliée sur le fauteuil, incapable de réagir, de se relever malgré la fin de la punition, épuisée, vidée, Les fesses et les cuisses de la jeune femme sont engourdies par le châtiment extrême, son visage est dévasté par la souffrance. Aussi Emma demande à Julie d'aller lui chercher la pommade dans sa valise. Celle-ci ne réagit pas. En fait il faut que son amie réitère sa demande pour qu'elle sorte de cet état de transe dans lequel elle est plongée. D'ailleurs, le spectacle à du fortement marquer Hortense et Olivier car ils émergent seulement quand Julie se lève du fauteuil. Ils oublient la fin du film, pour sortir s'aérer, il faut absolument qu'ils prennent l'air.

Ils ne manqueront pas de repenser à cette incroyable soirée lorsqu'ils regarderont à nouveau cette toile ; "Les Petits Mouchoirs".

Dehors, Olivier a sorti une cigarette pour fumer et il se dirige accompagné de sa sœur vers le jardin ou ils marchent côte à côte, sans parler, tous les deux plongés dans leurs pensées. Remués par ce qu'ils viennent de vivre, Olivier allume une cigarette et Hortense lui en demande une alors que cela fait plus d'un an qu'elle avait arrêté.

Une suite inattendue

Redescendue avec le tube de pommade Julie le donne à sa chérie et se réinstalle dans le fauteuil. Sa chérie la remercie et lui fait un clin d'œil pervers lorsqu'elle commence à réconforter Anne-ka.

L'onguent en main, Emma en dépose une épaisse couche dans sa main et commence à tartiner très doucement toutes les parties échauffées. Amorphe, Anne-Ka se laisse faire, le froid lui fait du bien. « Ohhh... ummmmm... » murmure-t-elle. Tout en administrant ce calmant, Emma change totalement de personnalité, elle se fait douce et précautionneuse tout en rassurant Anne-ka avec des paroles rassurantes. Elle lui dit combien elle est malheureuse de la punir mais que bientôt tout aura disparu et qu'elle aura à nouveau une belle peau de bébé. "Hmmm... ohhhhh...", gémit la parisienne.

Emma a bien sur reconnu les effluves qui s'échappent du corps de la suppliciée, cette odeur caractéristique d'une femme excitée. Elle est surprise et en même temps apprécie ce nouveau tournant. Elle voit la perspective d'humilier encore plus Anne-ka, lui faire franchir une autre étape, la mettre face à sa libido, la soumettre. Bien qu'elle n'ait jamais eu l'occasion de faire de telles choses, elle avait néanmoins vu sur internet des situations comparable. Sur le moment elle n'avait pas lu pour un motif précis, juste se renseigner, cependant il semblerait qu'elle ait bien enregistré les méthodes d'emprise, de contrôle, de coercition et de soumission qu'elle applique maintenant.

Avec patience, tendresse, elle fait délicatement pénétrer la pommade, puis lorsque tout est absorbé, elle l'abreuve de mots doux tout en survolant l'ensemble du charnu, s'égare, caresse subrepticement l'intérieur des cuisses, les abords du coquillage. Anne-ka plane. Sa peau rougie est sensible au toucher et les terminaisons nerveuses à vif. La pommade l'apaise. "Mmmmm...," lache t-elle en respirant fort. La tension diminue lentement, les battements du cœur ralentissent.

Maintenant certain qu'elle ne fuira pas, Emma relâche les poignets. Avec sa main droite elle reste concentrée sur la fesse gauche en faisant de larges caresses concentriques tandis que sa paume gauche s'occupe de la droite. Généreuse avec l'onguent elle en remet plusieurs couches. Progressivement elle palpe plus fermement les fesses, les remuant puis descendant vers l'intérieur des cuisses. Avec le mouvement répété inlassablement elle laisse de plus en plus ses doigts frôler les grandes lèvres provoquant au départ un léger frisson, un souffle plus fort ensuite et puis, lorsque les doigts deviennent plus présents sur les protubérances gonflées de petits gémissements commencent à se manifester. La respiration d'Anne-ka est douce, des soupirs d'amour se manifestent de plus en plus.

La punition d'Anne-ka a été si sauvage, si dure, si longue qu'elle est totalement détruite. Elle ne sait plus où elle est. Ses limites ont été repoussées au-delà de l'imaginable, c'est un pantin qui ne pense plus, l'ombre d'elle-même qui n'a qu'une préoccupation, ne plus recevoir de claques. Aussi dans un état de quasi léthargie, les mains qui se promènent sur son corps l'apaisent, soulagent ses tensions, la font planer. Cette douce euphorie envahit maintenant tout son corps et sans qu'elle puisse s'en défendre, les muscles relâchés, l'esprit embrumé, ses jambes s'écartent inconsciemment.

Pendant ce temps Emma continue son travail de reconnaissance, les doigts se rapproche inexorablement de la bouche maintenant ouverte. Anne-ka ne réagit pas mais lorsque la main se pose délicatement sur son abricot elle prend une profonde aspiration. « Oooohhhhh » souffle Anne-ka en se redressant. Toujours vigilante aux réactions de la belle brune, Emma bouge rapidement sa main gauche, caressant le bas des reins jusqu'à se retrouver sur le cou puis tranquillement sur la tête, lui malaxant très tendrement, amoureusement, patiemment le cuir chevelu tout en appuyant légèrement pour que le corps de la jeune femme ne se redresse pas totalement, mais reste au contraire à plat. « Ne bouge pas ma belle » laisse-moi te soulager lui susurre à l'oreille Emma.

En déconnexion partielle avec son esprit Anne-ka devient sensible à l'excitation de cette paume rassurante sans qu'elle puisse réagir. Une mini onde de plaisir émane de son clitoris en plein éveil. D'ailleurs Emma vient de se rendre compte avec intérêt de la dureté sous ses doigts et elle enregistre l'image d'un clitoris très développé. Surprise et intéressée par cet appendice aussi grand, elle classifie cette information pour y revenir plus tard.

Emma se doute que la grande brune est maintenant prête pour la prochaine étape de sa descente morale. Il est temps de pousser la parisienne dans ses retranchements, ne pas la laisser réfléchir à son comportement, la plonger dans l'exhibitionnisme entre autres, l'obliger à accepter de jouir en public, embarrassée, misérable et honteuse de ne pouvoir endiguer sa libido sous son égide. La voir entièrement soumise à ses souhaits, plonger dans la fange sans aucune limite, incapable de résister à sa descente vers la servitude, rempli de joie la grande. Sans plus tarder, elle glisse ses doigts le long de la fente et plonge lentement son majeur à l'intérieur de l'ouverture brulante. La réaction est immédiate.

« Aaaaaaahhhhhh » gémit Anne-ka de surprise tout en essayant de se relever par reflexe.

« Laisse-toi aller ma belle » lui dit alors suavement Emma en réappuyant la brune de sa main gauche. « Détends-toi et apprécie » continue-t-elle. Tout aussi vicieusement elle commence à bouger son doigt en lents va et vient profonds.

« Aaaaaaahhhhhh » souffle Anne-ka sortie de sa torpeur. « nooonn, pas comme ça » lance t-elle dans un ultime sursaut de rébellion.

Mais il était trop tard pour faire marche arrière, Emma le sait bien. Le bassin d'Anne-ka bouge sensiblement, les lèvres sont gonflées de désir, la vulve est trempée, l'excitation grandit. Tous les signes montrent que la parisienne ne maitrise plus rien, son corps réclame un apaisement, une délivrance. Un deuxième doigt est ajouté au premier. « Aaaaaaahhhhhh... oh mon dieu »

Emma a pris le contrôle total. Avec les deux doigts autoritaires elle prend possession de l'entaille suintante, fend d'aller et retour vigoureux les lèvres glissantes et à chaque passage s'enfonce toujours plus loin dans le sanctuaire brulant. Sous les effets de l'endorphine Anne-ka ne ressent plus la douleur de la punition mais au contraire celle-ci exacerbe ses sensations, ouvre toutes les barrières, enflamme son corps au-delà de l'imaginable. Elle est excitée à la limite de la souffrance. Elle ne peut contrôler le torrent de lave qui s'écoule de son vagin, un mucus épais et huileux qui se déverse en flots continus sur ses cuisses. De plus il émane d'elle une puissante odeur de sexe de femelle en chaleur. Dans les quelques instant ou une parcelle de lucidité peut encore se manifester, Anne-ka maudit son corps, elle se sent sale, ne veut admettre qu'elle prend autant de plaisir.

Emma évalue que l'issue est proche aussi elle ralenti les va et viens pour stabiliser l'excitation, puis lorsqu'elle entend la respiration se calmer, elle procède à l'ultime attaque. Elle retourne sa main, le majeur et l'index orienté vers le bas pour chercher le plancher du vagin, positionne le bout de ses doigts sur le mont granuleux et avec un sourire éclairant son visage, frotte frénétiquement ce dôme hautement éruptif alors qu'elle entretient l'esprit de la parisienne, excite sa libido en l'abreuvant de mots crus, de paroles humiliantes. « Tu as besoin de jouir ma belle, laisse toi faire, lâche prise, aller tu vas partir ,oui c'est très bien ma belle garce, ouiiii montre-moi la salope qui sommeille en toi, oh oui tu es ma putain »