Confinement Bis Ch. 02

BÊTA PUBLIQUE

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Jour - 3

Complétement abasourdis tous les deux par les événements qu'ils viennent de vivre, Olivier, perturbé par ce qu'il a commis, monte dans sa chambre en laissant Hortense sur la table. Il ne trouve que tardivement le sommeil, déchiré entre la culpabilité, le tabou qu'il vient de franchir et le désir encore plus fort de faire l'amour à nouveau avec sa sœur.

De son côté Hortense rejoint sa chambre totalement groggy, honteuse de s'être laissé faire mais surtout ébahie d'avoir aimé la fougue de son frère, d'avoir ressenti autant de plaisir, d'avoir joui comme une folle et se méprisant d'envisager que cela ne s'arrête pas. "non, non, et non, je ne peux pas continuer, il faut absolument qu'on discute avec Oliv".

Et puis le matin, en robe de chambre, pas coiffée, la mine défaite par une nuit agitée, assise à la table de cuisine devant un bol de café, la tête plongée dans ses pensées, elle n'entend pas son frère arriver. Hortense sursaute alors qu'olivier l'enserre de ses deux bras. Elle voudrait lui dire tout le fruit de ses réflexions mais lorsqu'il dépose une myriade de bisous sur sa nuque accompagnées vicieusement par des mains baladeuses qui lui caressent ses seins, elle fond. Toutes ses bonnes résolutions s'envolent.

Le feu s'est réveillé comme s'il n'avait jamais été éteint, son cœur bat la chamade, ses seins durcissent, ses tétons bandent, et une chaleur sournoise se manifeste au creux de son ventre. Elle est perdue.

Aussi lorsqu'Olivier lui dit qu'il l'aime comme un fou et pose ses lèvres sur les siennes, elle ouvre la bouche pour se laisser dévorer, maintient la tête de son frère avec sa main et fouille à son tour la bouche d'Oliv, elle ne respire plus, le temps s'est arrêté, Hortense est en transe.

Elle ne se rappel pas comment elle s'est levée, à peine s'est-elle rendue compte d'un bruit de vaisselle cassé qu'elle est assise sur la table, la culotte à terre, les jambes écartées, la tête d'olivier entre ses cuisses. «Aaaaaaaaaaaaaah!... Olivvvv nooonnn! ... ooooooh oui! gémit elle. Ses yeux voilés, le souffle court, elle est une marionnette dans les bras de son frère.

Olivier mange le sexe de sa sœur avec un appétit féroce. Il la lèche sans ménagement de haut en bas, de bas en haut, parcourant les lèvres suintantes jusqu'au bouton tuméfié, Hortense se pâme.

Il redescend ensuite enfuir sa langue dans l'antre brulante laper et aspirer la cyprine abondante. Sa sœur remue la tête dans tous les sens, elle frémit, frissonne, devient folle.

« Alors ma sœur, tu aimes quand ton frère te lèche... dis-moi que tu m'aimes. » .... « Tu ne dis rien? lui dit-il en relevant la tête. Tant pis » continue t'il en tenant fermement son bassin. Vicieux il plonge sur la vulve gorgée de sang puis se dirige vers le clitoris orgueilleux, il le titille, le fait grandir, puis tout en affirmant sa prise avec ses mains, il aspire fortement la perle pour enfin la mordiller. Hortense remue son bassin comme une damnée pour se cabrer ensuite sous l'aiguillon qui la transperce. « Aaaaaaaaaaaaaaaaah nooon Olivvvv c'est trop fort! »

« Dis-moi que tu m'aimes? » reprend son frère.

Sans réponse Olivier poursuit son travail de sape, de sa main gauche il appuie sur le ventre pour qu'Hortense s'allonge sur la table, relève ensuite les deux jambes pour les poser sur ses épaules et insère profondément deux doigts dans la vulve détrempée. « Ooooooooooh » lâche Hortense.

Il agite ensuite ses arpions tel un fouet battant des œufs en neige. Au début sa sœur pousse des gémissements plaintifs, sa respiration est saccadée, puis le timbre de sa voix devient rauque lorsqu'il titille sans ménagement son point G, de profonds sons gutturaux s'échappent de sa bouche tout en haletant, puis sans prévenir elle gicle sa jouissance en hurlant. « Oh la vilaine tu m'a trempé » s'exclame Olivier avec un sourire. Il est fascinée par le tempérament démonstratif de sa frangine, il adore la voir jouir et encore plus lorsqu'elle se lâche totalement.

Il bande depuis le moment où ils se sont embrassés, mais là, l'effet sur sa libido est incommensurable, son gourdin est dur comme du bois. Encore secouée de spasme, sa sœur essaye de récupérer, seulement lui, il ne peut attendre qu'elle reprenne ses esprits, cette vulve ouverte et suintante avec ce parfum fort qui s'en échappe l'excite au plus haut point.

Seulement avec le déchainement de sa sœur celle-ci s'est éloignée du bord de la table... ni une ni deux, il la tire presque brutalement, son cul est alors en bonne place.

Gamin il ne se rendait pas compte que le plateau de cette table était anormalement bas avec sa hauteur de soixante-cinq centimètres, cela ne le dérangeait nullement. Par la suite il en avait demandé la raison à sa mère qui lui avait répondu que son père avait flashé dans une brocante sur cette table d'atelier au plateau massif et depuis elle était là dans la cuisine.... Qu'elle aubaine!!! ... La hauteur est parfaite, les fesses de sa sœur sont légèrement en contrebas.

Tenant des deux mains les jambes à l'équerre olivier regarde Hortense encore sous le coup de la jouissance puis reporte son attention sur son bâton et les deux lèvres congestionnées qui l'appellent, pose son gland au centre, "mon dieu qu'elle est brulante" et électrisé par cette sensation, sans réfléchir à la grosseur de son membre, animé d'un instinct primal, il donne un grand coup de reins. « Aaarrrrrrgggghhhhhh » hurle Hortense. Elle a l'impression d'être pourfendue par une lame en fusion. Heureusement elle est fortement excitée, la cyprine est abondante et cela facilite grandement l'intrusion même si elle n'a pas l'habitude de l'accueillir, un priape aussi énorme ne se rencontre pas à chaque coin de rue.

Olivier conscient de son empressement et malgré l'excitation, reste immobile quelques instants les couilles en butée, il ne veut pas faire de mal à sa sœur.

« Oooooooohhh » souffle t'elle en essayant de récupérer, « salaud tu vas me tuer!! »

« Tu es belle » lui dit-il en se penchant pour l'embrasser.

Les bras toujours en dessous des genoux de sa sœur, la bouche ouverte olivier n'a pas à quémander un baiser, Hortense telle une sangsue attire de ses mains la tête de son frangin pour littéralement le dévorer. Olivier bouge alors doucement son bassin, entame un léger retrait suivi d'un retour tout aussi doux, deux autres suivent. Hortense tente de calmer sa respiration tout en mangeant toujours aussi goulument son frère puis, Olivier augmente graduellement l'amplitude de ses mouvements, les parois se dilatent pour l'accueillir, sa sœur geint maintenant la bouche toujours collée, elle ondule imperceptiblement le bassin.

Le signal est là!!!

Olivier se retire alors sur toute la longueur de son vit, le gland à l'intérieur, puis, comme un étalon change de cadence, du pas il passe au trop, les aller et retours deviennent soutenus, « aaaaaah » gémit sa frangine tout en accompagnant le rythme de sa monture, puis au bord du précipice, excité par ses longs préliminaires il passe au galop, sa frangine crie, au double galop ensuite, Hortense est en apnée.

Enfin en appuyant sur les mollets de sa sœur Olivier applique les pieds à côté de la tête et c'est au triple galop qu'il se déchaine, son pieux fore à une cadence infernale le conduit devenu graisseux alors que des bruits obscènes accompagnent cette chevauchée. Hortense lui griffe le dos en hurlant, puis dans un dernier han de bucheron le gland frappe à la porte de l'utérus, Olivier se repend tout tremblant, la pouliche se cabre.

Au bord du gouffre depuis quelques instants, la sève expulsée provoque d'innombrables contractions autour du membre, une traite sans concession, il lui faut tout son jus, l'instinct primale d'Hortense a pris le dessus. Hortense ahane avec ce gourdin monstrueux repoussant ses chaires au-delà de l'imaginable, avec la semence qui pulse, elle exulte, délire, le supplie de la remplir puis, tout en griffant les épaules de son frangin, sous une ultime contraction elle ouvre la bouche sur un terrible cri rauque qui n'en finit pas de sortir. Elle s'effondre tétanisée.

Pendant un temps qu'ils ne peuvent définir, olivier est couché sur sa sœur la tête dans son cou, le sexe encore à l'intérieur de sa frangine. Celle-ci savoure le calme après la tempête, elle adore ce moment après l'amour ou son frère est détendu sur elle, son corps épousant ses courbes, cette chaleur rassurante et aussi le monstre reposant dans son ventre, cette chaire si douce maintenant, ce démon qui la fait hurler mais qui la rempli si bien. Elle ne s'est jamais senti aussi femme, un brin salope mais une femme comblée.

Hortense ne sait pas ce qui lui arrive, Oliv la rend dingue. Dès qu'elle voit ses yeux pétiller, qu'elle aperçoit son regard lubrique, son corps réclame, elle est en ébullition. Lorsqu'il lui parle, qu'il commence à la toucher, comme une chatte pendant ses chaleurs, elle devient infernale, folle, elle se damnerai pour sentir sa grosse queue, il faut qu'il la remplisse.

Remis de leur frénésie tous les deux partent à la douche sans dire un mot. Il faut attendre le repas du midi pour qu'ils se parlent enfin.

Pendant les trois jours qui les séparent de l'arrivée de leurs amies aucun des deux n'arrive à endiguer leur soif de luxure, de volupté. Hortense n'a jamais eu autant d'orgasmes en un temps aussi court. Olivier est plutôt performant pour soutenir le rythme effréné, il est aussi très imaginatif autant qu'habile avec ses doigts, sa langue et le reste. D'ailleurs excepté la sodomie, elle avait trop peur qu'il la déchire, ce qu'il comprenait facilement, elle acceptait tout de lui.

Elle découvre l'anulingus pour la première fois. En préliminaire elle aime cette langue qui lui arrachent de multiples orgasme, écartant ses babines gonflées, lui fouillant sa vulve bouillante, aspirant son jus, taquinant son bourgeon, le mordant. Mais ce qui la fait décoller et aussi se pâmer c'est surtout quant à force de patience son petit trou s'ouvre et qu'Oliv peut insérer la langue et lui lécher l'intérieur. "c'est vicieux, mais divin" pense-t-elle. Elle jouit sans retenue, elle coule et puis surtout cela la prépare au gourdin qui ne manque pas de l'envahir ensuite. Excitée comme une folle, Oliv peut alors la pénétrer plus rapidement, sa vulve accepte maintenant avec gourmandise ce chibre hors norme. Elle n'en prend pas encore totalement conscience ou évite d'y réfléchir, or inexorablement son corps réagit fortement aux actes tabous, plus les actes sont sales ou déviant et plus sa libido s'enflamme. son cœur s'emballe, elle n'est plus elle-même, criant, hurlant, vociférant des injures, poussant son frère à la conduire encore plus haut dans ses explosions de jouissance.

Ils explorent presque toutes les pièces de la maison et même l'extérieur devient un terrain de jeu.

La veille de l'arrivée de leurs amis, dans l'après-midi, en recherchant des outils dans la grange, une poussée lubrique s'est emparée d'Olivier à la vue de ballots de foins. Ils ont baisé comme des bêtes oubliant toutes précautions, les portes de la grange ouvertes on pouvait entendre de loin Hortense "gueuler", oui j'ai bien dit "gueuler "car maintenant Hortense se lâche sous le joug de son amant. Elle devient d'ailleurs de plus en plus garce en titillant son frère, le provoquant, l'amenant à se dépasser, devenir sauvage, le poussant à la violenter, l'invectivant pour assouvir sa soif de jouissance extrême.

De son côté Olivier remarque la demande toujours plus pressante d'Hortense pour de nouveaux jeux, qu'il la prenne sans ménagement, avec force et parfois rudesse. Etonné au début il se réjouit du débridage de sa sœur. Il adore les moments de tendresse cependant il est de plus en plus attiré par les accouplements bestiaux, il devient addict à ces fornications violentes ou ne compte que le sexe pur, la luxure poussée à l'extrême.

Tous les verrous sautent un à un, de garçon calme au langage mesuré il ne se prive plus maintenant de lui sortir tout une ribambelle de mots grossier pendant leurs rapports sexuels.

Sur l'oreiller, car bien sur dès le deuxième jour ils dorment ensemble, elle lui concède ses écarts de langage pendants leur rapports, elle ne veut pas l'empêcher de se lâcher si cela lui fait plaisir. Quelle mauvaise foi!!! En fait elle découvre avec étonnement que les grossièretés, dans la bouche de son frère lors de leurs jeux, décuplent sa libido. Cependant pour rien au monde elle ne lui aurait avoué.... Olivier n'est pas dupe évidemment.

Hortense est une femme heureuse, comblée. Elle ne pense certes pas à l'avenir, à l'après confinement, par contre elle souhaite profiter pleinement de cette période, elle n'est pas encore rassasiée, elle se découvre même chaque jour un peu plus salope, plus garce, elle n'a pas besoin de se faire prier pour "ouvrir les cuisses", son imagination est sans limite pour provoquer son frère, l'exciter, l'obliger à bander pour qu'elle retrouve cette sensation inouïe d'être couverte par son male, remplie au-delà de ses espérances les plus folles, violentée parfois pour pimenter sa soif de jouissance.

Toutes ces années à se chercher elle n'avait pas conscience de sa libido et que son épanouissement passait inexorablement par une sexualité en dehors des sentiers battus. Il lui fallait oublier les tabous, franchir toutes les limites de la bienséance, mettre du piment dans ces rapports. L'inceste est une révélation, ses jouissances n'en sont d'ailleurs que plus intense.

Elle veut profiter de cette réclusion pour vivre à fond ses envies.

Par contre le must n'est pas de réaliser telles ou telles cochonneries mais que celles-ci lui soient imposées, elle veut que son frangin soit imaginatif et qu'il l'oblige à faire des choses que la morale réprouve. Son ventre se tord à l'idée des perversités inavouables que son frère pourrait lui ordonner, car elle lui obéirait, honteuse certainement, en rechignant pour la forme mais en définitif elle serait heureuse qu'il lui impose toutes sorte de jeux sans qu'elle puisse s'y soustraire.

Olivier ne l'a pas encore sodomisée malgré son empressement. S'il a des pulsions il n'est pas encore prêt à franchir certaines limites. Il reste tout de même scrupuleux.

De son côté Hortense ne veut pas qu'il lui demande mais qu'il l'oblige à céder. Elle désire que cette première fois avec lui soit un rapport sous la contrainte, elle veut se sentir obligée, soumise, d'ailleurs à chaque fois qu'elle y pense, elle ne peut s'empêcher de mouiller tellement elle fantasme sur ce simulacre de viol, l'intrusion brutale de sa dernière virginité.

Elle ne se demande pas qu'elle est sa limite. la honte, la perversité et peut être même la douleur font partie intégrante maintenant de cette sexualité qu'elle découvre. Pour elle seul le plaisir compte. Cependant le fait que tout soit caché derrière la vitrine du convenable, qu'elle paraisse en dehors du confinement, aux yeux de tous, comme une femme Bcbg, une personne normale à la moralité conventionnelle, ajoute encore du piment à la salope dépravée qui se cache sous cette enveloppe. Cette dualité est jouissive pour Hortense.

Les premiers pas ensemble.

Pour le premier diner ensemble, Hortense avait préparé un repas tout simple. Des tagliatelles à la carbonara accompagné d'une salade que les convives pouvaient prendre avant, pendant ou après le plat principal, en dessert elle proposait un yaourt aux fruits ou une compote.

Repus les invités ne se sont toutefois pas éternisés après le repas car la route les avaient mis sur les rotules. Ils n'aspiraient qu'à retrouver un lit douillet aussi comme Hortense avait décliné l'offre d'aide pour la vaisselle et le rangement chacun pouvait gagner sa chambre.

Ce n'est que vers 22 heure que la maitresse de maison monte suivi cinq minutes plus tard par son frère. Arrivé dans la suite parentale, une pièce conviviale, étonnamment grande avec ses vingt-quatre mètres carré, reposante, spacieuse, mêlant pierres et poutres en bois dans des tons chaleureux, olivier ferme la porte derrière lui puis regarde avec un petit sourire sur les lèvres, sa sœur au bord du lit.

Sa belle retire ses vêtements. Il attend pour enlever les siens, juste pour mater et profiter pleinement de son effeuillage. Il aime ces instants spéciaux dans ce genre d'exercice, des flashes qu'il faut savoir saisir : l'instant précis où Hortense détache son soutien-gorge mettant ses deux mains dans le dos et ainsi projetant sa poitrine vers l'avant. Il apprécie aussi ce bref instant, lorsqu'elle pose sa culotte en la faisant glisser sur ses hanches, où le fond prend du retard et reste collé à la chatte humide. Il trouve cela merveilleux.

Elle s'étend sur le lit en l'attendant, posée sur le côté, une joue sur la main portée par le coude, l'ovale parfait de ses hanches se prolonge d'un creux accentué par le torse semi-relevé. La ligne de la colonne dessine une courbe superbe que le sillon fessier prolonge magnifiquement. De même il admire les cuisses fermes inégalement pliées. Il adore cette pose ingénue, suggestive, provocatrice. « Tu es magnifique ma chérie »

« Tu m'appelles ma chérie maintenant »

« Oui j'ai envie! tu n'aimes pas? »

« Oh si! mais c'est tellement nouveau, moi je n'y arrive pas encore mais je t'aime comme une folle. »

Enhardi par ces mots, Olivier dépose un baiser sur ses lèvres puis sur les tétons déjà durs. Elle se laisse aller sur le dos, il la suit, passant des seins à la bouche, de la bouche à ses tétons et puis du ventre jusqu'au nombril pour arriver à son sexe. Il l'attaque sans ménagement, dévorant, suçant, lapant. Elle mouille à tout va, une cyprine aigrelette et musquée, délicieuse. Tout y passe. Il s'attarde longuement sur son clitoris, elle respire fort et gémit doucement, même sa petite rondelle plissée n'est pas oubliée.

« Fais attention Loulou, ta copine dort juste à côté dit-elle mesquine. »

« Tant pis pour toi, je vais alors te bâillonner, ça t'évitera d'être une braillarde!!! »

« Oh »

« Après tout ce que tu m'as fait subir depuis l'arrivée de nos colocataires, je ne vais pas te ménager!!! »

« Ce n'est pas vrai » répond Hortense taquine sentant l'excitation la gagner. Elle le provoque pour lui dire d'être discret sachant pertinemment qu'il ne va pas s'arrêter en chemin, elle le devine, elle l'espère. Le câlin du soir, doux et langoureux, est aussi important que les "baises" de la journée. Hortense ne pourrait plus s'en passer.

Seulement là ce soir Oliv est plus empressé. Il faut dire qu'elle n'a fait que le titiller toute l'après-midi et elle continue à le provoquer. Elle se retourne alors mettant son cul en buse

« Tu sais que tu as les plus belles fesses du monde ? Ce n'est pas un cul, c'est un appel au viol ! T'es vraiment une garce à m'exciter comme cela.... Après tu voudrais que je sois calme. C'est une fessée que tu mérites!! »

« Ooh, tu ne feras pas ça!!! » lui répond-elle souriante.

« Tu as envie plutôt de la bite de ton frère... Vilaine! Hein ? Dis-le. »

« Je ne sais pas!!! ... mais je sens que ça coule le long de mes cuisses » ajoute-t-elle vicieuse.

« Serais-tu un peu salope ? »

« Ooooh minaude t'elle ... Occupe-toi de moi Olivier, je t'en prie, fais-moi un gros câlin! »

Partagé entre l'envie de ne pas dévoiler sa relation avec sa sœur telle qu'elle lui a demandé et le désir de ne pas lui obéir pour ajouter du piment à leur relation, Olivier se rue sur Hortense en laissant le hasard prendre toute sa place. Il se laisse porter par sa libido révélée, il entre à grande enjambée dans le monde sulfureux, pervers. Il franchit à vitesse folle toutes les barrières qui le transporte vers le plaisir et surtout il devine les non-dits de sa frangine et n'a de cesse de la pousser là où elle aspire qu'il la mènera. En d'autres mots, elle joue l'ingénue presque choquée par la hardiesse de son frère, or elle s'évertue à ce qu'Oliv fasse fi de ses paroles, qu'il outrepasse les conventions et qu'il se libère. Elle le veut affranchi de toute limite, qu'il assouvisse ses fantasmes et de plus s'il pouvait la contraindre elle en serait que plus heureuse.