Confidence de Dan à Emilie

Nous venions de faire l'amour avec ma petite femme et allez savoir pourquoi, la pénombre et le calme de la chambre je me laissai aller à raconter à Émilie cette aventure que j'avais vécue dans ma folle jeunesse.

Je venais de fêter mes 18 ans enfin majeur.J'habitais dans la banlieue parisienne, c'était le lendemain de mon anniversaire.

Je venais de recevoir en cadeau le fameux vélo solex qui me permettait enfin de pouvoir circuler librement dans la ville lumière qu'était Paris à l'époque.

Élevé assez rigoureusement par mes parents, j'avais rêvé devant les revues que les copains de collèges apportaient en catimini.

Les jolies photos de femmes me faisaient bander, mais j'étais encore puceau.

Rien ne me prédestinait à l'aventure que j'allais vivre cet après-midi ou j'avais décidé d'aller voir au cinéma le dernier western à l'affiche, tout une époque.

LA PREMIÈRE SÉANCE :

Je cadenassais mon solex et je pénétrais dans la salle de cinéma c'était un jeudi le jour de repos des collégiens à l'époque.

Cinéma avec balcon sièges moelleux en velours rouge sang bref toute une époque.

Les sièges des premiers rangs étaient complets. Je décidais de m'installer sous le balcon au fond de la salle au milieu du dernier rang totalement désert.

Après les actualités traditionnelles et les réclames, l'entracte bonbons etc.

Enfin la lumière s'éteignait à nouveau et le film commençait.

INSTALLATION D'UN INCONNU A MA DROITE

Je distinguai à la faible lumière de l'écran l'ombre d'un homme qui était en à priori en survêtement.

La salle était surchauffée et j'avais posé mon blouson à ma gauche et je restais avec ma petite chemise assortie à mon pantalon de coton.

A l'écran les coups de revolvers se succédaient lorsque je sentais une main se poser ma cuisse droite.

J'étais tétanisé la paume de la main bien à plat sur le dessus de ma cuisse, les doigts en massaient l'intérieur.

Je resserrai les genoux, mais ça avait pour effet de donner l'occasion à l'extérieur des doigts de cette main diabolique de me caresser également l'intérieur de la cuisse gauche.

Pressions fortes puis douces, l'homme à présent remontait mon entrejambe pour atteindre ma braguette.

Une chaleur m'envahissait. Bien sûr je me caressais et me masturbais, mais jamais je n'avais reçu de caresses d'un ou d'une autre.

L'INITIATION :

À présent avec une dextérité incroyable l'inconnu venait non seulement de descendre la fermeture éclaire mais également avait déboutonné la ceinture de mon pantalon.

Il écartait à présent les côtés pour libérer un large accès à mon slip.

La nature est ainsi faite que je développai à ce moment là, une incroyable érection.

Mon sexe emprisonné dans le sous-vêtement devenait douloureux, lorsque cette main inconnue se saisissait de ma verge pour en pointer le gland vers le haut.

Avec la même dextérité en un éclair, l'inconnu venait de baisser d'un coup sec mon slip libérant totalement mon sexe et mes couilles.

En une fraction de seconde la main m'abandonnait, je voyais l'inconnu porter la paume de sa main à sa bouche.

La main revenait se saisir de mon sexe humide de la salive de mon inconnu.

Ma respiration était courte j'étais emporté par la masturbation qui me provoquait des frissons.

L'homme se tournait plus franchement vers moi, il se saisissait de ma main droite qu'il guidait vers son sexe.

Sa verge me paraissait énorme pas très longue mais très épaisse. Il serrait mes doigts et leurs indiquant le rythme de masturbation qu'il souhaitait.

Il avait de l'expérience, je ne pouvait résister au pressions de son pouce sur le haut de mon gland.

Il venait à présent de resserrer sa main et recevait dans sa paume les giclées de sperme que j'éjaculais en me mordant les lèvres pour ne pas crier ma jouissance.

Il étalait mon sperme sur mon ventre et mes couilles qu'il massait délicatement.

LA JOUISSANCE DE MON INCONNU

Lui n'avait pas joui, bien au contraire, je sentais que son sexe avait encore grossi.

La main qui venait de me faire jouir avait à présent relevé l'accoudoir qui séparait nos sièges.

Sa main gauche était maintenant passée sur ma nuque, elle me caressait les cheveux me massait le cou, elle descendait sur mes reins pour remonter ma chemise.

Ses doigts parcouraient ma colonne vertébrale des reins à la nuque me déclenchant des frissons incontrôlés.

Sous la puissance érotique des caresses de mon inconnu, j'étais tétanisé ma main sur son sexe tremblait et restait immobile.

Je sentais à présent son souffle chaud sur mon oreille, son parfum était délicat.

En un mouvement coordonné, il reculait au maximum ses reins au fond de son siège et d'une pression puissante sur ma nuque menait ma tête vers son sexe obligeant ma main droite à abandonner son sexe.

Une voix douce et ferme dans un souffle chaud pénétrait alors mon oreille

- Suce-moi

J'avais à peine entendu la fin de cette phrase que l'inconnu de sa main droite faisait passer la barrière de mes lèvres à son énorme gland.

Sa main gauche accentuait la pression et j'avais à présent embouché la moitié de sa verge, je me surprenais à bouger ma langue et à saliver sur son sexe.

Il guidait ma main droite sur ses couilles m'invitant à les caresser, à chacune de mes caresses sur ses testicules velus, sa queue était prise de convulsions dans ma bouche et ses cuisses tremblaient.

De manière incroyable et inconsciente, j'avais à cet instant l'impression d'être le maître du jeu.

Sa main gauche à présent me caressait le dos tendrement pendant que sa main droite sur ma nuque guidait le rythme de ma fellation.

Je sentais à chaque aller-retour sa queue progresser au fond de ma gorge ce qui me valait de m'étouffer.

Il soulevait alors ma tête me permettant de me libérer de son sexe.

J'étais pris d'un toussotement avec pour effet de faire couler un flot de salive sur son gland et ses couilles.

Ses mains m'invitaient alors à poursuivre la pipe que je lui offrais.

À présent il arrivait à s'enfoncer si profondément que je sentais le duvet de ses couilles toucher mon menton.

Il gémissait et ses reins se soulevaient plus rapidement, il se servait de ma bouche comme d'un sexe de femme, il accélérait encore et encore, sa main gauche dans mes reins était passé sous mon slip et me caressait les fesses au même rythme que les pénétrations de son sexe dans ma gorge.

Ma main droite pressait, caressait, malaxait ses couilles humides de ma salive brûlante.

Je les sentais vibrer, elles se gonflaient au moment même ou je recevais giclées après giclée le sperme de mon inconnu.

Son éjaculation était telle que j'avais peine à tout avaler.

Sa queue sortie de ma bouche, j'avais les yeux humides par le manque de respiration.

J'apercevais comme une sorte de victoire le sexe luisant de mon inconnu que je venais de faire jouir.

LE RENDEZ-VOUS

L'inconnu remettait de l'ordre dans sa tenue, je l'imitai en rebouclant mon pantalon et en réajustant ma chemise.

Ayant retrouvé un rythme normal de respiration nous échangions un regard, une sorte de vision d'ombre chinoise, car le noir profond de cette salle de cinéma nous interdisait de pouvoir nous reconnaître au grand jour.

Je regardais à nouveau l'écran, je souriais en voyant l'hécatombe de pistoleros lorsque mon inconnu se pencha et me déclara

- Tu es doué, mais tu as tant à découvrir, jeudi prochain je serais là, à la même heure.

À peine j'avais entendu la fin de la phrase qu'une explosion de coups de feux fusaient à l'écran captivant mon attention.

Au moment où je tournais la tête vers mon inconnu, il avait disparu. Je n'avais de lui que son odeur et le goût de sa semence dans la bouche.

Je venais de terminer mon récit à Émilie, manifestement elle était excitée au point de me demander immédiatement

- Alors, le jeudi suivant tu t'es rendu au rendez-vous ?

Curieuse tu le sauras la prochaine fois.