Chloée, jeune femme très obéissante

BÊTA PUBLIQUE

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Et pour commencer, bien les étirer avec des poids qu'elles me fixent autour des couilles. Deux demi-cylindres en acier, qui pèsent plus d'un kilo et qui se vissent à la base. Les couilles sont étirées de plus de 10 centimètres, ce n'est plus que deux noisettes qui virent vite au mauve. La peau compressée me brûle, le ventre me fait mal. Le principe est d'augmenter régulièrement le poids et la taille pour les étirées fortement. Une fois encore, je réalise que tout était prévu, alors que je n'ai décidé cela qu'il y a quelques heures! Maîtresse rayonne comme jamais, je me nourris de sa beauté et de sa puissance, cela me remplit. Je bande malgré les tortures que je subis, et cela lui fait très plaisir. J'ai tellement, tellement envie d'elle, alors que de moi-même, j'ai accepté d'y renoncer. Quel idiot. Cette femme est plus que magnifique, elle est magnétique. Elles ont raison de se moquer de moi. Mais en même temps j'ai de la chance qu'elle s'occupe de moi.

Je suis intrigué quand Maîtresse glisse mon sexe dans un tube en plastique assez large. Elle prend les mesures, en l'appuyant profondément dans mon pubis et le coupe au niveau de mon prépuce qu'elle a étiré au maximum en y pendant un poids de 10 kg. Mon sexe ressemble plus à une ficelle ainsi étiré Et je ne bande plus, cela fait trop mal. Le poids est détaché, le tube mis en place et les poids remis pour qu'il s'ajuste parfaitement à la base de mon prépuce. Maîtresse Stéphanie insère alors une longue tige trouée et courbée qui force mon sexe à être lui-même courbé. Elle est longue, je la sens progresser, une sensation étrange, mon urètre est ainsi étiré. La tige se termine par un anneau qui est vissé à la base de mon prépuce pour la maintenir bien en place. Je sens les vis entrer dans ma chair, les Maîtresses vissent avec le plaisir de sentir ma chair la plus intime ainsi malmenée et mes cris de plus en plus stridents. Je hurle à chaque tour, mais rien n'y fait, les 6 vis sont fixées à fond, plus rien ne bouge.

C'est alors que Maîtresse prend un sèche-cheveux, réglé au maximum de la chaleur, et dirigé sur mon sexe enfermé dans sa gaine. Avec terreur je vois la gaine se rétracter et se mettre à serrer tout le long de mon sexe. La pression devient vite intolérable et je vois mon pénis rétrécit de façon extrême, le bout du tube se rétractant sur l'anneau de mon prépuce, le maintenant encore plus en place. Maîtresse s'assure que la gaine s'est rétractée au maximum. Mon sexe est effroyablement comprimé et je comprends l'usage de la tige rigide dans mon urètre qui serait sinon totalement inopérant. Je me retrouve avec un sexe au diamètre ridicule, courbé, dont sort mon prépuce déjà tout sombre et incroyablement douloureux. Stéphanie admire le travail de son amie, et se dit convaincue que je ne pourrais avoir aucun début même d'érection, que tout ceci est de l'histoire.

Cette réflexion et humiliation m'excite, tout comme la situation, malgré les souffrances subies de mon cul, mes couilles et ma tige. Je sens un désir d'érection, mais absolument rien ne se passe. Pas même à la base. La gaine rétractable a écrasé tous mes corps caverneux, le sans ne va nulle part, et la sensation est simplement atrocement douloureuses. Maîtresse me regarde triomphante, m'annonçant que j'ai vécu non seulement mon dernier orgasme, mais aussi ma dernière érection. Je dois la remercier chaleureusement de me traiter comme je mérite. Elle se caresse en me regardant, et je sens en elles deux tout le mépris que je leur inspire.

Les deux femmes fêtent la soirée au champagne, et décident d'aller se coucher ensemble pour la nuit. Je dois tout ranger et nettoyer, puis me coucher dans la cuisine. Sans rien pour me couvrir, comme la chienne que je suis. J'entends leurs rires et leurs gémissements, pleurant de souffrance et de ma nouvelle condition, me demandant ce qui m'a pris. Je réalise à quel point Maîtresse est implacable et sans aucun état d'âme, c'est fou. Je n'arrive pas à croire que je vais être équipé ainsi définitivement ou pour pire. J'ai une dernière pensée pour l'esclave de Maîtresse Stéphanie, dire que j'ai demandé à vivre pire que lui! Bizarrement, pas un instant je ne songe à fuir ou me rebeller, je n'en ai déjà plus les moyens psychiques. Une simple couverture me provoquerait tellement de réconfort. Je prends un torchon comme un doudou pour me consoler.

Depuis 3 mois je suis réduit en esclavage de la façon la plus stricte pour moi, et la plus luxueuse pour Maîtresse qui en profite de toutes les façons, souvent en complicité avec Maîtresse Stéphanie. Et souvent avec des amants, ce qui me tord les trips, tant mon envie et mon désir d'elle me rendent complètement fou. Je ne peux fixer mes pensées sur rien sinon sur la magnifique Déesse qui m'exploite et abuse de moi. Elle tient toutes ses promesses, me traite sans considération ni respect, prend un profond plaisir sadique à m'avilir et me contraindre, et profite de mes moyens financiers pour se faire sans cesse plaisir, tandis que je n'ai droit à rien, pas même à de l'eau chaude ni à une couette.

Ce qui est monstrueux avec l'être humain, c'est que nous nous habituons à tout, y compris ce plug monstrueux qui a sans doute définitivement cassé mon cul, aux lavements profonds que je dois me faire le matin quand je me lève à 4 heures du matin, à mes couilles sans cesses plus étirées elles traînent par terre quand je marche à 4 pattes, à mon sexe qui de fait n'existe plus et n'est qu'une sorte de corde avec un prépuce froid et noir qui supporte tant de supplices, aiguilles, brûlures et écrasement. Mais surtout j'ai été dressé à faire un service impeccable en toute circonstance, à accepter l'humiliation des hommes qu'elle reçoit, comme Etienne qui vient parfois avec sa salope et qui semble très proche de Maîtresse. Salope l'initie aux pratiques crades et Maîtresse prend l'habitude de me consacrer son caviar, me dégradant de ses commentaires et de mon obéissance nauséeuse. La salope est sans doute le plus perverse avec moi mais j'avoue que je l'aime beaucoup. Je pense qu'elle est plus sadique que masochiste, et dieu sait qu'elle est masochiste!

Ma langue est le seul organe qu'il me reste pour prendre du plaisir ou en donner. Je suis émerveillé quand Maîtresse me demande de la lécher, je peux rester ainsi pendant des heures. Maîtresse a une activité sexuelle démente, elle peut jouir des dizaines de fois par jour, enchaîner les amants, avec une seule contrainte, jouir le plus possible. Maîtresse Stéphanie reste malgré tout sa complice de cœur, et elle vient souvent dormir à la maison. Quant à moi je les sers au mieux.

Je dois m'habiller, mes vêtements sont trop grands ayant perdu pas mal de poids. Je sors rarement sinon pour les courses. Marcher est si difficile avec le plug et les couilles étirées ainsi. Je suis surpris nous sommes attendus chez le chirurgien qui l'a opérée.

- Comment allez-vous? Qu'est-ce qui vous amène? (Il s'adresse cette fois-ci exclusivement à Maîtresse, il semble être très perspicace sur les relations)

- Très bien docteur, je suis tellement ravie de votre travail, je viens pour ma chienne ici présente (le médecin ne réagit pas, je rougis du décalage avec la dernière fois)

- Vous voudriez quoi?

- Déjà une vraie poitrine, et puis que vous me disiez ce que vous en pensez?

- Qu'il se déshabille

Je me lève, je repense à la dernière fois, et comme Maîtresse, je me mets intégralement nu. Le médecin marque un instant, assez estomaqué par ce qu'il voit.

- Je ne vois pas souvent des chiennes comme elle! Et pourtant j'en vois des choses vous savez, mais là! C'est vraiment intéressant (il regarde mon sexe, mes couilles, mon cul, mes marques profondes de badine ou de canne)

- Merci Docteur

- Cela fait longtemps qu'il a le cul écartelé comme cela! C'est hyper impressionnant, je pourrais presque entrer mon poing dans le trou béant!

- Oui j'entre le mien sans souci. Cela fait un mois.

- Un mois! Je pensais que vous alliez me dire 1 heure (il la regarde éberlué)

- Ah non cela fait trois mois qu'elle est dilatée ainsi, et j'ai changé pour la taille supérieure il y a un mois. Il a bien souffert le pauvre. Il faut dire qu'il est écartelé comme jamais, je pense m'arrêter là!

- Je vois, vous voulez de l'extrême, nous allons peut-être pouvoir faire des choses intéressantes.

- Vous pensez à quoi?

- Procédons dans l'ordre. Pour votre demande initiale, il a une petite poitrine déjà et vous l'avez fait maigrir c'est parfait pour moi. Compte tenu de sa morphologie, je ne dépasserais pas ce que vous avez déjà, environ 600 cc mais avec une forme plus en poire que vous.

- Elle est plus petite que moi, cela devrait être assez spectaculaire.

- Oui c'est certain. Pour les tétons, vous avez une idée?

- Oui, je vais l'anneler rapidement, j'attendais l'opération pour ce faire.

- Vous aviez bien fait, vous préférez le faire vous-même?

- Oui c'est très amusant, et j'ai déjà toutes les aiguilles pour cela!

- Vous voulez qu'on le prenne pour une fille?

- Oui la plus salope possible, Il adore les filles salopes.

- Alors nous pouvons faire pas mal de choses. Remonter ses pommettes, allonger un peu ses yeux, amincir son nez, amincir ses lèvres aussi, faire un traitement sur ses poils, repenser la plantation de ses cheveux.

- Il faut beaucoup d'opérations pour cela.

- Théoriquement oui, mais sur une chienne nous pouvons faire tout cela d'un coup, elle va déguster, mais peu importe.

- Alors parfait!

- Ensuite je pense à la glotte, et à sa voix, cela c'est très facile, elle aura une voix faible, un murmure, très féminin et sexy. Qu'en pensez-vous?

- Ce sera génial, même si en trois mois elle n'a parlé qu'aux commerçants.

- Une chose que vous devriez faire c'est marquer sa taille.

- J'ai essayé avec des corsets mais ce n'est pas adapté aux hommes

- Aux hommes non, mais aux chiennes comme celle-ci, si très bien. Voyez là je retire trois côtés de chaque côté et vous allez pouvoir lui faire une taille 34 sans souci.

- Oh cela va être génial! J'ai bien fait de venir vous voir/

- Pour les couilles et le pénis, je n'ai pas le droit d'intervenir.

- Oh ne vous inquiétez pas, cela j'ai prévu.

- Vous le faites comment?

- Comme pour les veaux : un anneau très serré à la base des couilles, un à la base de la verge. Et cela tombe tout seul.

- Oui et c'est sans grand risque. Cependant, une fois cela fait, venez me voir que je lisse tout cela, peut être lui faire un petit capuchon pour son méat, et le tour est joué, il sera parfaitement lisse, avec une cicatrice dans l'aine donc invisible.

Je n'arrive pas à penser, mais je sais qu'il ne faut pas. Que puis-je faire, je me jette à ses pieds, elle interprète cela comme un encouragement et comme une marque d'enthousiasme. Je voudrais parler, mais je sais que cela ne changera rien et surtout qu'elle me punira. Déjà elle a envoyé mon blog enrichi à une dizaine d'autres personnes, toutes aussi choquées et violentes vis-à-vis de moi. Je m'enfonce, et plus je coule plus Maîtresse irradie et éclabousse tout le monde de son assurance et de sa beauté. Les rendez-vous sont pris, le prix astronomique accepté, personne ne m'a demandé le moindre accord.

Il est 4 heures du matin, et cela fait à peu près quatre ans que j'ai été réduit en esclavage de la façon la plus violente qui soit. C'est l'heure de mon lavement quotidien et que je prépare tout dans la maison pour le réveil de Maîtresse. Je me regarde dans la glace, voir ce que je suis devenue. Je ne pense plus à moi qu'en femelle tant c'est une évidence. Le travail du chirurgien a été incroyable, et je suis une blonde platine aux gros seins, avec une taille maintenant très marquée, à la démarche à l'aise sur mes stilettos usuels. La poitrine est sublime et pèse en permanence car je porte rarement de brassière. Maîtresse me veut nue, et adore me voir si féminine et lisse entre mes jambes, puisque rien ne dépasse. En effet le chirurgien a réussi à détourner le méat pour le faire couler dans mon cul ouvert en permanence. Je pisse par le cul désormais.

Un de mes rares plaisirs est de me caresser les seins, les soupeser, tirer sur mes anneaux qui pèsent sur mes tétons, qui ont explosé en taille. Les anneaux sont très imposants et facilement visibles sous mes vêtements quand je dois sortir. Je me souviens des premières sorties pour m'habiller, c'était très érotique, sachant que absolument tout le monde me prend pour une fille appétissante. Ma peau a été régénérée et je fais 10 ans de moins. Mais je ne suis pas comestible n'ayant pas de trous vraiment accessibles : celui du cul est bien trop ouvert pour accueillir un sexe humain! Je me caresse, me trouve belle et salope, mon collier étant définitivement scellé dorénavant, soulignant que je suis une chienne soumise. Je ne pense à rien, sinon à ma Propriétaire, lui obéir, la regarder pendant des heures. Et souffrir en continu pour elle. La perte de mes attributs a été un choc, quelque chose qui ne peut revenir en arrière, alors que jusqu'alors tout était possible. Chloée est implacable rien ne la fait dévier.

Je vérifie que je suis impeccable, par acquis de conscience je serre un peu plus le corset, j'ai appris à aimer la tension dans la peau. Le plateau est complet et je monte dans la chambre de Maîtresse. Je m'agenouille avec le plateau à bout de bras, il est 8h00 précises. Je réalise d'un coup que le lit est vide, pas même utilisé. Les volets sont restés ouverts. Les vêtements de Maîtresse de la journée précédente étaient bien dans la salle de bains et je les ai déjà nettoyés. Je ne comprends pas. Je ne sais quoi faire, je n'ai jamais été confronté à ce cas de figure. Je pose le plateau, découvre sur la table de chevet tous ses bijoux et montre posés à la va vite, l'inquiétude me gagne. Le dressing est toujours rempli à craquer de toutes ses affaires, en bas ses sacs et clés sont là, comme son téléphone, la porte est déverrouillée alors que je l'ai verrouillée hier soir. Maîtresse est sortie mais n'est pas rentrée. Peut-être une envie nocturne.

Le temps passe, je suis prostré et assoiffé. Je suis habitué à m'hydrater avec l'urine de Maîtresse et là je n'ai rien bu. Je n'ai pas le droit sans autorisation, aussi je ne bouge pas. Je suis surpris que son téléphone soit là. Il reçoit de nombreuses notifications et quelques appels. Je n'ai pas le code je ne peux rien faire et je n'ose répondre. Il est 18 h mon inquiétude est au sommet, quand je vois que c'est Maîtresse Stéphanie qui appelle, je décroche. Elle m'écoute, me demande de ne pas bouger et viens me rejoindre.

Je l'attends à genoux comme il se doit, et lui expose ce que je sais. Elle déverrouille le téléphone de Maîtresse, regarde les différents messages, n'y trouve rien de particulier par rapport à son absence. Impossible de l'appeler. Nous refaisons le tour, je ne vois pas ce qui pourrait manquer. Maîtresse Stéphanie est tout aussi inquiète que moi. Etrangement elle me prend dans ses bras et me fait un gros câlin qui m'apaise énormément. Elle m'embrasse, puis me permet de la boire afin de m'hydrater, et ouvre une boîte pour mon repas du jour. Nous sommes tous deux désemparés.

C'est alors qu'elle pense à la caméra de surveillance qui est dans la sonnette de la porte. Nous allons à l'ordinateur. Elle a aussi les codes! Il me faut une seconde pour comprendre ce qui arrive. Je m'effondre intérieurement, les larmes me viennent au visage. Je ne sais pas ce que je pleure, je crois que c'est pour Chloée. Nous le voyons sortir, fermer doucement la porte, se retourner vers la maison le visage impassible, puis sortir par la grille et disparaître. Ce qui me fait tout deviner c'est qu'elle porte les affaires qu'elle avait la première fois que je l'ai vue sur son matelas. Avec le même regard absent, seule la coupe des cheveux, et bien entendu sa poitrine, ont changé. Chloée est repartie là où elle était, nous abandonnant ainsi, sans doute sans même savoir ce qu'elle quittait.

Stéphanie ne connaissait pas les détails de notre rencontre. Je la vois aussi attristée que moi, ayant développé un amour intense avec Chloée. Je sais que ma Maîtresse n'est plus. Je suis hébété. Les jours suivant je sillonne le quartier en espérant la retrouver sur un matelas, en vain bien entendu. Maîtresse Stéphanie me propose de venir à son service, mais nous savons que cela ne peut être possible et que le souvenir de Chloée va nous hanter encore plus. Je garde tout le même rythme, les mêmes règles ou presque. Cela n'a pas beaucoup de sens, mais je veux croire à quelque chose.

Chaque jour je vais prendre le thé dans un café lesbien qui vient d'ouvrir sur la rive gauche. L'ambiance y est extraordinairement sereine, beaucoup de femmes qui y viennent ne sont pas lesbiennes mais se retrouver entre femmes est un vrai soulagement. Je repense à toutes les réflexions contre les hommes que Chloée et Stéphanie ont pu échanger. Je perds rapidement ma culpabilité, personne ne doute de ma féminité, il est vrai très ostentatoire. Je porte toujours une écharpe, je ne veux pas choquer. Rapidement je deviens amie avec Irène la tenancière, et cela me fait un peu de bien d'échanger. Toujours aussi contrainte, je ne perds pas de vue mon statut et je reste très discrète, et je ne lève pas les yeux sur les autres femmes.

Irène m'indique qu'une femme voudrait faire ma connaissance. Je suis gênée, mais j'accepte. Elle doit avoir 45 ans, blonde aux cheveux fins, une allure très stricte, elle ne semble pas habituée à sourire. Elle m'apprend qu'elle connaît Irène depuis longtemps et que celle-ci m'a signalée à elle. Je ne dis rien, je reste à son écoute. Elle semble apprécier. Elle me demande si j'ai des attaches, un travail, une famille. A mes réponses négatives je sens qu'elle apprécie. Elle ne me pose aucune question sur mon passé, me demande si j'accepte de descendre dans le back room avec elle? Je n'y suis jamais allée, mais oui bien entendu. J'ai tellement l'habitude d'obéir, rien ne me freine.

Elle me fait alors déshabiller devant elle qui reste assise à me regarder froidement, nous ne sommes pas seule et rapidement les autres femmes me découvrent. Le collier pour commencer qui allume une étincelle dans le regard de mon inconnue. Elle ne pose pas de question, mais semble apprécier. Quand j'enlève mon pull en coton, elle découvre ma lourde poitrine libre sans soutien-gorge, annelée et avec des tatouages qui sont très explicites de mon statut d'esclave. Le corset en cache d'autre. Elle vient mesurer la tension du corset, et apprécie la finesse de ma taille. Mes bas y sont attachés. Elle caresse mes seins doucement, tire sur les anneaux, doucement, puis plus férocement, en plantant ses yeux dans les miens. Je ne dis rien, je relève le buste qu'elle sente que je m'offre et ne me défile pas.

Sa main remonte sur mon cou, je a sens qui m'enserre au-dessus du collier, je ne dis rien quand elle coupe ma respiration. Là aussi je m'offre. Quand je baisse ma jupe, les exclamations fusent, et même elle est interloquée de découvrir mon pubis totalement lisse de tout organe sexuel, orné d'un magnifique triskel indiquant que je suis une esclave. Je réalise alors qu'aucunn des nombreux tatouages que je porte n'est au nom de Chloée, c'est chaque fois ma condition qui est mise en avant. Quant à mon autre trou, en fait le seul, les commentaires fusent. C'est vrai que la première fois cela fait une sensation incroyable. J'entends les termes de nullifiée, et toutes les femmes présentes ne doutent pas une seconde que je suis du même sexe de naissance qu'elles. J'en suis bêtement fière.

Elle me fait tourner sur moi-même, pencher en avant malgré mes très hauts talons, suit du doigt quelques cicatrices que je porte. M'ausculte sous tous les angles, soupèse mes seins, étire puis pince mes tétons au sang sans que je ne cille. Puis me fait mettre à genoux et commence à me gifler. Plusieurs filles remontent, allergiques à la violence. J'offre mon visage à ses coups, soulagée de les recevoir. Elle semble étonnée de ma réaction, et frappe encore plus fort malgré mes larmes.