Chloée, jeune femme très obéissante

BÊTA PUBLIQUE

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C'est une Chloée toute changée que je retrouve après un mois enfermée dans son soutien-gorge renforcé, le temps de la cicatrisation. Elle ne s'est pas plainte une seule fois et maintenant admire sa plastique dans le miroir. Jamais avant elle n'avait même jeté un œil! Il a fallu changer une bonne partie de sa garde-robe, car avec un bonnet E, plus rien ne va, il a fallu passer d'un 38 au 40 sur bien des robes. Ses décolletés sont vertigineux et elle s'ingénie à les travailler pour qu'ils soient le plus affolants possibles. Elle a bien compris que je la veux la plus salope possible. Lorsqu'elle sort sans soutien, nous ne sommes pas loin de l'émeute, et elle adore cela. Où est donc passé ma petite hirondelle blessée et peureuse? Il faut dire que le travail du chirurgien a été incroyable. Elle a effectivement deux véritables obus, qui tombent naturellement sous leur poids. La sensation est douce et loin de celle habituelle des poitrines refaites, et l'émotion qu'elle génère est torride.

Je prends un plaisir fou à la caresser, l'embrasser, malaxer cette poitrine, parfois à la battre juste avec la canne, sentir comme elle me l'offre. Mais notre relation a évolué, de façon hyper subtile car Chloée est toujours aussi obéissante et offerte, mais son regard est légèrement différent. D'abord il n'est plus tourné que vers moi, mais vers elle aussi, comme si elle prenait conscience de son propre corps, de sa propre empreinte. Ensuite elle me regarde bien plus franchement, souvent avec l'air amusée, sans jamais me juger et se pliant à toutes mes demandes mêmes les plus folles. Mon regard à moi aussi évolue, je la trouve sublime et plus elle s'affirme plus je la trouve magnifique. Je me dis qu'un jour ou l'autre je vais la perdre. Je suis partagé entre la joie de la voir ainsi, et la peur de retourner dans cette solitude que je chérissais tant.

Celle qui a trouvé la clé de l'explication c'est Stéphanie. Lorsqu'elle a vu Chloée, elle a été scotchée :

- Jérôme, tu as terminé ce que la nature n'avait pas pu faire! Chloée est magnifique, elle est parfaite

Chloée lui avait souri et Stéphanie a remarqué aussi ce changement de regard en elle, s'amusant de son évolution en une année depuis que nous les fréquentons. Elle remarque aussi que je suis bien moins dur avec elle, même si Chloée s'offre tout autant. Il est vrai que je reste fasciné par ce que son esclave vit, et la façon dont Stéphanie le traite. Je sais qu'ils ne sont pas en représentation et que leur vie est toujours ainsi. Il est tellement rampant, terrorisé mais en adoration devant elle, qui le maltraite, le rabroue, l'humilie et se fait baiser par la terre entière, moi en l'occurrence, alors qu'il n'a pas eu d'orgasme depuis 6 ans maintenant, et que probablement cela n'arrivera plus jamais. Cette idée me bouleverse et me fait jouir de façon folle.

Nous sommes allongés, Chloée sur moi, sa lourde poitrine appuyant sur mon torse, j'adore tant la caresser, tandis qu'elle me masse doucement mon sexe épuisé par notre soirée et les émotions.

- Vous êtes très attiré par Stéphanie

- Oui c'est vrai, tu es jalouse?

- Oh non, (Chloée rit)

- Je trouve sa relation avec son esclave assez fascinante

- Vous aimez ce côté extrême?

- Oui

- Mais pourquoi alors ne pas me l'imposer et être ainsi aussi dur avec moi?

- J'en suis incapable, l'idée m'excite mais je ne saurais l'imposer, je tiens trop à toi

- Je sais (Chloée rit encore). Et le vivre?

- Être un esclave absolu?

- Oui

- Tu aimerais me dominer? (je ne lui dis pas que j'ai toujours rêvé d'une relation extrême et folle et c'est la raison pour laquelle j'ai arrêté d'être soumis faute de trouver une Femme le désirant)

- Oui si vous avez envie

- Ce ne serait pas étrange tu trouves? Déstabilisant?

- Pourquoi? Je ne ferai que continuer à vous obéir

- Oui c'est vrai

- Vous avez déjà été soumis?

Je ne lui en avais jamais parlé. Chloée est tellement ouverte d'esprit et j'ai le sentiment que rien de ce que je pourrais dire ou faire ne changerait sont état d'esprit me concernant. Je lui décris mes premières années dans cet univers, mes différentes Maîtresses, mes déceptions, ma volonté de me consacrer aux femmes, puis de devenir dominant, ne trouvant pas l'absolu, l'excès que je cherche. Je me livre vraiment à nu, c'est agréable comme elle m'écoute.

- Quand vous dominez vous êtes en fait soumis au désir de soumission de votre soumise

- Oui (cette fois c'est moi qui rit)

- Oui je comprends et je vois bien cela

- Cela t'ennuie?

- Oh non au contraire. Vous aimeriez vous soumettre pour un soir.

- Cela pourrait être amusant.

- Carte blanche pour moi juste pour la soirée? Je vous donne un petit aperçu du plaisir que vous pourriez prendre.

- Tu saurais?

- Je vais lire vos livres, je n'avais pas encore ouvert ceux sur la domination féminine.

- Mes livres... Oui pourquoi pas en effet.

- Samedi prochain?

- Oui ma chose

- Vous savez que vous êtes tout dur et prêt à jouir?

- Tu es terrible, allez vient m'avaler.

Sa bouche remplace sa main et je jouis si vite en elle, elle avait bien raison. Je sombre dans le sommeil avec une boule dans le ventre. Je la connais bien cette boule. Le désir absolu. J'ai un peu peur de tout perdre quand même.

La semaine s'est écoulée comme d'habitude, mais sans sortie cette fois ci. Le samedi Chloée m'annonce qu'elle s'absente toute la journée. Je comprends que les rôles ont basculé jusqu'à cette nuit, car elle ne prend jamais d'initiative. Je me demande comment elle va faire. Elle a une carte bancaire avec l'identité qui est la sienne, celle de ma fille, et je la vois partir curieux. J'essaie de ne pas imaginer, j'ai été si souvent déçu, ce que j'imaginais était bien plus fort que la réalité.

A 18h, je reçois un SMS ordonnant de me nettoyer complètement, puis de l'attendre nu et à genoux dans l'entrée. Je dois bien connaître les règles donc punition à chaque manquement. Mon sexe trahit mon excitation. Je me fait un lavement rapide, je me rase, décide de raser aussi les poils de mon sexe, de mes couilles et de mon anus, cela devrait lui plaire. Puis je l'attends ne sachant à quelle heure elle va arriver. Je suis surpris, arrivant bien à coller cette image dominatrice à Chloée.

Je n'attends pas très longtemps et c'est incrédule que je la vois rentrer. Je la reconnais à peine, vraiment. Ses cheveux sont ramenés en arrière et plaqués, teints en noir. Elle est maquillée aussi en noir, faisant ressortir ses yeux clairs. Son rouge à lèvre est noir aussi, elle est terriblement impressionnante et surtout complètement incarnée. Elle dégage une assurance, une force, aucun doute c'est la plus pure Maîtresse qu'il m'ait été donné de voir. Elle porte une veste en cuir noir ajustée sur un débardeur en cuir noir aussi, mettant en valeur ses épaules carrées et sa poitrine fantastique, avec une jupe en cuir assortie et des bottes à haut talon. C'est une vision parfaite et incroyable. J'aurais pensé à un sourire de sa part d'apparaître ainsi, au lieu de quoi je reçois un coup de botte à toute volée sur mes bourses offertes, m'envoyant au sol, en criant de douleur.

- Comment oses tu lever le regard sur moi? Tu n'as donc rien compris quand je t'ai dit de respecter les règles?

- Je vous demande humblement de m'excuser.

- Je ne suis pas ta chienne parle-moi correctement.

- Je vous demande humblement de bien vouloir m'excuser Maîtresse

- C'est mieux ma chienne. Allez vient, nous n'avons pas beaucoup de temps avant nos invités.

J'ai un peu de mal à croire qu'elle joue. En tous cas elle est merveilleuse et parfaite, j'avoue être en adoration devant son image. Quelle femme! J'avais bien pensé qu'elle inviterait Stéphanie, c'est assez logique. C'est très excitant, mais j'ai une certaine appréhension quand même, est ce qu'elle comprendra que ce n'est qu'un jeu. Je me surprends surtout à basculer dans l'obéissance sans réfléchir, ni hésiter, je sais bien que c'est ma nature profonde. Et j'avoue qu'entre les mains de Chloée il y a un côté étrange tant elle est différente, sure d'elle-même et puissante.

Dans mes jouets j'ai tout un compartiment réservé à mes plaisirs masochistes solitaires. Chloée a tout fouillé et sorti ce qui lui plaît. Soit une poche garnie de milles pointes acérées dans laquelle elle enferme mon sexe sans ménagement. La douleur est immense, chaque mouvement fait pénétrer les pointes. Mais j'adore cette contrainte, et surtout ses mains qui s'occupent de moi avec fermeté. Par provocation mais aussi par désir, je lève le regard sur elle affairée. La réaction ne se fait pas attendre, elle serre mes couilles et les écrase entre ses doigts, me faisant hurler. Elle n'arrête qu'après plusieurs minutes de supplication. Cette fois ci j'ai bien compris!

Pour compléter, laisse et collier de rigueur, qu'elle serre bien trop fort, la sensation est un peu paniquante. Sans surprise je me mets à 4 pattes et elle prend un temps et un plaisir partagé infini à m'ouvrir et me remplir d'un plug en verre, certes impressionnant, mais très confortable. Deux pinces aux seins et je suis prêt à servir. Elle m'inspecte, me fait descendre du matériel au salon, puis me fait enfiler des bas avec ceinture intégrée, laissant mon sexe et mon cul bien disponible. J'adore cette sensation, à la fois la douceur de la soie, mais aussi de me sentir suspendu. Elle a trouvé des chaussures à talon que je me suis achetées il y a quelques années, et je me retrouve perché dessus, hésitant. Elle est sur ses bottes avec près de 15 centimètres de talon et continue de me dépasser allègrement malgré mes escarpins. Je n'ai même pas eu une remarque sur mon rasage, je suis un peu vexé.

Chloée va ouvrir, tandis que j'attends à genoux sur le parquet la tête baissée. Je suis surpris par les voix inconnues, je me suis trompé. Chloée n'a pas invité Stéphanie, mais un Maître avec sa soumise. Etienne est dans la quarantaine grisonnante, assez sérieux en costume gris, il tient en laisse une jeune femme de peut être 25 ans qui me fait l'effet d'une salope. Et c'est ainsi qu'il l'appelle. Elle n'est pas grosse mais ronde, avec une poitrine dense et ferme qui déborde de son corsage, un visage qui invite à la baiser. Je ne sais pas pourquoi je pense cela, mais immédiatement mon sexe s'est mis à bander, et avec les aiguilles, je souffre le martyr. Elle est vraiment très chaude, c'est incroyable.

Ils ne se connaissent pas avec Chloée, elle les a trouvés sur Internet! Il a l'air très sympa et finalement ne se prend pas très au sérieux. De façon évidente il trouve Chloée très à son goût mais sans non plus chercher à lui sauter dessus. Sa soumise s'installe à ses pieds tandis que je fais le service pour les dominants seulement. Un bol d'eau pour la salope, c'est lui qui l'appelle ainsi, et pour moi, la chienne. Les deux parlent tranquillement, Chloée lui raconte tout mon parcours, mes désirs sans aucune pudeur, je me sens mis à nu. J'apprends aussi que la salope est une vraie salope, qui adore le crade, et qui cherche sans cesse à aller plus loin dans l'abjection. Et que lui est un peu dépassé par elle, c'est finalement elle qui mène la relation. Chloée dit que c'était la même chose quand je la dominais. Cela me fait frissonner, comme si c'était déjà du passé!

Une fois le service fait, Chloée nous fait pénétrer tous les deux dans la cage à chien que j'ai, pas petite, mais nous sommes vite serrés et le contact avec la jeune femme est électrisant. Sans plus se soucier de nous, Etienne et Chloée montent mieux se connaître! J'ai un pincement au cœur, car cette fois-ci je n'ai rien contrôlé ni prévu. Mais vite oublié par le contact avec la salope qui s'active à me toucher, à me faire bander malgré mon sac douloureux. Je l'embrasse en ayant l'impression d'embrasser une pissotière, c'est troublant et cela m'excite. J'apprends plus tard qu'elle a fait une pipe à deux clodos en arrivant! Mes doigts s'égarent dans ses trous accueillant et distendus et elle jouit plusieurs fois de notre inconfort et de nos langues mêlées. J'arrive à jouir dans des douleurs atroces qui me font hurler, mélange de plaisir et de souffrance, j'en pleure presque. La salope s'amuse à me masser le paquet, c'est une vraie perverse. En retour j'enfonce mon poing dans son cul, mais je crois qu'elle apprécie!

Quand Chloée en redescendant nous voit, son air affable disparaît complètement et c'est d'une voix froide et sourde qu'elle nous ordonne de sortir de la cage. Je suis couché et menotté dessus et elle ordonne à la salope de me fouetter jusqu'à ce que le sang coule! Hein? Mais non! Mais je ne dis rien. Un bâillon vient vite étouffer mes cris alors que je me fais massacrer par la jeune femme qui s'y connaît c'est certain. Chloée se fait lécher par Etienne en buvant du champagne, souriant de la situation qu'elle contrôle.

Une fois le sang coulé, en griffant les marques de ses ongles, la salope prend un gode ceinture assez impressionnant et vient me le faire lécher. Elle retire d'un coup mon gode, le lèche devant moi avec appétit, je suis écœuré. Je suis détaché et à 4 pattes, je suce Etienne tandis que je sens mon anus se faire distendre par ce gode qu'elle manie avec douceur, heureusement. Il s'enfonce sans fin en moi, vient buter au fond de mon ventre, je n'émets que des borborygmes, le sexe du Maître enfoncé jusqu'à la gorge. Chloée alterne des caresses masturbatoires et des orgasmes avec des photos qu'elle s'amuse à prendre. La jeune femme est insatiable et je me fais ramoner pendant des heures, je crie pitié mais tout le monde s'en moque, ou plutôt se moque de moi. Les Maîtres en sont à leur deuxième bouteille de champagne, et notre eau a laissé la place à leur pisse que nous avalons avec délectation avec la salope, nous embrassant goulument. Le gode est maculé de traces que la salope lèche avec application et plaisir, avant de faire autant de mon cul. Chloée m'ordonne de l'embrasser longuement, je suis humilié, dégouté, mais mon sexe m'indique que j'adore cela. Il doit être en sang tant sa poche est étroite et piquante.

A genoux aux pieds de la jeune femme, je la bois, ou du moins j'essaie tandis qu'elle me pisse dessus. Chloée a peu participé mais a été l'ordonnatrice, et je la sens vraiment jouir de la situation. Elle n'aurait qu'à claquer des doigts pour que Etienne rampe à ses pieds. Nous sommes épuisés, les deux soumis aux pieds de leur Maître, Chloée masse mon sexe négligemment, comme si elle n'avait pas une conscience de la souffrance terrible qu'elle m'inflige, se nourrissant simplement de mes gémissement répétés et attendant de moi que je m'offre plus encore à sa torture. Avant de partir, elle leur propose un concours. Les trois ont chacun droit à trois coup de pied dans mes bourses, je devrais ensuite dire lequel a été le plus efficace. Où est-elle allé chercher cela?

La salope est la première à tirer. Elle est en bottine à talon, et prend un bon élan avec son pied. Cette fille est très dangereuse. Le coup m'envoie au tapis, tellement il est violent pas si douloureux, mais trop violent. Les deux suivants sont pareils. Je tremble de peur, je voudrais supplier, je n'ose pas. Etienne est plus précis, c'est douloureux et supportable. Chloée m'observe longuement, et avec ses longues jambes me décoche un coup très précis, la douleur monte au ventre, je retiens une régurgitation, et m'écroule en pleurant. Pourtant sans qu'un mot ne soit dit, je me remets en position. Au troisième coup, je rampe à ses pieds pour la remercier, tout le monde a compris qui a gagné.

On se promet de se revoir, Chloée me fait relever, le jeu est fini, j'embrasse une dernière fois la salope qui ne se retient pas de serrer mes couilles, j'adore cette fille. Douché et rafraichis, je suis allongé la tête entre les seins de Chloée, j'ai retrouvé ma soumise toute tendre et affectueuse.

- Merci ma Chloée, tu as été merveilleuse

- C'est bien ce que vous vouliez?

- Oui c'était très chouette et ce couple est vraiment sympa!

- J'ai vu comme la salope vous faisait de l'effet, j'étais un peu jalouse!

- Oh non, tu es trop merveilleuse.

- C'est cela dont vous rêviez alors?

- Oui c'était si fort et tu étais tellement dans le rôle.

- Mais? Je sens que vous vouliez plus je me trompe?

- Là c'est une séance, un jeu, tu t'es prêtée à ce que j'espérais. Mais mon rêve a toujours été d'être pris en main par une Maîtresse impitoyable, cruelle, sans aucune empathie ni respect, qui me brise e fasse de moi ce qu'elle veut. Tu comprends? Que son plaisir ne soit pas le mien, et que je souffre justement de son plaisir et de sa perversité.

- Vous avez envie d'aller jusque là? C'est comme Stéphanie et son mari

- Oui voire encore plus loin?

- Comment c'est possible?

- Un vrai non consentement, avec l'envie de détruire, de faire mal, de me briser pour me dresser à ce qu'elle voudrait, quelque chose d'extrêmement violent et destructeur.

- Et vous voudriez cela?

- Je te déçois?

- Oh non pas du tout, j'ai adoré ce soir, et je vous serai toujours obéissante, mais si vous avez envie de cela, est ce que je pourrais être cette femme?

- Il faudrait justement que tu n'obéisses plus à mes demandes, mais fasse comme tu veux. Et cela je ne sais pas.

- Je sens comme vous vibrez, c'est vraiment cela que vous voulez vivre.

- Disons que tu m'as ouvert une sacrée porte avec cette soirée, je suis encore plein d'émotion. Et c'est vrai que cela me fait trembler de fébrilité. J'ai adoré ce soir.

- Vous m'avez trouvée belle?

- Oh mon dieu, je n'ai pas de mot, tu étais sublime.

- Vous croyez que vous pourriez entrer en dévotion devant moi?

- Par ta beauté seule, non, mais si tu es dure, impitoyable, inaccessible, perverse et sadique, oui je pense. Même si je t'ai trouvé incroyablement impressionnante aujourd'hui, je n'avais pas le sentiment que tu jouais du tout et je n'en menais pas large.

- Je ne jouais pas, je me suis lâché, enfin un peu. Je crois que je peux le faire bien plus. C'est très paradoxal que de vénérer la personne qui vous fait autant de mal.

- Oui je crois que mes circuits ont été montés à l'envers. Tu pourrais te lâcher bien plus?

- J'aimerais vous offrir cette vie, peut être pouvez-vous me laisser quelques jours y réfléchir? Je crois aussi que vous avoir à mes pieds me plaît beaucoup.

- J'ai très peur tu sais, je ne veux pas te perdre.

- Vous ne pouvez pas me perdre, et vous m'ouvrez de nouveaux horizons.

Elle saisit mon sexe qui bande comme jamais et me conduit en elle. Son regard est intense, si loin de la Chloèe que j'ai découverte il y a un an. Elle est si chaude, si douce. Sa poitrine m'électrise autant que d'avoir ravivé ces désirs que j'avais refoulés profondément. Elle me pince les tétons et je jouis en elle en hurlant mon plaisir. Elle me serre fort avec ses jambes.

- Tu as toujours ce désir même après avoir joui?

- Oui sinon même plus intense. J'ai tellement envie de toi. L'orgasme ne m'a rassasié en rien.

- D'accord. Moi je suis prête à te combler et plus encore. Profite de ta dernière nuit de liberté. Je veux que tu prépares un texte demain pour ton entrée en esclavage que je veux enregistrer. Si je suis satisfaite j'accéderai à ton désir.

- Et sinon?

- Sinon je partirai. Mais je suis certaine que cela n'arrivera pas!

Je n'ai pas trop profité de ma dernière nuit de liberté comme elle dit. Je suis d'une nervosité incroyable, mon cerveau tourne en boucle, je n'arrive pas à avoir une pensée claire. Je refais dix fois le texte que je voudrais dire, Chloée m'a donné des instructions. C'est bizarre mais avec Chloée je prends sa menace de partir au sérieux. Même si deux minutes avant elle me dit que je ne peux pas la perdre, je crois que si je la décevais autant, rien ne la retient vraiment. De toute façon maintenant les dés sont jetés. Il ne faut pas que je me défile alors que je touche au but de ce dont j'ai toujours rêvé sans jamais oser vraiment l'exprimer. Je me demande si je n'ai pas fait une énorme connerie. Je me suis laissé emporté de fil en aiguille sans trop mesuré ce dans quoi j'allais.