Chloée, jeune femme très obéissante

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Je suis intégralement nu, à genoux sur un bâton qui me torture les genoux écartés. Je fais face à la caméra qui renvoie mon image sur la grande télévision du salon à côté de moi. Je me sens rempli d'humilité, à ma place et prêt à m'offrir à Chloée sublime à mes côtés. Je sursaute quand la sonnette retentit. Les bottes à talon aiguille font un bruit magique sur le parquet quand elle va ouvrir, Stéphanie est de la partie cette fois-ci.

- Mon Dieu Chloée, tu es absolument sublime! Quel homme ne ramperait pas à tes pieds?

- Venant de toi ce n'est pas rien! (Chloée est à la fois radieuse mais aussi très concentrée. Elle s'est habillée comme hier soir, et je la trouve encore plus impressionnante, assurée et pleine de force, me sentant moi alors plus vulnérable). Et ton esclave? Il n'est pas là?

- Oh je n'avais pas envie de lui ce soir, juste me consacrer à toi. Je l'ai enfermé dans le coffre de la voiture. Rassure-toi il a de quoi bien s'amuser, je l'ai rempli d'un nouveau gode extra large, je pense qu'il va déguster.

- Il a tellement de chance de t'avoir!

- Et ton esclave alors?

- Pas encore, j'attends sa déclaration, et je voulais que tu sois témoin. Je te dois bien cela!

- Tu ne me dois rien, mais je suis ravie d'y assister. Je savais que c'était un minable et qu'il ne te méritait pas. Je suis bien contente que tu l'aies mis à sa place.

- Il y est venu tout seul, je n'ai pas fait grand-chose. Même si cela me convient parfaitement, je lui reste très obéissante! (Les deux femmes partent d'un éclat de rire, je me sens humilié. Mais n'est-ce pas la vérité et ce que je désirais le plus au monde? Mon égo a encore du chemin à faire). Bien Jérôme c'est à toi, le téléphone t'enregistre en 4K, nous sommes toutes ouïes.

J'ai été bien mis en condition, à dire vrai je souffre déjà le martyre avec mes genoux, mais je dois oublier la souffrance et je me lance sans filet. J'en ai toujours fait trop!

- Je m'appelle Jérôme Soignard, je suis né le 14 février 1972 à Mont de Marsan, voici ma carte d'identité qui illustre bien qui je suis. Je parle ici libre de toute contrainte pour exprimer mon désir le plus cher de devenir l'esclave de Chloée, ici présente. Être son esclave c'est ne plus exister que par et pour elle, ne plus rien posséder et que tous mes actifs lui soient transférés, que je sois d'une absolue obéissance, traité comme l'esclave que je suis avec mépris, sans pitié ni respect, vivant dans la contrainte permanente qu'elle décidera de m'infliger en fonction de son bon plaisir. Mon seul plaisir n'est dorénavant plus que le sien et il n'y a aucune limite à ce qu'elle peut faire ou exiger de moi. Tous les abus, tous les excès, toutes les humiliations seront autant de cadeaux qui développeront ma dévotion et mon désir d'elle. En devenant son esclave, je perds absolument tous les droits, ne vivant plus que dans le devoir. Je comprends qu'à ses yeux je ne suis plus qu'un animal domestique dont elle fait l'usage qui lui convient. Je m'engage à ne plus penser et agir que par elle et pour elle, à me plier à toutes les règles qu'elle m'imposera et à assumer ma position si tel est son souhait.

Je me sens curieusement soulagé d'avoir dit tout cela d'une traite. Chloée est venue se présenter à moi et j'ai baisé ses pieds avec ferveur. Malgré la souffrance dingue dans mes genoux. Elle s'absente, montant au bureau et me laissant avec Maîtresse Stéphanie. Je comprends que je suis accepté comme esclave. Plus rien ne compte, je ne contrôle plus rien.

Maîtresse Stéphanie se poste devant moi, m'oblige à baiser ses chaussures malgré l'atroce douleur qui vrille mes genoux.

- C'est bon de te voir ainsi la chienne bien à ta place. Si tu lèves les yeux sur moi j'arrache une de tes couilles. De même si tu émets un son sans autorisation. C'est ton désir, je l'ai bien entendu, tu es encore pire que mon esclave.

- Cela dit je ne suis pas très surprise tu sais. Dès le premier soir de notre rencontre je l'ai dit à Chloée, que tu n'étais pas dominant. Tu le sais bien que tu n'as jamais été dominant, tu étais juste à sa disponibilité pour la rassurer et la faire grandir! Mais que tu sois aussi salope et femelle, cela est plus inattendu. Et amusant. Je crois que tu n'as pas idée des plans de ta propriétaire.

- Chloée m'a dit qu'elle t'obéissait, qu'il fallait simplement que cela vienne de toi. Et tu l'as servie sur un plateau, en plus dans une relation non consensuelle en lui disant de ne jamais écouté ce que tu pouvais vouloir. Tu l'as libérée de son obéissance, c'est trop drôle, pour le pire pour toi. Mais cela te plaît apparemment, regarde comme tu bandes alors que je mets tes tétons en sang.

- - Profite de bander et bien bander, je crois que tu n'en as plus pour très longtemps du tout.

- Tu sais Chloée est une jeune femme étonnante, magnifique et fascinante bien sur, mais aussi très appliquée, sérieuse dans tout ce qu'elle fait. Et elle t'a construit une relation où tu n'auras aucun moyen de t'échapper. Tu vas ramper, souffrir, vivre dans la peur de lui déplaire à chaque instant. Tu n'auras même plus le temp de penser à ta vie d'avant et à tes pulsions masochistes.

- Je lui ai donné beaucoup de conseils, mais moi qui suis dans une relation des plus extrêmes avec mon esclave, elle me dépasse largement. Tu vas voir cela tout de suite. Sais-tu ce qu'elle fait pendant que nous devisons femelle?

- Non Maîtresse?

- Nous allons l'attendre, elle va te présenter son travail. Elle est très inventive. J'ai hâte de la voir te briser et toi regretter, supplier et gémir.

La souffrance dans mes genoux puis mes tétons qu'elle continue de massacrer, provoquant des gémissements mélange de plaisir et de douleur, m'empêche de bien réfléchir et comprendre tout ce qu'elle me dit. Ce que je retiens c'est que je suis bien dans la relation dont je rêvais, mais j'ai le sentiment que c'était planifié du côté de Chloée. Comment cela serait-il possible, je sais bien que tout est venu de moi et surtout tout était en moi depuis le début. Je me dis quand même que je ne contrôle plus rien et que Maîtresse Stéphaie soit impressionnée me fait particulièrement peur.

Quand elle descend Chloée irradie, je la sens pleine de puissance et d'une beauté incroyable. Je n'ose la regarder de peur d'être battu, mais je sens son regard intense sur moi. Les deux femmes s'embrassent tendrement, Stéphanie la félicite.

- Tu as assez souffert, tu peux descendre du bâton.

- Merci

- Non seulement tu as parlé sans y être autorisé, tu remontes pour 10 minutes, et sans m'appeler Maîtresse. Tu auras 10 minutes de plus. Tu vas vite apprendre ta place chienne.

Je suis mortifié. Je ne songe même pas à protester. Ce qui m'impressionne le plus c'est la voix de Maîtresse. Calme et posée, elle ne s'énerve pas et cela me fait encore plus peur. La souffrance est atroce mais je ne dis rien, j'ai compris.

- Bien il faut te rappeler les basiques, faisons le et je vais te dresser durement si c'est nécessaire. Le principe que j'applique est la punition disproportionnée. Là comme tu commences j'ai été gentille, mais les punitions seront mémorables pour que tu t'en souviennes en tremblant.

- Tu ne parles pas, jamais. Ce que tu penses ou dis m'indiffère. Si tu as quelqueschose à dire, tu le gardes pour toi, en toutes circonstances. Tu ne fais rien qui ne t'aies été autorisé de façon explicite. Tu as le droit, et même le devoir de me regarder en permanence, te remplir de ma beauté inaccessible dorénavant pour toi. J'espère que tu as bien profité de ton orgasme hier, c'était le dernier. Tu vas vite voir pourquoi. (Oh mon Dieu, c'est vrai que c'est mon fantasme, mais j'ai tellement, tellement envie d'elle à cet instant, je crois que mon sexe va exploser! Et tout ceci devant Maîtresse Stéphanie dont j'entends le rire. Je pense à son esclave enfermé depuis longtemps maintenant.)

- Mais tu ne soutiens pas mon regard c'est une évidence.

- Tu es trop gros et une chienne n'a droit qu'à une gamelle par jour, cela va vite te faire du bien, je veux être fière de ma chienne. Tu manges tout ce que je mets dans ta gamelle, sans une réflexion.

- Pour le reste je vais t'indiquer mes choix et désir au fur et à mesure. J'attends un service exceptionnel, que tu sois uniquement tourné vers moi, que tu m'offres ta souffrance comme tu aimes tant cela.

- (son ton devient plus dur et coupant) Tu te rends compte de ce que tu as fait de moi. J'étais perdue, seule, sans identité, et tu as largement abusé de moi, tu m'as contrainte, battue, faite souffrir, j'ai même du endurer une chirurgie pour toi! Tu es un être minable, tu n'as pensé qu'à ton petit plaisir de Maîtraillon méprisable, alors que tu n'es qu'une lope soumise, tu n'avais aucun droit sur moi. Comme un con tu es venu te livrer à moi, tu veux du non consensuel, que je fasse de toi ce que je veux, tu vas être servi. Et au moins tu ne vas plus jamais pervertir de femmes comme tu as pu le faire. J'ai lu et vu ce que tu pouvais faire, c'est ignoble.

- Tu voulais pire que Stéphanie et son mari, pas de doute tu vas être servi. Stéphanie elle aime son mari, moi je veux juste te briser et te rendre au centuple ce que tu m'as donné, et ce que tu as pu faire à tes autres proies. Je n'ai jamais été dupe, et Stéphanie le sait bien.

Je me sens mal d'un coup. Je croyais qu'elle était pleinement contente de ce qu'elle vivait. Je comprends à quel point j'ai été aveuglé, qu'elle n'a fait cela que pour me faire plaisir. Je baisse la tête, humilié, juste rempli de ma souffrance dans les genoux. J'ai envie de pleurer, où est ma douce Chloée. Je la voulais Maîtresse intraitable, mais aussi tendre et chaleureuse. Mais c'est incompatible. Je n'ai que ce que je voulais. Je laisse faire, on verra bien, il sera toujours temps de mettre un stop.

- Lorsque tu as demandé une telle relation, tu n'as pas pensé à mettre une date limite, une règle pour que cela s'arrête. C'est une situation définitive, et un retour en arrière est absolument impossible. J'ai beaucoup travaillé sur ce point, tu vas voir. J'ai créé un blog à ton nom propre! Il y a déjà plein de choses dessus, regarde sur la télévision, je l'ai branché. Déjà à ton nom ainsi mois après mois il va remonter tout seul en première place dans les recherches.

- Regarde les photos, tu as celles de la soirée d'hier, quand tu es joliment travestie, que tu te fais défoncer par la salope et par son Maître. Là tu la bois, on voit bien que tu adores cela. Oh et là la salope partage avec toi ton gode tout sale, que tu le lèches, tu l'avais oublié?

- Il y a ausse la vidéo que tu viens de faire, avec sa retranscriptions, comme cela il n'y a aucun doute de qui tu es. Il y a une photocopie de ta carte d'identité, ton numéro de téléphone, c'est fantastiques, tu rêvais que cela soit assumé, non? Je ne me trompe pas, je le sais bien.

- Et tu vois j'ai aussi ton carnet d'adresse, avec tout le monde. Tu dis avoir coupé tous les ponts, mais imagine que tes enfants, tes ex, tes relations professionnelles reçoivent une copie de ce site, tu es certain que cela t'es égal? On verra bien le moment venu. Tu vois, je ne fais que réaliser tes fantasmes.

- Oh Maîtresse, s'il vous plaît, ce n'est pas possible (je suis hébété, je lui faisais confiance, pourquoi cela, même si c'est un bluff cela me fait peur.

Je reçois un coup de pied dans mes couilles offertes, je ne vois plus rien pendant une ou deux minutes, je halète. La voix de Chloée est toujours aussi calme.

- Quand je te dis que tu ne parles pas, qu'est-ce que tu ne comprends pas?

- Tu penses que c'est un jeu? Que je bluffe? Stéphanie, donne-moi un coup de main, choisis trois noms dans la liste de ses 543 contacts.

Avec horreur je vois Chloée rédiger un mail à trois contacts, dont deux me sont peu connus, mais un est une relation professionnelle proche, les invitant à regarder mon blog personnel à me donner leurs avis, et leur proposant de participer si cela les tentait. Sans hésiter elle envoie les mails, il est encore temps de les annuler, mais elle n'en fait rien. Je suis sidéré, complètement sidéré. Pourquoi a-t-elle fait cela? Elle ne peut pas mettre des personnes innocentes face à ces perversions immondes. Chloée ne bluffe en rien, elle fait tout ce qu'elle dit!

- Bien maintenant c'est plus clair pour toi ma chienne?

- C'est bien tu ne réponds pas, tu commences à comprendre

- Regarde sa tête Chloée, il est paniqué (Stéphanie semble aux anges de me déchéance rapide)

- La pauvre chienne, tu te souviens de tout ce que tu m'as demandé? Te dépouiller de tous tes comptes, cela ne va pas tarder, c'est trop amusant. Déjà tu n'as plus accès à rien et l'usage t'est interdit.

Maîtresse se dirige vers Stéphaine, les deux femmes semblent terriblement excitées, et hurlent rapidement leur plaisir tandis que je gémis sur mon bâton, les larmes aux yeux, prêt à tout pour que ce supplice cesse. Pourquoi je ne descends pas du bâton tout seul? Cela me semble impossible.

Je suis fasciné par Chloée, sa dureté, sa beauté, sa démarche implacable. Je me remplis d'elle et je dois avouer que cela m'aide énormément à tenir ces 20 minutes de punition. Enfin je suis libéré, je m'écroule par terre. Les Maîtresses ont ouvert le canapé et font l'amour longuement tandis que je les regarde avec envie le sexe proche de l'explosion. Je sais bien qu'il ne faut pas que je me touche, mais c'est tellement difficile. Maîtresse fait une pause, et m'ordonne de tenir à genoux sans bouger. Je dois recevoir dix coups de pied nus dans les couilles. Si je bouge elle recommence. J'ai bougé. Souvent. Et j'ai bien dû en prendre le double avant d'arriver à contrôler les réactions de mon corps à ces souffrances extrêmes. Stéphanie nue la regarde avec ravissement. Moi aussi je dois avouer, elle est tellement élancée et magnifique. Stéphanie aussi.

Malgré la souffrance, je dois leur servir du champagne, elles devisent de moi sans aucune pudeur, je n'existe pas. Je découvre que je vais être enfermé dans un dispositif et que mes couilles vont être suppliciées. Cela m'excite de les entendre ainsi parler de moi. Maîtresse se redresse et décide qu'il est temps de passer aux choses sérieuses maintenant que le cadre a été fixé! Je me souviens alors dudit cadre et des emails envoyés. Une réponse est arrivée, horrifiée et injurieuse, je comprends que cela sera le cas chaque fois que je fauterai. Je me jette aux pieds de Chloée pour lui exprimer ma totale dévotion et dépendance. Je ne reçois qu'un coup dans la lèvre en retour. Et l'ordre de rester à 4 pattes sans bouger un cil. Je tremble, pas seulement de froid. Je suis extrêmement impressionné et la présence de Maîtresse Stéphanie fait que Maîtresse n'est pas connectée à moi mais à elle, je suis juste à ma place à obéir et servir.

Maîtresse Stéphanie offre à Maîtresse un cadeau contenant un lourd collier en métal brillant avec un anneau.

- Tu vois nous pensons à toi! Tu vas porter ce collier qui illustrera en permanence ta condition d'esclave à tout le monde. C'est un cadeau de Maîtresse Stéphanie qui tenait à participer aux frais de ta mise en place. Il est sur mesure, et à clé, car tu auras à l'enlever en cas d'urgences médicales. Mais seulement dans ce cas.

Maîtresse me place le collier qui est glacé autour du cou, et j'entends la serrure se fermer. Il est lourd, épais, pas du tout discret. J'aime la sensation, je me sens en main. Je me demande juste comment cela se fait qu'il soit sur mesure? Quand les mesures ont-elles été prises. Il est tellement ajusté, je sais qu'il est sur mesure. Depuis quand cette situation était-elle donc prévue. C'est atroce de ne pouvoir parler ni poser de questions.

- Tu as raison, il est tout de suite à sa place d'esclave. Au moins personne ne va plus douter. Tu fais une photo pour le blog? Il faut en effet le nourrir.

- Oh oui entre les vidéos et les photos, ainsi que les textes, cela va faire un blog très fréquenté je crois. Je ne suis pas certaine que beaucoup l'envie. Tu sais que c'est une vraie femelle, qu'il a toute une panoplie de fringues sexy pour femme, même des chaussures de 10 cm à sa taille.

- Oh la belle salope, c'est vrai aussi que ce n'est pas un monstre de virilité. Tu vas le féminiser?

- Tu sais bien, je vais en faire une magnifique femelle, après je ne suis pas certaine de savoir jusqu'où je vais aller. Mais non côté virilité ce n'était pas cela, je pense qu'il est profondément femelle depuis toujours.

- Oh moi je prends les paris, il va finir totalement castré et féminisé, en ayant oublié qui il était.

- Rires, ce n'est pas avec ton mari que tu pourrais faire cela!

- Oh non, lui est beau et viril, ce n'est pas une lope comme ta chienne. J'adore assister à sa déchéance, c'est tellement excitant.

- A propos tu ne veux pas libérer ton esclave?

- Oh non, nous sommes trop bien, je m'en occuperai demain matin!

- C'est excitant. (Chloée se caresse sans pudeur, nous la voyons jouir avec un énorme sourire). Tu es une femme vraiment sadique avec son mari.

Toutes ces humiliations me rendent dingue, je ne sais pas comment ne pas me toucher et jouir encore et encore. Maîtresse me montre un plug en acier que je connais bien mais que je n'ai jamais utilisé. C'est un plug creux à la taille XXL, il fait 8 cm à l'endroit le plus serré. Elle montre à Maîtresse Stéphanie qu'un gros gode de 5 cm passe au travers du cul. Ainsi avec cet écarteur, il est possible de se vider, mais aussi de se faire prendre par n'importe quoi ou n'importe qui. Je frémis quand Maîtresse indique qu'elle va le mettre dans mon cul et en permanence, en attendant d'augmenter le diamètre. Je n'ai tout simplement jamais réussi à le mettre, aussi je suis très largement anxieux. Stéphanie prend l'appareil pour faire les photos tandis que Maîtresse commence à me travailler le cul.

Elle a mis un gant en latex, du lubrifiant en quantité, et me ramone doucement mais avec conviction. Les doigts l'ont vite élargi, et déjà le poignet est enfoncé. C'est si fort, mon sexe coule tout seul. J'ai toujours aimé l'anal et c'est vrai que je me dilate souvent, mais pas au point de ce plug permanent qu'elle veut me mettre, loin de là. Elle le présente à mon cul après avoir retiré son poing, mais cela me semble impossible qu'il rentre. Maîtresse prend alors mon plus gros gode, qui fait 8 cm et me l'enfonce brutalement, me faisant crier. Elle me lime ainsi longuement, très excitée, alors que je suis à l'agonie. Les sensations sont indescriptibles, insupportables, je gémis sans pouvoir me retenir. Maîtresse Stéphanie qui n'en perd pas une goutte sur la caméra vient la relayer.

Le gode coulisse maintenant librement, je le sens à peine entrer. Je ne suis qu'un cul. Le plug métallique est à nouveau appliqué sur mon cul, mes fesses étirées pour lui faire de la place. La pression mise dessus est incroyable, les deux femmes poussent, je hurle, je suis déchiré j'en suis certain, mais je le sens entrer millimètre par millimètre. C'est horrible. Je crie pitié, mais rien n'y fait. Enfin il se resserre. Un peu. Cela reste monstrueux. Maîtresse est satisfaite, fait des photos qu'elle qualifie d'obscène, moi je suis sanglotant, je supplie de me l'enlever. En retour, Maîtresse Stéphanie serre mes couilles si fort que je tombe à moitié dans les vaps. La sensation est dingue, j'ai l'impression que le bas du corps est immobilisé, cela tire sous mes pieds. Je suis une loque.

Je n'en crois pas mes oreilles quand Maîtresse indique à Stéphanie que je vais garder ce gode deux ou trois mois avant de passer à la taille supérieure. Cela fait quelques minutes et je suis au bout de ma vie. Je ne peux même pas me redresser tant il me vrille le cul. En quelques minutes je suis brisé, je me sens ridicule, et le sourire des Maîtresses m'humilie encore plus. Je ne suis pas au bout de mes peines puisque les deux complices s'attaquent maintenant à mon sexe.

Maîtresse se moque de mes grosses couilles qui pendent, et qui sont si laides. Elle se plaint comme elle a du si souvent les lécher, alors qu'elles puent, et que c'est d'une laideur sans nom. Maîtresse Stéphanie renchérit. Elles discutent de savoir s'il faut les couper, et comment faire pour que cela soit esthétique. Je suis certain qu'elles font cela pour me faire peur. Et cela marche, Maîtresse Stéphanie montre alors les photos de la castration de son mari! C'est vrai que je n'ai jamais vu ses couilles ni son sexe, mais de là à l'imaginer castré. Les photos et vidéos ne laissent place à aucun doute. Je tremble de peur. Stéphanie prévient Maîtresse de ne faire cela que quand je suis bien éduqué, car après la motivation sexuelle est plus faible, il faut donc que l'endoctrinement soit complet. Et surtout de bien jouer à me faire souffrir avant. J'ai trop envie de pleurer quand j'entends Chloée acquiescer. Elle est tellement implacable.