Chante Carol, chante

BÊTA PUBLIQUE

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Un moment plus tard, Nate lui tendit une bouteille d'eau minérale en plaisantant:

- Avec les compliments du Notel Motel.....

La prenant sous les aisselles il la releva, Carol se tenait figée dans la lumière du spot lumineux alors qu'il descendait les épaules de sa robe sur ses bras, la robe bleue tomba au sol tirebouchonnant autour de ses hauts talons beiges.

Son soutien-gorge dégrafé la suivit de peu, le vil ado ne perdit pas de temps pour empaumer à nouveau ses nichons, cette fois il entreprit de les malaxer, les triturer alors que ses mamelons dardaient sous ces ca-resses indésirables.

- Bordel t'as de jolis tétons ma chérie! ..... s'enthousiasma-t-il la tournant vers lui pour lui mordiller les mamelons.

Quelques instants plus tard, étendue sur le lit, Carol se cachait le visage entre les mains, elle pleurait à chaudes larmes alors que son suborneur roulait sa petite culotte sur ses cuisses, la repoussant sur ses chaussu-res.

En dehors du fait qu'elle devait forcer son corps à se soumettre afin de lui permettre d'avoir des rapports sexuels, Carol tentait de se préparer à recevoir sa monstrueuse bite dans la chatte.

Mais elle ne s'attendait pas à ce qu'il enfouisse sa tête crépue entre ses cuisses, lui révélant ses intentions luxurieuses.

- Nonnnnnnn... Je t'en prie....... Ahhhhhhhhhhhhhhhhh... Ohhhhhhhhhhhhhhh... couinait-elle alors que Nate lui bouffait la chatte à pleine bouche.

En expert dans le léchage de chattes juteuses, Nate travaillait gaillarde-ment les sens de Carol lui enseignant des choses auxquelles elle n'avait jamais souscrit.

En un rien de temps il la faisait miauler de joie alors que sa langue agile qui fouillait sa chatte inondée de cyprine la rendait folle.

- Bordel elle a le feu au cul, et je n'ai pas encore titillé son clito! ..... pensait-il épaté de sa réaction enflammée.

- Mais lorsque je vais m'en occuper, elle va grimper aux rideaux! ..... conjoncturait-il ravi de l'aubaine.

Et bien sur lorsqu'il mordilla son clito d'une bouche habile elle se mit à crier :

- Ohhhhhhhhhhhhhhhhh... Mon Dieuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu..... Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh......

Nate se régala alors de son nectar alors qu'un orgasme fracassant la terrassait, sa chatoune embrasée secrétait un flot de cyprine qui s'écoulait dans sa bouche avide.

Sortant de l'état de sidération dans lequel l'avait plongé son violent or-gasme, Carol fut envahie par le remords et la honte, honte d'avoir joui de façon si éclatante.

Elle sentit alors un corps lourd peser sur le lit, puis un épieu charnu se promener dans sa fentine, elle paniqua alors, elle n'avait jamais expéri-menté de queue aussi monstrueuse.

Déjà elle sentait les dimensions extraordinaires de s bite qu'il tentait d'insérer dans sa chagatte réticente, elle le repoussa de toutes ses forces espérant échapper, du moins momentanément à l'inexorable empalement qui la guettait.

Le musculeux jeune gaillard n'aimait pas se voir repoussé, il empoigna ses hanches et s'élança, Carol hurla sa douleur :

- Aiiiiiiiiiiiiieeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee.....

- T'affole pas chérie... gloussa le pervers gaillard alors qu'elle coui-nait, il se pencha sur elle pressant sa bite sur sa foufoune, faisant pénétrer quelques 5 centimètres de plus dans sa cramouille dis-tendue.

- Bordel prof t'es aussi étroite qu'une pucelle! ..... Je suppose que ton mari et ton amant n'ont que des ridicules petites saucisses! ...... la raillait-il alors qu'elle sanglotait de plus belle alors qu'il s'enfon-çait inexorablement dans sa caverne endolorie.

Rafferrmissant ses prises sur ses hanches il continuait à forer son chemin dans son utérus asservi, plongeant de plus en plus profondément son énorme mentule dans sa grotte jusqu'à ce que leurs deux toisons s'emmêlent.

En voyant ses doigts griffer désespérément les draps, sentant ses cuis-ses largement écartées sous lui, Nate comprit qu'elle entendait rester passivement étendue sur son lit, ne manifestant aucun émoi alors qu'il la baiserait à couilles rabattues.

Il s'en réjoui lui qui était décidé à stimuler ses sens, cela l'encourageait à déployer toute sa technique et son art pour l'amener dans un premier temps à partager ses orgasmes, puis dans un second temps le supplier de continuer à la baiser à fond.

Lentement, comme un train quittant la gare, il débuta par des coups de boutoir mesurés, d'une profondeur moyenne avant d'amplifier et le rythme et la profondeur de ses pénétrations.

A peine cinq minutes plus tard, Carol secouait la tête de droite à gauche alors qu'elle agrippait les draps à pleines mains, plantant ses talons dans le matelas pour répondre aux assauts enfiévrés de son maître chanteur qui faisait vibrer son corps en dépit de ses intentions.

Elle figeait son corps, essayant de dissimuler son émoi, mais elle était de plus en plus faible... ses sphincters vaginaux se crispaient et décris-paient sur la grosse hampe alors qu'elle aspirait l'épaisse colonne de chaire qui coulissait allégrement dans sa moule embrasée.

- Ohhhhh... Ahhhhhh..... pleurnichait-elle, par à coup, c'était là les seuls signes qui trahissaient son émoi avant que ne s'effondrent ses défenses, sa chatoune serrant fortement la bite tendue qui lui donnait tant de plaisir et s'enfonçait jusqu'à la racine dans on petit corps frémissant.

Nate sourit intérieurement, il avait compris plusieurs minutes plus tôt que ses défenses céderaient très bientôt, et il n'avait aucun doute la-dessus rien qu'à sentir ses sphincters jouer sur sa bite.

Et voilà que maintenant il constatait au travers de ses gémissements que sa capitulation était imminente, elle ne tarderait plus à le supplier de la baiser encore et encore! ......

Ses gémissements devenaient plus bruyants, plus fréquents, Nate se mit alors à la baiser sur un rythme accéléré, heurtant à tout coup le col de son utérus, il sentit alors ses mains caresser son dos alors que ses cuisses s'enroulaient autour des siennes.

Il allait maintenant lui porter le coup de grâce, il s'immobilisa à demi en-foncé dans sa grotte en feu, elle grogna alors :

- Pourquoi... Pourquoi t'arrêtes-tu? ..... il lui rétorqua alors :

- Dis-moi ma prof chérie, dis-moi ce que tu veux..... Dis moi ce que tu veux que je te fasse! .... N'hésite pas à parler crûment.....

Carol se mordait les lèvres, secouait sa tête de gauche à droite pour dire :

- NON... elle se refusait à succomber de façon si humiliante.

Mais cette grosse bite qui lui donnait un plaisir aussi intense qu'indésiré était dans une position d'attente, à moitié encastrée dans sa chatoune frémissante, alors que ses sphincters se crispaient et décrispaient sur l'épaisse hampe qui ne la comblait qu'à moitié, son corps s'efforçait de le stimuler de façon à lui faire reprendre ses activités luxurieuses.

Bientôt ses envies devinrent trop fortes, elle capitula misérablement en grognant :

- Maudis sois-tu...... baise-moi... Je veux que tu fourres ta grosse BITE au fond de ma CHATTE..... Mon Dieu, baise-moi comme une SALOPE! ..... Prends-moi à fond..... Je veux sentir tes couilles contre mon ventre... enfonce-toi dans mon utérus! ...... Vas-y es-pèce de bâtard......

- Oh ouiiiiiiiiiiiiiii..... Ohhhhh, ouiiiiiiii..... Ahhhhhhhhhhhhhhh... En-coreeeeeeeeeeee... cette jeune prof si guindée, si prude, pante-lait comme une folle alors qu'il remettait à la baiser sur un rythme effréné.

Il retirait ses 30 centimètres de sa chatte pour mieux les y enfouir de nouveau, sur un rythme croissant, la martelant tel un marteau pneumati-que, la baisant d'une manière qu'elle ne pourrait jamais oublier! .....

Bientôt il sentit ses ongles griffer son dos alors qu'elle se cabrait pour aspirer plus profondément sa bite dans sa féminité embrasée, elle était tout prêt à succomber à un fracassant orgasme.

- Oh mon Dieu... Je... Je Jouisssss..... Ahhhhhhhhhhhhhhh..... hur-lait-elle à pleins poumons alors que Nate se vidait les couilles dans son intimité brûlante.

Une heure plus tard, après une session de jambes en l'air entre la somp-tueuse prof et son jeune maître chanteur, il lui tendait une serviette pro-pre en commentant :

- Et une serviette propre, avec les compliments du Notel Motel..... Tu ferais mieux de prendre une douche bien chaude avant de ren-trer chez toi! .....

Rassemblant ses vêtements et son sac à main, elle s'enferma dans la salle de bain sachant qu'effectivement il valait mieux qu'elle se douche au cas où son mari rentre chez lui avec en tête l'envie de lui faire l'amour.

Ouvrant son sac, elle trouva le flacon de douche vaginale qu'elle avait eu la précaution d'emmener.

Rhabillée après cette douche chaude et reconstituante, elle sortit de la salle de bain, elle vit alors que le lit avait été refermé, que les couvertu-res qui masquaient les fenêtres avaient été enlevées, et que maintenant son pervers maître chanteur finissait de nettoyer la chambre.

Lorsqu'il se dirigea vers la salle de bain, Carol balbutia :

- Tu... Tu avais promis de me donner ces photos. ....

Mais, alors que le jeune homme vidait la poubelle de la salle de bain dans son sac à ordures, il trouva l'emballage et le flacon de sa douche vaginale vides, il l'interpella violemment :

- Bordel qu'est-ce que cela? .... Une douche vaginale? .... Tu t'es débarrassé de mon foutre? ..... Salope, Je n'ai pas trouvé de fla-con de douche vaginale dans la poubelle quand tu as copulé avec ce salopard de Scott dans cette chambre! ....

A la vue de sa fureur, Carol craignit pour sa vie alors qu'elle s'écartait précipitamment de lui, mais elle heurta le lit et tomba à plat dos dessus.

Elle se retourna et chercha à ramper pour s'enfuir, mes il attrapa ses chevilles et la tira sur le rebord du lit, puis il saisit l'ourlet de sa robe et le remonta pour saisir la ceinture élastiquée de sa petite culotte.

Sa petite culotte disparue, à quatre pattes, Carol sanglotait alors que le petit salaud lui fourrait sa bite dans la chagatte en lui annonçant :

- Alors petite pute, tu t'es débarrassée de mon foutre alors que tu as gardé celui de Scott dans ton ventre! ..... T'es une sacrée salope ma petite Carol..... Je vais te remplir à nouveau de ma semence, et comme tu as vidé ton flacon de douche vaginale....... Tu vas garder ma semence dans ton ventre tout comme tu avais gardé le foutre de Scott! ....

Après une rapide séance de baise en levrette, Carol toujours sans culotte sentait la semence de Nate s'écouler de sa chatte pour s'étaler sur la face interne de ses cuisses alors qu'il l'escortait jusqu'à la porte en ironisant :

- Maintenant que t'es bien emplie de foutre, tu peux rentrer chez toi retrouver ton gentil petit mari! .... Tu peux aller le rejoindre la chatte pleine de semence de nègre! ....

Retenant ses larmes alors que Nate lui pétrissait une dernière fois les nibards, elle l'entendit railler :

- Ne te tracasse pas ma petite chérie, je n'enverrais à personne tes photos..... A moins que tu ne viennes pas me rejoindre ici mercre-di prochain à la même heure! .....

Dès qu'elle eut franchi la porte de la chambre, l'infortunée Carol, les lar-mes aux yeux, se dirigea vers sa voiture alors que son foutu salaud de maître chanteur terminait de nettoyer la chambre.

Cependant Carol ignorait qu'en fait non seulement nate nettoyait la chambre mais que de plus il rassemblait les caméras qui lui avaient permis d'enregistrer cette torride fin d'après-midi

Les images d'elle et Scott faisaient appel à l'imagination, mais celles ci ne nécessitaient aucune imagination.

Avec ces photos, il était sur de conserver la ravissante Carol dans ses griffes le temps qu'il voudrait, il avait déjà en tête de l'utiliser pour son propre plaisir et pour gagner de l'argent, une jolie poupée comme elle devait rapporter gros, il en ferait son gagne-pain.

Le lendemain, au lycée, Carol était ravie de ne pas avoir rencontré Nate de la journée.

Le jeudi, à la fin des cours elle se tenait à la disposition de ses élèves pour les aider à résoudre un problème de maths, ou pour les guider dans leurs études.

Comme ils avaient commencé un nouveau chapitre d'algèbre fort ardu et que l'heure des contrôles arrivait, il était normal que quelques élèves viennent solliciter son assistance?

Elle avait désespérément envie de boire une tasse de café, mais elle ne voulait pas quitter les derniers étudiants qui faisaient la queue pour attendre son aide, elle demanda à la fille qu'elle venait d'aider si elle pouvait se rendre aux bureaux pour lui ramener une tasse de café bien chaude.

Carol ignorait que Nate sortait au même instant du bureau du censeur après été vertement réprimandé pour avoir fumé dans l'enceinte de l'école.

Il surprit la secrétaire annonçant à la jeune fille :

- Dites à madame Hasting qu le contenaire de crème est vide, et qu'on sera bientôt ravitaillé...... Mais que pour on ne peut lui propo-ser qu'un café noir.....

Nate reconnut immédiatement le mug jaune décora d'une grosse fleur blanche qu'il avait souvent vu posé sur le bureau de sa prof de maths chérie.

Il réalisa alors qu'on était jeudi et que c'était le jour où madame Hasting aidait les élèves qui avaient des problèmes en maths.

Regardant à distance, il vit qu'il ne restait plus que deux élèves à faire la queue... Il eut alors une brillante idée..... Une idée directement soufflée par sa bite! .....

Lorsque son dernier élève eut quitté sa classe, Carol entendit résonner les pas d'un nouvel individu qui pénétrait dans la classe, elle supposa que c'était juste un autre étudiant qui venait requérir son aide.

Mais levant les yeux, elle avala sa salive à la vue de son pervers maître chanteur s'approcher d'elle, elle le regarda avec suspicion poser sa tasse de café sur le bureau puis contourner le bureau pour s'asseoir dans la chaise vide que venait de quitter le dernier élève qu'elle avait assisté.

Elle se mit à trembler en le voyant poser une feuille de papier sur son bureau lui demandant :

- Pourras-t résoudre ce problème ma chère madame Hasting? ...

Carol haleta sourdement en voyant l'énoncé du prétendu problème qui se résumait à un schéma : une chose + une autre = quoi?

- Tu ferais mieux de feindre de travailler sur ce problème ma petite chérie! ..... Juste au cas ou quelqu'un jetterait un oeil par la fenêtre en passant.....

Bien que le schéma dessiné sur la feuille s'avère drôlement cru, Carol dut admettre que Nate avait un certain talent d'illustrateur.

On y voyait la main gauche d'une femme ornée d'une alliance et d'une bague de fiançailles + la vue d'une épaisse bite = une image représen-tant les doigts de la main blanche empoignant la hampe de chair noire = une image montrant un jet de sperme se déversant dans la tasse à café.

Puis, alors que Nate feignait de s'intéresse à son bloc notes alors qu'elle prenait son stylo sur la tablette Carol ne pouvait que grincer des dents de dégoût alors que sa main gauche branlait servilement l'épais épieu de chair de son maître chanteur jusqu'à obtenir le résultat décrit sur la der-nière image.

- Purttttttt. ...Purttttt! ..... ses couilles se vidaient en jets crémeux dans le mug.

Avant qu'elle ait pu relâcher sa prise sur la bite s'amollissant, Nate em-poigna sa main et la posa sur son gland baveux, l'enduisant ses doigts et la paume de sa main des derniers reliefs de foutre suintant du méat.

- Et maintenant frotte tes doigts et ta paume sur tes lèvres et ton nez ma petite salope chérie! ....

Elle obéit à contrecœur, révulsée, elle dut humer et goûter la senteur acre et virile de son foutre.

Comme Nate se levait de sa chaise, il replaça la tasse de café sous son nez, mais cette fois, le café était enrichi de sa virile crème onctueuse.

Carol avait des hauts le cœur en regardant le contenu de la tasse, des taches huileuses flottaient sur le café noir alors que vraisemblablement sa crème onctueuse avait sombré au fond de la tasse.

Elle croyait que son épreuve était finie lorsqu'elle vit Nate se poster face au bureau, puis il tendit la main et retourna la feuille de papier elle put alors observer le dessin au dos qui la représentait buvant sa tasse de café.

L'idée de devoir boire ce café assaisonné de sa semence lui faisait horreur, cela fut encore pire alors qu'elle arrivait au fond de la tasse, elle l'entendit alors intervenir :

- Vide la entièrement ma petite salope... Je veux que tu ingères la totalité de ma semence! .....

De retour dans la salle des professeurs, après avoir prestement lavé et rincé son mug, Carol se précipita dans les toilettes pour dames.

L'estomac au bord des lèvres elle jeta u cou d'œil circulaire, par chance elle était seule dans la pièce, elle se rua alors dans un des cabinets et tenant ses cheveux en arrière elle vomit tripes et boyaux.

- Urckkkkkk..... Urrrrkkkkkkkkkkkkkkkk! ..... grognait-elle en se vidant l'estomac dans les toilettes.

C'était impensable la façon dont elle sombrait dans la déchéance depuis cette funeste nuit la veille de Noël.

Elle avait trompé son mari, son jeune voisin et amant l'avait engrossée et voila que maintenant elle devait se soumettre aux volontés sexuelles de Nate Manning son pervers maître chanteur.

21 décembre 2007

Coulybaca

Avec l'aimable autorisation de l'auteur :

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