Chante Carol, chante

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Suite de : un magnifique cadeau de Noël.
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Coulybaca
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Chante Carol chante.

Terrified Teacher - IX

Coulybaca / Black Demon

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Bien que ce texte se suffise en lui même,

il est aussi la suite naturelle de : un magnifique cadeau de Noël

(Jock got a Christmas Carol)

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Cette histoire se suffit à elle-même,

cependant elle est aussi la suite logique de

"Jock Got a Christmas Carol"

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Assise derrière son bureau Carol Hasting surveillait ses élèves qui se concentraient sur un contrôle, elle se trémoussait sur sa chaise, visible-ment très énervée.

- Qui cela pouvait-il bien être? .... Etait-ce un élève de cette classe? ..... se demandait-elle affolée.

Elle baissa la tête et ferma les yeux désespérés, Carol aurait voulu pouvoir remonter le temps et revivre ses dernières vacances de Noël.

- Pourquoi l'ai-je laissé faire? .... Comment ai-je pu me montrer si faible? .... s'interrogeait-elle dans son fort intérieur.

Se remémorant les photos qu'elle avait reçue il y a peu, elle devait convenir qu'il n'y en avait aucun doute quant au lieu où elles avaient été prises, de plus les deux dernières la représentaient.

- Oh mon Dieu, Si Carl venait les voir, Dieu seul sait..... Pat l'enfer il comprendrait vite que je l'ai trompé dans ce foutu hôtel! ..... se dit-elle dans son fort intérieur.

Et de fait, si quelqu'un voyait cet enchaînement d'images il n'aurait au-cun doute sur les événements s'étant déroulés au Notel Motel.

On y voyait tout d'abord une vue de la devanture du Notel Motel avec son enseigne géante au fin fond d'un parking où étaient garées différen-tes voitures.

La photo suivante prise plus prêt de l'hôtel montrait une conduite inté-rieure blanche garée dans le centre de l'hôtel devant une chambre en arrière plan.

On l'a reconnaissait clairement sur cette photo bien qu'elle ait les yeux froncés Carol se souvenait parfaitement de cet instant, on lisait sur son visage le remords d'avoir commis le pêché d'adultère.

La photo suivante, celle ou son jeune amant la tenait par le cou en quittant la chambre d'hôtel, permettait clairement de l'identifier comme le fils de leur voisin immédiat, par ailleurs un de ses élèves.

Quoiqu'elle connaisse beaucoup d'histoires relatant les amours de profs et d'élèves au cours de ces dernières années, sa relation ne serait pas aussi scabreuse, son jeune amant ayant plus de 18 ans.

Bien que ce soit un de ses élèves, il avait plus de 18 ans comme la plu-part des élèves des classes de terminales du lycée.

Même si cette affaire ne ferait pas les choux gras de magazines natio-naux, il était certain que les journaux nationaux ruineraient sa bonne ré-putation parmi la communauté locale.

Et quelle que soit la publicité qui serait faite à cet événement, Carol savait que son adorable mari ne le pardonnerait jamais cet adultère, d'autant plus que la capote dont ils s'étaient servis s'étaient rompues et qu'elle s'était malheureusement retrouvée engrossée par son jeune amant lors de ces satanées vacances de Noël.

Il était exclu qu'il s'agisse d'une fille, bien que Carol l'aurait préféré, elle savait que son maître chanteur devait être un homme.

- Pourquoi m'impose-t-il de me rencontrer dans la même chambre d'hôtel? ..... Que veut-il, de l'argent? ..... Combien? ..... Oh mon Dieu..... Et s'il voulait me rencontrer dans cette chambre pour... Pour me baiser! .... frissonna-t-elle soudain secouée de hauts le cœur.

- Devrai-je subir me résigner s'il veut coucher avec moi? .... Qu'arrivera-t-il si je refuse? ... Irait-il jusqu'à diffuser ces ignobles photos? ...... tremblait-elle d'effroi.

Retenant ses pleurs, Carol frémit de dégoût à l'idée que son maître chanteur puisse poser ses mains sur elle.

- Ce n'est pas seulement ses mains qu'il voudra poser sur moi! ..... Il voudra me fourrer son sale pénis dans la chatte! .... se dit-elle soudain éperdue de honte.

Elle se repassait les détails de cette nuit cherchant désespérément à deviner qui l'observait dans le but de la faire chanter, Carol revivait ce qu'elle avait vécu lors de cette fête de Noël.

- Ce devait forcément être quelqu'un de ce groupe! ....

La réputation de Scott dans ce lycée n'était plus à faire..... Ils savaient tous qu'il multipliait les aventures avec des femmes plus vieilles que lui..... Mon Dieu, ce nuisible devait nous avoir suivis! ...... Et se référant à la réputation de Scott, il avait du en conclure rapidement que tout cela était fort louche! .... conclut-elle affolée.

- Ce doit être ça..... Et lorsque Scott m'a rejoint dans sur parking de l'hôtel il a commencé à prendre des photos..... attendant l'instant ou nous ressortirions de cette maudite chambre..... après avoir commis un adultère! ..... analysait-elle horrifiée.

Plus tard, dans la nuit après avoir longuement réfléchi à qui avait pu les épier lors de ces fêtes de Noël, Carol se repassait la tête de tous ses élèves se demandant qui cela pouvait -il bien être...... Bob Adams? .... Mike Goodhall? ..... Harry Cormell? ..... Trevor Masters? ..... Dennis Myers? ...... Qui pouvait bien être son maître chanteur? ..... réfléchissait Carol.

- Je dois acheter son silence..... Quel que soit le prix à payer! ..... se disait-elle, frissonnant à l'idée qu'elle devrait sûrement coucher avec lui en échange de son silence.

Incapable de s'endormir, Carol restait étendue dans son lit, se préparant au pire, se représentant chacun des jeunes mâles qui pouvait se trouver être son maître chanteur.

Afin de se préparer à l'inéluctable rencontre du lendemain, Carol se les représentait l'un après l'autre, s'imaginant se déshabillant pour eux dans la chambre d'hôtel où elle avait déjà fauté.

Même si elle méprisait déjà ce maître chanteur inconnu elle devait ad-mettre qu'aucun de ses jeunes lycées ne se détachait plus que les au-tres dans ce rôle.

Ils étaient tous moins sportifs et musclés que Scott qui était la coquelu-che du lycée.

Mais de se représenter sa soumission entre leurs mains, Carol se ren-dait compte qu'ils étaient tous susceptibles de la faire chanter pour profiter lubriquement de ses charmes, et qu'elle devrait se soumettre servilement à toutes leurs volontés.

En sortant du repas de midi, le jeune Nate Manning, du haut de ses 18 ans révolus depuis six mois, observait attentivement l'adorable madame Hasting alors qu'elle ouvrait la porte de sa classe pour accueillir sa pro-chaine classe de math.

Seul majeur de sa classe à force de redoublement Nate était le plus cos-taud des élèves de cette classe de seconde.

- Hello madame Hasting Comment cela va-t-il? ..... salua-t-il railleu-sement sa prof adorée, tout sourire en hochant de la tête en sa di-rection.

Il était évident que sa délicieuse prof était nerveuse, troublée et qu'elle devait être mure pour entamer une fructueuse négociation.

- Tout va bien madame Hasting? .... Vous me semblez abattue au-jourd'hui..... Puis-je vous aider en quoi que ce soit? .... s'enquit-il suavement.

- Non, mais je te remercie de me l'avoir proposé, j'ai juste de petits problèmes aujourd'hui..... lui répondit-elle en retour.

Nate savait pertinemment ce qui troublait son adorable prof de math, d'autant plus que c'est lui qui avait tiré ces photos si compromettantes et qui lui avait réclamé un rendez-vous dans cette même chambre où elle avait fauté.

Comme madame Hasting allait franchir le pas de porte de sa classe, ses pieds délicieusement chaussés de hauts talons beiges, Nate se pourlé-cha les babines alors que sa bite tressautait dans on caleçon.

- Vous semblez si inquiète de voir votre mari visionner ces photos madame Hasting... Mais à 15 heures tu n'auras plus à t'en tracasser, lorsque je t'assurerai que je n'ai pas envie de les lui faire parvenir! ..... Tant que tu écarteras tes blanches cuisses pour m'accueillir au cœur de ta féminité! ...... gloussait-il joyeusement.

A 14 heures, à la fin des cours, Carol sentit ses mains trembler alors qu'elle regardait l'horloge accrochée au mur de salle de classe.

Elle quitta rapidement sa salle de classe de peur d'être en retard pour son rendez-vous de 15 heures, qui devait lui permettre de sauver son mariage en évitant tout scandale.

De peur de voir son jeune amoureux impliqué dans cette affaire alors qu'elle portait son bébé dans son ventre, Carol ne pouvait se permettre de laisser diffuser ces photos l'incriminant.

Jambes tremblantes elle quitta son établissement pour aller prendre sa voiture dans le parking terrifiée de ne pas arriver au Notel Motel à temps, les conséquences pourraient dévaster sa vie.

Assise au volant de sa voiture qu'elle venait de ranger juste devant la chambre 108 du Notel Motel Carol jeta un oeil sur sa montre pour cons-tater qu'il était juste 14 heures 54.

Elle jeta un oeil circulaire sur le parking se demandant ce qui l'attendait maintenant.

- Quel était l'ado qui l'attendait derrière cette porte? ..... se deman-dait-elle angoissée.

- Dois-je vraiment y aller? ...

- 'Ne ferai-je pas mieux de redémarrer ma voiture pour filer tout droit à la maison? ....

Mais les images compromettantes repassaient dans sa tête elle se força donc à se diriger vers la porte de la chambre, qu'elle ouvrit lentement avant de pénétrer d'un pas hésitant dans cette maudite chambre 108.

Auparavant elle jeta un coup d'œil circulaire s'assurant que personne ne la connaissant ne puisse la voir entrer dans cette chambre d'hôtel de cet établissement en périphérie de la ville, dont on connaissait parfaitement l'usage que faisaient les utilisateurs de ces chambres louées à l'heure.

Ne voyant personne, elle tourna la cliche de la porte c'est alors qu'elle remarqua un court message collé sur la porte : Bienvenue, entrez ma-dame Hasting! .... La porte est ouverte elle nota alors que la porte n'était pas fermée et qu'il lui suffisait de la pousser pour qu'elle s'ouvre.

Elle sursauta en entendant une voix masculine aboyer alors qu'elle poussait la porte :

- Entrez madame hasting... Et refermez la porte dans votre dos...... Que nous ne soyons pas dérangés......

Serrant les dents elle referma la porte Carol vit que la pièce était totale-ment noire.

Comme elle avançait dans la pièce, elle se trouva finalement au chœur de l'obscurité alors que la porte claquait dans son dos la faisant trembler de peur alors qu'elle balbutiait :

- Qui..... Qui..... Qui êtes-vous? .... S'il vous plait... Je..... J'ai pris de l'argent..... Je vais vous acheter ces photos! ......

Nate avait drapé des couvertures noires sur les vitres, il attendait dans l'obscurité que sa ravissante prof de maths arrive.

Il comptait sur le fait qu'elle serait incapable de l'identifier en étant plongé de la lueur vive à l'obscurité profonde, d'autant plus que lorsqu'elle entre-rait, elle aurait le soleil et sa vive luminosité dans le dos.

Sa venue lui confirmait que la possession de ces photos compromettantes la représentant, sortant, tendrement enlacé avec Scott Berger, d'une chambre d'un hôtel connu en tant que lieu de rendez-vous galant, lui donnait barre sur elle.

Forçant sa voix, éliminant toutes tournures familières, Nate comptait af-firmer son emprise sur elle en la confrontant à son pêché de luxure, il l'accueillit en la raillant :

- Monsieur Hasting sait-il qu'il est cocu? ..... Et de plus par, Scott Berger, un de vos étudiants! ..... Ma, ma... Ca va faire un drôle de bruit si ça vient à être connu! .....

- Je vous en prie... vendez-moi ces photos! ..... répondit d'une voix faible la ravissante jeune femme éperdue.

- Je ne veux pas de ton argent madame Hasting..... rétorqua-t-il la fouettant en adoptant un tutoiement des plus familiers.

- Ces photos ne sont pas à vendre! .... Tu le sais très bien d'ailleurs! ..... Tu sais bien pourquoi tu te trouves avec moi dans cette chambre! ...... T'es ici pour me plaire suffisamment afin que je n'ai pas envie d'envoyer ces photos à ton mari par mail, ou que je les fasse parvenir à des journaux à scandales! .... N'est pas ma chère madame Hasting? ....... lui rappela Nate suavement.

- Euh, oui... ouiiiii... répondit-elle faiblement.

- Et maintenant, pour me prouver ta bonne volonté ma chère Carol, tu vas t'agenouiller entre mes cuisses et me tailler une pipe! ...... lui intima-t-il grossièrement.

Carol avala sa salive alors qu'un frisson glacé lui parcourait sa colonne vertébrale et que son estomac se soulevait déjà de révulsion à l'idée de ce qu'il attendait d'elle.

Bien sur elle avait déjà sucé des bites auparavant... En fait une seule! ..... Celle de son jeune amant dans le seul but de lui offrir un plaisir qu'elle n'avait jamais offert.

Et voila que maintenant ce pervers lui réclamait le même plaisir, il insis-tait maintenant :

- Viens ici Carol... Si tu savais depuis combien de temps j'attends cet instant! .... Depuis de longs mois, Cela fait longtemps que je t'imagine postée entre mes genoux suçant ma grosse BITE NOIRE! .....

Une boule se forma dans sa gorge en entendant ces mots, Carol venait de réaliser qu'en fait son maître chanteur n'était pas l'un de ceux qu'elle avait soupçonné, car ils étaient tous blancs.

Un rai de lumière la figea alors, émanant de l'endroit où était assis son maître chanteur sa grosse noire en évidence.

Alors que son tourmenteur se branlait allégrement sa bite s'allongeait et s'épaississait encore, Carol réalisa alors qu'elle était bien plus grosse que celles de son mari et de Scott.

- Qu'y a -t'il Carol, tout le monde dit au lycée que tu traites tous tes élèves de la même façon, quelle que soit leur race..... Eh bine maintenant tu vas devoir le prouver! .... Et magne-toi le cul ma chère Carol.....

- Nate... Nate Manning... Mon Dieu... C'est toi! .... C'est toi qui..... Mais comment...... Comment t'es-tu procuré ces photos? ..... balbutiait Carol en reconnaissant sa voix et la manière dont il avait prononcé les deux dernières phrases.

Carol cligna des yeux alors que soudain la lumière jaillit et Carol put constater que c'était bien Nate Manning qui était assis sur la chaise ar-borant un large sourire tout en flattant sa monstruosité et lui déclarant :

- Je faisais partie de l'équipe de surveillance de nuit lors de ton rendez-vous avec Scott..... Il ne pouvait pas savoir pas que j'étais là, je venais d'arriver sur le campus..... J'avais été très surpris de te voir en sa compagnie dans la voiture...... J'ai réagi en un dixième de seconde ma chérie! ..... Une... Deux... trois... Quatre..... J'avais déjà 4 photos! ..... rétorqua-t-il lui expliquant qu'il avait pris lui-même ces photos.

- A la huitième... Carol s'efforça de s'avancer vers son souriant su-borneur.

Elle détourna son visage alors qu'il la forçait à s'agenouiller entre ses cuisses, face à sa colonne d'ébène, Carol tremblait comme une feuille entendant les deux mains pour empoigner l'énorme pilon, cet énorme phallus qui faisait au bas mot 35 centimètres de long.

L'agrippant comme elle l'aurait fait d'une bête de base-ball incapable de refermer ses doigts sur son épais diamètre, elle se mit à le branler consciencieusement tout en gardant son visage tourné.

- Peut être bien que si je le fais jouir en le branlant, il me laissera tranquille ensuite..... Oh mon Dieu... Je frémis rien qu'à l'idée de le prendre en bouche! ..... frissonnait-elle de dégoût, le branlant de plus en plus vite dans l'espoir de le faire jouir manuellement.

Bien que fort expérimenté pour son jeune âge, Nate avait couché avec sa première fille à l'age de 15 ans, il n'était pas de ceux qui tiraient leur coup prématurément, il gloussa en réalisant le plan de sa jolie prof.

Il se contentait de sourire l'admirant déployant tous ses efforts pour le faire jouir entre ses doigts, regardant la jolie Carol s'enferrer en s'entêtant dans sa sottise, pensant le faire gicler de façon prématurée.

Puis tendant ses deux mains il promena ses doigts dans sa douce che-velure soyeuse, il força la belle garce à approcher son visage de sa bite déployée.

Il adorait la voir écarquiller les yeux en affichant son dégoût.

Carol sentit des nausées la secouer alors que le jeune pervers prome-nait son gland sur ses lèvres juste sou son nez, une forte odeur de sueur et de pisse lui montait aux narines alors que son estomac se soulevait en humant ces puissants remugles.

Tête tirée en arrière il empoigna ses mains pour presser sa bite contre ses lèvres, il tira alors son visage en avant appliquant le jus pré sperma-tique qui suintait de son méat sur ses lèvres purpurines, un peu comme s'il étalait son rouge à lèvres.

Le gland pressé contre ses dents serrées il lui enjoignit :

- Ouvre ta jolie bouche ma chérie... Il est temps que t'embouches ma grosse BITE NOIRE! ......

- Mmmmmmffffff...... Mmmmmmffffffffffffff...... Mmmmmmmfffff! ..... frissonna Carol alors qu'il enfournait son énorme pilon dans sa bouche hagarde, lui écartant les mâchoires comme jamais elles ne l'avaient été.

Frémissante de révulsion alors que l'épais gland de chair heurtait l'entrée de son arrière-gorge, elle tenta de le repousser de toutes ses forces, mais il maintenait fermement son visage dans le bon axe.

Elle n'était pas de force contre ce puissant gaillard dont la bite épaisse s'enfonçait maintenant dans son arrière-gorge, Carol ne parvenait pas à croire qu'on puisse la forcer à accomplir un acte aussi dégradant.

Accueillir Scott Berger dans sa bouche était une manière de plaire à son jeune amant, c'était carrément l'opposé de ce qui advenait à cet instant.

Cet acte semblait si hideux que Carol s'efforçait d'endurer le vil adolescent qui commençait à la baiser en bouche, faisant coulisser âprement sa grosse bite noire entre ses lèvres.

C'est alors que le jeune Nate souffla :

- Oh prof chérie..... Oh mon Dieu... C'est si bon de te baiser! .... J'en rêve depuis si longtemps! ...... Si foutrement longtemps! .... Je ne vais plus tarder à tamidonner les amygdales! .....

Quelle qu'en soit la raison le fait qu'il risquait d'éjaculer dans sa bouche ne lui avait même pas effleuré l'esprit?

Elle posa ses mains sur les cuisses de Nate cherchant de toutes ses fai-bles forces à le repousser pour extraire sa grosse bite de sa bouche, mais elle luttait en vain son agresseur était bien plus fort qu'elle, il accrocha encore plus fermement ses cheveux et la retint en place alors qu'il grognait

- Ahhh prof.... Ohhhhhh Carol ... Oh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii... Je vais jouirr-rrrrrrrrrrrrrrrr...... Ca y'est je gicle dans ta bouche! ...... sa bite enfla encore dans sa bouche, Carol sentit les chauds jets de son éjaculation s'écouler dans sa gorge avant de tracer son chemin vers son estomac.

Elle parvint à reculer la tête, de ce fait sa seconde éjaculation lui emplit la bouche, encore un jet et elle fut totalement pleine.

Incapable de recracher la semence qu'elle avait en bouche, Carol n'avait pas d'autre choix que d'avaler son répugnant foutre alors qu'il continuait jet après jet à se vider les couilles dans sa bouche rétive.

De plus, circonstance aggravante il l'encourageait :

- Ah oui ma petite prof..... Comme ça... Ah ouiiiiii...... T'es une suceuse de première! ..... Ah oui, vide-moi les couilles ma prof chérie! ..... Bouffe tout ce foutre crémeux que je t'injecte en pleine gorge! ..... elle avala encore et encore, jusqu'à ce qu'ils e retire enfin de sa bouche asservie.

Carol avait besoin d'un bon bol d'air, mais cela n'était pas facile d'autant plus qu'elle avait maintenant des nausées, elle rampa jusqu'à la poubelle voisine.

- Arrrrrrrrhhhhhhh...... Arrrruuuckkkkk..... Aarccckkkkkkkkkk!...... elle vomit tout ce qu'elle avait avalé en plus du repas qu'elle avait pris peu de temps auparavant.

Elle se sentait si malade à cet instant, elle était si concentrée sur ses hauts le cœur, qu'elle ne se rendait pas compte qu'il descendait la ferme-ture éclair du dos de sa robe, puis qu'il déclipsait son soutien-gorge, elle ne s'en rendit compte que lorsque des mains calleuses s'emparèrent de ses nichons pour les palper avidement.

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