Changements de vie pour Jessica 15

BÊTA PUBLIQUE

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- Quel est le retour sur investissement que tu as calculé Justin? Demande soudainement BLAKE au stagiaire.

A ce moment précis, chaque centimètre de sa queue est dans ma gorge et mon nez est pressé contre son ventre. La question surprend tellement Justin qu'il perd le contrôle et son sexe explose involontairement.

- Aaaaahhhhh... Je... Je l'ai écrit... quelque part... Balbutie-t-il en se tortillant sur sa chaise.

Et pendant tout ce temps, ce crétin gicle dans ma bouche un long et épais filet de foutre qui recouvre ma langue. Il éjacule si rapidement que je ne peux mettre en place le gobelet en plastique. Alors je rassemble son sperme dans ma bouche et je le garde.

- Tout va bien? Tu es un peu rouge. Tu n'es pas malade non? Demande BLAKE avec une inquiétude sincère.

Sous la table je suis sur le point de rire. La situation est trop absurde.

- Non monsieur, je vais bien. Je suis juste un peu agité. J'ai du trop boire de café aujourd'hui. Répond Justin.

A genoux entre ses jambes, je porte le gobelet en plastique sous mon visage et j'ouvre la bouche pour laisser le foutre couler dans le récipient. Deux de fait! Deux autres à faire! En me précipitant vers Matt, je suis déterminée à régler ça rapidement. Je ne peux pas me permettre que BLAKE soit alerté. Le ton irrité de sa voix me dit qu'il est énervé par le manque d'attention des stagiaires. Un autre incident comme celui avec Justin et il va y regarder de plus près.

Mais ce n'est pas facile de faire jouir Daniel et Matt. Ils ont beaucoup plus d'endurance que les deux autres. Deux fois encore je passe de l'un à l'autre. J'essaie de leur chatouiller les couilles, de bien lécher leur gland et de les sucer habilement, mais rien ne semble pouvoir déclencher leur plaisir. Leurs queues restent durs et stables. Et pendant ce temps, ils continuent à débattre avec BLAKE comme si je n'étais pas là à sucer leurs bites.

Lors du troisième passage chez Daniel, j'essaie une nouvelle approche. Alors que je suce avidement son membre, je passe ma main droite sous ses couilles et je la pousse jusqu'à son cul. Et je commence à faire glisser l'extrémité de mes faux ongles sur sa raie.

Puis je place mon doigt sur son trou du cul. Je frotte doucement son sphincter avant d'enfoncer mon index dans son passage anal. Finalement mon problème est résolu.

Alors qu'il soulève son cul de la chaise, Daniel jouit. Toutefois son mouvement brusque me prend par surprise et ma tête est poussée vers le haut par son entrejambe. Elle heurte bruyamment le dessous de la table.

- C'est quoi ce bruit? Demande BLAKE.

Et merde! J'avais réussi à rester silencieuse jusque là et je vais me faire découvrir au dernier moment. C'est vraiment injuste!

Pendant que je laisse Daniel vider ses couilles dans ma bouche pour que je collecte son foutre, Le collaborateur s'approche de la table pour voir d'où est venu le bruit. Je peux voir ses chaussures passer devant moi.

Il marche de long en large, passant plusieurs fois sous mes yeux. Chaque fois que ses chaussures sont en face de moi, mon cœur fait un bond et ma nervosité augmente. Je commence à paniquer. Je me sens comme une souris dans un trou traquée par un prédateur.

« S'il te plaît Daniel, trouve une bonne excuse!» prié-je tout en gardant les lèvres fermées autour de sa bite et en le laissant se vider giclées après giclées dans ma bouche. « S'il vous plaît, que quelqu'un dise quelque chose ».

En fin de compte Daniel invente une excuse :

- J'ai tapé la table avec mon poing. Mon ordinateur portable perd constamment sa connexion wifi, ça m'énerve.

Je vois BLAKE qui s'arrête de marcher. De toute évidence il regarde l'ordinateur sur la table. A tout moment il peut découvrir qu'on lui raconte des conneries.

- Bien les gars, qu'est-ce qui se passe? Vous êtes bizarre depuis tout à l'heure. Vous êtes totalement distrait. Demande le collaborateur.

C'est Matt qui lui répond :

- Désolé Monsieur, Mademoiselle ADDAMS nous a tenu occupé toute la semaine avec des tonnes de choses à faire. Elle fixe des délais si serrés qu'il nous est difficile de nous concentrer sur d'autres tâches.

Putain de merde! Ce connard m'accuse de leur distraction. Et il me laisse même l'entendre. Quel enfoiré!

Mais d'une certaine manière il a raison. J'avais été la cause de leur distraction, même s'il s'agit de mes compétences à sucer une bite et non de mes compétences dans le travail.

BLAKE semble d'accord avec Matt.

- Je sais que Mademoiselle ADDAMS a tendance à exagérer avec la charge de travail. Mais tout le monde ne vit pas pour le travail, n'est-ce pas? Elle est dure avec les stagiaires. Ne vous laissez pas malmener.

Quoi? Je suis dure avec les stagiaires? C'est plutôt eux qui sont durs avec moi, ou plutôt dur en moi. Une fois de plus l'absurdité de la chose m'amène à ricaner. Je me sens comme un pantin pathétique.

En fin de compte, BLAKE semble satisfait de l'excuse de Matt.

- Quoi qu'il en soit c'est comme ça. Néanmoins j'ai besoin de vous pour ces dossiers. C'est un projet très coûteux, donc c'est important pour la société.

Durant les cinq prochaines minutes, BLAKE leur donne de nouvelles tâches. Pendant ce temps, je me déplace entre les genoux de Matt et je suce sa bite. Il a gagné le jeu de la roulette russe. Quelle merde! C'est la dernière personne que je voulais voir gagner. Pourtant je suis à ses pieds et je lui fais une bonne fellation pour qu'il jouisse maintenant en sachant qu'il m'enculera dans l'après-midi. Quelle dégradation!

Je branle sa tige à grande vitesse tout en suçant et léchant son gland. Quelques instants avant que Blake finisse, Matt finit par jouir. Je dirige sa bite vers le gobelet en plastique et il gicle trois épais jets de sperme. Son foutre est si épais qu'il colle aux parois du gobelet et coule lentement. Après avoir passé les quatre gars il y a un gros tas de foutre au fond du gobelet.

Beurk, ça a l'air si visqueux et collant. Ce n'est pas du tout appétissant. Malgré tout, mon estomac gronde pour me rappeler que je n'ai rien mangé. Et avec le régime imposé par Daniel, le foutre épais ets tout ce que je peux obtenir. C'est une autre humiliation mise en place par Daniel avec le jeu Pierre-Papier-Ciseaux.

Finalement, Blake finit de donner ses instructions et il est sur le point de partir. De dessous la table, je vois ses chaussures se diriger vers la porte. Mais soudain il s'arrête et demande aux stagiaires :

- Qu'est-ce que c'est que ça? Ce n'est pas à mademoiselle ADDAMS?

Il montre un objet sur le sol. C'est mon sac à main. Je l'avais posé près du mur quand j'étais entrée dans la salle de conférence. Je l'avais placé près de la porte parce que j'avais l'intention de repartir rapidement.

Et merde! Et si BLAKE décide de le ramasser et de l'amener à mon bureau? Il ne m'y trouvera pas.

Merde de merde de merde!

Et s'il regarde à l'intérieur? Il trouvera le gode en silicone rose.

C'est alors que Daniel dit à BLAKE sur un ton neutre :

- Oh, mademoiselle ADDAMS a utilisé la salle avant nous. Et je pense qu'elle doit être en pause déjeuner en ce moment. Mais, j'ai un rendez-vous avec elle plus tard aujourd'hui, donc je peux lui apporter.

- Ok. Je n'ai pas le temps de m'occuper de ses affaires. Dit BLAKE en ramassant le sac à main.

« S'il te plaît ne l'ouvre pas, ne l'ouvre pas » Prié-je en silence. Finalement j'ai de la chance pour une fois. Il le tend simplement à Daniel puis il quitte la salle de conférence. Je pousse un soupir de soulagement.

-Pheeewwwww!

Le visage de Daniel apparaît alors qu'il se baisse. Avec un grand sourire sur sa figure, il ouvre le sac à main et sort la fausse glace rose. Il l'agite devant moi.

- Alors... Est-ce que tu espérais qu'il trouve ça, petite chatte? Dit-il en riant.

« Putain de connard » pensé-je ne prenant un air renfrogné.

- héhéhé! Tu as raison d'être énervée. Mais je ne voulais pas qu'il le découvre non plus. Je ne veux pas perdre mon animal de compagnie. Dit-il en me caressant la tête.

- Où trouverai-je une soumise aussi charmante? Ajoute-t-il.

Houlala! Je ne m'attendais pas à une telle tendresse de ce voyou macho. Mais il semble sincère. Toutefois le moment tendre est déjà terminé. Il me montre le gobelet dans mes mains et me dit :

- C'est l'heure de ton déjeuner salope!

Je regarde à l'intérieur du récipient et j'ai l'impression que la flaque de sperme est figée. Ça semble encore plus épais et gluant qu'auparavant. Après être sortie de dessous la table en rampant, je reste à genoux et je regarde les garçons qui attendent. Lentement, je porte le gobelet à ma bouche et je le renverse.

Pour donner un bon spectacle aux stagiaires, je tiens le récipient à quelques centimètres de mes lèvres pour que le sperme s'égoutte sur ma langue tirée. C'est tellement épais qu'il glisse lentement.

Mon Dieu! Je suis agenouillée dans la salle de conférence en train de verser du sperme dans ma bouche et de l'avaler pour le déjeuner. A tout moment un de mes subordonnés pourrait arriver. Ça me donne la chair de poule.

Amas après amas, les gouttes de sperme coulent sur ma langue et bientôt un flot épais de foutre sort du gobelet pour atterrir dans ma bouche. Les garçons sont tellement étonnés du spectacle qu'ils observent en silence.

Quand ma bouche est pleine, il reste encore la moitié du liquide dans le récipient. En essayant d'avaler le sperme visqueux, je me rends compte que je ne peux pas le faire d'un coup. J'ai l'impression qu'il me colle à la gorge. Il faut que je mâche.

Le reste du gobelet n'est pas plus facile à avaler. Le goût est horrible et ma gorge me fait mal à force de m'obliger à déglutir. Toutefois je regarde les garçons triomphalement et avec un sourire éclatant je présente ma bouche vide.

En remontant le couloir qui mène aux escaliers, je prends une profonde inspiration. Ouf, je ne peux même pas dire à quel point je suis soulagée. J'étais proche de me faire prendre. Daniel n'a jamais pris autant de risques auparavant. Pour la première fois, nous avons failli être vus. Heureusement nous avons eu de la chance et BLAKE n'a rien vu.

Perdue dans mes pensées, je ne remarque pas que la porte des toilettes pour homme s'ouvre. Surprise, je lève les yeux alors que je heurte presque BLAKE. Il sort des toilettes.

- Bonjour mademoiselle ADDAMS, je pensais que vous étiez sortie pour déjeuner. Me dit-il.

- Oh... Oui... Je... Je viens juste de rentrer. Balbutié-je en essayant de reprendre mes esprits.

Cependant il ne m'écoute pas vraiment. Au lieu de ça, son regard est fixé sur ma poitrine. Il remarque certainement que ma robe est tirée sur mes seins pressés. Au début, il fronce le front, se demandant pourquoi une directrice porte une tenue aussi inappropriée au bureau. Mais ensuite, son froncement de sourcils se transforme en regard lubrique alors qu'il continue de fixer ma poitrine.

Cette situation me fait rougir et ne fait qu'augmenter mon balbutiement. Zut, je veux m'éloigner de sa vue. Il parlera certainement à ORTEGA de mon apparence délurée. Je n'ai pas besoin de ça.

- Vous avez oublié votre sac à main dans la salle de conférence. Daniel l'a gardé pour vous. Me dit-il finalement.

- Oh, je ne l'ai même pas remarqué. Hi hi hi! Merci, je vais aller le chercher.

J'essaie de dissimuler mon oubli apparent avec un rire, mais ça me rend tellement stupide.

- Pas de problème, mademoiselle ADDAMS. Je ne savais pas que vous étiez fan de bijoux. Me répond-il en me montrant mes bracelets en argent.

Mon rougissement prend une teinte pourpre lorsqu'il jette un coup d'œil au bracelet avec la règle sur mon bras droit et celui avec les dés sur mon bras gauche.

- Ont-ils une signification spécifique?

Il reste fixé sur celui avec les dés.

- Il y a des lettres non?

Mon Dieu! Je voudrais mettre mes bras dans mon dos et cacher mes bracelets. Mais ça aurait été louche non? Alors je me force à garder mes bijoux à la vue de mon collègue.

Oui, les lettres on une signification? Elles disent au monde que je suis Miss BRATZ, le jouet de luxe des stagiaires. Bien sûr je ne lui dis pas ça même si je le pense.

- C'est... C'est... C'est... un vieil héritage de famille. Ma mère me l'a donné. Dis-je pour essayer de me sortir de cette situation difficile.

- Mais il n'y a pas de mot particulier. Les dés tournent continuellement. Hi hi hi!

Une fois encore, j'essaie de dissimuler les incohérences de mon récit sous un rire de façade. Cependant, la façon dont Blake me regarde me dit qu'il ne croie pas mon mensonge. Merde, il doit avoir identifié le mot. Et puis-je comment puis-je faire croire qu'un bracelet de pute est un héritage de famille. Il y a beaucoup trop de choses non crédibles dans mon histoire.

Ça va sûrement créer des commérages. Je n'aime pas ça. Je n'aime pas du tout. Mais je ne sais pas comment l'empêcher non plus. Tout ce que je peux faire c'est de faire cesser les commérages avec mon rendement au travail. Qui va se soucier si je m'habille sexy et que je porte des tonnes de bijoux, si je réalise de bons bénéfices pour la société?

Bien que BLAKE ne soit pas convaincu, il ne me demande plus rien. Notre conversation étant terminée, je retourne à mon bureau.

Quand j'y suis, il me faut un peu de temps pour me calmer. Les stagiaires m'ont utilisée devant un subordonné. C'est vraiment dérangeant. Je suis dans l'expectative pour la prochaine partie de Pierre-Papier-Ciseaux. D'un côté j'ai peur du défi à venir si je perds. D'un autre côté cette simple pensée fait palpiter ma chatte.

A suivre...

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7 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 2 ans

Bonjour,

Personellement, j'aime les histoire qui dure comme celle ci.

Merci à toi pour ce réçit, j'adore

charlottelovesexeardbdsmcharlottelovesexeardbdsmil y a environ 2 ans

Merci mon cher trouchard pour cette précision, j'en profite pour m'excuser de l'avancement de mon récit l'avocate", mais les problèmes sérieux de santé ne me permette pas de continuer pour le moment, en plus je suis un peu coincée, et ne sait pas comment redémarrer l'histoire, si une âme charitable peux m'éclairer un peu, je suis perdue

trouchardtrouchardil y a environ 2 ansAuteur

Merci pour vos commentaires.

Il faut savoir que l'histoire originale comprend 28 parties, mais l'auteur étant très prolifique, ses parties font de 7 à 8 pages. Donc je les coupe en trois pour les publier. J'ai 21 parties donc ça ne correspond qu'à 8 parties en anglais.

Comme Charlotte, je trouve que l'histoire commence à tourner en rond ce qui fait que j'ai moins de courage à continuer à traduire. De plus, il y a énormément de référence à la culture américaine qui n'ont pas d'équivalents francophones, donc ces textes m'obligent à des recherches qui allongent le temps de traduction.

Si je peux donner un conseil aux auteurs, préparez dès le début la fin de votre histoire pour ne pas entrer dans une longueur qui devient pénible.

Encore merci à mes lecteurs.

AnonymousAnonymeil y a environ 2 ans

C'est toujours un bonheur de lire les nouveaux épisodes de cette série. Je ne m'en lasse pas.

Phil

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