Changements de vie pour Jessica 14

BÊTA PUBLIQUE

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Mais, la dernière fois, il me prend au dépourvu. Alors que je saute, il pousse la fausse glace vers le bas. Alors que ma bouche monte, l'objet descend. Si bien que cette fausse bite est bientôt complètement enterrée dans mon gosier. J'ai tout le gode dans la bouche. Rien n'a jamais été poussé si loin dans ma gorge.

- BBBLLLLLLUUUUURRRGGGHHHHH !

Un seul gargouillis jaillit de ma bouche. J'étouffe, je tousse et j'éjecte l'objet en même temps. Ce qui fait que toute ma bave s'échappe de ma bouche. Comme j'ai la tête relevée, elle jaillit comme une fontaine et s'étale sur mes joues et mon menton. C'est épais et gluant. Pouah ! C'est dégueulasse !

Malgré tout, je réalise avec fierté que le gode n'a pas réussi à me faire vomir. Je suis une trop bonne salope. Ma gorge devient bien dressée. Mon Dieu ! Daniel m'a vraiment bien corrompue pour que j'ai de telles idées. Pire encore, ces pensées me remplissent de fierté.

Néanmoins, je suis tombée dans le piège de Matt et je me suis moi-même étouffée avec la fausse glace en silicone. Je l'ai fait moi-même ! C'est un fait dont nous sommes tous les deux conscients comme le montre son sourire diabolique sur son visage.

- le temps est écoulé. Tu as réussi à tout enfoncer. Le gode est fait pour ça petite chatte ! Intervient Taylor.

Et il continue :

-Mais c'était trop tard, les cinq minutes étaient écoulées. Tu n'as pas réussi le défi en temps et en heure donc tu n'es pas autorisée à jouir aujourd'hui.

- Dommage salope ! Ajoute Matt avec un sourire narquois.

C'est pas normal ! J'ai réussi ! Je me suis faite étouffer brutalement ! Pourtant ça ne compte pas. Je suis déçue, je suis triste de ne pas avoir le droit de jouir. Cependant je suis tout aussi triste de n'avoir pas réussi à temps. Je suis triste de ma performance.

- Tu as quand même ta tâche quotidienne à accomplir ! Dit Daniel en me tendant le gode en silicone.

Les mains tremblantes, je saisis l'instrument de mon humiliation. Je sais de quoi il parle. Je dois me masturber et je n'ai pas le droit de jouir. Même si je suis déçue, l'idée de jouer avec mon clitoris est trop tentante, peu importe le résultat. Je veux vraiment me caresser la chatte.

En m'accroupissant, j'écarte mes jambes, montrant ainsi ma chatte lisse et rasée. Je tiens le gode dans la main droite et je pousse le bout contre les lèvres de ma chatte. J'ai cinq minutes et mon sexe palpite déjà. Je peux prendre mon temps. Je commence à caresser chacune de mes petites lèvres gonflées avec le gode.

- Ohhhh !

C'est tellement bon. Je vais très lentement en savourant chaque sensation émanant de ma chatte. Finalement, j'atteins mon clitoris avec l'objet en silicone. Pendant quelques secondes, je le laisse simplement reposer sur mon petit bouton sensible. Puis je commence à frotter doucement.

- Oohhhhhh putain !

Il faut que je me concentre pour ne pas gémir bruyamment. Je suis toujours dans mon bureau avec des collègues à proximité. Toutefois, le plaisir qui émane de ma chatte rend difficile ma concentration et mon silence.

Tout en frottant mon clitoris avec le gode, je tends la main gauche et je plonge deux doigts manucurés dans ma fente humide et chaude.

- Mmmmmm...

Je suis au bord de l'orgasme. Je dois faire attention maintenant. Les stagiaires me surveillent de près, profitant du spectacle obscène que je donne. Ils remarqueront tout de suite si je jouis.

Mais il n'est pas loin. L'orgasme se rapproche. Chaque fibre de mon corps aspire à cette délivrance. Je veux frotter mon clitoris plus fort. Je veux pincer mes mamelons. Je veux faire n'importe quoi pour jouir. Mais je ne le fais pas.

Chaque nerf de mon corps est à vif. Tout mon être aspire à être libéré. Mes jambes commencent à trembler. Je tombe presque sur mon cul. Mon corps est à la limite.

Je suis dans un état pitoyable. Mon excitation est aussi intense que mon besoin psychologique. Je n'arrive pas à m'arrêter. Alors, avec un dernier brin de volonté, je lève ma main gauche et la laisse tomber sur mon autre main pour me faire lâcher le gode et le faire tomber sur le sol.

Mes jambes continuent de trembler. Mon entrejambe s'agite pour essayer de trouver une autre stimulation. Mais il n'y en a pas. J'ai refusé l'orgasme et ça me laisse autant épuisée qu'envieuse.

Ça prend du temps avant que je reprenne mes esprits et que je vois les quatre gars. Leurs regards me disent à quel point ils sont impressionnés par ma performance.

- Tu arrives à bien te maîtriser petite chatte. Je t'ai bien entraîné. Me félicite Daniel.

Puis il continue :

- Tu ferais mieux de refaire ton maquillage ma petite pute de bureau. Tu ne veux pas que tes subordonnés te voient ainsi, n'est-ce pas ?

Ses paroles me font paniquer intérieurement. Je n'ai pas pensé à mon maquillage. Avec toutes les larmes que j'ai versées et la bave, je dois être affreuse.

Remettant à la hâte ma robe, je me précipite hors de mon bureau. Je cours vers les toilettes pour femme, les yeux rivés au sol. A chaque pas, je prie pour ne pas rencontrer ORTEGA ou O'BANNON. Ça aurait été la fin de ma carrière.

Heureusement il n'y a personne dans le couloir et j'arrive aux toilettes sans rencontrer personne. En me regardant dans le miroir, je vois que mon mascara a complètement coulé en de longs et minces fils noirs sur mes joues. De plus, mon menton et mes joues brillent comme du papier glacé. Mon visage ressemble plus à un masque de clown qu'à une femme d'affaires au style élégant.

J'aurais bien pris une douche car mes seins étaient recouverts de bave visqueuse. Mais je dois faire avec et me concentrer sur mon maquillage. Il me faut plusieurs minutes pour que le travail soit assez convaincant et supprime toutes les séquelles de mon entraînement de gorge profonde.

Putain de merde ! Nous ne sommes même pas à l'heure du déjeuner et je dois déjà refaire mon apparence. La façon dont les gars s'amusent de moi à tour de rôle me fait réfléchir. Chaque stagiaire essaie de surpasser le précédent en m'humiliant de façon plus dure et dégradante. Comment cela va-t-il finir ? Je ne peux qu'espérer que Daniel va me protéger. Mais je crois que la journée de bureau va être longue.

A suivre...

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