Changements de vie pour Jessica 13

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C'est le tour des stagiaires.
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Partie 13 de la série de 25 pièces

Actualisé 01/08/2024
Créé 07/28/2021
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Je remercie Cathartico de m'avoir permis se traduire son histoire "Jessica's Change Management" que vous pouvez trouver sur la partie anglophone de ce site.

*******

C'est le tour des stagiaires.

MERDE!

Je deviens blanche. La surprise me frappe si fort que j'ai l'impression que le temps s'arrête avant que la panique me saisisse. Je deviens hystérique.

Levant les yeux, je vois trois visages apparaître au-dessus des demi-cloisons. Justin, Matt et Taylor se sont levés et commencent à applaudir. Ils ont vu tout le spectacle que je viens de donner. Ils applaudissent mes efforts. Qu'est-ce qui se passe? Mon esprit ne fonctionne plus.

- Une performance d'enfer? Il fallait que je la vois pour y croire! Laisse échapper Justin.

- Ouais! Toutes les histoires que nous a racontées Daniel semblaient trop belles pour être vraies. Ajoute Matt.

Ce n'est pas vrai! Non! Non non non! Ça ne peut pas arriver!

Tous les stagiaires viennent de me voir. Ces garçons âgés de vingt ans viennent de voir une directrice respectée et cultivée pousser un marqueur dans son cul.

Daniel m'a trahi! Il a dévoilé notre secret! Il a mis ses collègues stagiaires au courant.

Je commence à avoir la nausée. Tout devient incontrôlable maintenant. Si un seul gars ne peut pas garder un secret alors quatre le peuvent encore moins. Je suis dans la merde! Je peux déjà entendre les commérages se répandre dans la société.

Je voudrais fuir, mais je suis trop assommée pour faire un geste. Je reste debout dans le bureau des stagiaires pendant que ceux-ci tournent autour de moi. Daniel commence à parler :

- Pourquoi ne ferions-nous pas une pause? Je parie que vous êtes tous impatients de voir Miss Pute de Bureau en chair et en os hein?

Je suis trop choquée pour bouger quand les stagiaires sortent du bureau. Daniel doit me prendre la main et me tirer. Je me remets à réfléchir. Ma situation est vraiment mauvaise, mais je ne peux pas laisser empirer les choses. Mes subordonnés ne doivent pas me voir me faire entraîner par mon stagiaire. Je réagis donc en lui lâchant la main et en laissant une distance de sécurité derrière les stagiaires pour garder contenance.

Pendant tout le trajet, mon cœur bat si fort que je n'entends même plus le cliquetis de mes bracelets en argent ni le claquement de mes talons sur le sol. J'ai du mal à comprendre ce qui se passe. Ma tête passe en revue tout ce que j'ai fait. Maintenant c'est trop tard ; le pire est arrivé. Que puis-je faire d'autre que de faire bonne figure et d'essayer de minimiser les conséquences.

Quand les quatre garçons descendent au sous-sol, je comprends où nous allons. Ils se dirigent vers la salle de repos qui est seulement utilisée par les gardiens.

Quand on arrive devant la porte, je m'arrête et j'hésite. J'ai l'impression que c'est un point de non-retour. Dieu seul sait ce qui va se passer à l'intérieur. Où vais-je à partir d'ici? Comment vais-je survivre pendant le reste de leur stage s'ils sont au courant?

Mes pensées sont interrompues par Daniel. Il commence à être impatient de pouvoir montrer son animal de compagnie. De toute évidence il se sent en sécurité au sous-sol car il attrape mes cheveux châtains. Puis en tirant dessus, il me penche et me traîne dans la pièce comme une esclave.

La brusquerie de ce voyou attise ma colère, et finalement, le choc est atténué par ma rage. Je commence à me débattre violemment contre sa main, mais en vain. Dès qu'il lâche mes cheveux je me redresse.

Mon visage est rouge de couleur. Je bafouille dans ma crise de colère. Et je ne me soucie même pas que les autres stagiaires me voient comme ça.

- Tu... Putain... Connard. A quoi penses-tu abruti? Qu'est-ce que tu crois me faire ici? Crié-je.

Nous avons fait tellement de choses. Et maintenant ça? Il m'a mise en rage! Je l'avais accepté comme mon homme. Je lui avais permis de me transformer en animal de compagnie. J'avais eu envie qu'il me domine.

Cependant tous ces sentiments ont disparu pour le moment. Je me suis sentie honteuse et trahie. Daniel avait osé m'exposer et me rendre ridicule devant les autres stagiaires. Je continue à lui crier dessus :

- Tu es allé trop loin enfoiré! Pourquoi ne pouvais-tu te satisfaire de ce que tu avais?

Le fait de ressentir autant de déception que de désespoir me rend encore plus furieuse.

Mon déchaînement et mes cris font que le jeune latino se rapproche de moi. Sa haute silhouette domine mon petit corps. Toutefois il ne s'énerve pas. Il devient très sérieux pendant une seconde. Il me chuchote à l'oreille :

- Désolé petite chatte! Les gars soupçonnaient quelque chose. Je ne pouvais plus leur cacher. De toute façon ils étaient sur le point de deviner.

Puis il essaie de me raisonner :

- Tu préfères les voir dans l'action plutôt qu'ils aillent parler de leurs idées à ton patron n'est-ce pas? Ne t'inquiète pas! Tant que tu es avec moi, ils feront ce que je dis. Notre petit secret est en sécurité avec eux.

Son empathie subite me prend par surprise, mais ça ne suffit pas à me calmer. Bien sûr, je ne veux pas qu'ils parlent de moi. Mais je ne les veux pas non plus. Je veux que mon épreuve se termine. Je veux revenir en arrière, au temps où je ne connaissais pas encore ce voyou macho.

Les picotements soudains de ma chatte m'indiquent que mes pensées ne sont pas en accord avec mon corps. Je suis complètement partagée à l'intérieur. Autant je déteste la façon dont Daniel a joué avec le feu, autant je veux sa domination.

- Mieux vaut être reconnaissant mademoiselle. Fais-toi plaisir avec mes amis et donne leur le respect qu'ils méritent. Me réprimande Daniel.

Puis il ordonne sèchement :

- Montre-leur qui est ton homme! Et excuse-toi d'avoir fait une crise!

Son changement soudain de comportement me prend au dépourvu. Son empathie a disparu. Son caractère dominateur est de retour et il prend le contrôle de la situation. Son audace me coupe le souffle.

Ce bâtard macho a la prétention de m'engueuler devant ces collègues. Nous ne sommes pas seuls. Ce ne sont pas des membres de son gang. C'est d'autres stagiaires de mon entreprise. Ça fait une énorme différence pour moi. Je crache alors :

- Va te faire foutre! Je ne fais rien devant eux! Ce n'est pas leur affaire.

Daniel se contente de rigoler ;

- Hé hé hé hé! Il est un peu trop tard pour faire une crise, tu ne crois pas? Bien que je doive dire que c'est amusant de te voir t'époumoner en vain.

Puis il demande plus sérieusement :

- Tu te souviens des règles, petit animal de compagnie? Tu dois faire me faire plaisir une fois par jour. Et je peux inclure n'importe quoi ou n'importe qui. Et aujourd'hui je décide d'inclure mes collègues.

Il se moque de moi :

- C'est idiot hein? Mais tu ne veux pas enfreindre les règles n'est-ce pas? Tu veux être un bon animal de compagnie non? Alors dépêche-toi salope de t'excuser!

Son petit discours est accueilli par des ricanements des autres stagiaires. Je me sens complètement trompée. Une fois encore, Daniel a réussi habilement à prendre le dessus. Pire encore, la façon dont il vient d'élever la voix me laisse sentir sa domination et étouffe ma colère. Même avec les autres autour de moi, je ne peux m'empêcher de glisser en mode soumission.

En tant que directrice d'un département, mon travail consiste à évaluer les compétences des membres de mon équipe et à utiliser leurs points forts à bon escient. Daniel fait la même chose. Il a identifié comment me soumettre et il sait parfaitement.

l'utiliser.

Que cela me plaise ou non, il a raison. Après tout, je me suis engagée à respecter les règles. Je ne peux pas me dédire au premier obstacle non? En conséquence il faut que je suive les règles. Et encore mieux ; je ressens le besoin de montrer à Daniel que je suis toujours sa pute obéissante. Je n'aime pas le fait qu'il ait introduit les autres stagiaires dans notre secret, mais je ne décide pas. Mon rôle est de suivre ses ordres et non de prendre des décisions.

Je baisse la tête et je me rends. D'une certaine manière, ça ne ressemble pas à une défaite. C'est seulement une autre étape de ma transformation. Daniel a réussi à utiliser les règles pour me montrer à ses collègues. Il a gagné plus de soumission de ma part.

- Prête à t'excuser maintenant? Dit le latino en retournant le sel dans la plaie.

- Je suis... désolé... Monsieur Daniel! Dis-je avec hésitation d'une voix basse.

Le jeune macho réagit à mes excuses timides en saisissant ma veste blanche et en tirant sur les pans. Je baisse les yeux et je vois mes gros seins fermes gicler sous la dentelle tandis que mon corset devient visible.

Mon premier réflexe est de lever les bras pour couvrir mes gros nichons, mais le regarde sévère de Daniel m'arrête. Je laisse mes bas pendre à mes côtés et je laisse les stagiaires avoir une vue complète de mon corset léopard. Putain, je me sens si gênée!

- S'il vous plaît Monsieur, ce n'est pas bien. Je suis votre patronne! Supplié-je.

Puis je m'adresse aux autres jeunes gens dans un plaidoyer pathétique :

- Je suis la patronne de vous tous. Vous ne devez pas me voir comme ça!

- Trop tard hein? Mes collègues savent déjà que tu es une Pute de Bureau. Répond simplement Daniel.

Et il ajoute pour enfoncer le clou :

- Regarde tes ongles longs fraîchement manucurés! Et tes bijoux bling-bling! Tu te plains, mais pour attirer leur attention, ne le nie pas!

Puis il dit à ses collègues stagiaires :

- Vous pouvez le croire les amis, c'est une putain qui aime l'attention que l'on peut lui porter. Elle était si heureuse de se faire baiser par mes potes qu'elle s'est faite faire un tatouage pour eux.

Subitement il m'ordonne :

- Montre-leur!

Mon visage est cramoisi de honte et ma lèvre inférieure tremble d'embarras. Je ne peux quand même pas montrer mes tatouages de bronzage à ces jeunes stagiaires. Ils vont perdre les dernières miettes de respect qu'ils peuvent encore avoir à mon égard. Mais malgré ma réticence , j'obéis à l'ordre de Daniel. Tirant la jupe en cuir de quelques centimètres vers le bas, je révèle le sigle « LGZ » au-dessus de mon entrejambe.

L'incrédulité dans les yeux des garçons me fait encore plus trembler. Et la présentation de mon corps n'est pas terminée. Le visage brûlant de honte, je me retourne et je leur montre mon dos. Ils sifflent d'admiration quand il voit le grand tatouage de bronzage sur le bas de mon dos.

- Waouuuuhhh! Qui s'en serait douté? Notre patronne s'avère être une poupée d'enfer. Dit Justin.

- Ouais! j'ai toujours su que c'était une salope! Rétorque Matt.

- Bon sang, elle est modelée comme une putain de poupée de luxe. Dit Taylor en prenant la parole pour la première fois?

Leurs commentaires me couvrent de ridicule. Je ferme les yeux. Avec cette tenue sexy, les bijoux scintillants et ces tatouages, ils ne peuvent me voir que comme un bimbo de bureau. Ils ne me voient plus comme une directrice, mais seulement comme un morceau de viande sur lequel ils veulent mettre la main. Cette pensée envoie des picotements dans ma chatte.

- Maintenant mets-toi à genoux salope! Et dis pardon à ces braves garçons! Ordonne Daniel.

Au début, je regarde autour de moi avec hésitation. Je sais qu'il veut que je rampe pour son amusement. Cependant nous sommes toujours dans l'immeuble de ma société. Mes collègues sont toujours au travail dans les étages supérieurs.

D'un autre côté, il n'y a pas de meilleur endroit dans l'immeuble. Aucun de ses collègues ne met jamais les pieds ici. Il est peu probable que quelqu'un les remarque. C'est certainement plus sûr ici que dans son bureau.

Toutefois une boule me reste dans la gorge lorsque j'enlève complètement ma veste blanche et que je la laisse tomber par terre. En remontant ma jupe en cuir sur mes hanches, je révèle le haut des bas imprimé léopard. Je me sens comme une pouffiasse idiote lorsque je me retrouve en entier en motifs léopard.

Daniel tend la main et pince mes mamelons à travers le tissu en dentelle. Un gémissement s'échappe de mes lèvres. Mes tétons sont durs et dressés, tout le monde peut le voir. Mon excitation refoulée est proche de l'ébullition. Et mon corps réagit sans retenue à tout contact. C'est si humiliant de me comporter comme une pute ordinaire devant ces jeunes garçons. Je voudrais crier mon désespoir.

- S'il vous plaît arrêtez, S'il vous plaît, laissez-moi un reste de dignité. Chuchoté-je au latino.

Mais il se moque de moi.

- Hé hé hé, une pute n'a pas de dignité.

Puis il m'ordonne tout en sachant que c'est dégradant :

- Maintenant agenouille-toi et montre-leur tes atouts!

Je réprime un sanglot, mais je ne discute pas. Je sors mes seins de leurs bonnets en dentelle et je me cambre pour les pousser en avant. Puis j'avance et je m'agenouille devant Justin, le stagiaire pervers. Je dois ravaler mon dégoût.

- Je m'excuse de m'être si mal conduite Monsieur Justin. Je suis l'animal de compagnie de Monsieur Daniel et je me suis énervée. Désolé pour ça!

Je n'arrive pas à croire que j'appelle ce jeune homme « Monsieur ». Je commence à être habile dans mon rôle de soumise. Les genoux écartés, je saisis les petites lèvres de ma chatte avec deux doigts et je les écarte, pour montrer la chair rose de mon sexe.

- Aimez-vous la chatte de la salope Monsieur? Demandé-je à ce stagiaire écœurant.

- Putain : j'ai toujours su que tu étais une vieille au cul chaud. C'est une chatte bien juteuse que tu as là, cougar aux gros nichons. S'exclame-t-il.

Me laissant agenouillée devant lui, Justin savoure du regard ma chatte exposée. Cependant il ne me touche pas. Donc je reste en position, endurant son inspection, jusqu'à ce qu'il finisse par hocher de la tête. Alors je me déplace sur les genoux, traînant mon gros cul jusqu'à Taylor.

- Je suis désolé d'avoir été une garce Monsieur Taylor. Je suis une vraie salope et j'en suis désolée. Dis-je au jeune homme noir.

Je me retourne sur mes genoux et je me baisse jusqu'à ce que mon visage touche le sol et que mon cul soit en l'air. Je passe mes bars dans le dos et avec mes doigts aux ongles longs j'écarte mes fesses pour montrer mon petit trou du cul.

- Aimez-vous le cul de Miss Pute de Bureau Monsieur? Demandé-je au stagiaire noir en me rappelant d'utiliser mon langage de salope.

En regardant le joueur de football musclé depuis ma position soumise sur le sol, je le vois hocher de la tête. Il semble étonné, ne sachant que faire.

- Cette cougar aime le cul. Regarde mec! Dit Daniel pour le faire bouger.

Encore hésitant, Taylor passe sa main sur mes fesses et le long de ma raie. Il laisse même un doigt se poser sur mon petit trou et il pousse légèrement.

- Elle a un trou du cul bien entraîné. Enfoncez deux doigts dans son cul et elle en demandera plus. Dit Daniel pour continuer à me dégrader devant ses amis stagiaires.

Les encouragements du latino incitent Taylor à pousser son index dans mon cul et à sonder l'étanchéité de mon sphincter. Puis il le retire et me fait signe pour m'indiquer qu'il a terminé.

Je me déplace jusqu'à Matt et, agenouillée devant lui, je dis :

- Cette stupide garce est désolée de s'être mal conduite Monsieur Matt. Je m'excuse sincèrement, ça ne se reproduira plus.

Comparé à ses deux autres collègues stagiaires, Matt se montre plus courageux en prenant immédiatement mes gros seins dans ses mains pour les pétrir.

- Tu es une salope taquine n'est-ce pas? Tu aimes draguer les jeunes garçons avec tes gros seins n'est-ce pas sale pute?

Il pince mes mamelons très fort, me faisant gémir. Prenant ma réaction pour un « oui », il malmène ma grosse poitrine plus brutalement qu'avant. Il n'arrête pas de tordre mes tétons sensibles jusqu'à ce que je dise :

- Oui Monsieur Matt, je suis une sale pute qui aime aguicher les hommes.

- Et tu aimes qu'ils soient violents avec toi salope?

Ce jeune salaud attrape de nouveau mes seins et pince une fois de plus mes tétons jusqu'à ce que je gémisse affirmativement.

- Montre-moi! Dit-il en me relâchant.

Il recule légèrement en me regardant avec un sourire vicieux. Il me faut quelques instants pour que je comprenne qu'il veut que je prenne la relève. Il veut que je lui montre à quel point j'aime être maltraitée. Toutefois, je ne veux rien montrer du tout. Je le pense dans ma tête, mais je n'ai pas vraiment voulu le dire.

Malgré tout, Daniel m'a ordonné de tout faire pour m'excuser et je ne peux pas me rétracter. Nerveusement je pose mes doigts sur mes gros nichons bien laiteux. Je fait le tour de mes aréoles avec le bout de mes faux ongles. Puis je rassemble tout mon courage pour pincer mes mamelons.

- Aie! Dis-je en sentant la douleur.

Mais Matt n'est pas impressionné, il dit :

- Oh c'est décevant. Tu as des ongles d'actrice porno, sers-toi en salope!

Après ce commentaire, je commence à passer mes ongles longs sur la chair tendre de mes gros seins. Je les enfonce et je laisse des traces rouges sur mes nichons. Ça ne me fait pas vraiment mal, ça picote légèrement. Et zut, contrairement à mes attentes, ça ne fait que m'exciter.

De plus en plus vite, je tords et martyrise mes gros melons. Ma peau me pique de partout, m'excitant de plus en plus. Enfin, je saisis mes tétons entre mes ongles longs et je les pince.

- Ooooooooohhhhh! Grogné-je.

Bon sang, je me suis emportée et je suis allée vraiment loin avec ma pauvre poitrine. Mais c'est si bon! Tout mon corps est en feu!

- Hé hé hé! Quelle salope gourmande! Elle a envie d'une grosse queue hein? J'ai l'impression que cette garce est prête à se faire mal quand elle n'a pas un mec pour l'utiliser.

Matt se moque de moi. Les autres stagiaires rient de moi. Et merde, quatre de mes stagiaires sont en train de se foutre de moi, leur directrice.

Quand Matt me renvoie d'un geste de la main dédaigneux, je me précipite vers Daniel et je reste à genoux devant le vieux canapé usé où il est assis. C'est là que le latino a une autre idée.

- Alors... Matt a eu l'idée du dé mais n'a vu le défi que par la caméra. Je crois qu'il est temps de laisser mes amis voir un défi en réel. C'est mieux, tu n'es pas d'accord, petite chatte?

Matt applaudit et dit :

- Ouais! Nous somme déjà à l'endroit parfait de toute façon.

Daniel suggère alors :

- Modifions un peu les règles alors! D'abord tu lanceras le dé pour déterminer la partie de ton corps. Et ensuite tu le relanceras pour déterminer le temps nécessaire pour réussir le défi que je te donnerai.

Réalisant que je vais devoir encore m'exposer devant les stagiaires, un frisson me glace le dos. Bien que je comprenne à peine les nouvelles règles, je n'ai pas le temps d'y réfléchir, car Daniel me donne le dé. Toujours à genoux, je le fais rouler sur le sol. Daniel annonce le résultat :

- Génial, c'est un 6. ça veut dire seins et cul!

Puis, après que j'ai relancé le dé :

- Et un deux! Donc tu vas avoir quatre minutes pour exposer tes gros atouts, seins et cul.

Puis il continue d'expliquer mon défi :

- Tu vas complètement te rhabiller. Et tu n'auras pas le droit d'utiliser tes mains. Il va falloir que tu sautes sur place pour nous montrer tes gros melons et ton gros arrière-train. Compris?

Pas de mains? Sauter sur place? Putain de merde! Ça semble aussi vicieux que difficile.

Le visage brûlant de honte, je me dépêche. Les quatre garçons s'assoient sur le vieux canapé et observent chacun de mes mouvements. Je vois que Daniel est fier de son animal de compagnie. Le regard de Matt est vraiment vicieux, Justin fixe ma grosse poitrine et Taylor semble encore hésitant et peu sûr de lui.

Face à eux, je tire ma jupe en cuir noir sur mon cul et je reboutonne ma veste blanche. Avec ma tenue de travail dans son état initial, je reste un moment sans bouger, ne sachant pas trop comment faire. Mais je suis pleinement consciente que je dois y aller ou le temps va me manquer.

Et si j'échoue? Mais j'abandonne rapidement cette idée et je me mets en mouvement. Avec précaution, je commence à sauter sur place à plusieurs reprises. Je sens la chair de mes seins vaciller dans les bonnets en dentelle. J'ai l'impression d'être une gamine qui sautille. C'est bête. Mais c'est pas assez non plus. De cette façon, mes nichons ne vont jamais sortir du gilet.

trouchard
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