Changements de vie pour Jessica 08

BÊTA PUBLIQUE

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Encore une fois, l'heure de quitter le bureau arrive et Daniel n'est pas encore revenu. Je n'en peux plus. J'ai besoin de me calmer. Alors je vais dans les toilettes femme et je m'asperge le visage d'eau froide, ce qui m'aide un petit peu.

Au retour dans mon bureau, le latino est assis dans mon fauteuil et me salue avec son sourire arrogant.

- Comment vas-tu Miss Pute de Bureau ? Me demande-t-il.

Il peut voir que je ne vais pas bien. Il peut voir mon excitation. Pourtant il veut que je le dise bien clairement. J'essaie d'éviter tout contact visuel car je suis trop gênée pour admettre mon état. Mais il ne fait rien, attendant que je réponde. C'est trop dur pour moi à supporter. Je peux à peine rester debout. Je suis prise de vertiges.

- Monsieur, aidez-moi ! S'il vous plaît Monsieur, laissez votre Pute de Bureau jouir.

Je lâche ces mots malgré moi et je sens une vague de honte pour cette vulgarité. Daniel se moque de moi :

- Qu'est-ce que tu dis ? Mme ADDAMS suppliant de pouvoir jouir comme une salope facile ? Tu imagines ça ? Tu crois que tu mérites un orgasme ?

Je le supplie maintenant, disant tout ce qui me vient à l'esprit :

- S'il vous plaît Monsieur Daniel ! Je vous servirai volontiers. S'il vous plaît, laissez-moi être votre animal de compagnie. Laissez-moi être votre sac à foutre ! S'il vous plaît !

Mon Dieu ! Je crois que les derniers morceaux de fierté et de respect pour moi me quittent. Je supplie sans vergogne un jeune latino en lui promettant de le servir 24 heures sur 24. Mon excitation contrôle complètement mes pensées.

- Va chercher la règle alors. Et fais-toi jouir avec ! Dit alors Daniel.

Mon estomac se nouer. Je ne sais pas si je dois rire ou pleurer. Je dois utiliser l'instrument de ma punition pour m'aider à jouir. C'est vraiment humiliant. Mon stagiaire l'a utilisé pour me battre et maintenant je dois l'utiliser pour me soulager. Une voix dans ma tête crie pour que je résiste. Mais c'est beaucoup trop tard, je suis submergée par les sensations lancinantes de ma chatte.

Mon esprit est trop embrumé pour réaliser sur l'instant. Mais après y avoir réfléchi, l'utilisation de la règle comme jouet de plaisir est une autre étape dans l'abandon total à Daniel. Ça relie ma soumission à mon plaisir. Et à chaque fois que je regarderai le bracelet en argent, je ressentirai une pincée de plaisir mélangée à ma soumission.

Prenant la règle dans ma main, je m'accroupis, le dos tourné à la porte. Je remonte bien ma jupe noire aux hanches, présentant mon collant déchiré et mon string inversé à Daniel. Les jambes écartées, je pousse la ficelle sur le côté pour dégager ma chatte rasée et brillante. Enfin, je pousse la règle contre mon clitoris palpitant.

- OOOOOHHHH !

Je gémis et je mords rapidement mon avant-bras gauche pour étouffer mes gémissements. C'est tellement bon. C'est exactement ce dont j'ai besoin, aussi dégradant soit-il et quel que soit l'instrument.

Mes jambes tremblent follement et je mordille mon avant-bras pour me taire. Le danger de voir un collègue entrer et m'interrompre est complètement oublié.

Je colle la règle dans ma chatte pour remplir mon désir ardent avec quelque chose. Mes petites lèvres sont tendues sur le bord en bois de la règle pendant que je la force dans et hors de mon ventre. Je sors mon bras gauche de ma bouche pour commencer à frotter mon clitoris.

C'est rapide ! J'explose d'extase pure. L'orgasme me frappe si fort que je glisse sur mes pieds et que je tombe sur le cul. Mes jambes toujours écartées, mon jus jaillit de ma chatte qui se contracte et mouille mes mains et mes jambes. Je viens d'avoir un puissant orgasme dans mon bureau alors que ma tête nage dans le bonheur. Quelle salope facile suis-je !

Daniel applaudit doucement et moqueusement ma prestation alors que je me remets de ma jouissance. Et je redeviens consciente de mon environnement. Je suis assise cul nu sur le sol de mon bureau alors que des collègues se promènent dans le couloir. Tout d'un coup je suis terriblement gênée. Comment ai-je pu laisser cela aller si loin ? Comment puis-je me soumettre à mes besoins si facilement ?

- Il est temps pour toi de faire ton boulot Miss Pute de Bureau.

Daniel me rappelle que j'ai une tâche à accomplir. Il a déjà sorti sa bite bien dure de son pantalon. Le danger de voir des collègues entrer dans mon bureau me rend hésitante. Toutefois mon stagiaire vient de me permettre d'avoir l'orgasme le plus fantastique de tous les temps, donc il est juste que je le remercie n'est-ce pas ? Lentement je me relève, ma jupe noire toujours retroussée à la taille et je me dirige vers mon tourmenteur assis sur le fauteuil de mon bureau.

- Allez petite salope, montre-moi tes seins ! Ordonne-t-il quand je suis devant lui.

Je pousse les pans de mon chemisier sur les côtés pour bien exposer mon soutien-gorge en dentelle noire. Saisissant les bonnets, je les abaisse pour libérer mes gros nichons. Mes mamelons se tiennent droits et fiers.

- Prépare ma bite pour ta chatte et tourne ton cul vers la porte. Commande-t-il ensuite.

Une fois encore, il s'amuse de moi et de mes peurs. Il sait à quel point je redoute que quelqu'un soit témoin de mon comportement soumis au travail. Donc il joue avec ça.

Néanmoins, je me plie avec obéissance à sa volonté. Je me penche en avant jusqu'à ce que mon visage plane au-dessus de sa queue. Et en même temps, j'écarte mes petites lèvres avec les mains, exposant obscènement mon sexe à la porte, alors que mes gros seins pendent sous moi.

Daniel a complètement sorti son engin et ses couilles. Je sais ce qu'il veut alors je commence à glisser une de ses couilles dans ma bouche et je la lèche avidement. Tandis que je m'applique sur ses boules, le latino s'amuse à frapper mon visage avec sa grosse queue tendu. Il s'agit d'un rappel humiliant de la façon dont je me suis giflée pour lui hier. Puis il semble prêt pour la phase suivante alors il me dit :

- Allez petite pute, monte sur ma queue. Mais d'abord tourne-toi vers la porte pour accueillir tes collègues.

Sa moquerie m'envoie un frisson de peur dans le dos. Nous approchons de l'heure de la débauche. O'BANNON et ORTEGA peuvent partir à tout moment. Et s'ils passent la tête par la porte pour me dire au revoir ?

Je n'ai pas l'occasion de dire quelque chose. Daniel agrippe mes hanches et me retourne. Face à la porte, ma grosse poitrine sortant de mon chemisier blanc, j'écarte mes jambes et je chevauche le jeune garçon, abaissant lentement ma chatte sur sa bite.

Je sens son membre fendre mes petites lèvres et commencer à pénétrer mon intimité. Je suis si humide que la barre de chair glisse facilement à l'intérieur. Cette introduction est délicieuse si bien que rapidement je plie les genoux et je fait monter et descendre ma chatte sur la grosse queue.

Bougeant sur la grosse bite, un bruit à l'extérieur me surprend. J'entends des pas assez lourds dans le couloir. Ça doit être O'BANNON qui part. Je retiens mon souffle alors qu'inconsciemment je continue à me soulever jusqu'à ce que le sexe de Daniel soit sur le point de sortir avant de retomber dessus pour qu'il s'enfonce complètement dans mon ventre. Comme je suis une des numéros deux de l'entreprise, il ne serait pas étonnant que le PDG vienne me dire au revoir.

- Agite ta poitrine vers la porte salope !

Il semble que Daniel ait senti ma nervosité. Je gémis de désespoir, mais je prends mes seins en coupe. Et je bouge mes mains pour faire tressauter mes gros nichons. C'est absolument ridicule de faire bouger ma poitrine devant la porte.

Tout en obéissant au jeune latino, j'entends le bruit des pas dans le couloir devenir de plus en plus fort. Ils se rapprochent de mon bureau. Et soudain ils s'arrêtent complètement. O'BANNON doit être debout devant ma porte. Dans un instant il va l'ouvrir et il va assister à la scène orgiaque. Toute ma carrière va finir dans un battement de cœur.

Je voudrais glisser des jambes de Daniel et me cacher derrière mon bureau, mais ce macho me saisit fermement les hanches pour me retenir en place. Je ne peux que me préparer à l'inévitable pendant que je continue à chevaucher le membre de mon stagiaire et à secouer ma grosse poitrine laiteuse. J'ai fait tout ce qu'il voulait pour sauver ma carrière et bientôt tout va être fini. Toutes les humiliations que j'ai subies n'ont servi à rien, à l'exception des orgasmes fantastiques que j'ai ressentis.

Soudain, j'entends des voix derrière la porte. Je n'arrive pas à reconnaître les voix, mais il doit s'agir d'ORTEGA qui s'adresse à O'BANNON. Ils doivent discuter avant de quitter l'entreprise juste devant ma porte de bureau. Ils vont me voir tous les deux s'ils ouvrent la porte pour me dire au revoir.

A ce moment précis, Daniel tire fortement sur mes hanches tout en soulevant ses fesses pour m'empaler plus profondément sur sa queue. Je sens sa bite palpiter et décharger son sperme dans mon ventre. Ce macho arrogant laisse échapper un grognement grave et lent qui me fait retenir mon souffle. Les deux hommes discutent encore dans le couloir. Ils l'ont peut-être entendu gémir ? Tandis que ma chatte trait la queue de Daniel, j'essaie de me concentrer sur la conversation derrière la porte. Comme elle continue, je comprends qu'ils n'ont rien entendu.

Après avoir fini d'éjaculer dans mon vagin, le jeune latino me repousse doucement de ses genoux. Je tombe sur le sol et je sens le sperme sortir de mon sexe. Je suis à genoux les seins à l'air quand l'inévitable se passe. La porte du bureau s'ouvre.

Nooooooonnnnnnn !

Ça ne peut pas arriver ! Pas maintenant ! Pas comme ça !

Totalement paralysée par la frayeur, je regarde la porte s'ouvrir au ralenti. Deux hommes entrent. Ils me voient à genoux sur le sol, les seins à l'air

- Hé ! Regarde notre salope de gang ! Prête à servir ! c'est ce que j'appelle une bonne pute.

Oh mon Dieu !

Les deux hommes sont Lucio et Franco, deux voyous copains de Daniel appartenant au gang « LGZ ». Apparemment le petit maigre chauve et le musclé mal rasé sont venus au bureau pour récupérer leur ami. Je suppose que la réceptionniste en bas est déjà rentrée chez elle. Sinon elle n'aurait pas laissé entrer dans l'immeuble ces deux voyous vêtus comme des membres de gang typiques avec des chemises à carreaux et des bandanas.

Cependant, je ne peux pas dire à quel point je suis heureuse de voir ces deux jeunes homes grossiers. N'importe qui est mieux que O'BANNON et ORTEGA. Mon rival et le dirigeant de l'entreprise ne m'ont pas vu. Ma carrière est sauvée pour aujourd'hui, même si le futur est peu engageant, ce que je n'aime pas du tout.

Dès que les deux jeunes latinos ont fermé la porte, ils s'approchent de moi. Se plantant au-dessus de moi, chacun d'eux attrape un de mes gros seins et le secoue et malaxe brutalement.

- Ooooohhhh !

Je ne peux pas m'empêcher de gémir après ce traitement vulgaire.

- Tu es si pressée que ça de mettre tes mains sur nos bites ? Se Moque Lucio.

Sans réfléchir, je hoche la tête. En quelque sorte, je me sens redevable. C'est comme ci ses deux latinos m'avaient évitée d'être prise en flagrant délit de baise au bureau par mes collègues. Ils méritent un cadeau pour les remercier. Putain, Je suis plus que disposée à leur faire la meilleure fellation de leur vie.

Tout en les laissant me tripoter mes gros nichons, je sors leur bite de leur pantalon kaki et je commence à branler chaque queue avec mes mains. Puis je m'avance et je passe mes douces lèvres sur le gourdin de chair de Franco. Je l'avale jusqu'à ce que son gland frappe ma gorge. En bougeant ma bouche de haut en bas, je laisse mes lèvres glisser sur sa queue avec ferveur.

Après l'avoir sucé pendant deux minutes, je laisse la bite de Franco sortir de ma bouche et je m'applique sur celle de Lucio. Alternativement je suce les deux latinos. Toutefois ils veulent plus que ma bouche.

- Va t'appuyer contre la porte salope ! Ordonne Franco en retirant sa queue de ma bouche.

Après avoir été « sauvées » par eux, je suis tellement soumise que je ne pose pas de questions. Je me lève et je me dirige vers la porte, ma jupe retroussée aux hanches, exhibant ainsi mon collant déchiré et du sperme séché qui couvre l'intérieur de mes cuisses.

En plaçant les mains contre la porte, j'écarte les jambes comme un suspect qui va subir une fouille. Un des deux gars s'approche, met son bras autour de ma taille, serre fort et me chuchote à l'oreille :

- Je vais te baiser comme jamais pute de gang ! Tu es notre pute, n'importe où. Je vais profiter de toit sur ton lieu de travail ! Héhéhé !

Ses mots me donnent la chair de poule. Pourtant je gémis quand il fait suivre ses mots d'action. Il glisse sa queue dans ma chatte qui n'offre aucune résistance. Il n'est pas gentil et s'enfonce rudement bien au fond. Il met ses mains sur mes hanches pour bien me tenir pendant qu'il me baise avec violence. J'essaie de me tenir à la porte avec mes mains. Ses coups de rein puissants font rebondir me seins. La chair de mes gros nichons commence à cogner conte le panneau de la porte, produisant un bruit sourd.

BOUM ! BOUM ! BOUM !

Un frisson me parcoure le dos quand je comprends que ce tambourinement peut être entendu du couloir. Après tout, je ne sais pas si O'BANNON et ORTEGA ont quitté le bureau ou sont toujours là. Mais je ne peux pas résister à l'assaut de Franco. Après avoir été excitée si longtemps, mon corps est content d'avoir une deuxième bite en lui de la journée. Malgré mon orgasme précédent avec la règle, mon corps s'embrase à nouveau.

Martelant ma chatte à un rythme effréné, Franco ne peut tenir très longtemps. Avec un grognement bruyant, il tire sa bite de mon sexe et le pointe vers mon cul. Il éjacule en jets puissants et répand son sperme sur mes fesses, tachant complètement mon collant noir.

Dès qu'il s'écarte, Lucio prend la place. Il attrape mes épaules et me retourne. En me soulevant avec ses bras puissants, il empale ma chatte dégoulinante sur son pieu dressé. J'enroule mes jambes autour de sa taille pendant qu'il commence à me pilonner contre la porte fermée. Ça fait de nouveau un bruit sourd chaque fois qu'il m'empale et frappe mon cul contre la porte

Mais le bruit est plus fort qu'avant. Et donc, le danger de me faire prendre encore plus grand.

Pourtant, je ne peux que me mordre les lèvres pour m'empêcher de gémir bruyamment pendant que mon corps profite de chaque poussée dans ma chatte.

BOUM ! BOUM ! BOUM !

- C'est un bruit étrange non ?

Mes yeux s'ouvrent lorsque j'entends la voix de O'BANNON dans le couloir. Cette fois, c'est bien lui, il n'y a aucun doute à ce sujet. J'ai bien reconnu sa voix.

- Peut-être que Mme ADDAMS est en train de redécorer son bureau au lieu de travailler.

La voix d'ORTEGA résonne dans le couloir, décrivant tout son antipathie pour moi.

Merde ! Merde ! Merde !

Ils ont entendu le bruit ! Et ils sont sûrement sur le point de vérifier ce que je suis en train de faire dans mon bureau. Ils vont entrer d'un moment à l'autre. Mon pire cauchemar devient réalité. J'avais été sauvée, mais ça n'a pas duré longtemps.

J'enfonce mes doigts dans le dos de Lucio et je fais de mon mieux pour que mes fesses ne claquent pas contre la porte. Je dois arrêter ce bruit à tout prix.

BOUM ! BOUM ! BOUM !

Le latino est trop fort pour moi, je ne suis qu'un chiffon dans ses bras. Il continue à me baiser sauvagement et ma chatte réagit de manière complètement contraire à ce que mon esprit veut. Elle commence à se contracter et un orgasme majeur éclate dans mon corps

Je jouis alors que mon rival et mon directeur écoutent le bruit de mon cul qui tape contre la porte de mon bureau, et que je me fais baiser par un voyou latino. Cette seule idée me fait rougir de honte.

- Et bien, vous avez sûrement raison. Elle doit réorganiser son bureau. Ce n'est pas important. Je suis en retard, je dois partir.

Dans le brouillard de mon orgasme, j'entends au loin la voix de O'BANNON. Et ORTEGA répond sur un ton dédaigneux :

- Oui, je me fiche de la façon dont Mme ADDAMS aménage son bureau. En tant que manager, seul la qualité des performances est prise en compte.

Peu de temps après j'entends leurs pas. Ils s'éloignent de mon bureau. Les deux hommes quittent la société sans vérifier ce qui fait les bruits. Je souffle de soulagement.

Au moment où la tension retombe, un autre orgasme me frappe de plein fouet. Tout danger disparu, mon corps s'est abandonné au plaisir. Ma chatte se resserre sur la bite de Lucio si fermement qu'il se libère. Tout en me poignardant avec sa queue, il gicle son foutre tout au fond de mon antre, tout en me tenant fermement.

Quand finalement il me lâche, je tombe à genoux sur le sol. Sans que l'on me le demande, j'embrasse les deux bites et je lèche nos secrétions jusqu'à ce que les deux membres soient propres. Daniel et ses deux copains sont partis depuis longtemps alors que je suis encore assise à mon bureau et que je me nettoie.

De retour à la maison, je suis consternée par ce que j'ai fait. J'ai à peine lutté au bureau pour résister au chantage de Daniel. J'ai perdu ma volonté et j'ai cédé complètement à la domination de mon stagiaire. Pire encore, j'ai été soumise à mon travail, et, à mon grand embarras, j'ai eu un fantastique orgasme.

Mon plaisir sexuel dans mon bureau avait été si important que j'en avais perdu toute raison. Il avait fallu un certain temps pour que le brouillard se dissipe. Cependant, plus je retrouvais mes esprits, plus j'étais honteuse de mon comportement. J'étais encore en train de m'habituer avec ma nature soumise. Mais mon envie d'être abusée comme une salope pas chère, d'être traitée comme une pute et d'être ridiculisée pas des voyous de classe inférieure me trouble.

Intérieurement, je sens une partie de moi prête à embrasser ma deuxième nature et d'en jouer aussi longtemps qu'elle reste dans ma vie privée. Mais pas au travail ! Ça me gêne de voir à quel point je me suis soumise à l'endroit où je suis censée être une patronne. Et encore plus, je suis effrayé de me rendre compte à quel point j'ai failli me faire découvrir par mon patron après seulement une seule journée.

Quand je me couche, j'ai la certitude de ne pas laisser ça se reproduire de nouveau. J'ai peur de me perdre et je ne veux pas accepter ça. C'est une chose d'agir comme une chienne facile le week-end, mais c'est une chose différente d'être une bimbo et une putain au travail. Je suis une dirigeant d'entreprise avec un avenir prometteur. Je peux devenir PDG de l'entreprise après tout.

Je suis responsable du désordre que j'ai créé. Il faut que je résiste pendant les semaines restantes du stage de Daniel et que je réduise les dégâts. Mais il faut surtout que je m'assure que ça ne va plus m'affecter.

A suivre...

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Anonymous
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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus de 2 ans

Merci pour ce nouvel épisode.

L’auteur a beaucoup d’imagination.

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