CFNM à l'université Chapitre 07

BÊTA PUBLIQUE

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Il a dit qu'il allait faire un tour et peut-être boire un verre.

— Ne bois pas d'alcool lui a demandé Anne-Sophie, c'est mieux pour toi.

— Pourquoi?

— Parce que je te le demande au nom de toutes ici, bois de l'eau.

Il a été impressionné.

— Je me souviens que Stéphanie te punissait et tu ne buvais plus.

— Tu parles comme si j'étais alcoolique, il a répondu, je ne bois pas, et d'ailleurs, vous buvez plus que moi en ce moment.

— Ah oui? Et comment le sais-tu?

— Parce que je descends les poubelles et que je vois le nombre de bouteilles alors que je n'ai rien bu.

— Et bien, c'est mieux si tu ne bois pas, ne me déçois pas.

— Non Anne-Sophie, il a répondu sans doute en ayant peur de ce qu'elle pourrait raconter. Et pour ta gouverne, Stéphanie ne me punissait pas.

Nous avons ri.

— Mon cher Arno, une des raisons qui a fait que tu as passé brillamment tous les tests, lui a dit Marie-Dominique, c'est que tu considères Stéphanie, c'est qu'elle peut te dire ce qu'elle veut, c'est ta déesse. Alors, elle t'a puni pour te rendre meilleur et tu as accepté cela.

— Bon, il a admis, d'accord, je fais tout ce que Stéphanie veut. Je le sais, c'est comme ça.

Il nous a laissées, et évidemment tout de suite c'était la réunion pour parler de la semaine.

— Il faut qu'il soit tout nu, nous a dit d'emblée Marie-Dominique, il ne réplique pas. Il est doux. Vous avez vu? Avec des vêtements, il nous tient tête.

— Oui, d'autant plus qu'il a raison.

— Donc, nous devons le voir nu, il sera docile, a conclu Sandrine.

Nous nous sommes assises au salon avec encore des bouteilles de vin.

— Demain, j'ai dit, Annick. Tu vas lui faire tomber un truc sur ses vêtements?

— Oui, ça dissout les vêtements mais c'est inoffensif pour la peau. Ses vêtements seront foutus.

— Tant pis c'est pour la bonne cause.

— Nous serons dans le salon, je le déshabillerai complètement, pour ne pas qu'il brûle, enfin c'est ce que je lui dirai. Dès qu'il sera nu, j'inspecterai sa peau, et puis je le prendrai dans ma chambre. Je vais regarder partout, et lui dirai de prendre une douche, je l'emmènerai dans la salle de bains puis retour dans le salon pour inspection. Et ensuite dans ma chambre.

— A ce moment, il faut du bruit, j'ai dit, pour le caler dans la chambre un moment.

— Et mardi?

— Moi, je serai seule dans l'appartement, quand il sera nu dans la salle de bains, j'irai l'appeler, je le prendrai avec moi et lui demanderai de m'aider. Pour les cours, donc il faut l'ordinateur du salon, je veux être seule. Je lui ferai taper et faire des graphiques. Et en plus j'en ai vraiment besoin. Je trouverai toutes les excuses pour qu'il ne bouge pas.

— Ca peut durer la journée j'ai dit. Il va falloir qu'il te prépare à manger.

— Bien sûr.

— Et nous aurons terminé notre premier round, fait Marie-Dominique satisfaite, la partie intéressante va commencer.

— Oui, j'ai dit, il faut qu'il soit nu tout le temps, que les sessions soient plus rapprochées.

— Nous pourrions en avoir le week-end aussi.

— Oui, il faut trouver une excuse pour qu'il soit ici.

— Et donc, que faisons-nous pour être deux avec lui?

— J'avais déjà pensé l'embrasser et le déshabiller, et il est nu, et l'une d'entre vous arrive. Et puis, nous discutons, et je lui demande de nous servir quelque chose.

— Excellent, et cela peut arriver plusieurs fois, dit Virginie, tu es dans le salon, et nous défilons chacune à notre tour.

— Comme cela, c'est vite terminé et nous allons directement en troisième phase.

— Pour cela, j'ai dit, il sera nu toute la journée.

— Essayons de le garder tout nu toute la semaine, a dit Marie-Dominique. Moi, j'adore cela.

Nous avons approuvé, il fallait jouer finement, mais c'était possible, il suffisait de continuer notre jeu. Cette semaine, nous ne pouvions être toutes présentes la journée, mais nous pouvions jouer et nous amuser, de telle façon que nous en profitions toutes.

— Je peux toujours jouer le jeu de la clef, j'ai annoncé. Pendant qu'il est dans la salle de bain, je ferme la porte à clef et je pars toute la journée.

— Excellent, et nous pouvons aussi défiler, par exemple je le trouve dans le couloir, dit Anne-Sophie, au moment où l'une d'entre vous arrive. Nous le consolons et l'emmenons au salon. Et nous commençons à lui demander de nous servir.

— Il faudra commencer avec des trucs plus fun, a dit Marie-Dominique, moi je le vois bien cirer mes chaussures.

— Exactement et lui faire plein de remarques. Bien le contrôler.

Nous étions encore allumées. Nous avons décidé de nous rencontrer chaque jour pour nous raconter ses réactions. Je pensais à trouver un moyen pour le garder nu plusieurs jours. Nous y arrivions. Un jour, je lui dirais qu'il serait toujours nu, et qu'il n'avait pas le droit de demander des vêtements. J'en avais mal au ventre, c'était trop fort.

Arno est rentré relativement tôt alors que nous parlions de lui. Nous avons dû nous taire tout de suite.

— Alors, tu as bu? Lui a demandé Anne-Sophie.

— Non, pas un seul verre.

— Viens ici.

Il a approché, inquiet. Elle l'a fait souffler et senti son haleine.

— On dirait que c'est vrai, et tu n'as pas pris de chewing-gum.

— Non, je te le promets, je suis allé marcher, demain je vais courir au bord du lac, cela me manque.

— Et tu n'as pas vu tes amis?

— Non. Je ne sais pas pourquoi, cela ne me dit rien en ce moment.

— Tant mieux, nous t'aurons plus pour nous, a dit Virginie.

Il a semblé très heureux de la remarque.

— Merci, il a même dit.

Il était trop mignon.

— C'est vrai, tu consacres beaucoup de temps à tes amis et à tes fraternités, et toutes tes associations, et nous, tu nous délaisses.

— Mais non, je vous promets. Bon, je passerai plus de temps ici, d'accord?

Elles se sont levées pour l'acclamer et l'embrasser. Il était un peu perdu.

— Comme cela, tu pourras aussi passer beaucoup de temps à nous aider, lui a dit Anne-Sophie, ce qui l'a inquiété, car il savait de quelle aide elle parlait.

— Oh oui, a confirmé Virginie, et n'oublie pas, tu dois ranger mes albums. Je suis déçue, tu me l'avais promis et ce n'est toujours pas fait.

— Bon, je vais le faire maintenant.

— Non, ce n'est pas la peine.

— Je vais prendre une douche et aller lire, il nous a dit. A demain.

Il semblait déçu de l'attitude de Virginie.

Elles l'ont toutes embrassé. Certaines voulaient déjà aller le voir, mais Annick a décidé qu'elle serait la suivante, et que c'était demain.

— Qu'est-ce qui lui arrivé? A demandé Sandrine? Il ne boit plus et il ne rigole pas avec ses amis?

— Il pense à nous. J'ai dit. Avec ce qui lui est arrivé la semaine passée, il n'arrête pas de penser à cela, vous le voyez dans un état pareil devant ses copain?

Nous avons ri.

— Il bande tout le temps, a dit Virginie.

— Oui, a dit Marie-Dominique, dans ma chambre, sans arrêt. Je l'ai pris contre moi, je n'ai pas touché son sexe, mais il était toujours dressé.

— Bon, j'ai dit, Virginie, je crois que tu as un rôle à jouer ce soir, tu dois aller le chercher et le faire ranger tes albums.

— Et fais durer, lui a dit Anne-Sophie.

— Ne vous en faites pas, je sais me débrouiller.

— Nu jusque vendredi, a encore dit Marie-Dominique.

Virginie s'est levée et est allée à la porte. Elle l'a ouverte.

— Arno? Que fais-tu là?

Nous étions étonnées. Virginie nous a vite fait signe pour que nous ne venions pas, elle a laissé la porte de telle façon que nous puissions le voir, il était nu. Nous n'avons rien dit.

— Ce n'est pas grave, je viens te chercher pour ranger mes albums. Allez, passe devant. Tu m'as promis et tu n'as rien fait.

C'était une surprise. Virginie a laissé la porte du salon ouverte, nous sommes vite allées nous poster à l'entrée. Elle le menait tout nu à sa chambre, et le faisait entrer.

— Tu promets d'aider, et voilà.

— Je suis désolé, il disait tout penaud.

— C'est bien d'être désolé. Il faut te rattraper.

— Bon, j'ai dit, changement de plan, nous allons nous amuser ce soir!

Nous étions excitées. Virginie est revenue vers nous.

— Il était tout nu comme s'il allait ouvrir la porte. Bon, je vais le faire travailler. Ma porte sera ouverte, donc vous pourriez admirer la scène depuis la chambre d'Anne-Sophie.

— Excellent, et nous trouverons un moyen de le faire sortir et le faire rencontrer d'autres filles, j'ai dit, Anne-Sophie, Marie-Dominique et moi-même.

Virginie est retournée à sa chambre, la porte était grande ouverte. Nous l'entendions donner des instructions assez sèches à Arno qui regardait de l'autre côté. Nous sommes entrées doucement dans la chambre d'Anne-Sophie, les deux portes ouvertes, nous avions accès au spectacle.

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