CFNM à l'université Chapitre 06

Chapitre 6

Journal de Stéphanie.

Nous retournons dans le living.

— Vous avez vu? Son pied qui dépasse? A dit Virginie, je le touchais pratiquement.

Nous rions

— Moi, a dit Annick, j'étais assise contre son ventre, je me suis bien posée, et son sexe tout dur était contre mes fesses. Ce n'est pas possible, il savait que nous connaissions sa présence.

— Oui, a ajouté Sandrine, moi j'avais mes fesses contre son visage et j'ai mis ma main sur son torse.

— Il devait être troublé, j'ai dit. Il ne réfléchit plus très bien.

— Surtout après mon traitement, a encore dit Marie-Dominique, en riant, et en racontant ce qu'elle lui a fait.

— A un moment, j'ai failli craquer, dis-je. Je voulais soulever le drap, le découvrir tout nu et le punir nu devant vous toutes. Mais ce serait trop rapide.

— Oui, j'adore ce jeu, a dit Marie-Dominique. Je l'ai regardé s'entrainer.

— Oui, vous avez toutes eu cette chance, s'est lamentée Annick.

— Ton tour viendra, je lui ai dit, et un jour, tu pourras lui demander tout ce que tu veux.

— Il est entré, nu et superbe, Marie-Dominique a poursuivi. Et puis il m'a vue. Je ne lui ai pas laissé le temps de fuir, j'ai foncé sur lui et je l'ai pris dans mes bras. Son sexe gonflé contre moi... hmmm. Et puis, il était si troublé. Tu te sens en parfaite sécurité avec lui, c'est vrai, il préfèrerait n'importe quoi à faire un geste déplacé. Je lui ai demandé de faire du café et en plus il a fait le petit déjeuner.

Nous nous sommes assises et nous avons mangé.

— Et alors, vous êtes arrivées. Il a paniqué. Enfin, encore plus qu'avant. Et je l'ai vite pris dans ma chambre.

— Nous l'avons vu, dit Virginie.

— Nous aussi, dit Sandrine

— Il était tout gauche, je lui ai dit qu'il devait venir près de moi, je l'ai même couché nu dans mon lit. Il n'osait rien faire. Tu connais les mecs? Lui, il avait trop de respect.

— Quand il est nu, tu en fais ce que tu veux, j'ai dit.

— Et vous êtes arrivées. Je lui ai dit de ranger ma chambre.

Nous avons mangé en riant et en commentant le récit de Marie-Dominique. Chacune calculait le temps passé avec lui tout nu. Nous avons anticipé sur la semaine prochaine. Annick lundi et Sandrine mardi.

— Et ensuite?

— Alors, c'est nu avec chacune de vous et moi en même temps, j'ai dit. Il faut que cela arrive. La semaine prochaine nous continuons, nous accélérons le rythme, qu'il y ait de plus en plus de moments où il se trouve nu avec l'une de nous, voire deux. Là il va commencer à vraiment paniquer et il faudra lui donner quelques ordres secs.

— Combien par jour? A demandé Anne-Sophie.

— Nous verrons. Il faut que cela paraisse naturel. Mais ce serait bien que nous ayons fini disons dans deux semaines, que nous puissions faire les choses à trois.

— Wow, là ce sera vraiment intéressant.

— Oui, parce qu'il aura déjà des tâches et qu'il faudra le contrôler et lui dire qu'il travaille pour nous rendre service et le faire à notre manière non la sienne.

— Il faut qu'il soit prêt pour les vacances, a dit Marie-Dominique, nous devons passer deux semaines avec lui tout nu. Qu'il sache que cela devient notre mode de vie.

Marie-Dominique est retournée, nous avons discuté encore une heure pour qu'il se sente seul et puisse aller dans sa chambre.

———————

Récit d'Arno.

La porte s'ouvre et Marie-Dominique entre.

— Tu as fini?

— Presque

— Tu es si lent. Je croyais que ce serait déjà fini.

— Je suis désolé, dis-je confus et honteux de cette remarque alors que je suis tout nu.

— Tu ne voulais pas m'aider alors?

— Mais si, réponds-je.

— Ah... Tu m'avais promis!

Elle me regarde, elle me laisse tout faire, comme sa sœur. Soit. Mais c'est très sexy. J'adore travailler nu devant elle, je n'aurais jamais imaginé que ce soit possible. J'ai l'impression qu'elle serait une maitresse formidable, comme sa sœur voire mieux. Je termine de tout nettoyer et ranger et j'ai fait le lit.

— Merci beaucoup. Même si tu y mets trop de temps, merci.

Elle me prend encore dans ses bras et m'embrasse.

— J'espère que tu vas t'améliorer, j'aurai beaucoup d'aide à te demander, mais il faudra faire cela à la perfection.

— Oui Marie-Dominique, promets-je. Je ferai attention.

Troublé, j'ajoute même.

— Je ferai tout ce que tu veux, c'est un plaisir de te rendre service.

Elle sourit et m'embrasse.

— Que de douces paroles, je sens que je vais en profiter beaucoup. Mais tu devras t'améliorer, d'accord?

— Oui, oui.

— Tu veux y aller?

— Euh oui, j'aimerais bien.

— Je vais voir si la voie est libre.

Elle ouvre la porte.

— Il n'y a personne.

— Et dans le living?

— Je vais voir, viens.

Elle me prend le poignet, je n'ai d'autre choix que de la suivre. J'imagine les portes de Sandrine et Annick s'ouvrir et puis les autres apparaitre devant. Quel choc! Quelle volupté! Cela n'arrivera jamais, je dois garder ces stupides fantasmes pour moi. Pourtant, il me semble entendre des voix dans la chambre de Sandrine qui est restée entrouverte.

Marie-Dominique ouvre doucement la porte.

— Plein de monde, me dit-elle en me tirant dans la pièce.

Je panique, mais elle rit.

— Je t'ai bien eu.

La pièce est vide. Je cours vite jusqu'à ma porte.

— Arno, reviens ici.

Impressionné, je retourne vers elle.

— Tu ne me remercies même pas? Je t'ai quand même sauvé pendant plus de deux heures.

— Merci Marie-Dominique.

— Embrasse-moi.

Je l'embrasse sur la joue

— Tu es trop pudibond, viens ici.

Elle se serre contre moi et m'embrasse sur les lèvres

— Voilà. Je t'ai dit, nous sommes plus que frère et sœur, plus que des amis. Tu ne dois pas avoir peur de moi.

— Oui Marie-Dominique.

Je me retourne et vais vers mon couloir. Personne. Mais il y a du bruit dans les chambres.

Je vais vers la mienne au moment où Stéphanie sort soudain de la salle de bains.

— Et bien, où étais-tu passé? Je t'attendais.