Carnaval Ch. 03 et fin (provisoire)

Je me prends en photo, je me filme, pas par narcissisme, les mots du couple restent gravés profondément en moi, je suis une chienne, mais pour parfaire justement ma condition. J'ai besoin d'être irrésistible, e ne sais pas pourquoi, mais sans doute pour donner envie, car donner envie c'est vivre! Je suis en nuisette noire, et accroupie dans la salle de bain, je me fais prendre par mes godes successifs. Je me suis beaucoup badigeonné de lubrifiant, et cela coulisse tout seul, c'est quelque chose d'absolument jouissif. Je fais tout très doucement pour ne pas me blesser, mais en augmentant la taille, je sens comme cela tire, comme je me remplis, et comme cela cogne tout au fond de moi. J'avale de gros gode dès la première fois, je me dis que les petits sont déjà inutiles, mon anus semble fait pour cela, il est souple et s'adapte pleinement. Les godes ne restent pas en place, malheureusement. Je préfèrerais car les plugs me sont moins agréables. Il faudra que je trouve une solution.

Je suis éreinté, remplie de plaisir comme du plug, j'en ai pris un moyen, de la taille d'un gros sexe, j'adore cette sensation, je me sens prise, remplie et plus nue. Avec ma nuisette qui couvre ma cage je me trouve assez sexy, même si ma taille n'est pas corsetée. Elle reste marquée quand je l'enlève et j'adore cela. Je me mets à 4 pattes, cela soulage les tiraillements, cela me repose, je me sens bien ainsi. Je pose la tête sur mon avant-bras, les fesses bien relevées, je m'assoupis, quand la sonnette me fait sursauter. Un livreur Amazon à cette heure-là? Je ne vois pas qui d'autre. Je me regarde dans la glace, je suis sexy mais présentable, ma poitrine rebondie est du plus bel effet.

- Bonsoir Nala (Ma mâchoire se décroche, Madame est devant moi, en tenue de cuir, les yeux noirs, la bouche brillante)

- Bonsoir Madame

- Tu me fais rentrer?

- Euh, oui Madame (Heureusement que j'ai laissé tous mes jouets dans la salle de bain)

- Que m'offres tu à boire?

- Euh, du coca?

- Va pour un coca, je préfère le champagne mais au moins il y a des bulles. Attends voir avant de partir, tu as été une bonne chienne pendant notre absence?

- Euh, oui, je ne sais pas, que voulez-vous dire?

- Viens par là. Elle soulève ma nuisette sans que je ne réagisse, et émet un soupir de contentement en voyant ma cage qui n'a pas bougée). C'est bien ma chienne, tu nous attendais, tu as compris ce que tu étais. Je t'ai observée cette semaine, tu es sortie en femelle tous les jours, tu as enfin ouvert les yeux.

- Je... Oui Madame

- Attends une seconde, tourne-toi (Et avec une énorme honte, je la sens soulever le derrière de ma nuisette) Mais qu'avons-nous donc là, c'est très intéressant. Voyez-vous cela, Nala qui n'a jamais été enculée, et qui vit enculée maintenant.

- Oui Madame (je suis rouge de honte)

- Voilà qui est encourageant. File me servir un coca.

Je suis horrifiée par la situation, tellement humiliée chez moi, et, le pire, c'est que je frétille et que j'ai un désir fou dans le ventre. D'être à ses pieds, de la lécher, lécher son cul comme la dernière fois, marcher à ses côtés à 4 pattes avec une laisse. Toutes ces images spontanées, non contrôlées, me font tourner la tête. Je sers le coca de Madame, je me mets à genoux à ses pieds, spontanément, mais aussi parce que je crains de m'asseoir sur mon plug. Elle semble ravie de la situation. Me fait parler de ce qui m'est arrivé après leur départ, ma dépression, la rencontre avec Alice, le boulot, le médecin et mon nouveau traitement. Elle a remarqué tout de suite comme ma poitrine est magnifique, elle la caresse doucement, la griffant légèrement, c'est délicieux.

- Nala, tu sais que tu es une chienne maintenant?

- Oui Madame

- Est-ce que tu veux vivre ta vie de chienne pleinement?

- Euh, que voulez-vous dire?

- Veux-tu vivre ce que tu dois vivre, tu comprends bien que tu as révélé chez toi des capacités disons, particulières, et savoir si tu as envie de vivre en harmonie avec elles.

- Vivre en femme?

- C'est une partie, mais tu n'es pas une femme, tu es une chienne, une femelle soumise. Regarde, tu es à genoux, je suis certaine que tua s envie de me lécher, les pieds, le sexe ou le cul n'est-ce pas?

- Oui Madame, c'est vrai.

- Alors te sens tu prêt?

- Je, je ne sais pas.

- Bien, tu vois j'ai gardé la clé à mon coup depuis deux semaines. Je la pose sur la table. Je reviens dans une heure. Sois tu auras ouvert la cage et tu ne nous verras jamais plus. Soit la cage sera toujours fermée, ton plug toujours en place, tu seras à genoux. Alors je t'emmènerai avec moi dans notre propriété et tu vivras à ta place, celle de notre chienne, notre animal domestique, notre esclave que nous dresserons.

- Dresser?

- Oui un animal se dresse, une chienne se dresse très bien, tu verras. Tu n'auras plus le droit de parler, juste de japper, marcher à 4 pattes, subir tous nos désirs et envies sexuelles, vivre à nos pieds en permanence, dormir par terre, être punie chaque fois qu'il le faudra. Je ne te cache rien, et peut-être même, comme l'a dit ton chirurgien, te couper le sexe et, ou les couilles. Voilà ton programme.

- Oh mon dieu, et mon travail, mon appartement?

- Tu n'auras plus rien à te préoccuper. Voilà tu as une heure, à tout de suite, merci pour le coca.

Quel ouragan dans ma tête. Evidemment je ne vais pas partir comme cela, c'est peut-être excitant, mais quand même délirant ce qu'elle propose. D'accord j'aime beaucoup ce que je vis, et ce qu'ils m'ont fait vivre, mais là ce n'est plus du tout un jeu. Les pensées s'entrechoquent, après avoir fini on coca, je me sens apaisé, en harmonie, rempli de désir pour elle, c'est fou, elle est magnifique et Monsieur l'est aussi. Je me sens fusionnel, plein d'une nouvelle énergie alors que les sodomies m'avaient cassée! Lorsqu'elle revient, rien n'a bougé, d'un ton très directif, elle me hurle de me mettre ç genoux, ce que je fais. Elle prend une valise, fait le tour de l'appartement, la remplit avec tout ce qui l'intéresse, en prend une seconde, il ne reste rien de moi. Elle les porte à sa voiture, je suppose, j'espère surtout, et revient me chercher, passe un collier avec une laisse à mon cou, m'interdit de parler, m'interdit de me relever, et je la suis en nuisette dehors, terrorisé. Elle me fait monter dans le coffre, vide des valises qu'elle a déposées sur la banquette arrière, attache mes deux mains avec un serre câble en plastique, je me demande pourquoi. En fait, je comprends vite. Au bout d'une heure le plug me déchire, mais avec mes mains attachées ainsi, je n'arrive pas à l'atteindre, ni à l'expulser. Je pleure de douleur, mais je m'endors apaisé malgré tout. Comme je les aime.