Bienheureuse Agnès, Infirmière 01

BÊTA PUBLIQUE

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- ''Allez les gars, frottez-lui les nichons avec les raisins, histoire de voir si ça les redresse un peu!... Et frottez-les bien, hein!..."

Ce fut encore pour elle un moment effroyable : les raisins écrasés, déjà très foulés et dont il ne restait souvent plus que les tiges des grappes, lui meurtrissaient les seins. Le jus rosé, sucré et collant lui barbouillait le torse et coulait sur son ventre entre sa peau et la robe, s'insinuait dans son slip, lui mouillait le pubis, puis coulait, poisseux, dans sa fente, collant ses poils... Puis, il débordait du slip, pour couler sur l'intérieur de ses cuisses... On la fit boire, plusieurs verres à la suite comme pour rattraper le temps perdu... Le vin versé trop vite dans sa bouche et qu'elle ne pouvait avaler assez vite, dégoulinait le long de son visage, roulait sur sa poitrine et coulait lui aussi sur son ventre, s'insinuait également dans son slip et mouillait sa fente. Tout son entrejambes dégoulinait. Elle se mit à penser qu'elle allait se laisser enivrer et que c'était là la meilleure façon d'échapper à ces humiliations... Ivre morte, elle aurait au moins l'excuse d'être saoule, pour les autres, mais aussi pour elle-même, elle ne saurait plus trop ce qu'on lui imposerait et à quoi on la forcerait... Elle accepta donc les 3 ou 4 verres d'un vin fort et épais que chacun des hommes lui fit boire à la suite, presque sans qu'elle put respirer entre chaque. Pourtant tout son être luttait et résistait pour ne pas se laisser vaincre et assujettir aux humiliations...

Elle dû supporter aussi les sucions et les morsures de ses tétons par les bouches impures et avinées qui lui aspiraient, lui tiraient, lui déformaient les bouts. Surtout les langottages du Françou avec son visage de singe grimaçant, dont la bouche édentée et déformée renvoyait à chaque halètement au ras de son torse une halène fétide et chargée de vinasse dont les effluves remontaient jusqu'à son visage, lui donnant des haut-le-cœur... A la fois d'ivresse et de dégoût, elle éprouva une irrépressible envie de vomir ; son estomac et tout son être se révulsa. Elle ne sut pas à quel revirement elle dut de résister à ces écœurements... Crispée, elle sentait le jus poisseux, qui remontait maintenant dans sa raie de derrière entre ses fesses, lui engluant aussi la rosette et même plus haut toute sa raie délicate et d'ordinaire si soignée... Elle n'osait penser à l'état de sa vulve et de son joli cul de jeune femme B.C.-B.G. Se sentir sale et souillée, envahie de pollutions, était pour elle une humiliation physique extrême. Une violence même. Elle ne supportait pas, viscéralement, de se sentir sale, cela la mettait psychiquement en danger : elle perdait ainsi, plus que par toute autre humiliation, son intégrité de femme, de personne...

Ils n'arrêtaient pas de lui frictionner la poitrine avec la râpe de la vendange... Maintenant, à demi engourdie par le vin, cramponnée aux bords du cuveau pour ne pas perdre l'équilibre et tomber les fesses dans la vendange, ce qui aurait été la suprême déchéance, elle fermait les yeux, et attendait soumise, ce que les autres avaient décidé de lui faire subir... Elle sentit, une main douce et rassurante repasser les bretelles de sa jupe sur ces épaules et rentrer ses seins dans le haut de l'étoffe. Cela eut sur son psychisme un effet apaisant et calmant. Elle crût à un instant de compassion quand elle vit Brigitte lui réajuster le haut de sa robe avec douceur. Elle allait la remercier du regard quand Brigitte lui dit doucement :

- ''Aller ça suffit! Tu les as assez montrés! Ils ne valent pas la peine que l'on en parle ni qu'on les regarde autant!". La remarque cingla Agnès comme une gifle, elle chancela sous le coup et sans doute aussi par le vin bu depuis quelques minutes. Elle défaillit, désarçonnée par la réplique cinglante qui l'atteint au ventre. Elle eut une brusque envie d'uriner et dû faire un terrible effort pour la réprimer et ne pas se laisser aller, ne pas s'abandonner à pisser là debout dans la vendange et devant tout le monde. Elle sentit quelques gouttes humecter l'entrée de sa fente, et elle dut faire des efforts encore plus grands un court instant pour ne pas tout lâcher. Elle réussit à se contenir enfin...

Le moût avait pratiquement cessé de couler. La foulée était terminée et les femmes sortaient maintenant du cuveau, aidées par les hommes qui en profitaient pour les caresser et les exciter... Agnès dont la tête tournait, fut attrapée par le Françou et par Johann, le grand blond ... Dans son déséquilibre d'atterrissage, sa hanche rencontra le bas-ventre du Françou. Elle fut surprise et décontenancée d'y heurter un engin déjà tout raide, dur et apparemment très gros... La seconde suivante, alors que Johann la déposait à terre, elle sentit au niveau de ses fesses le fort calibre de jeune blond qui manifestement bandait beaucoup... Elle frémit sans savoir si ce frémissement était le fait de ce qu'elle venait de ressentir ou de ce qui venait de se passer dans le cuveau...

- '' Putain, mais la garce s'est rhabillée?, vociféra Armand Qui l'a autorisée? Ooohh, vous entendez vous autres? Elle a caché ses miches ... C'est parce qu'ils ont trop servis! Hein, salope que tu veux plus les prêter?" La Bernadette, toujours à l'affût, lança :

- '' Il n'y a pas que les miches qui ont beaucoup servi, à ce qui se dit!... Il y aurait bien d'autres choses encore!..." La vieille salope avait encore placé une banderille. Elle savait l'effet qu'allait avoir sur les esprits échauffés, sa remarque insidieuse...

... Brigitte était descendue du cuveau et avait enlevé sa robe légère. Elle était à trois pas d'Agnès, en slip jaune taché d'éclaboussures de vin et de jus de vendange... Sans résistance, elle se laissait lutiner et peloter par le jeune Adrien, celui qui l'avait déjà copieusement maté entre les cuisses, avant l'épisode du cuveau... Elle dit doucement, mais avec vindicte :

- '' Qu'est-ce que vous attendez, vous autres, pour la mettre à poil?!...". Armand, le Françou et Johann n'attendaient que cette invitation et ne le firent pas dire deux fois... Le grand rouquin lui tint les bras levés au-dessus de la tête, tandis que Johann s'occupait fébrilement de faire passer la robe par-dessus la tête brune de la jeune femme. Elle faisait de vaines tentatives pour empêcher le tissu fin de la robe de remonter complètement. Par-dessous la jupe retroussée le Françou lui immobilisait les hanches de ses deux mains puissantes. Agnès ne put résister longtemps et la jupe fut retirée d'un coup vers le haut, ce qui la déséquilibra et son corps fut plaqué sur celui d'Armand dont elle sentit nettement sur ses reins la bite tendue... Elle voulut se retirer de ce contact, mais Johann se plaquait sur elle par devant, lui faisant sentir sa belle verge dressée, dont la toute extrémité pointait par le haut, hors du short. Il l'appliqua sur le ventre d'Agnès et pressa de tout son poids sur le nombril. Les deux hommes la tenaient debout entre eux, se frottant à elle et la frottant à eux dans un mouvement tournant et lascif...

Un instant, Agnès se vit ainsi de façon très lucide en petit slip transparent entre les deux hommes et sa honte grandit encore : là, à demie nue, coincée entre deux hommes lubriques, au milieu d'autres, hommes et de femmes épris de boisson. Elle voyait ses seins tombants, son torse strié de coulures de vin et de jus collant, le slip blanc à petits motifs bleus maculé et imbibé de souillures violacées, les cuisses zébrées elles aussi de vinasse jusqu'au chevilles... Elle eut de nouveau un haut-le-cœur, ferma les yeux et se dit : '' Si seulement je pouvais me laver un peu, me plonger dans une eau pure et fraiche enlever ce slip qui n'est plus qu'une serpillère et me laver de ces souillures et de ces humiliations!... '' Mais c'était là, peine perdue... Déjà la Brigitte lançait, terrible :

- '' Mais mettez là donc à poil... Complètement à poil, quoi! Mais qu'est-ce vous attendez! C'est une salope, qui ne demande que ça... Vous ne l'avez pas compris?!"

Le Françou qui s'était déjà accroupi aux genoux d'Agnès entre Johann et Armand qui la tenaient entre eux, n'attendait que cela. Malgré les jambes très serrées de jeune femme, il fit glisser le slip jusqu'aux chevilles. La tête au niveau des genoux d'Agnès il en profita pour bien regarder la fente où les poils étaient collés, et lança :

- '' Ah, la cochonne!... On peut dire qu'elle boit par tous les trous! Vous verriez sa fente, elle est pleine de vinasse!"

- '' Quoi? S'enquit la Bernadette, la jolie dame aurait le derrière sale? Il faudrait voir ça! Allez, allongez-là sur la table vous autres et attachez-lui les poignets et les chevilles, que l'on puisse voir ça de plus près!''. Agnès eût beau se débattre, protester avec force, crier et demander tandis que les trois hommes l'empoignaient fermement :

- '' Grâce!! Non, non!! Pas ça!!! Laissez-moi, je vous en supplie!''. Elle appela aussi désespérément Toinette, mais rien n'y fit... En un tour de main elle fut amenée sur la table, écartée aux bras et aux jambes et attachées nue, le dos sur le bois, les poignets et les chevilles liés par Armand et le Françou aux quatre pieds de la table... Elle fit des efforts pour se libérer et se redresser, en vain, les liens lui sciaient les poignets et les chevilles si d'aventure elle tirait trop fort...

Autour d'elle, à travers ses yeux embués de larmes, elle ne voyait que des scènes de sexe entre les hommes et les femmes. A sa gauche, à deux pas de la table, la belle Brigitte, légèrement penchée en avant, ses beaux seins très proéminents et pointés vers le bas, le slip jaune descendu jusqu'à mi-cuisses, tendait ses fesses écartées à Adrien qui lui léchait la raie et la fente avec passion... D'un mouvement lent et arrondi, elle tournait doucement sa croupe sur le visage du garçon et semblait se délecter de cette caresse. Par devant, elle branlait doucement d'une main, le beau braquemart de Johann, lui léchant de temps en temps le gland. Le garçon avait sortit de son short la bite magnifique dont il était doté. Une bite très longue, au moins 20 cm, nerveuse et noueuse, dont le gland décalottait de la largeur de la main de la Brigitte.... Vraiment un beau vit qui troubla Agnès malgré la précarité de sa situation.... Ce qui l'excitait le plus, c'était de voir Brigitte darder de temps en temps la pointe de sa jolie langue au sommet du gland, la papille de la bite du garçon et jouer ainsi à l'exciter des frémissements de sa langue!... Vraiment, elle semblait en connaître un rayon et avoir en ce domaine, une certaine expertise. Cette remarque conforta Agnès dans son hypothèse qu'elle s'était déjà formulée : cette fille n'était pas tout à fait à sa place dans cette ferme...

A la droite d'Agnès, le blondinet dont le prénom était Hubert, se faisait sucer la bite, nettement plus petite que celle de son grand camarade blond, par la brune Elise aux jolis seins. Accroupie devant lui, elle le pompait très activement. La jeune femme, apparemment peu experte, compensait son manque d'expériences, par une motivation et une avidité à sucer remarquables. Par côté, ce même garçon, tandis qu'il se faisait sucer, embrassait à pleine bouche et à pleine langue la belle Hélène assise sur un tonneau devant lui, les jambes très relevées. Il pouvait ainsi lui branler en même temps la fente : un doigt dans le vagin et l'autre sur le clitoris.... Agnès voyait que la blonde avait une très jolie fente, peu fournie et dont les poils blondinets restaient peu visibles d'où elle était, c'est-à-dire à 3 mètres environ. La jeune Hélène avait un clitoris très marqué, très ressorti et plutôt gros qui bandait très fort. Les lèvres fines et longues de sa vulve étaient également très développées et la main du garçon les caressait avec adresse...

A la gauche d'Agnès, et vers le bout de la table, le Jacquot que l'on n'entendait plus depuis quelques instants, le pantalon sur les chevilles, la chemise ouverte sur un torse et un ventre très poilus, donnait à sucer une bite courte mais très large à Maria la portugaise, affalée au pied de la barrique. Elle avait la tête soutenue par son mari, dont elle branlait la bite. Ou plutôt dont elle avait la bite dans la main, c'est à peu près tout ce quelle pouvait faire tant elle était saoule! Pour ce qu'en voyait Agnès le portugais avait une verge assez petite, plutôt courte et pas grosse non plus. Il faisait sans doute partie des ''petites cylindrées'', voire très petites! Mais, d'où elle était, elle ne voyait pas très bien...

Le Jacquot par contre avait un membre plutôt court, une quinzaine de centimètres de long tout au plus, mais d'une rare grosseur d'au moins 7 cm de diamètre, peut-être 8. Le vit était d'un beau diamètre comparé à sa longueur! Et surtout un gland court, en champignon qui dépassait d'un bon centimètre en surplomb tout le tour de la hampe, Ce gland faisait penser à un chapeau-casquette à très larges bords. Cette forme particulière du gland raccourcissait encore le membre, lui donnant l'impression plus grande de massivité...

Le Jacquot promenait le bout de son engin sur la bouche, le menton le visage de la jolie portugaise qui n'en pouvait davantage et surtout, il s'amusait à lui promener de la même façon que sa bite, le goulot d'une bouteille qu'il tenait dans l'autre main, donnant à sucer à la femme, tantôt son gland, tantôt le goulot, parfois les deux ensemble. De temps en temps, il versait une goulée de vin de la bouteille dans la bouche de la femme qui avalait avidement. Le vin versé trop vite pour être bu, coulait et dégoulinait de la bouche rendue maladroite par l'alcool... La Maria avait la robe, mouillée et imbibée de jus de raisin, relevée jusqu'à la ceinture. Agnès eût la confirmation qu'elle ne portait pas de culotte, car les cuisses très écartées laissaient voir une chatte, brune et très fournie, que son mari lui branlait sans que cela eût l'air de lui faire beaucoup d'effets...

La Bernadette s'approcha de la table où Agnès était immobilisée. Elle aussi maintenant était nue, et malgré son âge et ses formes généreuses, elle n'était pas difforme. Sa grosse poitrine était bien portée et ses seins encore très fermes avec des tétons bien ressortis et pas trop écrasés comme c'est souvent le cas après la cinquantaine, surtout chez ces paysannes qui ne prenaient en général, point trop soin d'elles... Ses fesses un peu fortes empâtaient le haut des cuisses, mais sans excès. Le ventre plutôt rond escamotait le pubis mais qui restait bien apparent, bien poilu et avec la fente bien marquée... Bref une femme encore avenante et globalement encore désirable, malgré la cinquantaine passée...

Elle se plaça au bout de la table entre les jambes écartées d'Agnès dont la fente et les poils étaient collés par la vinasse et le jus sucré des raisins. De ses mains un peu fortes, elle lui écarta la vulve. Celle-ci était pleine de jus et de vin qui laissait à l'intérieur des traces violettes et rouges. Sa fente sous l'effet de l'alcool la picotait et la démangeait fortement. Sous les doigts peu soignés de la Bernadette, la chatte s'ouvrit, les petites lèvres bien développées s'écartèrent et démasquèrent un joli trou bien bordé par des ''piliers d'amour'' très renflés. Dans l'ouverture de la fente, le clitoris se rengorgea un peu et pointa le nez sous le capuchon.

Agnès se sentait sale, humiliée sous l'effet des gros doigts de cette femme, qui l'écartaient ainsi. Elle avait honte d'être examinée de cette façon, en gros plan! Quelle humiliation d'être ainsi vue, observée, détaillée, par une femme si rustre, si vulgaire, qui lui regardait le sexe comme elle aurait fait de la bouche de sa chèvre! Mais en même temps, malgré sa honte, elle était très troublée et elle sentait frémir son corps et son sexe autant par le contact frustre des doigts que par le fait d'être ainsi livrée et montrée... Sa tête était en feu, ses sens à fleur de peau. Le vin de tout à l'heure commençait à agir fortement et la rendait plus réceptive à cette situation humiliante... Bernadette termina son inspection en lui examinant bien la l'œillet ; examen assorti de ce commentaire :

- '' La garce dit-elle, je parierais bien qu'elle a du être prise depuis longtemps par tous les trous! Et plus souvent qu'à son tour, hein!..." Agnès accusa le coup et fut troublée de cette remarque. A quoi l'avait-elle vu, cette vieille chouette. Car, cela faisait bien au moins 5 jours qu'elle ne s'était pas fait prendre, ni qu'elle s'était engodée! Bernadette poursuivit son diagnostic :

- '' Tu as vraiment un cul de salope!!... J'veux bien croire que la vinasse t'a engluée la moule et te l'a un peu salie, mais tu sais, si on la regardait bien à fond, on y verrait peut-être pas que du jus de raisin!". Agnès voulu protester. Elle ne pouvait viscéralement supporter d'être considérée comme une femme négligée ou malpropre. Elle faillit se rebiffer avec des protestions véhémentes comme si elle se retirait d'un jeu auquel elle ne voudrait plus participer. Notamment, elle allait dire à la Bernadette que si on regardait sa moule à elle on trouverait sans doute plein de choses ragoutantes! Mais brusquement elle mesura le dérisoire de cette révolte, et le peu d'importance que ce fait avait au regard des autres choses qu'elle subissait depuis plus d'une demie heure.... Elle n'eut pas la force d'insister. La Bernadette continuait :

- '' Armand, Françou, vous allez lui nettoyer la fente, en la lui léchant bien... Je vais m'occuper de vous pendant ce temps! C'est vrai quoi, c'est pas tous les jours qu'on peut s'amuser comme ça par ici!... C'est pas comme toi, la jolie bourgeoise, tu dois en voir défiler des bites, hein, ma cochonne!"

Disant cela, elle s'agenouilla au bout de la table et prit une bite dans chaque main. Celle d'Armand était plutôt longue mais pas très grosse ; une que l'on pourrait qualifiée de nerveuse, qui, sans doute à cause d'un phimosis, décalottait assez mal et très incomplètement. Le Françou, qui avait quitté son pantalon, présentait, lui, une bite gigantesque. Un morceau énorme!

Vingt minutes avant, Agnès était loin de penser cela! D'ailleurs, le Françou était très loin dans son classement initial! Elle en fut éberluée. Quoi, ce petit nabot édenté de plus de cinquante ans et d'à peine 1m 65, les battait tous en grosseur et en longueur? Il est vrai qu'il ne bandait pas encore complètement au niveau des autres, mais justement, cela ne faisait rien, même comme ça, c'était du 24 - 25 cm de long, au moins et aussi 8 de diamètre, sans problème!... Quel morceau! Une bite, noueuse en plus, avec un ressaut marqué à moitié de la hampe et un gland très dissymétrique, partant franchement sur la droite, une bite énorme et difforme... Une bite à tirer dans les coins, qui devait vous défoncer la joue quand vous vous la plantiez dans la bouche, ou qui devait vous attaquer le côté du vagin quand vous arriviez à vous la mettre dans le trou. Car un morceau comme ça, '' il faut déjà se le rentrer!'', comme le dirait la plupart des femmes! La Bernadette habituée sans doute et pour cause, ne s'en émut pas et commença à le branler ce qui fit grossir encore le braquemart de son nabot d'époux. Agnès était toute abasourdie et se fixant sur ce membre impressionnant à plus d'un titre, fut surprise de sentir une langue se poser sur sa moule, toute occupée qu'elle était par l'énorme vit du Françou...

Bernadette accroupie au pied de la table en face de la fente écartée d'Agnès, suçait avec ferveur la longue bite d'Armand. Le rouquin était debout par côté de la table et écartait d'une main la fente d'Agnès. Le Françou, penché entre les jambes ouvertes d'Agnès, lui léchait la fente et se faisait branler par sa femme, juste au ras de la table... Sous l'effet de la langue râpeuse du vieux, Agnès ferma un temps les yeux. Immédiatement l'image de la bite monstrueuse et très déformée du Françou s'imposait à elle. Elle l'imaginait plus grosse encore qu'elle ne l'avait vue, le gland décalotté se frayant un passage dans sa fente, parmi ses poils... Elle eut un léger gémissement qui n'échappa pas à la Bernadette.

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