Baptiste Chapitre 7 : Gladiateur

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Suite des aventures de Baptiste : jeu de gladiateurs.
1.4k mots
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Partie 2 de la série de 2 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 11/12/2022
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Aujourd'hui, voici un nouveau spectacle : les garçons foulent le sable l'arène pour un combat de gladiateurs. Pour cette assemblée d'éphèbes, pas question de mourir pour autant : les épées, comme les boucliers et les casques à plumeau, sont en plastique. Mais aucun cache-sexe ne dissimule les beaux phallus bandés des jeunes combattants devant une assemblée de mamans et des femmes avides de ce spectacle indécent de stupre, de sueur et de (faux) sang. Bienvenue dans la cité éternelle pour les jeux du cirque!

Le vainqueur de la finale obtiendra le droit fabuleux d'étreindre toutes les femmes qu'il voudra, jouvencelles parfois vierges et matures au ventre ridé ; toutes se sont préparées à recevoir les jeunes vits affamés de féminité dans les profondeurs de leur intimité humide de cette attente. Un seul lauréat pour seize jeunes coqs de dix-huit à vingt ans, musclés, virils, épilés complètement, parfumés, huilés sur tout le corps pour mieux exprimer leur grâce masculine. Les autres, lorsqu'ils seront touchés une épée, devront se jeter à terre et feindre l'agonie, être aspergés de peinture rouge, avant que l'achève le gagnant du duel d'un dernier coup d'estoc, si l'Impératrice -- ici, la maman de Baptiste -- l'exige d'un pouce tourné vers le bas. Il faut jouer la comédie par des râles de souffrance digne des péplums les plus sanglants, géhenne augmentée par la frustration d'être privé du droit de copuler à gogo.

Les soldates légionnaires maintiennent sévèrement ordre impérial. Elles sont équipées de gode-ceintures afin d'abuser des gladiateurs, notamment ceux qui ont perdu et doivent simuler la mort par une totale inaction lorsqu'ils sont sodomisés par les longues tiges de plastique qui ont de forts diamètres et dont certaines, vibrantes, provoquent en stimulant la prostate l'orgasme anal sous lequel il est difficile de rester impassible. Mais la loi est dure, et il faut subir la loi, comme l'indiquent les vendeurs de verres de cantine.

À son tour, Baptiste, alias Spartacus dans ce jeu, entre dans l'arène. Prêt à tout donner pour la victoire, il transpire déjà à grosses gouttes sur son front. Il est équipé d'un petit bouclier et de jambières qui sont plus gênants qu'utiles en vue de l'affrontement, mais la costumière trouvait cet accessoire mignon, alors le jeune homme est obligé de composer avec. Comme toujours, il est très excité par la perspective d'être exposé nu devant un public féminin venu pour l'admirer. Le plus important est de montrer de la bravoure.

Malheur aux vaincus, mais malheur surtout à ceux qui débandent. L'impératrice punit terriblement ceux auxquels la bandaison fait défaut, ne serait-ce que momentanément. Il faut alors supplier à genoux la pitié de celle, toute puissante, qui a tous les droits sur ses esclaves masculins, et peu importe qu'ils soient plus habiles que les autres au maniement de l'épée : cette faiblesse n'est pas tolérée. Ces supplications n'ont jamais d'effet : les punis sont attachés sur une croix en X par poignets et chevilles, avant d'être flagellés d'une manière très cruelle, jusqu'à faire couler, sur les longues estafilades, le sang dont des gouttelettes atteignent l'assemblée, pour le plaisir sadique de celle-ci.

Spartacus le masochiste rêve d'un tel traitement pour lui. Mais l'excitation qui lui procure l'exhibition devant tant de dames perverses, elles-mêmes élégamment vêtues de robes à la mode antique, le préserve de tout défaut d'érection. En perspective de cette compétition, sa mère lui a d'ailleurs imposé un mois entier d'abstinence sexuelle totale, à l'aide d'une cage pénienne interdisant toute masturbation, ce qui a été un supplice particulièrement pénible pour le garçon qui ressent le besoin vital d'éjaculer souvent. Seule la perspective de ce jour glorieux lui a permis de supporter cette chasteté forcée.

Avant même d'entrer, tout éblouis, dans la pleine lumière de l'arène où les clameurs de la foule réclament le début des combats, les gladiateurs subissent des sévices de la part des légionnaires féminins, dont les fausses verges tendues s'insèrent dans les trous rectaux lubrifiés de vaseline, tout en prenant garde à ne pas laisser s'épancher le sperme des jeunes compétiteurs.

Spartacus est envoyé en premier, contre un adolescent prénommé Lucius, trop fluet et maladroit pour lui opposer une résistance sérieuse. Il lui suffit d'un coup de pied pour mettre à terre l'adversaire. Puis notre héros fait semblant d'émasculer son antagoniste avec son arme de plastique : un geste d'héroïsme qui provoque les hourras des spectatrices. Bon acteur, Lucius pousse des hurlements suraigus, comme si c'était vrai : il se complait dans le rôle du vaincu, présentant ses organes génitaux en sacrifice pour le spectacle d'une manière complaisante. Il parvient même à pleurer avec de vraies larmes. Il voulait ce destin dont il fantasme chaque nuit. L'impératrice descend dans l'arène, retire ses sandales, piétine le garçon de ses pieds nus et boxe les testicules de ses orteils recroquevillés, cette fois sans faire semblant, de toutes ses forces. Lucius écarte les jambes pour mieux s'offrir au châtiment : il est heureux de cette douleur offerte en public. Lorsque l'impératrice a terminé, les spectatrices applaudissent, et les légionnaires se précipitent à leur tour afin d'enculer le pauvre Lucius à tour de rôle, sans quitter la scène, tandis que d'autres arénaires commencent à se défier.

Tous les perdants subissent des sorts similaires, avec quelques variantes. Ainsi Spendius, passionné par les seins, « meurt » étouffé entre les mamelles naturelles et surdimensionnées de la grosse Vixenia. Othon, lui, est obligé de prodiguer à cette même matrone un cunnilingus au cours duquel il a la tête broyée entre les cuisses en étau, ce qui ne l'empêche pas de sucer le clitoris avec hardiesse. Au moment de la jouissance de la dame, celle-ci serre ses jambes de toutes ses forces. On entend craquer les os de la mâchoire luxée -- mais il bande encore. On faut venir la civière et l'ambulance le transporte à l'hôpital sans prendre le temps de couvrir sa nudité. Il sera soigné par de belles et peu farouches infirmières. Enfin, le pauvre Zoilus, la tête coincée dans un seau, finit la compétition par une noyade dans la cyprine d'une femme fontaine au godemiché particulièrement efficace.

Spartacus se surpasse à chaque duel. Il parvient ainsi jusqu'en finale. À ce niveau de la compétition, il n'y a plus de faibles. Son adversaire est un grand gaillard musclé comme un demi-dieu et qui le dépasse d'une tête, muni d'une épée deux fois plus longue que la sienne. Il n'a aucune chance. Il est touché au cœur. Le voilà qui s'écroule, d'abord à genoux, puis couché de tout son long sur le ventre. Le vainqueur est un nommé Graccus. Celui-ci est bisexuel et n'hésite pas à enfoncer son membre imposant dans le petit orifice de Spartacus. Celui-ci n'aime pas les garçons, mais subir une pénétration homosexuelle fait partie de sa peine d'avoir perdu le combat. Les acclamations de la populace redoublent lorsque Graccus se répand dans un cri de joie très guttural, en laissant déborder son abondante giclée de semence. Le garçon, atteint de priapisme, ne débande jamais.

Le vainqueur se relève et lève ses bras au ciel pour remercier les dieux de l'Olympe de lui avoir donné la force de triompher de tous ses ennemis. Puis il s'avance vers l'impératrice, se met à genoux et lui offre son épée. La souveraine accepte le cadeau. Elle soulève sa robe sous laquelle elle ne porte aucune culotte, et se masturbe avec le pommeau, sous les regards convergents de ses sujets. Elle jouit, puis Graccus, toujours dur comme le grand Pan lui-même, la pénètre avec une certaine brutalité, la soulevant par les hanches comme si elle ne pesait rien.

Le vaincu de la finale doit souffrir à proportion de la déception d'avoir presque atteint la gloire. Il est attaché sur le châssis du châtiment, bras et jambes écartés, et chatouillé sur tout le corps pendant des heures par toutes celles qui ont envie de faire hurler le jeune gladiateur défait. Ses pieds, ses aisselles et surtout ses bourses, très sensibles aux guili-guili de ses cruelles tortionnaires, le mènent au bord de l'évanouissement. Lorsqu'il n'en peut plus, il est branlé encore et encore, jusqu'à ce que son pénis ne soit plus qu'une flamme de douleur au-dessus d'une flaque de sperme. Ses seuls moments de silence surviennent lorsque des dames apitoyées lui offrent à sucer leurs pieds couverts de poussière, en guise de consolation. Chatouillé et masturbé à mort, Spartacus n'est plus : il reste le jeune Baptiste, ravi de ce jeu. Il n'aura qu'une hâte : y participer à nouveau.

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1 Commentaires
CocuforeverCocuforeveril y a plus d’un an

j'ai lu le chapitre 1 et là je passe au chapitre 7. J'ai loupé quelque chose?

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