Baptiste

Informations sur Récit
Fantasme CFNM et fétichiste où un jeune soumis se m.
3.1k mots
4.11
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Récit n'a pas de balises

Partie 1 de la série de 2 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 11/12/2022
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Chapitre 1 : nu parmi les femmes

Baptiste est un adolescent de dix-huit ans que sa mère Clothilde, qui l'élève seule depuis le départ du père, couve d'un amour exclusif et quelque peu pervers, car elle a le vice enraciné en elle et n'a enfanté que pour satisfaire son goût pour la dépravation. Chaque dimanche matin, tous deux assistent ensemble à l'office, de sorte qu'à midi, la maman retrouve ses amies pour bavarder sur le parvis. Ensuite, elle emmène ses compagnes de foi dans l'appartement, pour un apéritif coquin.

Car Baptiste est un très beau garçon. Son corps parfait attire les dames pour des spectacles peu chastes et assez contraires à la prude morale catholique. Leur verre de Talisker ou de vieux Lagavulin en main, cinq ou six mères de famille, parfois accompagnées de leurs filles -- mais jamais d'hommes -- se plaisent à admirer dans les moindres détails l'anatomie de Baptiste, pur produit de la création divine, ange fascinant de la virilité juvénile.

Le moment venu, Clotilde ordonne à son fils de se déshabiller. Obéissant, il plie soigneusement ses vêtements sur la table basse, en disposant son slip au-dessus de la pile. Lorsqu'il abaisse ce dernier cache-sexe, au-dessous d'un pubis tenu soigneusement glabre, la verge dressée bondit, déjà décalottée, tel un tigre rugissant soudain libéré de sa cage. Il apprécie énormément cette pratique consistant à se trouver complètement nu devant des dames élégamment vêtues.

Avec ses cheveux bruns, courts et frisés, il ressemble au David de Michel-Ange. Il est fier de son corps finement, mais puissamment musclé, longuement travaillé sur le banc du développé couché, tout comme la mère éprouve de l'orgueil pour avoir enfanté un demi-dieu comme lui.

La participation à la séance est gratuite -- on ne se fait pas payer entre amies -- mais il n'est pas interdit d'apporter un petit cadeau. C'est ainsi que Clotilde possède une impressionnante collection de jouets sexuels de toutes sortes, vibrants, pénétrants, godemichés et autres gadgets orgasmiques, qu'elle expose derrière une vitrine du salon. Ils reçoivent parfois un présent plus conséquent, lorsque l'invitée en a les moyens : ainsi, Baptiste possède un lourd collier en or avec un pendentif représentant une image pieuse de la Vierge Marie, qu'il porte lorsqu'il s'expose nu, dans un tintement qui affole les sens. Rien n'est trop cher pour célébrer l'ensorcelante grâce de Baptiste.

Le garçon est propre, bien lavé : il sent le savon et non pas la sueur comme au sortir du sport, lorsqu'il a tout donné sur le banc de musculation, où il travaille toujours nu. Certaines sont déçues. Elles auraient préféré un plein bouquet de fragrances de fauve, d'excrétions de testostérone et autres liqueurs de mâle. Pour cela, il faut être présente à d'autres moments. Un tirage au sort permet de déterminer qui pourra garder le slip tout imprégné de rosée du désir. Quelquefois, sa nudité n'est pas complète, car il porte un large ruban rose noué autour des génitoires, et un collier de chien ajusté autour de son cou, permettant à sa mère de le tenir en laisse.

Baptisme aime à montrer son corps sculpté. Il sourit et prend la pose, comme un modèle pour une artiste peintre. Son pénis demeure longtemps levé, très dur, brillant de moiteur, presque à la verticale. Elles sont assises sur le canapé, dans les fauteuils, et sirotent leurs whiskies à petites gorgées gourmandes. Le silence se fait, quasi religieux. Il est permis de le photographier, y compris en gros plan, mais pas de faire circuler les photos : juste pour se souvenirs, et pour le plaisir solitaire, une fois rentrée chez soi.

Comme toujours, Clotilde sort son centimètre de couturière, mesure le membre et annonce la longueur. Rien d'extraordinaire, mais le fait d'annoncer cette information est en soi excitant. Le sexe est de forme parfaite, absolument symétrique, avec un réseau veineux bien dessiné, un gland luisant et fendu nettement, d'une couleur pourpre intense à chavirer le cœur des dames. On peut tripoter, mais doucement, pour ne pas déclencher d'explosion prématurée. On lui demande de se tenir dans différentes positions : sur un pied, faire la chandelle, le poirier, le grand écart, et même de marcher sur les mains, figures qu'il sait parfaitement exécuter et qui suscitent l'admiration de toutes.

Chapitre 2 : éducation sexuelle

Aujourd'hui, Karine, l'une des invitées, est venue avec sa fille Aurore, sur même âge que Baptiste, afin de l'éduquer sexuellement. Elle lui montre comment se nomment les différents organes génitaux masculins. Aurore saisit pour la première fois un sceptre palpitant dans sa petite main innocente. Elle a même la permission de palper la prostate, d'un doigt lubrifié à travers la rosette. D'abord hésitante avant de franchir de sa petite phalange la rosette bien fermée du jeune homme, elle trouve cela finalement très intéressant. Elle apprend les attouchements, la fellation, comment accueillir le membre jusqu'au fond de sa gorge sans souffrir de la nausée. Mais pas question d'avoir une relation sexuelle avec Baptiste : elle est déjà fiancée avec Luc. Il s'agit seulement de préparer la jeune fille vierge à sa future nuit de noces. Dans ce milieu, il est interdit de consommer le mariage à l'avance. Mais à partir du moment où l'hymen n'est pas perforé, tous les dévergondages sont permis, surtout les plus scabreux.

Ensuite, Clotilde, la maîtresse de maison, ordonne à son fils de se masturber, employant un ton qui ne supporte pas la contradiction. Il adore pratiquer cette activité devant un public de connaisseuses. Certaines ne se lassent pas et reviennent chaque semaine. Les petites culottes des dames sont imbibées de mouille. Elles aimeraient tant qu'il vienne les pénétrer, tour à tour, l'une après l'autre! Il en serait bien capable, et chacune aurait sa petite giclette dans le trou qu'elle voudrait, car il est vigoureux comme un jeune faune. Mais cela ne leur est pas permis ; elles n'ont même pas le droit de s'adonner aux plaisirs digitaux d'une main sous la robe. Il leur faut rester vêtues et dignes, même si certaines trichent : elles ont inséré des boules de Geisha vibrantes dans leur vagin, ou dans leur anus, voire les deux en même temps. Il leur suffit de déclencher discrètement la télécommande cachée dans le sac à main. On les voit alors s'humecter les babines, se mordre la lèvre inférieure. Les yeux brillent. Les cœurs battent la chamade. Seule une profonde inspiration trahit un orgasme furtif, parfois un filet de mouille s'écoulant le long des jambes croisées.

Pendant ce temps, les doigts furètent sur la peau du garçon. Pour lui, toutes ces femmes sont belles, quel que soit leur âge ou leur corpulence, sans aucune exception. Il brûle de se jeter sur l'une d'entre elles et la pénétrer avec la fougue de sa jeunesse. Mais il n'en a pas le droit. Parfois, cette frustration le fait pleurer. Sa mère l'a prévenu que s'il s'avisait de toucher à une invitée de sa propre initiative, elle le fouetterait jusqu'au sang, attaché par les pieds au plafond de la cave. Chacune, dans l'assemblée, espère que cela se produira, afin de pouvoir assister à la punition.

Alors, il se contente de s'exhiber de la manière la plus suave possible. Pendant qu'il empoigne sa verge, les dames de ne gênent pas pour le peloter vicieusement, lui chatouiller les cuisses, les testicules, voire glisser un index polisson dans sa gaine rectale afin de palper la prostate qu'il a toujours replète, ou bien y insérer un gros godemiché qui écartèle sa rondelle. Avec complaisance, il se prête à toutes les manipulations, passe de mains en mains.

Maintenant, grâce à cette séance d'anatomie directe, la jeune Aurore a tout appris du mâle humain dont elle sait manipuler les organes reproductifs. Elle en apprécie l'esthétique délicate et les parfums de fauve qui lui chatouillent les narines jusqu'à amener l'innocente jusqu'au bord de l'orgasme, sans même être touchée.

Maintenant, elle sait les caresses qui font frémir, le doigté que rend un homme fou d'amour. Son futur mari, pris dans les filets de sa féminité triomphante, lui sera obéissant.

Elle rit. Son rire est celui d'une victoire complète. Un ultime bécot sur le gland, et Baptiste doit se rhabiller sans avoir été autorisé à éjaculer. Il est au bord des larmes, au bord de la folie. Il souffre terriblement. Mais il offre le spectacle de son tourment comme un cadeau à celles qui l'observent.

Chapitre 3 : une passion, les pieds des femmes

À l'époque où il débutait dans le domaine de l'exhibition, le jeune Baptiste avait le droit de répandre son sperme sur les pieds des femmes, à condition de lécher sa liqueur séminale afin de laisser des petons impeccablement nettoyés -- sa mère Clotilde y veillait sévèrement, n'hésitant pas à user de la cravache sur les fesses lorsqu'il manquait quelques coups de langue, voire, en cas de désinvolture, sur les testicules si vulnérables. Il fallait pour cela qu'il se mette à genoux, dévotement, et obtienne la permission de la dame, parfois qu'il supplie, les mains jointes et en pleurant, afin d'obtenir cette autorisation.

Très tôt, le garçon a toujours fait preuve d'un fétichisme avancé dans ce domaine. Certaines gardaient leurs bottes de cuir, d'autres retiraient leurs chaussures afin d'offrir au garçon leurs jolis petits pieds blancs. Baptiste a montré sa capacité à en insérer un en entier dans sa bouche, jusqu'à la cheville, pourvu que ce fût une petite pointure, faisant fi des haut-le-cœur. Il fallait qu'il se tienne bien cambré, le bassin esthétiquement relevé afin de rendre ses parties intimes disponibles aux explorations grivoises et aux fessées érotiques qui pleuvaient sur son postérieur. Il a toujours vécu dans d'adulation des femmes, qui représentent pour lui des sortes de déesses dont les orteils sont les portes d'entrée vers leur transcendance. Petite précision : il n'a jamais eu de vrai rapport sexuel, au sens de la pénétration vaginale. Sa mère le lui interdit formellement. Elle surveille les messages échangés sur son téléphone. Il est un fils obéissant.

Chapitre 4 : un jeune étalon reproducteur

Maintenant, depuis quelques mois, Baptiste éjacule toujours dans un verre, sous les applaudissements des spectatrices. La semence jaillit en plusieurs salves ; elle est odorante, épaisse et copieuse. Le plaisir qu'il ressent en se libérant est multiplié par le nombre de femmes présentes et confine à l'extase. Un tirage au sort permet de déterminer quelle convive aura le droit de boire cette boisson de choix. On utilise de petits morceaux de papier sur lesquels sont inscrits les prénoms, mélangés dans un chapeau. La main innocente, bien que gluante de sperme, est celle de Baptiste. Les perdantes sont déçues, mais ce sera peut-être pour la semaine prochaine. Parfois, la gagnante fait l'aumône de son lot en versant le foutre chaud sur ses pieds nus, afin que Baptiste les lape comme un petit chat ronronnant d'aise. C'est la récompense de l'artiste. Mais d'autres fois, elles en viennent à se crêper le chignon pour des soupçons de tricherie, et la maîtresse de maison met tout le monde dehors en guise de punition collective, sauf son fils qui demeure nu devant sa mère.

Un jour, l'une des invitées a versé le contenu du verre dans son vagin, car elle voulait un enfant malgré un mari devenu impuissant à la suite d'un accident de chasse. Exceptionnellement, en fin de séance, il lui a été permis de se dévêtir afin de s'inséminer elle-même, sur le canapé, la culotte aux chevilles, les cuisses relevées sur une chatte herbue bientôt nourrie du fluide fécond. Le ventre de cette femme s'est arrondi. L'enfant se nomme Louis. Il vient d'être baptisé aujourd'hui. Sa maman a promis que dès que son fils aura l'âge requis, cela sera lui qui assurera le spectacle en succédant à Baptiste. En attendant, il est prévu de procréer encore des frères et des sœurs de Louis par la même méthode, car Dieu a dit dans le livre de la Genèse : « soyez féconds, multipliez, remplissez la terre ».

Le bouche-à-oreille aidant dans le milieu catholique traditionaliste, où l'on chante en latin et porte le col romain, d'autres personnes en mal de maternité sollicite Clotilde afin de bénéficier du même service. Heureusement, la virilité du jeune Baptiste ne connaît pas de défaillance, car il faut maintenant plusieurs séances par semaine afin de satisfaire la demande. Bientôt, ce sera tous les jours.

Elles viennent de partout dans le monde, après avoir parfois traversé les océans afin de recevoir le précieux liquide testiculaire. Baptiste a plus d'enfants qu'il y a d'étoiles dans le ciel. Sa mobilité spermatique est telle qu'il n'y a pratiquement pas d'échecs, et chacune revient avec un petit être dans son ventre. Neuf mois plus tard, Clotilde et lui reçoivent un faire-part de naissance, accompagné d'un chèque dont le montant est laissé à l'appréciation de la nouvelle maman, selon ses moyens.

Le succès aidant, Baptiste a passé son permis de conduire et roule dans une Porsche Cayenne rouge flambant neuve, offerte par une maman fortunée et satisfaite de l'enfant qu'elle a porté grâce à lui. Il parcourt les autoroutes, toujours accompagné de sa mère, à la rencontre de femmes avides de bénéficier de ses grâces masculines. Une fois le bac en poche, il décide de ne pas entreprendre d'études supérieures, afin de se consacrer uniquement à cette activité aussi excitante que lucrative.

Chapitre 5 : un office très particulier

Par l'entremise d'une paroissienne particulièrement influente, Clotilde et Baptiste sont maintenant autorisés à exercer leur passion dans le cœur d'une église. Debout sur l'autel, il éjacule dans le Saint Calice censé recueillir le Précieux Sang, puis déverse son aumône spermatique dans des petits flacons stériles que les spectatrices s'injecteront ensuite dans le vagin, en toute intimité.

Demain, au cours d'une cérémonie religieuse spéciale du Vendredi saint, il sera flagellé, puis crucifié nu avec de vrais clous devant des centaines de femmes. Il ne mourra pas, car il restera en croix seulement quelques minutes, mais il souffrira beaucoup lorsque le fer pénètrera sa chair fragile, pour la plus grande joie sadique de toutes celles qui seront venues admirer sa beauté sublime. À toutes celles qui sont venues s'éblouir de la beauté, il offre le spectacle de sa douleur extrême comme un cadeau. Éperdues de reconnaissance envers leur héros, elles s'agenouilleront au pied de la croix pour l'aduler, lui confessent leurs péchés de chair, lui supplieront d'intercéder pour elles auprès de l'Éternel et Tout Puissant afin que des miracles se réalisent, glissent de gros billets entre les orteils ensanglantés. De la main de sa mère et de toutes les paroissiennes, il éjaculera de multiples fois sur le bois du supplice, jusqu'à l'épuisement complet de ses ressources viriles, avant d'être décloué, puis sodomisé au gode-ceinture par une légion de femmes déguisées en légionnaires romains.

Chapitre 6 : examen médical préliminaire

Mais auparavant, c'est-à-dire aujourd'hui, il a rendez-vous chez un médecin, une doctoresse sexologue spécialiste des jeunes hommes, afin de vérifier qu'il est apte à supporter ce nouveau type de sacrement. Il est accompagné de sa mère. L'examen est assez poussé... on l'attache nu sur le fauteuil médical, les pieds dans les étriers, bras et jambes écartés et solidement arrimés par des sangles. Plus aucun mouvement ne lui est autorisé. Il lui faut faire pipi dans un flacon, mais il n'a pas envie, alors il est sondé à travers son pénis en érection. De même, la prise de sang s'effectue en plantant l'aiguille dans ce même organe viril. Un toucher rectal vérifie sa prostate d'un doigt ganté de latex, suivi d'un contrôle anal au speculum, la rosette fortement dilatée, les entrailles éclairées à la lampe frontale.

Ensuite, la dame en blanc lui branche des capteurs sur la poitrine, afin de s'assurer que son cœur ne lâchera pas au moment de la crucifixion. Elle est accompagnée de Lilas, une jeune stagiaire très attirée par ce métier : elle se destine à être tortionnaire pour les services secrets, afin d'interroger les prisonniers masculins. Baptiste est chatouillé, masturbé, son sperme est analysé. Puis à nouveau une vague de guili-guili sur les pieds, les aisselles... et ainsi de suite, pendant des heures. Les passantes peuvent regarder par la fenêtre ouverte, car le cabinet se situe au rez-de-chaussée. Elles s'extasient devant la beauté du pauvre garçon qui devient fou, crie comme un cochon qu'on égorge, et supplie pour qu'on l'achève, mais la doctoresse et son acolyte sont impitoyables. Même sa mère participe au supplice.

La cruelle doctoresse lui injecte dans le pénis un sérum de vérité afin qu'il révèle sans aucune censure ses fantasmes les plus secrets, que la praticienne note dans le dossier médical afin de les rendre publics pour la communauté médicale...

Pendant ce temps, les autres jeunes patients attendent leur tour dans la salle d'attente, accompagnés de leur mère ou de leur sœur ainée. Ils sont priés de se dévêtir à l'avance, et de laisser leurs vêtements sur une chaise, ce qui leur procure une gêne certaine, à cause de leur pudeur bafouée, surtout ceux qui viennent consulter pour la première fois. Pour les aider à patienter, des revues pornographiques sont à leur disposition, et des posters de femmes nues dans une posture orgasmique recouvrent les murs. Il leur est formellement interdit de sa masturber. Des vigiles féminines les surveillent, armoires à glaces de près d'un double mètre, sanglées dans les sévères uniformes de cuir noir, équipées de cravaches pour punir les récalcitrants qui se laissent aller à tenter une petite branlette en douce : elles ont l'œil. Derrière le paravent, ils peuvent entrevoir le calvaire de Baptiste, c'est-à-dire ce qui les attend...

La doctoresse constate avec émerveillement la capacité extraordinaire du jeune homme à conserver son érection d'une manière continue et à éjaculer d'une manière répétée, sans montrer de signe de fatigue. Il est performant surtout si une femme -- en l'occurrence, la jeune Lilas - assouvit sa passion en lui donnant ses pieds à sucer pendant qu'il se masturbe avec une frénésie digne des plus grands athlètes du sexe.

Ce patient hors du commun donne une idée à la doctoresse : elle lui propose de participer à un congrès de sexologie réservé aux femmes médecins exerçant cette spécialité, au cours de laquelle il sera invité à faire la démonstration de ses capacités devant un amphithéâtre rempli de blouses blanches, ce qui donnera lieu à la réalisation d'un film scientifique. Enthousiaste, il signe sans le lire le contrat qu'elle lui propose. Il n'a pas vu qu'il se livre comme esclave sexuel au bénéfice de la Science médicale, acceptant par là même de confier son corps, sans aucune limite, pour d'excitantes, mais cruelles expériences...

Texte écrit, pour l'essentiel, nu et tapé d'une seule main. Chères lectrices, chers lecteurs, si vous partagez avec moi ce fantasme que l'on nomme CFNM (ou CFNF), n'hésitez pas à vous signaler en commentaire, et pourquoi pas à me confier vos expériences érotiques dans ce domaine afin d'écrire de nouvelles histoires bandantes.

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Anonymous
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3 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

Étonnant que sa mère n'ai pas relu le contrat, elle qui dirige sa vie d'une main de fer

OlivX

Silvain004Silvain004il y a plus d’un an

Ŕécit très excitant en effet et annonciateur, nous l’espérons, d’une suite à la hauteur de ve prrmier chapitre.

AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

Superbe texte

J'espère qu'il y aura une suite

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