Ashram Shambala 02

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Ramona passe un coup de fil pour organiser une punition publique. Elle me dit qu'à propos de punition, pendant ce temps-là elle va me montrer ce qu'il est advenu des sottes qui ne m'ont pas accueilli comme il se doit hier soir et qui ne m'avaient pas contenté. Je suis éberlué, les bras m'en tombent. Je ne comprends rien à ce dont elle parle... Je réalise au bout d'un moment que mon départ précipité et contrarié de l'orgie avait été imputé à un mauvais service rendu par mes deux petites putes. Je suis sous le choc. Je réalise à quelle bande de jobards j'ai affaire, rien n'est à prendre ici à la légère.

En attendant, la soumise s'active à réparer les dégâts qu'on lui impute. Elle doit ramasser les bris des récipients et la nourriture éparse, toujours à quatre pattes, avec une pelle et une balayette. Elle vide le contenu de la pelle à chaque fois dans un sac placé sur le pas de la porte. Il y a beaucoup à nettoyer et elle multiplie les allées-et-venues à quatre pattes avec le manche de la pelle entre les dents, faisant attention quand celle-ci est remplie de ne rien faire tomber de son contenu. Ramona ricane en regardant ce spectacle qui semble la mettre en transe.

Une fois que le balayage est fini, Ramona met la balayette entière dans le cul de la servante. L'intromission de l'objet à grands poils est spectaculaire, ceux-ci se tordent longtemps vers le dehors avant de finir par tous rentrer. Presque tout a disparu, il n'y a plus que deux centimètres de manche en plastique qui dépassent du trou de balle de la blonde, lequel trou de balle est distordu de façon rigolote. La Mexicaine me dit en souriant :

« C'est une expression française, ça, non? Dans le cul, la balayette! -- j'acquiesce de la tête -- Eh bien, en voici l'illustration! »

Ma diablesse retire l'objet au bout d'une bonne minute. Elle le retire sèchement et arrache ainsi à la servante une plainte plus forte que ne l'avait fait l'intromission. Puis, elle replonge l'ustensile dans l'intestin à peine remis. Ramona rit de notre souffre-douleur ainsi fichée, et lui fait nettoyer le thé et les traces sucrées avec ses gros nichons en guise d'éponges. Nous regardons ça longuement. Mon érection revient vite en voyant la scène. La malheureuse se tire sur la poitrine comme elle peut, à quatre pattes, et doit passer de nombreuses fois sur le carrelage froid pour que ses pis essuient les traces de l'incident. Une fois ses seins souillés, elle va à quatre pattes sur le pas de la porte les rincer dans un seau d'eau froide et trouble. Puis, elle revient reprendre le nettoyage du sol. Il lui faudra trois allers-retours pour arriver à la fin de sa tâche. Elle est vraiment pitoyable à faire ça, surtout avec la balayette dans le cul et les traces de brûlure sur tout un côté du corps.

Ramona et moi rions beaucoup en chœur devant ce spectacle, et partager cette complicité avec ma belle est un régal. D'autant que nous sommes tous deux confortablement installés sur mon lit et que j'ai grand plaisir à enfin partager mon lit avec elle, fût-ce dans ces conditions.

Toute trace de l'incident du matin a enfin disparu, mais Ramona fait encore faire un dernier frottage du sol à la servante. Elle lui fait faire cette fois-ci avec les fesses. Voir la plantureuse blonde, toujours nue bien entendu, se frotter les fesses par terre en se déplaçant de façon circulaire au milieu de la pièce, voilà un spectacle bien impressionnant. On dirait un chien qui aurait des vers et chercherait à s'en débarrasser. Quand on sait qu'elle a en plus toujours la balayette dans le cul, et combien se frotter ainsi doit appuyer sur l'ustensile ménager, c'est vraiment une scène sensationnelle.

Mais ce n'est toujours pas suffisant pour la Mexicaine, elle scrute le sol et engueule la servante avec violence avant de lui plaquer le visage par terre d'un coup sec. La soumise se met alors à lécher le carrelage où elle vient de frotter son arrière-train. Ramona m'explique en rigolant qu'elle lui a fait croire qu'elle avait laissé des traces de merde. Ce qui ne risque pas d'être vrai, puisque sinon j'aurais des souillures sur ma bite et ce n'est absolument pas le cas, même la balayette était ressortie tout à l'heure immaculée. Pour soi-disant encore lui laver le museau, la Sud-Américaine colle la tête de la pauvre blonde dans le seau d'eau, elle lui tient la tête sous l'eau pendant très longtemps, le corps de la punie commence à se contorsionner frénétiquement. Ma belle finit par retirer sa diabolique prise et le visage de la blondasse réémerge, bleui, trempé, reprenant en catastrophe une très bruyante respiration.

Après avoir bien ri, Ramona se met à mettre des coups de pied au cul de la malheureuse, des coups du bout du pied puis des coups frappés avec ses hauts talons. Elle m'invite à faire de même, je m'exécute en me disant que mes baskets sont de toute façon bien inoffensives après les talons aiguilles qui ont laissé de vilaines traces. Pendant que je botte le cul de la plantureuse servante, Ramona lui envoie un grand coup de pied dans les seins, un coup de pied qui a frappé les deux mamelons en même temps et qui fait gueuler la suppliciée encore plus fort que les coups de talons.

Il me serait d'avis que cet épisode puisse constituer déjà une belle punition pour la soumise, mais apparemment la véritable punition se prépare ailleurs.

Le spectacle ménager est cette fois décrété terminé par Ramona, elle m'invite maintenant à la suivre au dehors. Elle n'a même pas pris la peine de retirer la balayette du fondement de la bonniche. Une balayette qui sous l'effet des frottements aurait pu ressortir un peu, mais vu qu'on n'a rien vu dépasser, je pense qu'elle a plutôt été enfoncée encore davantage. Ce qui veut dire qu'elle a dû s'insérer totalement, être aspirée et progresser, jusqu'où? Je trouve étrange que Ramona n'ait pas cherché à inspecter la chose. Je pensais que c'était dans ses plans, et qu'après l'inspection elle ferait sortir l'objet et le mettrait d'autorité dans la bouche de la servante.

En revanche, dans le genre, je n'avais pas bien suivi les agissements de la Mexicaine, puisque je ne réalise que maintenant que d'avoir cette balayette en elle a dû amplifier l'effet délétère des coups que l'on vient d'administrer à cette soumise sur l'arrière-train.

Pour l'heure, nous descendons les escaliers et traversons la cour intérieure de la guest-house. Nous sortons du complexe de bâtiments pour nous rendre dans l'enceinte de l'Ashram proprement dit.

La Mexicaine m'entraîne vers une trappe que je n'aurais pas remarquée, on ne voit lorsqu'elle est fermée qu'une dalle de pierre parmi les autres. Une fois que nous sommes descendus, je découvre toute une installation souterraine bien entretenue. Mon guide accélère le pas et me conduit dans des dédales, puis me fait descendre de nouveaux escaliers et je découvre l'existence de toute une galerie souterraine semblant interminable.

Il se disait que Konstantin Rudnev "Altay-Chi" vivait sous terre, apparemment ce serait vrai. Bon, ce n'est peut-être pas dans le centre de la Terre comme dans le concept de terre creuse de Shambala, mais quand même...

Je me demande un instant si le mythe de Shambala ne serait pas vrai et si je ne vais bientôt me retrouver en face de représentants d'une race de créatures intraterrestres. Après tout, l'Ashram est censé être une porte donnant accès à ce monde. Ramona est-elle en train de me conduire à Agartha, ce monde merveilleux?

Nous descendons encore à un étage plus bas. Ramona se retourne tout le temps sur moi et me fait des œillades de ses si beaux yeux de biche. J'en reviens pas qu'elle ait de tels cils... En général, quand une fille a des yeux de biche comme ça, c'est du faux, ce sont des extensions. Mais là, non, ce sont bien ses vrais cils, j'ai toujours pu le constater. Elle me fait vraiment tourner la tête, cette femme est surréellement belle.

Nous franchissons une petite porte et celle-ci donne sur une nouvelle volée d'escaliers, cette fois-ci en colimaçons. Ces escaliers me semblent interminables. Arrivés en bas, ce n'est plus la même ambiance, la température a nettement baissé et nous ne sommes plus dans un espace nickel comme aux étages supérieurs. Là, tout est crade.

Nous poussons une porte sale et grinçante, la Mexicaine m'annonce avec excitation qu'il s'agit d'une salle de châtiments. La pièce est imprégnée d'une odeur peu agréable. J'y pénètre avec appréhension. Deux filles y sont entravées. Je reconnais rapidement mes deux petites putes d'hier soir.

Je me sens très gêné et n'ose pas les regarder dès que je les ai reconnues. Moi qui pensais hier avoir douché leur enthousiasme d'accueillir un français, aujourd'hui ça a pris des proportions incroyablement supérieures. Là, elles vont vraiment pour toujours maudire mon pays et ses ressortissants.

Ramona me dit qu'elle a bien réalisé que je n'étais pas le soumis gentil et coincé qu'elle croyait que j'étais. Je suis heureux de l'entendre. Elle continue en me disant avec passion que maintenant qu'elle voit l'homme que je suis, elle a de grands projets pour moi et que je peux prendre du galon dans l'organisation.

Elle m'invite avec fierté à contempler les punitions qu'elle a infligées aux deux « incompétentes » d'hier soir. Je suis donc obligé de bien regarder le spectacle de cette pièce. Il faut même que je me montre content de ce qui s'y passe, et que je remercie et félicite ma bien-aimée pour ce qu'elle me présente comme un travail effectué pour me venger. Me venger d'un affront pourtant inexistant.

Je suis particulièrement choqué par le sort réservé à la blondinette qui est punie par la bouche d'une manière inimaginable. Elle est attachée à genoux, la tête en arrière, et un cylindre en fer rouillé lui pilonne le bec. Le cylindre dégueulasse pend du plafond. L'appareil est animé d'une traction et fonctionne comme un engin de travaux qui devrait creuser des trous dans un sol rocailleux.

La pièce est sale, froide et humide, et comme si cela ne suffisait pas, on a mis un ventilateur qui tourne faisant du vent tantôt à l'une tantôt à l'autre.

Celle qui est embouchée par le diabolique mécanisme a une jupe blanche très courte qui est relevée au niveau du nombril et nage dans l'air lorsque le vent vient souffler de son côté. Je ne peux plus détourner les yeux de sa gorge rougie et déformée dans laquelle se démène le cylindre qui alterne entre une série de coups lents et une série de coups rapides. Les coups rapides s'accélèrent jusqu'à une vitesse démente, au maximum de rapidité on ne distingue même plus le mouvement tellement il va vite.

Le cylindre se dessine de façon obscène dans la gorge de la blondinette. Les bruits qu'il fait dans sa bouche sont saisissants. Quand il est à pleine vitesse, le cylindre ressemble à un marteau-piqueur.

Ramona me demande de dire bonjour à celle que j'ai sodomisée hier soir. Je ne sais pas comment m'y prendre, vu sa position et son état. Son ventre est plein du vomi qui gicle de sa bouche violentée et fait des bulles aux commissures de ses lèvres. Ce qui rajoute encore de mauvaises effluves à l'odeur pestilentielle qui règne ici, et ce malgré le ventilateur. La Mexicaine me dit de lui faire la bise, de lui embrasser les joues.

Je reste bête, je ne sais pas comment je pourrais déposer des bises sur les joues de cette tête ainsi malmenée. Ramona me regarde comme si j'étais idiot, et me précise qu'elle ne parle pas des joues de sa figure, mais de celles du bas. Je comprends enfin et m'exécute.

Les fesses sont très fraîches, la peau est douce, et la bise est très agréable. Une fois que c'est fait, Ramona fout un grand coup du revers de sa main sur les fesses de la malheureuse en lui demandant de répondre à mon bonjour. Celle-ci essaye d'articuler quelque chose et émet un grognement inhumain alors que le cylindre ne quitte jamais sa bouche, ne se retirant jamais complètement lors de ses tractions.

C'est fou de voir la longueur de cylindre qui disparaît par à-coups en pénétrant la demi-portion suppliciée. On dirait qu'elle doit l'avoir pas loin de l'entrée de l'estomac, ma parole!

Je me demande comment cette fille n'est pas tombée KO en proie à un tel traitement. J'ai pu constater hier soir qu'elle était spécialiste en gorge profonde, mais il y a tout de même des limites. Je me mets sur la pointe des pieds pour arriver à voir au mieux son visage et son regard. De ce que je peux voir on dirait qu'elle est dans un état bizarre, une espèce de torpeur consciente, un état second. Elle a réagi quand Ramona lui a demandé de répondre à mon bonjour, ce qui est rassurant, mais elle ne semble qu'à demi présente et ses yeux sont déments.

Je détourne le regard et me retrouve nez-à-nez avec l'autre. Celle-là est suspendue au plafond par les poignets, les jambes dans le vide, couverte d'ecchymoses de la tête aux pieds. Ramona me demande de la fouetter en visant là où elle a déjà des plaies, je m'exécute sans aucun enthousiasme. Je vise les seins qui sont bien abîmés. Les râles épuisés de la fouettée sont déchirants.

Je ne porte que trois coups et repose le fouet que ma bien-aimée m'a tendu. Les yeux de Ramona brillent d'un éclair sadique, elle me dit qu'elle a mis du cœur à l'ouvrage à me venger. J'essaye de me montrer flatté, mais je n'arrive pas à oublier ma gêne. J'aimerais vraiment libérer ces femmes, dire à Ramona qu'elles n'ont commis aucun impair. Je n'ai même jamais bandé depuis que je suis entré dans cette pièce dont je suis heureux de sortir.

Nous pressons le pas en arpentant à nouveau des dédales. Nous sommes remontés jusqu'au premier sous-sol.

Ramona m'emmène dans une autre salle des châtiments où on m'offre de punir la fille du matin. Celle-ci attend dans la salle en question, résignée. C'est la première fois que je la vois debout, elle est plus grande que je ne l'aurais cru. Bien plus grande que Ramona et les deux punies que je viens de quitter. Elle est toujours à poil, mais elle n'est plus dans l'état où je l'ai laissée tout à l'heure. Elle ne doit plus avoir la balayette dans le cul et on lui a refait une beauté. Son cul n'affiche plus d'autre marque que celles des talons, et encore je ne pense pas que je les remarquerais si je n'avais pas été témoin de l'épisode. J'espère qu'on a bien nettoyé ses seins qui ont servi de serpillières tout à l'heure, ce serait dommage qu'ils soient collants. Je me dis qu'on a dû les nettoyer au karcher, vu le traitement qu'on administre aux soumises ici.

Il y a foule dans cette pièce autour d'elle. Beaucoup de mentors hommes et femmes qui semblent venus au spectacle. J'ai un frisson de trac surhumain lorsque je réalise que c'est moi qui ai la responsabilité de ce spectacle. Et ce alors que j'aurais envie de laisser cette fille tranquille et de rentrer sagement dans ma chambre, voire en France.

Nous sommes dans une salle de châtiment, mais elle n'a rien de comparable avec celle que je viens de quitter. Ici, il fait chaud, tout est propre et feutré.

Nous montons tous sur l'estrade au fond de la pièce. Une trentaine de luxueux fauteuils devant nous. Presque tous se remplissent lorsque la plupart des convives nous quittent pour aller confortablement s'installer. Ramona m'adresse un clin d'œil en s'asseyant au premier rang. Seul Biven Mamonta reste avec moi et la punie sur la scène.

Biven prononce en anglais très approximatif un discours tenu d'une voix grave, diabolique et enfiévrée. Les membres de l'organisation ne prennent pas l'offense à la légère, surtout venant d'une soumise expérimentée. On parle d'une faute impardonnable. Le Russe présente la femme comme étant la honte de l'Ashram.

La condamnée m'a privé de mon petit-déjeuner, elle a privé un homme de son repas et elle a cassé du matériel de l'organisation, on parle d'elle comme d'une criminelle méritant la potence. Biven annonce que je vais lui infliger une belle correction.

Je ne peux pas reculer. Et comme la fille est une pro, rompue aux agressions sexuelles, je me demande bien comment la punir. La punition sexuelle est son quotidien ordinaire. Une esclave d'Ashram Shambala se fait autant baiser, abuser et humilier qu'une prostituée asiatique ou une actrice porno professionnelle... Que peut-on donc imaginer d'efficace?

Je pense alors à Pornstar Punishment, cette série de vidéos qui proposait justement des punitions aux stars expérimentées du X. Je sais alors sur quoi je vais me concentrer... Le baisage de bouche. C'est ça qu'on leur fait le plus dans cette série. C'est la pratique sexuelle la plus punitive car on attaque le visage qui est la vitrine sociale, et on met à rude épreuve les fonctions vitales.

On me demande si je souhaite avoir des accessoires pour administrer la correction. Comme tout ustensile, je ne demande qu'un fauteuil, au grand étonnement de Biven Mamonta.

Ramona me regarde, il s'agit de me reprendre, d'oublier tous mes états d'âme, de me concentrer, de ne pas me manquer, de lui montrer ce que j'ai dans le ventre. On allume la caméra sur trépied qui est sur la scène. Un homme met en route une deuxième caméra qu'il tient à l'épaule et avec laquelle il se déplace. On me filme. Je n'avais pas pensé à ça.

Quelle folie de s'exhiber ainsi sexuellement, pour moi qui suis loin d'être gaulé comme un acteur de films X! Avec mes proportions très moyennes, je pourrais déclencher des moqueries de la part de mecs montés comme Biven, ou de femmes habituées à ce type de calibres, déjà que les Russes ont le chambrage facile pour la virilité des Français.

Le sieur Mamonta quitte l'estrade en poussant la punie devant moi. Je me retrouve nez à nez avec ma proie. Chose que je ne voulais pas, ayant peur de perdre mes moyens si elle me regardait à nouveau d'un air cherchant à m'attendrir, me rappelant qu'elle n'avait rien fait de mal, que c'est moi qui ai causé de la casse par mes mouvements brutaux. J'ai peur de céder si cela se produit, je sais que je pourrais en venir à demander à ce qu'on la gracie, qu'on l'absolve de ce « crime » qu'elle n'a pas commis, j'aimerais du reste faire cela mais encore plus farouchement je veux impressionner Ramona et ne peux admettre de paraître faible et ridicule à ses yeux... Si la servante me regardait d'un air réprobateur, je pense que je perdrais aussi pied. Mais celle qui se tient là devant moi ne se comporte pas comme je le craignais.

Elle ne m'implore plus. Elle me nargue. Je me mets alors à bander fort, je me dis que je vais faire un carnage, que je vais briser son air arrogant. Elle ne semble pas croire que je puisse être un tortionnaire redoutable, je suis super motivé à l'idée de lui montrer qu'elle se trompe. Elles vont voir, Ramona et elle, ce que j'ai dans le ventre. Je lui fous une violente gifle en lui intimant en anglais de se mettre à genoux. Le coup est si rude que la servante vacille sur ses pieds tandis que sa tête part spectaculairement en arrière sur le côté. Les spectateurs acclament mon geste.

Déjà tout à l'heure, avec le fouet, c'était hors fessée la première fois que je levais la main sur une femme, mais c'était avec un objet, ce n'était pas un coup direct. Là, c'est la première fois que je gifle une femme, et je n'en reviens pas de la violence que j'y ai mis. Si j'avais réfléchi, je n'aurais sans doute pas pu le faire, je ne pensais pas être capable de faire ça. Tout cela m'excite autant que ça me fait peur, mais je ne dois pas cogiter et battre le fer tant qu'il est chaud si je veux conquérir Ramona.

La giflée a la joue cramoisie, elle ne me nargue plus mais n'obéit pas. Je me dis que cette gourde ne comprend peut-être pas l'anglais, mais je serais quand même étonné qu'une pute dans son genre, avec tous les mecs du monde entier qui viennent ici, ne connaisse pas la signification de « On your knees, bitch! ». Je l'attrape par les cheveux et la tords jusqu'à la mettre à genoux de force. Elle émet une plainte étouffée, incline la tête en signe de soumission, puis ouvre docilement la bouche. Je suis dans une fureur folle, j'ai dû lui tirer les cheveux très fort. Les yeux me sortent des orbites, d'autant que j'ai entrepris il y a plus d'une demi-heure maintenant une sodomie que je n'ai pas terminée, je n'ai pas joui et mon sexe est resté très frustré et énervé de ne pas avoir pu aller au bout du processus.