Ashram Shambala 02

BÊTA PUBLIQUE

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Je colle mon nez dans ces cheveux divins et les respire, je m'appuie de plus en plus, je m'enfouis et frotte mon visage dans cette chevelure ô combien merveilleuse et sentant bon. Au bout d'un moment, je me redresse et attrape ma pine dressée que j'enveloppe avec soin dans une épaisse mèche de la chevelure si accueillante, je me branle ainsi un peu.

Je finis par avoir mon soûl avec les cheveux, je me rassois et passe à la poitrine si attrayante. Je joue avec les gros seins qui pendent de la fille-plateau. Je n'ai jamais eu à ma disposition une aussi belle grosse paire de loches. Je les prends à pleines mains, les fais tourner dans ma paume, les malaxe, les soupèse, les fais rebondir, les triture, les frappe, les pince, les tords... La fille se mord les lèvres pour ne pas se plaindre du traitement. Elle est totalement résignée et offerte à tout.

Plus mis en appétit par son corps que par la bouffe servie sur le plateau, je me lève pour aller m'allonger sur le sol, sous elle. J'embrasse ses seins à pleine bouche, ils ont un goût sucré, je ne peux résister à mordre dedans allègrement en tirant ensuite sur les tétons avec mes dents. La milf se contracte, on sent qu'elle serre de plus en plus les dents. Alors que les traces rouges laissées par mes mains commençaient à s'estomper, j'ai maintenant laissé la marque de mes dents qui est impressionnante. Voyant cela, je bisouille ensuite les aréoles avec délicatesse, je dépose des baisers sur toute la surface et même autour. Puis, la chose est trop tentante, je me mets à téter comme le ferait un bébé. Il n'y a pas de lait qui sort, mais je continue à aspirer le plus fort que je peux jusqu'à aspirer toute la large aréole du sein droit dans ma bouche que je serre au maximum. Vu la taille de ce pis, j'ai pensé à un moment qu'il pourrait peut-être y avoir du lait, mais c'est idiot, d'autant que cette morue doit être ménopausée. Je finis par faire venir encore plus de peau dans ma bouche avant de mordre un bon coup. Jusque là sans réaction sonore à mes agissements, la fille pousse une plainte stridente un peu étouffée où l'on entend la surprise autant que la douleur. Mon bonheur est indescriptible, je n'arrête pas de glousser de volupté et de rugir de plaisir.

Ces nibards sont bien moelleux et pendants, mais bien sphériques et encore assez fermes, ils sont vraiment à leur quintessence. Je les fais rebondir l'un sur l'autre un moment, les presse l'un contre l'autre, les agite en tout sens. Puis je frotte ma barbe râpeuse de cinq jours sur la peau tendre de ces admirables globes, j'insiste particulièrement sur la si délicate peau des tétons qui vient d'extasier mes mains et mes lèvres. Je me colle le nez entre ces obus, respire la peau à pleins poumons, puis j'agite la tête en faisant ballotter les doux pis qui me giflent tendrement. Je vais de plus en plus vite, j'entends le contenu du plateau bouger dangereusement.

Une fois que ma bouche et mes mains sont rassasiées, je me contorsionne pour amener ma bite vers ces merveilles, je caresse les seins avec ma queue toute dure, je les bats avec. J'enfonce mon pieu dans un de ces vastes tétons si généreusement accueillant. J'apprécie que la fille ne soit pas excitée et que ses tétines soient donc bien moelleuses. Oh mon Dieu que c'est doux! La peau de ces tétons est d'un tendre incroyable, je n'avais jamais rien pu concevoir d'aussi délicieux. Une fois la transe retombée, j'essaye d'aller et venir ainsi dans le téton, de baiser son sein, mais la chose n'est pas commode à exécuter dans cette positon alors j'attrape l'autre sein (le gauche, celui de son cœur) et essaye de me branler avec, en m'en servant comme écrin, la sensation est délicieuse mais fugace, l'opération n'arrive pas non plus à bien fonctionner.

Je me redresse et sors de sous elle pour passer dessus et me poster à genoux derrière elle. J'ai maintenant envie de sa belle croupe généreuse vers laquelle je tends de tout mon être. Je contemple ce beau cul bien rond, si bombé. Puis je le palpe et le fais rebondir avant de l'embrasser baveusement à pleine bouche. Je passe mon nez dans la raie et y dépose au passage un baiser, aucune mauvaise odeur rédhibitoire à signaler.

Je mords dans la fesse droite, qui a elle aussi un bon goût. Cette meuf est vraiment super appétissante, plus appétissante que les victuailles qu'elle est venue livrer. Les meilleurs mets qu'elle apporte sont son popotin, ses cheveux et ses roploplos.

J'entreprends de lui foutre une fessée sévère qui fait trembler dangereusement le plateau sur son dos avec tout ce qu'il y a dessus. Je constate d'ailleurs qu'il y a plein de thé qui s'est renversé sur le plateau depuis tout à l'heure. Les claques que je lui décoche sont de plus en plus violentes, elle part de plus en plus en avant à l'impact et ses fesses se creusent, gigotent et se déforment de plus en plus sous ma main. J'aime tellement contempler la façon dont ça se déforme, ça part dans tous les sens puis ça se remet en place, quelle élasticité, quels rebonds, quel beau mouvement! D'abord silencieuse sous les premiers coups, la femme fessée finit par ne plus pouvoir contenir des gémissements plaintifs, tantôt rauques, tantôt aigus. Quel plaisir intense! Jouer à panpan-cucul avec une femme comme ça, j'en rêve depuis que j'ai quatre ans.

Je tape jusqu'à ce que les fesses me semblent d'une belle rougeur écarlate. Je frotte alors mon érection sur le haut des cuisses charnues. Je prends ensuite mes couilles dans la main et les secoue pour faire battre ma bite sur le généreux fessier de la dame qui pourrait être ma mère.

Puis j'écarte les magnifiques globes et découvre l'œillet bien rose qui me fait de l'œil, qui m'appelle. Tout est scrupuleusement sans la moindre trace rédhibitoire de poil. Je ne m'intéresse pas du tout à sa chatte de vieille pute, je presse ma bite sur l'œillet rose de cette servante.

Je progresse lentement, pour faire durer le plaisir, mais je m'enfonce comme dans du beurre. OK, ma bite n'est pas bien épaisse, mais cette gonzesse doit quand même être sacrément rompue à la sodomie pour que la pénétration anale à sec soit si facile. En parlant de beurre, je vois qu'on m'en a servi une noix sur le plateau. En tout cas, à l'inverse de Marlon Brando avec Maria Schneider dans "Le Dernier tango à Paris", je n'ai pas besoin de m'en servir pour réaliser mon enculage.

Quel plaisir d'enculer la fille qui vient vous porter le petit-déjeuner, ce devrait être une prestation offerte aux hommes dans tous les bons hôtels du monde! Tout comme la fille-WC sur laquelle pisser. Tout le monde sait bien que les services et l'accueil ne sont appréciés d'un homme que s'ils s'adressent à son entrejambes.

Je suis étonné de voir ma bite disparaître si facilement jusqu'à ce que mes couilles viennent heurter le bas des fesses de l'enculée. Cette vision me met en transe. Je commence à limer, ça coulisse aussi facilement que c'était rentré.

J'en arrive rapidement à m'activer frénétiquement, je vais à une vitesse démoniaque. Je ne comprends pas pourquoi on baise les chattes. Ce qui nous hypnotise et nous obsède depuis l'enfance, c'est bien le cul des filles. Depuis les culs des poupées de nos grandes sœurs jusqu'aux culs des bitchs des clips de musique urbaine devant lesquels on se branle à longueur d'après-midi.

Les vagins ne sont pas attractifs, et même un peu ridicules, ces chairs fripées et marécageuses ne sont rien comparées à ces magnifiques globes fessiers si ronds, généreux et accueillants. Et les vagins encaissent trop facilement les pénétrations, ils s'adaptent trop bien, c'est trop fade, ce n'est pas fun, ça n'a aucun intérêt, à moins d'avoir affaire à une vierge, ou d'avoir des sentiments, ou tout au moins de l'estime, pour sa partenaire sexuelle.

Perforer, maltraiter ce petit trou étroit et délicat, qui n'a rien demandé et qui n'a pas été conçu pour ça, c'est une jouissance sans borne dont je pourrais rapidement être addict. Les anus sont plus accueillants, plus serrés, plus intimes. Et ce même quand ils ne présentent aucune résistance, comme c'est le cas pour celui que je suis en train de besogner. On oublie facilement que passe par là quotidiennement de la merde, je pense que ça nous ferait vite débander.

Je ralentis et m'impose par grands coups secs que son conduit encaisse moins bien et qui commencent à faire crier la donzelle, bien qu'on sente qu'elle se retienne et qu'elle s'emploie à faire en sorte de ne pas trop se laisser bouger. Pour ne pas que le plateau se renverse, probablement. En tout cas elle ne peut empêcher de bouger ses mamelles qui s'agitent avec le plus bel effet au gré de mes assauts. Mes hanches giflent ses fesses avec force à chaque pénétration, ça claque du tonnerre avec une belle intensité sonore. Les miches de l'enculée virent au violacé.

Je me retire et fais durer le plaisir en me frottant la bite au milieu de ses fesses, sans plus la pénétrer. Je vais surtout de bas en haut. Je lui racle la raie culière, cette divine fente qui gît entre ses dodues joues fessières que je resserre sur ma tige.

Puis je m'insère à nouveau d'un coup dans son anus, la faisant vaciller et lui arrachant un nouveau cri particulièrement intense et éprouvant pour elle. Le plateau valse sous le choc et tout le contenu chute sur le sol. La théière se renverse dans un fracas et se brise en mille morceaux.

Je me mets à engueuler ma soumise parce qu'elle a laissé tomber ma tasse qui s'est brisée elle aussi par terre en mille morceaux, c'est juste un prétexte pour avoir le plaisir de lui crier dessus et pour me donner plus de vigueur.

Le pire, c'est que je réalise que le liquide qui a giclé, quand la théière s'est brisée, a éclaboussé la soumise et l'a brûlée. Elle a des marques de brûlure sur le côté où ont valsé les éléments présents sur le plateau. Des taches rouge vif, au milieu desquelles la peau est plissée ou enflée, émaillent ses bras, son dos et son ventre.

J'aurais dû m'en douter, c'est vrai que le cri causé par ma sèche pénétration a pris une terrible intensité quand l'incident a eu lieu. Cette réaction indiquait forcément que quelque chose l'avait blessée bien plus que ma sodomie qu'elle encaissait jusque là sans difficulté. Cette intromission-ci avait réussi à la cueillir davantage que les précédentes, mais il n'y avait quand même pas là de quoi se lamenter de la sorte. Le cri de départ s'était prolongé de façon décuplée pour devenir une piteuse plainte stridente et déchirante qui s'est mélangée au vacarme des récipients se fracassant sur le sol.

Je remarque en scrutant la chair de la brûlée qu'il semble que j'ai réussi à la faire bien suer, au propre comme au figuré d'ailleurs. Bon, la température torride régnant dans la chambre a dû bien aider aussi. Et, de plus, je me demande si ce qui perle sur sa peau est toujours bien de la sueur, il y a peut-être aussi des gouttes de thé...

Alors que je commence à me demander si je ne devrais pas interrompre la sodomie pour m'inquiéter de l'état de celle qui la subit, la porte d'entrée s'ouvre et c'est Ramona qui entre dans la pièce sans s'être annoncée.

Décidément, depuis que je suis ici Ramona a le chic pour faire irruption au moment où je l'attends le moins. Ce qui est une belle ironie, étant donné que je l'attends en vain presque tout le reste du temps.

Voir la porte s'ouvrir ainsi sans prévenir m'a causé un frisson d'effroi et d'incrédulité. Sachant maintenant que c'est Ramona, je suis perturbé qu'elle voie mon sexe, je me dis qu'elle ne l'a peut-être pas vu hier soir, affairée comme elle était. J'ai peur de la décevoir, que ma bite ne soit pas à la hauteur. J'ai peur de sa réaction, comme si elle tenait ma vie entre ses mains.

Je suis également gêné qu'elle me voie ainsi en action avec une autre qu'elle. Me vient une dantesque culpabilité d'être amoureux d'elle et qu'elle me surprenne ainsi. Et d'être maintenant en train d'en besogner une autre devant ses yeux, ça n'a aucun sens, je ne comprends même pas comment la chose est possible...

Je relève ma mâchoire inférieure et ravale ma salive. Je tâche de me reprendre et de chasser toute pensée. J'essaye d'être naturel et de me détendre, d'assumer. Je me dis qu'il faut que je me montre un fier mâle décomplexé, Ramona ne peut pas être attirée par autre chose, elle ne peut même pas estimer autre chose.

J'entreprends donc d'ignorer l'arrivante, de me concentrer sur ma sodo afin de me montrer viril et vigoureux. Il faut que je m'active parce que mon émoi avait ramolli ma queue restée allant et venant sans conviction dans l'anus de la servante. Je choppe les cheveux de ma proie et lui tire en arrière avec hargne pour me montrer digne du vrai mâle alpha qui peut gagner le cœur de ma bien-aimée.

La Mexicaine vient près de moi naturellement et me fait la bise comme si je ne faisais rien de spécial. Elle me pose un baiser sur chacune de mes joues mal rasées où coule la sueur. Je lui rends ses bises tant bien que mal et lui souffle un « bonjour! » en apnée entre deux respirations fortes et deux coups de rein.

Ramona s'assoit sur le lit à côté de nous, à la place où j'étais avant d'entreprendre celle que j'encule à présent. Elle nous regarde avec un air un peu rêveur, nous qui nous ébattons au sol comme des animaux. Elle n'a pas détourné le regard de mon sexe mais n'a montré aucune réaction particulière. Ce qui me rassure un peu.

La Mexicaine sourit en me disant qu'elle voit qu'effectivement j'aime les femmes mûres, les femmes plus âgées que moi. Je suis mal à l'aise d'entendre ça, j'aimerais arrêter ce que je fais et venir l'embrasser en lui disant que je n'aime pas « les femmes mûres », que je n'aime qu'elle. Mais l'ambiance ne se prête guère à ce romantisme auquel j'aspire. J'aimerais jeter l'enculée à la poubelle et dire à ma belle combien cette femme n'était qu'un lot de consolation en attendant qu'elle vienne à moi, que ce n'est qu'un objet, un sex-toy.

J'ai du mal à continuer à perforer le petit trou de la servante, je relâche ses cheveux, je n'ai plus du tout la tête à ça. Je ne pense plus du tout non plus aux brûlures de celle avec qui je m'ébats. Cette pute n'est plus pour moi qu'un boulet que j'aimerais voir disparaître.

Ramona ramasse mon boxer, je frémis d'émoi et aussi un peu de peur. J'aimerais qu'elle le porte à son visage, qu'elle en respire la forte odeur de l'intérieur de la face avant, et que cette odeur lui plaise... Mon Dieu, faites qu'elle ne trouve pas l'odeur incommodante.

Le visage de la Mexicaine s'embrase soudainement et elle se lève avec à la main mon sous-vêtement qu'elle n'a pas inspecté. Elle le colle sous le nez de l'enculée, elle lui appuie sur la gueule avec, puis lui enfile même sur la figure. L'intérieur du tissu du fond est en contact avec le nez et la bouche de la fille. Cela fait rire ma belle aux éclats, d'un beau rire cristallin aigu.

Elle a alors une attention pour moi, elle retourne sèchement la tête de la fille pour que je puisse voir son œuvre, pour que je puisse voir mon caleçon ainsi enfilé sur la tête d'une femme. Le vêtement masculin lui sert de cagoule corse en quelque sorte. On ne voit plus rien de la tête de la sodomisée, à part ses cheveux qui dépassent, et un peu du côté des joues dévoilé par les jambes du calbar. On voit, au gré des secousses, sortir le bas des oreilles avec les boucles qui brillent.

Ramona enlève le sous-vêtement usagé de sa place et le colle entièrement dans la bouche de la fille qui ne tarde pas à le recracher dans un haut-le-cœur, à la faveur d'un cri provoqué par la sodo qui est repartie fièrement à la faveur du tableau. La Mexicaine dodeline sa tête et cela fait tinter joliment les grands anneaux qu'elle a aux oreilles, des anneaux auxquels s'accrochent des pendentifs d'or fin en forme très réaliste de trèfles à quatre feuilles.

Ma belle me dit que c'est bien de m'avoir ici, que comme ça je baise celles dont les autres, avides de jeunettes, ne veulent plus. Je m'arrête en entendant ça, je me demande si elle parle d'elle, l'espoir me gagne, je me retire de la blonde. Faut-il que la Latino-Américaine vienne toujours m'interrompre lorsque je sodomise une fille? Je n'arriverai donc jamais à vivre l'expérience jusqu'au bout. Elle le ferait exprès que ce serait pareil.

Pour justifier mon comportement, je prétexte à Ramona que la journée va être longue et que je veux garder ma crème pour plus tard. La servante se retourne en grimaçant douloureusement, peut-être les brûlures, peut-être la sodomie, peut-être aussi le fait de se retourner qui entraîne une séquelle de la violence avec laquelle ma belle lui a tourné la tête tout à l'heure. Elle semble très surprise que je me sois retiré et que je me relève comme si j'allais définitivement la laisser tranquille. Elle semble incrédule, guettant, cherchant à savoir ce que l'on complote. Elle est perplexe, surtout que l'on parle en français, une langue dont elle ne comprend sans doute pas un mot.

Ramona me demande si c'est l'esclave qui a cassé ma tasse, je réponds que oui. Le regard de la gourelle mexicaine se fait d'un noir effrayant et elle m'assure que le « crime » ne restera pas impuni, que cette « sotte » fait la honte de l'Ashram. Elle lui vocifère des paroles en russe qui semblent extrêmement méprisantes et menaçantes. Je ne reconnais pas sa voix qui n'a plus rien de son miel habituel. L'autre me jette un regard implorant, mais, soumise, elle ne proteste pas, finit par baisser la tête et se résigne à son injuste sort. Elle doit savoir comme moi que Ramona n'est pas dupe. Ma bien-aimée sait que ce sont les secousses de la sodomie qui ont fait tomber la théière, la tasse, la coupe de fruits frais, le ramequin de graines germées, et la corbeille de fruits secs, seule bien sûr à ne pas s'être cassée.

Le regard implorant de la servante m'a perturbé. Surtout que je réalise qu'incroyablement, avec tout ce temps passé avec elle en contact rapproché, c'est la toute première fois que ses yeux croisaient les miens. Et ses grands yeux bleus étaient bien plus vivants que je ne l'aurais pensé, et exempts du moindre ressentiment, cherchant à m'attendrir et à me raisonner. Cela me touche qu'elle n'ait pas pensé l'affaire perdue d'avance. Je venais de la traiter comme le ferait le pire des salauds, et malgré cela elle m'a regardé comme si elle pensait que je pouvais avoir du cœur et être loyal envers elle. Son regard était saisissant, il n'a pas duré longtemps mais j'ai vu qu'elle y a cru. Et ce qui était impressionnant, c'est qu'elle était digne. Elle n'avait pas une expression larmoyante qui m'aurait fait rire, elle était incroyablement touchante, elle a cru pouvoir m'émouvoir et me ramener à la raison.

Je me dis que j'aurais dû dire que c'était moi qui avais fait tomber tout ça. Après tout c'est la vérité, ce sont mes actions qui ont causé cette casse. Je suis à deux doigts de corriger mes propos auprès de Ramona, mais je me reprends vite. Je ne peux pas ainsi perdre la face devant la Mexicaine. Et qu'importe ce que j'ai fait, le rôle de cette pute était de me servir mon petit-déjeuner et elle aurait sans doute dû prévoir ce qui allait se passer et faire en sorte que cela ne se produise pas. Elle avait en charge mon premier repas de la journée, elle se devait d'en prendre soin.

Je comprends que si elle a hurlé de cette façon quand le plateau est tombé, ce n'est pas seulement à cause de la surprise, de la violence de mon coup de bite, des éclats qu'elle a pu prendre, et du liquide brûlant dont elle a reçu des giclées, mais c'est sans doute aussi qu'elle savait que c'était une catastrophe qui lui coûterait cher.

Je m'habille vite lorsque je sens que je débande, je ne voudrais pas que Ramona voit maintenant mon sexe au repos, il se rabougrit des fois plus que la normale, surtout quand je suis comme là en proie à un tourbillon mental et émotionnel.

J'enfile donc le boxer qui était il y a quelques instants dans la bouche de la soumise et qui a encore de sa salive là où je vais ranger mon attirail de mâle.