Abusée Ch. 12

- Écarte ses fesses et mets-toi au travail Mme BONHAM.

A genoux, je regardai le cul du concierge. Pendant quelques secondes, je fixai les poils gris et bouclés sur le derrière de l'homme. Deux sentiments se bousculaient en moi : l'humiliation et l'excitation sexuelle. J'entendais Steve PRUIT sucer l'énorme bite. Quelle autorité chez Mme SMOLEN! Sa capacité à commander et à obliger ses jeunes professeurs à réaliser des actes obscènes me faisait tourner la tête.

Je reniflai et sentis l'odeur âcre de sueur séchée provenant de l'entrejambe de Clem. J'eus un réflexe de recul en me demandant depuis quand le vieil homme s'était baigné. Mais ma position et l'humiliation vainquirent mon dégoût. J'écartai les fesses de Clem et je commençai à lécher le trou de l'énorme cul poilu. Je le mouillai avec ma salive et j'en fis le tour avec ma langue. Je n'arrivai pas à croire que je léchai le cul de ce vieil homme noir. J'entendis Marianne ricaner pendant que Glen m'insultait :

- Putain, quelle salope!

- Regardez cette magnifique queue noire!

La voix de la vice-directrice était craintive. Je ne savais si elle était impatiente d'avoir le sexe du concierge pour elle-même. Je sentis que le vieil homme était tiré loin de mes lèvres et de ma langue. Ses fesses se fermèrent sur son trou du cul. Je me relevai afin de voir ce qui allait se passer.

- Allez PRUIT, aidez-le! Mettez cette grosse bite de nègre dans mon trou chaud et humide!

Je me déplaçai sur le côté pour assister à la scène. Je n'arrivai pas à croire qu'il existait des queues de la taille de celle de Clem. Il ne bandait pas beaucoup plus mais l'épaisseur de son membre était étonnante. Il était difficile de croire que ça... cette chose soit attachée à un corps humain. Cette bite était plus épaisse que mon avant-bras avec des veines bleutées qui ressortaient sur les côtés. Steve PRUIT tenait ce gourdin à deux mains et il frottait l'énorme gland contre les lèvres gonflées de la chatte de Marianne SMOLEN.

La sous-directrice était de nouveau sur la table, mais en équilibre sur le bord. Ses jambes écartées vulgairement affichaient sa chatte largement béante. Je commençai à ressentir des picotements dans ma propre chatte quand PRUIT commença à fourrer la monstrueuse bite dans le sexe de Marianne. Je vis le concierge bouger son cul noir pour essayer de forcer l'entrée de son gourdin dans la chatte déjà bien ouverte de ma patronne.

Je regardai le visage de celle-ci pendant que le pénis de l'homme la pénétrait lentement. Ses yeux roulaient dans ses orbites. Elle semblait éprouver tant de plaisir qu'elle avait perdu le contact avec nous dans la salle.

Le pauvre Clem avait une expression désolée sur son visage. La sueur dégoulinait le long de sa figure alors qu'il tentait de faire pénétrer la majeure partie de sa bite dans la chatte de Marianne. Apparemment ce n'était pas la première fois que Clem était appelé au service de la vice-principale. A voir son apparence, j'eus l'impression qu'il était inquiet que tout ne se passe comme Mme SMOLEN le souhaitait.

Celle-ci sembla sortir de ses rêves pendant un moment pour nous dire :

- Allez-vous en vous tous! Sortez d'ici!

Et elle ajouta :

- PRUIT, allez vous nettoyer dans les vestiaires, j'aurai besoin de vous quand j'aurais fini.

Nous fûmes tous congédiés. Je ramassai mes vêtements et je me précipitai hors de la salle de réunion, bientôt suivie par Glen et Steve PRUIT. Tandis que nous quittions la pièce, nous entendîmes les gémissements de Marianne SMOLEN tandis que le concierge la bourrait consciencieusement.

Après être sortie de la salle, Glen me donna une petite tape sur la tête et me dit adieu. Je compris que mes cheveux sentaient encore l'urine de la vice-principale. Je regardai le cul nu de Glen quand il s'éloigna dans le couloir de l'école, son jean et sa chemise sous le bras. Steve PRUIT devait avoir trop honte pour me parler. Il disparut avant même que je le réalise.

Je décidai de m'habiller dans le couloir. Je boutonnai mon chemisier blanc et j'enfilai mon gilet. Je remis mes vêtements du mieux que je le pus puis je partis dans les couloirs déserts de l'école pour rejoindre le parking où ma voiture m'attend.

Sur le chemin de retour, je rejouai dans ma tête ma conduite débauchée et obscène. Glen avait fait en sorte que je sois une petite salope pour ma patronne. J'avais été pénétrée à la fois par le professeur d'EPS Steve PRUIT, l'homme désiré par toutes les jeunes enseignantes et par Glen. J'avais été abusée physiquement et mentalement par ma patronne, Mme Marianne SMOLEN, qui m'avait craché puis pissé dessus. J'avais été obligée de lui manger sa chatte rasée et ensuite elle m'avait forcée de lécher le cul de notre vieux concierge noir Clem.

Je retournai à ma maison où mon mari ne se doutait de rien. Dans ma voiture régnait l'odeur d'urine et de sperme rance. Mon cœur se mit à battre fort en espérant que mon mari Mike ne se doute jamais de ce que je venais de faire. Je sentis mon pouls battre à cent à l'heure et des larmes coulèrent en silence sur mon visage alors que j'imaginais sa réaction s'il découvrait que sa douce, sa sage jeune femme était une vraie salope soumise.

Je me garai dans notre allée. Je vis la lumière bleue sortant de notre téléviseur à travers la fenêtre du salon. J'éteignis le moteur, j'avalai ma salive et je commençai le dur trajet jusqu'à notre belle maison.

A suivre...