Abusée Ch. 12

Informations sur Récit
Débauche à l'école.
4.3k mots
4.6
26.7k
2

Partie 12 de la série de 14 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 02/27/2018
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Traduction d'une histoire de Jessiebnh.

Ce récit est une FICTION contenant chantage, contraintes et humiliations. Ne continuez pas à lire si vous n'aimez pas.

***********

Je fermai les yeux et serrai les dents, attendant le pire. Marianne me tenait le menton dans sa main et me regardait dans les yeux. Je tremblai en sous l'anticipation et la luxure. Son visage dériva vers le mien. Je sentis la pression qu'exerça la bite de Glen sur mon anus pendant que PRUIT restait immobile sous moi.

Marianne commença à m'embrasser, timidement d'abord. Dans ma tête, un paquet d'émotions contradictoires se bousculaient. Je n'avais jamais embrassé une femme pendant un acte sexuel auparavant. Mais il n'y avait pas que ça. Quelques minutes avant, Mme SMOLEN avait été physiquement et émotionnellement violente avec moi. Elle m'avait craché dessus et m'avait traité de salope et de pute. Le fait qu'elle soit aussi la vice-principale de l'école et ma patronne m'inquiéta encore plus.

Tandis qu'elle m'embrassait avec plus de passion, elle me tenait la tête dans ses deux mains. Glen poussa lentement et inexorablement. Mon trou du cul se détendit et je commençai lentement à m'ouvrir. La langue de Marianne serpentait dans ma bouche et ses mains berçaient ma tête en me caressant les cheveux. Lentement elle se dégagea de notre baiser passionné. Je voulais qu'elle m'embrasse encore et j'ouvris mes yeux dans la confusion. Je vis son visage, ses yeux vicieux fixés sur moi, un sourire cruel sur son visage!

- Prends-la! Baise cette salope!

Elle saisit mes cheveux fermement alors que les deux hommes poussèrent en même temps, PRUIT dessous, Glen dessus. J'eus l'impression d'avoir un poteau téléphonique dans le ventre. Mes yeux ont dû se révulser sous le choc et la douleur. Marianne recommença à m'embrasser, mais je ne pus lui retourner le baiser. Les sensations étaient trop fortes. Je gémis dans la bouche de Mme SMOLEN.

Encore une fois sa langue glissa dans ma bouche qui était maintenant grand ouverte dans un cri silencieux. Puis cela sembla se calmer. Je sentis que les deux hommes commençaient à avoir un rythme de croisière, Glen dans mon cul, PRUIT dans ma chatte. La sensation devint agréable alors que chacun alternait pour me baiser, une bite entrant en moi alors que l'autre se retirait.

Peu à peu, je commençai à sentir les prémices de l'orgasme. Je pensai à ma situation. J'étais nue sur la table de la salle de conseil du groupe scolaire. Le nouveau professeur d'EPS, coup de cœur de toutes les enseignantes, était sur le dos. J'étais empalée sur son épaisse queue déformée. Mon ancien élève, Glen, m'enculait et prenait ma virginité anale pour la première fois. Ma patronne et la vice-directrice de l'école, Marianne SMOLEN, tenait ma tête entre ses mains et me contemplait, se réjouissant de mon comportement de salope et de ma soumission.

Alors que l'orgasme se construisait, ma vision devint floue à nouveau. Mme SMOLEN, son visage à quelques centimètres du mien apparaissait et disparaissait. Je m'entendis grogner comme un porc, poussant les deux hommes à me baiser et m'utiliser comme une chienne. Marianne tenait toujours avec force ma tête par ma queue de cheval. Elle me sourit méchamment.

Puis je vis ses lèvres bouger. Sa voix fut comme un sifflement de serpent :

- Espèce de petite salope mariée! Tu baises comme une pute! Regarde-toi salope! Tu es baisée comme la chienne que tu es. Ton mari serait fier de voir ce que tu es devenue, petite vide-couilles.

Et elle continua :

- Deux bites ma petite salope! Deux bites dans tes trous de pute! Tu es vraiment une salope insatiable.

Mon esprit était ailleurs. J'étais totalement impuissante à contrôler mes pensées. « Oui je suis une salope, oui je suis une petite pute mariée » pensai-je. J'avais tellement honte d'être si ouverte et si vulnérable. Pendant une fraction de seconde, je pensai à mon pauvre mari qui ne se doutait de rien, assis devant noter télévision à la maison en attendant que je rentre. La honte et le dégoût me submergèrent à l'intérieur.

Pourtant, malgré cette honte et ce dégoût, mon orgasme se construisait de façon constante. Et je ne pouvais pas, non, ne voulais pas que ça s'arrête et repousser les deux bites qui se servaient de moi comme une poupée sexuelle. Mme SMOLEN attrapa ma tête dans ses deux mains, serra mes joues et dit :

- ouvre ta bouche petite salope! OUVRE!

J'obéis à l'ordre de la vice-principale et j'ouvris la bouche comme pour recevoir une nouvelle bite. Elle cracha vulgairement dans ma gorge. A ce stade, je ne refusai pas qu'elle abuse de moi. En fait, secrètement je voulais être humiliée par elle. Je voulais savoir à quel point j'étais devenue une salope. A ce moment-là, rien n'était trop extrême pour que je ne l'accepte pas. Elle le savait, ils le savaient tous. Mme SMOLEN, M. PRUIT, toute l'école le savait. J'étais une femme mariée sans pudeur, prête à être utilisée par tout homme ou toute femme qui croiserait mon chemin. J'étais une cochonne, une vide-couilles à utiliser selon le bon vouloir de chacun et à jeter comme un vieux chiffon sale.

- Ensemble les garçons! Baisez-la ensemble. Enfoncez vos bites jusqu'à ce qu'elles sortent par sa gorge. Baisez cette salope jusqu'à ce qu'elle n'en puisse plus!

Mme SMOLEN criait. Je sentis deux de ses doigts dans ma bouche et je commençai à les sucer alors qu'elle les enfonçait. Ma bouche était envahie par des doigts et mon cul et ma chatte par des queues énormes.

Puis je commençai à jouir. L'orgasme monta de mes orteils puis dans mes mamelons qui frottaient contre la poitrine velue de M. PRUIT. Il se propagea lentement, comme au ralenti. Je voulais cracher les doigts de ma patronne et crier de plaisir. Je voulais exhorter les deux hommes à me baiser plus violemment, à me baiser comme leur chienne.

Je sentis Mme SMOLEN libérer ma tête. Ses doigts laissèrent ma bouche. Maintenant je pouvais me concentrer. Je pouvais me concentrer sur ma jouissance. Je regardai le beau visage de PRUIT. Ses yeux étaient ouverts très larges. Dedans j'y vis l'envie d'éjaculer en moi. Je sentis Glen saisir ma queue de cheval et il me monta comme un cavalier de rodéo, enfonçant sa bite au plus profond de moi en grognant comme un animal.

Mon orgasme montait encore et encore. Je pouvais le sentir dans toutes les parties de mon corps, mes orteils, mes mamelons mes mollets, mon ventre. J'essayai de m'empaler encore plus sur les deux queues qui me baisaient. Inconsciente de tout ce qui pouvait se passer à l'extérieur, la seule chose qui comptait pour moi c'était mon orgasme. C'était comme si je galopais sur un destrier qui me propulsait vers un orgasme hors de ma portée.

Malgré l'emprise de Glen sur ma queue de cheval, je baissai mon menton vers le bas et je fixai PRUIT. J'espérai que la vue de ce beau gosse me baisant, déclencherai mon orgasme. J'avais l'impression d'avoir une ligne électrifiée qui reliait mes deux tétons. Mes orteils se tordaient et j'attendais ce moment délicieux où tout mon corps, des pieds à la tête en passant par mon clito, serait foudroyé de plaisir.

Je fermai les yeux un bref moment en me concentrant sur toutes les sensations que j'éprouvais, espérant que l'orgasme allait m'envoyer en orbite. J'essayai de me concentrer sur les deux queues, séparées seulement par une fine membrane, qui me bourraient inlassablement, me remplissant délicieusement et me laissant vide ensuite pour revenir avec une passion renouvelée.

Quand j'ouvris les yeux, je regardai de nouveau le professeur d'EPS. Je fus surprise de voir que ses yeux regardaient fixement en arrière vers le bout de la table. Il y avait de l'appréhension sur son visage. Je fus perplexe et un instant, j'oubliai ma lutte pour atteindre l'orgasme.

Je suivis le regard de PRUIT quand Glen tira sur mes cheveux pour que ma tête soit parallèle à la surface lisse de la table. Et en face de moi, je vis ce qui avait capturé l'intérêt de PRUIT. Mme SMOLEN se tenait sur la table devant nous trois. Je ne pourrai jamais oublier cette scène érotique aussi longtemps que je vivrai. Marianne était nue avec seulement ses hauts talons, ses bas noirs et son porte-jarretelle. Ses genoux étaient pliés et elle tenait ouvert ses petites lèvres gonflées de sa chatte rasée. Au début, je pensai qu'elle allait se branler pendant qu'elle regardait les deux hommes m'utiliser comme une poupée sexuelle.

Brièvement mes yeux se portèrent sur son clitoris gonflé. Puis je l'entendis grogner alors qu'elle se baissait sur ses genoux et écartait vulgairement les lèvres de sa chatte. Avec un sourire vicieux elle me regarda et dit :

- Prends petite pute! Prends ma pisse!

Un jet d'urine chaud sortit de sa chatte distendue et éclaboussa mon visage avant de ruisseler sur Steve PRUIT en cascade. Tandis qu'elle continuait à pisser, elle ordonna :

- Ouvre ta bouche de salope! Ta bouche de vide-couilles! Avale ma pisse sale pute!

Inexplicablement j'ouvris ma bouche, obéissant à son commandement dégénéré et obscène. La pisse éclaboussa mon visage et mes cheveux. Je commençai à tousser mais les deux hommes continuèrent de me baiser.

J'étais maintenant totalement et complètement humiliée, dégradée : Crachats, pisse, baise et insultes obscènes, tout cela par ma supérieure. Mon ego fut fracassé. Tout ce qui me restait était l'orgasme qui se construisait de plus en plus vite. La salle de réunion sentait maintenant les toilettes d'un bar à putes. Et j'en étais la star.

Je baissai les yeux pour regarder le professeur d'EPS. Ses yeux étaient fermés et son visage humide de l'urine de Mme SMOLEN. Il grognait tout en me baisant. Lui aussi était le jouet sexuel de cette femme. Elle l'utilisait comme elle le voulait. Mon cœur battit pour ce bel homme qui, dans un sens, subissait mon sort. Je me mis à l'embrasser furieusement. Nos langues se rencontrèrent et malgré le goût prononcé de pisse, nous nous embrassâmes sans aucune honte.

L'orgasme me frappa alors. J'eus l'impression d'être électrocutée alors que vague après vague l'orgasme parcourut mon corps de mes orteils à mes autres extrémités en passant par mon clitoris. Je m'enfonçai sur la bite de PRUIT et ma chatte s'élargit encore plus. La base de sa queue était si large que mon clitoris fut poussé à l'intérieur de ma chatte.

Je ne pouvais plus respirer, j'étais à bout de souffle. Mes deux trous étaient pleins et je pouvais sentir comme deux boules poussant vers le haut, comme si les deux hommes essayaient de ramper à l'intérieur de moi.

Tandis que mon orgasme se diluait, je sentis le membre de Glen enfler et commencer à gicler. Une, deux, trois fois son sperme chaud pénétra mes entrailles m'inondant de son nectar et assouvissant sa faim sexuelle. Une seconde plus tard, ce fut PRUIT qui pulvérisa sa semence le long des parois de ma chatte, sa queue scellant mon sexe de toute fuite de son foutre.

Ces jets de semence occasionnèrent des petites répliques de mon orgasme dans ma chatte. Je sentis mon ventre se crisper alors que mon sphincter essayait d'expulser la bite de Glen de mon cul. J'étais molle, inerte comme un morceau de fromage fondu. J'étais épuisée et je ne pouvais pas bouger un seul muscle. De plus, prise en sandwich entre deux hommes costauds et embrochée sur leurs deux queues comme un cochon rôti, j'étais physiquement immobilisée

Dans cette position vulnérable, j'entendis le cliquetis des chaussures de Marianne SMOLEN sur la table de la salle de conseil. Elle se pencha et afficha à mon regard sa chatte et son trou du cul. Elle décrocha le téléphone du bout de la table.

- Clem? Ici Marianne SMOLEN. Nous avons besoin d'un bon nettoyage dans la salle de réunion. Apportez la serpillière et le seau. Dépêchez-vous s'il vous plaît.

En dépit de mes pensées au ralenti, de ma fatigue physique proche de la mort, mon cœur se mit à battre plus rapidement. Je commençai à me tortiller entre les deux hommes. Clem était le concierge noir de l'école depuis plus de 30 ans. Grand, dégingandé et gentil, c'était une figure de l'école. Il était connu et aimé par tout le monde. Il portait toujours le même pantalon de travail vert foncé, une chemise et une casquette de base-ball assortie. Il avait toujours un doux sourire pour chaque enseignant et était toujours prêt à abandonner son travail pour vous aider.

Cette salope de Marianne avait appelé Clem dans la salle de réunion afin qu'il puisse être témoin de ma honte. Elle voulait qu'il me vît tout nu, du sperme dégoulinant de mes deux trous et puant l'odeur de la pisse. Il saurait maintenant que derrière son sourire Mme BONHAM, montée sur ses talons, est une vraie salope et une pute.

Mon visage a dû tourner au rouge vif. Je pouvais encore sentir la poigne de Glen sur ma queue de cheval. Il serrait fort comme pour me prévenir de ne pas bouger, que ce n'était pas encore terminé, que ma honte ne faisait que commencer.

Je voulais ramper dans un trou et mourir. Pourtant, inexplicablement, au milieu de ma honte et de mon humiliation, j'étais excitée. J'étais prête pour plus. Si l'équipe de basket-ball était entrée dans la salle, j'aurais roulé sur moi-même et j'aurais écarté les jambes pour les inviter à tous me baiser là. J'étais devenue une salope insatiable, je ne pouvais plus le nier. La prude Jessica BONHAM du passé avait disparu et une femme vorace, insatiable, assoiffée de sexe avait pris sa place.

Dans un état de stupeur, je regardai Marianne SMOLEN descendre de la table et se pavaner à moitié nue dans la pièce. Elle saisit sa jupe en laine et commença à la mettre. Puis elle remit rapidement son caraco et elle jeta sa veste sur ses épaules. En quelques secondes, elle passa d'une salope pisseuse à moitié nue à une vice-principale pudique. Alors que moi, je gisais comme une cochonne, coincée sur le dessus de la table de réunion, puante de pisse et avec deux bites qui débandaient dans chacun de mes trous.

J'arrêtai de me plaindre et je me résignai à mon sort. Le sexe, la honte, l'humiliation étaient devenus comme une drogue pour moi. J'entendis la porte s'ouvrir et le grincement d'un seau métallique qui entrait dans la salle.

- Oh, tsssss, tssss, qu'est ce qui se passe Miss Marianne. Oh, les gens ont fait du beau gâchis dans cette pièce. Quoi? Qu'est-ce que je vois? C'est bien vous Miss Jessie? Oh mon Dieu, pauvre petite fille!

J'étais tellement mortifiée que j'aurais voulu mourir. Je voulais devenir plus petite qu'une fourmi et m'échapper. Clem roula son seau jusqu'au bord de la table de la salle de réunion. Ses yeux étaient injectés de sang et ses vêtements étaient sales et sentaient la sueur. Il me regarda attentivement tout en se penchant sur son balai. Il plissa le nez devant l'odeur évidente d'urine et de sperme. Sa casquette verte était un peu de guingois alors il l'attrapa et gratta sa tête chauve.

Glen se leva. Quand sa queue quitta mon trou du cul, il y eut un « plop » et une rivière de sperme s'échappa de mon petit trou et tomba sur les couilles de M. PRUIT. Je sentis un souffle d'air froid envahir mon cul béant.

- Laissez-moi vous aider Miss Jessie! Non mais, regardez-vous!

Clem me tendit sa main calleuse. Puis il remarqua que le nouveau professeur d'EPS, Steve PRUIT était couché sous moi, ses cheveux trempant dans une flaque d'urine de Marianne SMOLEN.

Clem retira sa main. Ses yeux injectés de sang s'écarquillèrent à la vue de nous deux allongés sur la table. Il fronça le nez alors que l'odeur de l'urine montait de nos corps en sueur.

- Vous les blancs vous êtes dégueulasses. Le vieux Clem a vu beaucoup de choses étranges dans sa vie, mais il n'a jamais vu ça! Sacrément vicieux!

J'entendis Marianne SMOLEN glousser de l'autre côté de la table. J'étais mortifiée. Jamais je ne me suis sentie aussi humiliée de ma vie

- Clem, avez-vous déjà obtenu des faveurs d'un de nos professeurs? Demanda la vice-principale d'une voix autoritaire.

Les yeux du concierge m'abandonnèrent et se tournèrent vers l'endroit où Mme SMOLEN se tenait.

- Jamais jusqu'à maintenant Miss SMOLEN, jamais jusqu'à présent.

Un sourire se dessina lentement sur le visage de Clem. Ses yeux retournèrent sur mon corps nu et exposé. Et il commença à me dévorer du regard. Je le regardai, complètement abasourdie, quand inconsciemment il alla toucher la bosse dans l'entrejambe de son pantalon de travail taché.

Glen commença à me relever doucement de dessus PRUIT pendant que Clem continuait de me regarder. Le professeur d'EPS était hébété et embarrassé. Il se secoua et se souleva sur ses avant-bras.

- Avant de partir et de vous laver, j'ai besoin de votre aide pour Clem. Vous savez comment il est! Dit la vice-principale sur un ton qui n'admettait pas la réplique au nouveau professeur.

Je ne compris pas. De quelle aide aurait-elle besoin avec Steve PRUIT pour le vieux Clem? Elle m'avait déjà offerte au concierge. Glen m'aida à descendre de la table, et remarquant ma confusion, il murmura à mon oreille :

- Clem ne bande que s'il se fait sucer par un homme. Marianne utilise PRUIT comme suceur de bite.

Suceur de bite? Maintenant j'étais vraiment confuse. Je regardai PRUIT, son beau visage. Visiblement il était très gêné et il évitait mon regard.

Au même moment, Clem laissa tomber son pantalon de travail vert sur le sol et il dégagea ses jambes. Il ne portait plus que sa casquette, sa chemise verte et une paire de bottes. Je vis tout de suite qu'il ne portait pas de sous-vêtements. Ou alors, peut-être qu'il savait ce qu'il se passait et qu'il s'était déjà préparé.

Curieuse, je regardai son entrejambe. HOULALA! Sa queue ressemblait à une de ces cordes que l'on utilise pour accrocher des gros paquebots au quai. Elle était noire comme du charbon et entourée d'une barbe grise de poils pubiens crépus. Cette « corde » pendait lourdement. Elle semblait presque atteindre les genoux de Clem. Je me demandai comment ce vieillard pourrait trouver assez d'énergie pour faire bander cette massue? Pourrait-il vraiment bander?

Marianne SMOLEN regardait aussi l'énorme bite de Clem. L'expression sur son visage était un mélange de désir sexuel pur et de frustration. Il ne fallait pas être voyante pour deviner qu'elle voulait cette grosse queue dans sa chatte.

- Au boulot PRUIT! Faite le bander!

Je ne pouvais croire ce que je voyais. Clem se tenait là, nu de la taille aux pieds. S'il n'avait pas été noir, je suis sûr qu'il aurait rougi. Il avait ses yeux braqués sur ses pieds et il évitait mon regard.

- Le vieux Clem n'aime pas qu'on l'utilise ainsi. Marmonna-t-il sans s'adresser à personne en particulier.

- Taisez-vous! Je sais que vous bandez aussi longtemps qu'un homme suce votre bite! Fit remarquer d'une voix sèche la vice-principale.

Au même moment, Steve PRUIT était tombé à genoux et avait saisi l'énorme bite de Clem entre ses deux mains. Il se pencha en avant, tira en arrière le prépuce et força l'énorme morceau de viande dans sa bouche ouverte. Je fus totalement choquée, mais pas par le gigantesque gland brun de la queue de Clem mais par ce bel homme musclé, Steve PRUIT, nu, à genoux, qui prenait la bite du vieux concierge de notre école dans sa jolie bouche. Je me posai des questions : PRUIT était-il gay? Ou Marianne avait une emprise sur lui? En tout cas, je restai pétrifiée devant ce spectacle obscène et embarrassant.

- Que regardes-tu petite salope?

La voix de SMOLEN me tira de mes rêves.

- Le nègre aime que son cul soit léché pendant qu'il se fait sucer la queue. Apprends à travailler petite salope, je n'ai pas toute la journée.

Sans vraiment en avoir conscience, je tombai à genoux à côté de PRUIT et je me déplaçai derrière Clem sans poser de questions. La directrice adjointe m'avait donné un ordre et j'avais obéi automatiquement. Au passage, je remarquai que la queue de Clem commençait à être gorgée de sang, mais il ne bandait pas encore. PRUIT léchait et embrasser toute la longueur gigantesque, en veillant bien de s'occuper des grosses couilles de Clem.

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