2 - Ronda fait du sport en salle

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Ronda va à la salle de sport pour rencontrer un homme.
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Ronda va à la salle de sport après sa nuit de garde pour se détendre mais elle voudrait aussi perdre un peu de ses bourrelets. Elle est complexée par son corps. Elle se trouve trop grosse, surtout ses hanches et ses cuisses trop larges et ses seins trop petits. Et puis, il y a aussi ce gars qu'elle croise parfois dans la salle qui lui plaît bien. Elle ne sait pas comment l'aborder car il est du genre canon musclé pas le genre de type qui jette un œil sur une rondouillette comme elle. Elle se dit qu'elle trouvera bien une excuse à un moment pour lui adresser la parole. Mais pour l'instant elle va aller transpirer. Dans le vestiaire, elle retire son jean serré, elle est obligée de dodeliner des hanches pour le faire descendre. Elle remonte son string en dentelle, pousse le jean vers le bas et s'assoit pour l'arracher en tirant sur chaque jambe du pantalon. L'exercice l'a épuisée. Déjà. Elle est seule dans le vestiaire à cette heure-ci. Elle enfile des claquettes et va jusqu'aux toilettes en culotte. Elle baisse son string, se plie en deux pour pisser sans toucher la cuvette.

Le pipi mouille les poils de sa chatte qui sont abondants. Elle s'essuie, retire sa culotte, tire la chasse et retourne à sa place à moitié à poil pour se changer. Après tout, même si elle n'était pas seule, il n'y a que des filles ici. Elle enfile un legging gris clair bien moulant, on peut deviner sa touffe à l'entrejambe. Elle retire également son soutif et enfile une brassière, ses petits seins pointent sous le coton fin. Elle se masse la poitrine et se pince les tétons. En vrai, elle est excitée, elle a besoin d'un homme. Son legging lui remonte un peu dans la fente, sa mouille lui dessine déjà une belle tache entre les cuisses avant d'avoir commencé à transpirer. Par réflexe elle resserre les jambes ce qui aggrave son problème. Elle est trop excitée, elle retourne aux toilettes tant qu'elle est seule. Elle bloque la porte des WC et glisse une main dans son legging. Elle caresse ses poils, et se glisse un doigt dans la fente. Elle est trempée, elle frottes clito qui est tout rouge et gonflé. Ronda se mord les lèvres pour ne pas faire de bruit mais sa respiration saccadée ne serait pas discrète si quelqu'un rôdait dans les parages. Heureusement, elle est seule. C'est ce qu'elle croit. Loïs le gardien du gymnase n'en perd pas une miette dans sa loge. Le pervers a placé des caméras partout, dans les vestiaires, dans les douches, dans les toilettes et dans la salle.

Les hanches larges, les fesses dodues et les cuisses épaisses de Ronda lui filent une sacrée gaule. Il sort sa verge de son survêt et mate Ronda qui se doigte dans les chiottes. Elle lui plaît cette jolie trentenaire aux cheveux mi-longs. Elle est un peu enrobée mais ses petits seins sous son t-shirt s'agitent souplement, l'excitation fait pointer ses tétons et Loïs adore ça. Le gardien s'astique le dard en reluquant la belle se faire jouir sur son écran. Ronda pense à ce beau gosse qu'elle aimerait revoir ici, elle se promet que cette fois elle l'abordera pour lui demander son nom, le floc-floc du va et vient de ses doigts humides s'intensifie et lui fait lâcher un « aah » de plaisir au moment où elle entend la porte du vestiaire s'ouvrir. Elle retient son souffle pour ne pas en rajouter. Sa main caresse doucement son pubis avant qu'elle ne remonte son legging en soufflant. Elle ferme les yeux et ressort déterminée des toilettes. Loïs en a mis partout, son survêtement est plein de sperme.

Elle quitte le vestiaire et se rend dans la salle de sport et place ses écouteurs dans ses oreilles. Elle choisit un tapis de course près des bancs de musculation sur lesquels s'entraîne habituellement celui qu'elle convoite. Quelques hommes et une femme sont déjà en train de s'entraîner. Ils transpirent, ils sont musclés, elle les regarde et ses tétons durcissent sous sa brassière. Un des gars pousse ses barres et voit ses grandes lèvres et sa touffe de poils se dessiner sous son legging serré. Mais Ronda n'y prête pas attention, elle attend ce mec qu'elle veut brancher, elle l'a déjà vu plusieurs fois sur ce créneau horaire. Elle ne croit pas à la chance, elle n'en a jamais eu, surtout dans sa vie sentimentale. Aucune relation n'a duré plus de quelques semaines. Elle ne sait pas si elle veut s'attacher, elle ne sait pas si elle cherche l'amour ou le plaisir, elle ne sait pas si elle veut fuir la solitude ou s'en accommoder.

La dernière fois qu'elle a baisé c'était en salle de garde à l'hôpital, il y a plus de trois semaines. Elle s'était chauffée avec un jeune interne qui avait fini par la coincer contre le bureau et d'une main ferme avait desserré le nœud de son pantalon qui était tombé sur ses chevilles. Le médecin l'avait aussitôt assise sur la table en l'attrapant par les cuisses et avait écarté sa culotte pour lui lécher la chatte. Ronda adore se faire brouter le minou, elle avait dégagé ses hanches et baissé son string qui pendait maintenant autour d'une de ses chevilles. La langue du toubib écartait sa fente et s'attardait sur son clitoris. Allongée sur cette table avec les jambes en l'air, elle se croyait au « bureau », c'est-à-dire dans une salle de travail, cette pensée l'avait faite sourire tout en profitant pleinement du moment présent. Son pouls s'était accéléré et elle commençait à haleter. Elle se redressa d'un bond et fit descendre le pantalon du gars d'un coup sec, elle faillit prendre dans l'œil la verge turgescente du docteur qui ne portait pas de slip. Elle agrippa sa belle paire de couilles, avala cette bite d'un trait et le suça avec entrain. Elle se relevait pour qu'il la prenne en levrette mais le sort ne voulut pas qu'elle jouisse ce jour-là, son partenaire reçu un « bip », se rhabilla en urgence et quitta la salle en courant, laissant Ronda avachie, la poitrine écrasée sur cette table, le pantalon autour d'une jambe et la culotte autour de l'autre, la moule trempée et gonflée d'un désir qui n'était pas assouvi. Depuis elle ne l'a pas recroisé et elle a appris qu'il est marié. Quand elle en trouve un qui lui plaît, elle ne tombe jamais sur le bon coup.

Pour une fois qu'elle pense tenir un homme qui la fait mouiller au point d'aller se masturber dans les toilettes, elle ne veut pas laisser passer cette chance. Toute absorbée par ses pensées, fatiguée par sa course mécanique sur le tapis roulant, elle s'emmêle les pieds lorsqu'il apparaît dans l'encadrement de la porte du vestiaire. Vêtu d'un débardeur blanc qui souligne bien ses pectoraux musclés et d'un short mi-cuisses moulant qui met ses parties intimes à leur avantage. Il avance souriant vers un banc de musculation situé derrière la joggeuse enamourée qui perd le contrôle. Il arrive juste à temps pour voir les deux pieds de la jeune femme projeté en arrière par le tapis et son gros derrière faire un bond en l'air alors qu'elle s'écrase la mâchoire sur le sol sans avoir pu retenir sa chute avec les mains. Il se précipite pour lui porter secours.

--Vous allez bien Mademoiselle? lance-t-il.

Elle se redresse péniblement en s'appuyant sur ses coudes. Elle arbore son plus beau sourire, ses lèvres sont gonflées par le choc, ses dents rouges du sang qui coule dans sa bouche, ses yeux pétillent de joie. Chance et malchance concourent cette fois à son bonheur.

--Tu t'appelles comment? arrive-t-elle à articuler.

--Lovren, et toi? dit-il en la soutenant sous les bras pour qu'elle se relève.

Sa brassière a glissé dans la chute et laisse voir un beau téton gonflé pour le grand plaisir de Loïs.

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