Une belle nuit à l'Etoile

- " Jacques mon chéri, allonges-toi sous moi et donnes-moi ta bite à sucer en 69, pendant ce temps Eric me prendra en levrette et toi tu me lécheras le clito...". Eric enfila prestement un préservatif, puis se plaçant derrière moi après m'avoir léchée furtivement, me fit sentir sa belle pointure en me parcourant en va-et-vient plusieurs fois toute la longueur de ma fente offerte.

Je sentais l'orgasme monter. La caresse de la langue de Jacques à mon clito était délicieuse et le membre d'Eric se frayait maintenant un passage entre mes lèvres gonflées du désir d'être baisée... Au premier coup de boutoir d'Eric vint au fond de ma matrice, je déchargeais encore comme une gueuse, sans pouvoir contenir plus longtemps ma liqueur qui déferlait du plus profond de mon ventre. Je savais Jacques inondé, il en avait l'habitude... Il faut dire que lorsque je suis en pleines jouissances de ce type, les ondées libérées sont souvent aussi abondantes que si je pissais, tant les jets de cyprine sont violents, tendus et abondants en liqueur chaude. A ces moments là, je deviens ce que l'on appelle une femme fontaine... Eric m'avait saisie par les hanches et me poussait bien à fond son beau calibre dans le con. Il me limait le vagin et redoublait mon plaisir. Moi, les jambes écartées pour favoriser la pénétration complète, je m'affalais de temps à autre sur la bite de Jacques, que je frottais et branlais entre mes seins et sur mes tétons, lui léchant les couilles. Déjà l'entreprise me rendait folle et avide :

- " Oh! Là, oui, c'est super!! Ta caresse à mon petit bouton d'amour est divine!! Ne t'arrête pas, chéri, frotte-le moi doucement, là comme ça ... C'est extra!! Je te suce en même temps pour ta peine!... Ah!! Oui, vas-y là!!... Et toi Eric chéri, enfonce-toi bien au plus profond de mon con et fais-moi jouir encore!! Encore!!! Je vous aime tous les deux!! Baisez-moi bien, bien à fond!!! Ah putain, que c'est bon!! Je coule, je fonds.... Allez-y!! N'arrêtez pas!!!..."

Le rythme donné par Eric s'accéléra progressivement et chaque coup de boutoir de sa bite était l'occasion pour moi d'une nouvelle bordée de cyprine, que Jacques en dessous de ma fente ouverte buvait et pompait... Le va-et-vient fut bientôt à son paroxysme. En proie à une jouissance folle qui montait en moi, je ne savais plus où j'étais... La bite d'Eric se fit encore plus présente, dans mon vagin pourtant dilaté elle devenait énorme. Les va-et-vient de mon corps secoué par les assauts d'Eric branlaient la verge de Jacques entre mes seins, je me mis à lécher le trou de son cul. En cinq seconde se fut le déluge de nos jouissances se libérant toutes ensembles, ce qui est le sommet du plaisir : la bite d'Eric s'enfla encore et il explosa en moi avec une violence extrême, au-delà du préservatif, je sentais les jets et les pulsations de son membre énorme, au point que l'on aurait pu croire le préservatif éclaté... Moi je libérais, en hurlant mon plaisir, le reste de ma liqueur dans la bouche de Jacques qui dans une contraction extrême me lâcha son foutre chaud et onctueux entre les seins, me giclant sur tout le corps, du cou au pubis, en plusieurs jets longs et abondants...

Toujours, dans ces quelques instants de jouissance paroxysmale, je ne contrôle plus rien de mon corps ni de mon psychisme et outre le fait que je libère mon foutre en le pissant littéralement, je profère également des mots orduriers, des blasphèmes même, à l'adresse de mes baiseurs. Cela me change complètement de mes habitudes conjugales (si peu excitantes) où je suis un modèle de comportement réservé et ce, à tous les niveaux, que ce soit physique, cérébral et surtout sexuel...

Une accalmie relative suivit ce moment déchaîné... Mais je n'étais pas assouvie pour autant sur le plan cérébral. Déjà j'avais une envie pressante de vérifier que je pouvais encore séduire et allumer du désir chez mes partenaires, malgré ce que nous venions de vivre et l'assouvissement de leurs sens... Au contraire, après ces moments délirants, s'installe en moi un besoin de challenge : donner aux mecs comblés l'envie encore et toujours d'en faire plus avec moi, ce qui est évidemment moins facile que lorsque les choses commencent et que le désir ne demande qu'à être réveillé et développé... Je me suis assise sur le lit et je repris les membres en mains. Eric enleva promptement la préservatif plein de son sperme chaud et je pris immédiatement sa pine en bouche le suçant et la pompant avec toute ma conviction. D'une main je branlais Jacques qui reprenait rapidement des forces sous mes caresses...

Bientôt Eric fut de nouveau énorme et bandé. Je me mis à califourchon sur lui et je pris son membre entre mes seins, le comprimant entre eux et le suçant, ce qui était possible tant il était long. Jacques du bout de son membre ragaillardi, me caressait la petite rosette et l'arrière de ma fente... Je branlais très fortement Eric entre mes seins qui dans un sursaut, ne pouvant se contenir plus longtemps, se vida à nouveau, mais cette fois sur mes seins, mon cou, ma bouche qu'il inonda d'un foutre épais, chaud et abondant. Je pris mon pied de nouveau et je déchargeais en même temps que Jacques le faisait lui-même, honorant ainsi mes fesses, mon cul et ma fente en les inondant de sa liqueur brûlante. Je pris encore un peu en bouche la bite d'Eric et je le suçais, pompant les dernières gouttes de son foutre tandis qu'il se pâmait de plaisir...

Je passais ensuite rapidement dans la salle de bain pour me nettoyer de tout le sperme qui m'inondait. Je remis mes bas et j'appelais les deux mecs restés dans la chambre, à me rejoindre dans la salle de bain :

- " Pour vous remercier des superbes jouissances que vous m'avez données et que j'ai eues grâce à vous, je vous invite à un petit spectacle érotique! " J'enjambe la cuvette des W.C. et j'urine longuement debout, très écartée, me montrant bien à eux.

- " Eh voilà, dis-je, la boucle est bouclée mon cher Eric. Il y a 2 heures c'est ainsi que tu me découvrais et je te donne à revoir ce petit spectacle pour terminer, à la petite culotte près...! Vous êtes supers tous les deux, vous m'avez tellement bien fait jouir, que je vais en garder un souvenir extra!!"

Et je poussais la porte de la salle de bain pour me retrouver seule. Jacques avait compris. Ils se rhabillèrent, Jacques raccompagna Eric jusqu'à l'entrée de l'hôtel et pris congé de lui, tandis que restée seule dans la salle de bain, je me masturbais et jouissait encore une dernière et superbe fois en évoquant les minutes chaudes qui venaient de s'écouler... Mais cela Jacques ne sut jamais... Ne lui dites pas, s'il vous plaît...

Hélène B.