Un Rendez-Vous Manque

BÊTA PUBLIQUE

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Quand il a ouvert un peu la fermeture éclair dans le dos de ma robe et a pu ainsi dégager mes seins plantureux par dessus pour bien les soupeser, les masser, les presser l'un contre l'autre, j'ai sursauté. J'ai commencé à vouloir le repousser, m'écarter de lui, mais il s'est penché et s'est mis à sucer si avidement les pointes de mes mamelles que çà devenait trop bon pour que j'ai envie de le faire cesser. Je ne pouvais pas croire ce qui m'arrivait et mon esprit s'emballait. Mes genoux fléchissaient de nouveau et j'avais absolument besoin de m'asseoir au bord du lit. Je peux encore patienter un peu me disais-je...ca fait six semaines que j'attends. Pour une raison inconnue, je trouvais terriblement excitant de mal me comporter avec quelqu'un autre que mon mari, particulièrement avec son propre père.

Il est venu s'asseoir à côté de moi, et, rapidement, j'ai senti sa main chaude qui commençait à me caresser l'intérieur des cuisses, d'abord sur mes bas, puis juste au-dessus, là où la peau est très fine, très douce. Je n'ai pas résisté quand sa main a soulevé le bord de ma robe et que j'ai senti qu'il commençait à masser doucement ma chatte à travers le tissu de ma petite culotte. C'est de contact direct dont j'avais besoin. J'ai étouffé un gémissement.

Ses mains ont écarté davantage mes cuisses pleines et il a délicatement empaumé ma petite chatte humide par dessus ma culotte. J'ai pensé à ce moment là qu'elle allait très vite être toute mouillée à ce régime là. C'était si bon. J'ai décidé de le laisser faire encore quelques minutes avant de lui demander de s'arrêter pour de bon.

Pierre a tiré sur l'élastique de mon slip, par le côté, et sa main était maintenant à l'intérieur, avec un de ses doigts entrant dans l'ouverture serrée de ma chatte. Alors que ma chatte devenait de plus en plus humide et chaude il en a profité pour y entrer deux doigts supplémentaires. Enfin j'ai réagi, " Pierre, nous devons arrêter, je t'en prie!, J'ai si chaud... je ne devrais pas être ici!"

Il a répondu en descendant sa bouche vers mon estomac, puis plus bas, et à la frotter sur le tissu de ma culotte, juste au niveau de mon clitoris. Mon Dieu! Il allait manger ma chatte, quelque chose que mon mari ne m'a jamais fait! C'est quand il a commencé à vouloir retirer ma culotte que je l'ai finalement arrêté et lui ai dit que nous nous étions laissé emporter, mais que je ne pouvais pas laisser les choses se faire ainsi. Il m'a répondu qu'il comprenait, m'a promis qu'il ne ferait rien que je n'aurais pas voulu qu'il fît et s'arrêterait dès que je le lui dirais. Il m'a aussi promis que personne ne saurait rien de tout çà. Rassurée par ces bonnes paroles, j'ai soulevé un peu mes hanches et l'ai laissé retirer ma culotte complètement. J'avais trop envie de la sensation de sa bouche sur ma fente.

Je me suis allongée sur le dos, et il a commencé en embrassant lentement la zone autour de ma chatte avant de se mettre à lécher alternativement mes lèvres devenues très humides et mon clitoris que je sentais gonfler. Tout en le faisant, il continuait de pincer mes mamelons et à bouger ses doigts à l'intérieur de moi. J'étais dans une sorte d'extase, car c'était tout ce dont j'avais toujours rêvé. Pas de doute, il savait s'occuper d'une femme.

Peu de temps après, j'ai commencé à sentir monter en moi un orgasme. Je guettais toutes les sensations de mon corps, il semblait venir de si loin, paraissait si profond. Jean me fait très rarement venir comme çà, aussi je l'attendais avec une envie folle, me disant que je m'arrêterais après. J'avais trop besoin de jouir. J'étais tellement chaude maintenant que je gémissais très fort et n'avais même pas remarqué qu'il avait descendu son pantalon et s'était mis entre mes jambes.

Quand j'ai senti son contact sur mes lèvres j'ai ouvert les yeux pour découvrir Pierre au-dessus de moi et j'ai baissé la tête pour le voir guider son gros sexe dans ma fente frémissante. Il était énorme, presque deux fois la taille de celui de mon mari. Je tremblais un peu devant sa taille pendant qu'il commençait à pousser le gland large, épais, à l'intérieur de ma chatte.

" Non Pierre, arrête, on ne peut pas faire çà...on n'a pas de protection!", J'ai crié. Sa réponse m'a étonnée, " je te promets que je me retirerai..s'il te plaît...j'ai vraiment besoin de me sentir dans toi quelques instants...OoohhhH, oui...hhuuummm c'est bon comme çà!", et il a continué de s'enfoncer un peu plus en moi. J'ai été horrifiée, il n'allait pas s'arrêter!!! Il allait me baiser! J'ai protesté encore, " non, Pierre s'il te plaît!, arrête, je t'en supplie, je ne peux pas.....pas aujourd'hui... mon mari...et moi...on att...attendait...mmoon....ovuulaatiiiooooonnnn...ooohhhhhnnnoooonnn! ".

J'ai essayé de resserrer mes jambes, mais il était trop sur moi, je commençais déjà à venir alors qu'il s'enfonçait toujours plus loin, écartant bien les lèvres de ma chatte de chaque côté, plus qu'elles ne l'avaient jamais été. Mon corps m'a alors trahi avec mes hanches qui commençaient à pousser et à se déplacer contre lui au fur et à mesure de la montée de mon orgasme. Je ne pouvais pas m'en empêcher, je ne pouvais même plus parler. Je ne pouvais que gémir et donner des coups de reins pendant qu'il me conduisait à prendre mon pied.

Il l'entrait et la ressortait, descendant plus profondément dans ma chatte à chacune de ses poussées, jusqu'à ce que finalement sa queue toute entière soit dans mon ventre, me remplissant complètement. Je sentait son pubis dur collé contre le mien. J'ai recommencé à protester du bout des lèvres quand j'ai senti son énorme barre encore plus loin, jusqu'à toucher l'ouverture de mon utérus. Elle l'a effleurée. J'ai explosé à ce moment là avec ce qui devait être le premier véritable orgasme de toute ma vie, pensant même que j'allais mourir pendant que les vagues de plaisir se succédaient dans mon corps.

Lorsque j'ai finalement récupéré un peu, j'ai réalisé que ma chatte s'était ajustée à la taille si imposante et que sa tige massive coulissait sans à-coup dans ma fente humide. Toutes les pensées concernant mon mari et mon ovulation se sont envolées. J'étais amoureuse de cette grosse pine. Mon corps a finalement eu ce qu'il avait attendu toute la nuit. Je gémissais pendant qu'il me limait bien à fond, jouissant purement et simplement du plaisir fou que me procurait son mandrin.

C'était fantastique d'avoir cette queue si grosse, si dure, si...interdite... à l'intérieur de moi, et j'ai senti mon deuxième orgasme qui commençait à monter rapidement au niveau de mon estomac. J'allais encore jouir! Pierre, ahanant au dessus-de moi comme un bûcheron, j'ai réalisé qu'il était sur le point de venir aussi. J'ai été en quelque sorte déçue parce que je réalisais qu'il devrait se retirer avant que j'ai joui une nouvelle fois. J'en étais si proche...

C'est alors que je l'ai senti. La sensation à laquelle j'aspire encore chaque jour aujourd'hui depuis ce moment là. Son corps entier a basculé en avant et j'ai senti l'extrémité de son gland contre mon col. Il a gémi très fort et a lâché les premiers jaillissements de son sperme profondément en moi. Mon Dieu, il ne se retirait pas! Mon beau-père jouissait dans mon ventre! J'étais à la fois terrorisée et au bord de l'extase absolue. J'ai essayé de le repousser, mais il était trop tard. Ses mains tenaient les miennes et il giclait en moi avec toute la force et l'intensité de son orgasme.

Ce qui m'a vraiment étonnée, c'est que la sensation soit si incroyable! Quand mon mari jouit, çà coule simplement hors de lui. Mais avec Pierre, je pouvais sentir son sperme chaud juter littéralement en moi. Il jouissait avec tant d'intensité et de force que je pouvais ressentir chaque giclée interdite venir frapper mon col et pénétrer mon utérus. " tu..tu...m'avais dit..queee..tuuu... te..retirerais...!", j'ai haleté, " oohhh je...peux...ssseentiirr...tttonn..speermeee... à l'int...érieur de moi... OOOHHH nnooonn.....NNOOONNN...C'EST BBBOOOONNN...JE JJOOOUUUIIISSS....OOOHHH!!! ".

Mes hanches ont recommencé à onduler contre lui sans que je puisse les contrôler. J'ai alors eu l'orgasme le plus intense que je n'ai jamais eu alors qu'il continuait à pousser fort et que la seule chose que je faisais était de cramponner ses fesses pour l'amener en moi le plus loin possible. Mon esprit tout entier était concentré sur ce plaisir entre mes jambes maintenant et je criais de plaisir à cette expérience sexuelle incroyable. La vague de plaisir s'est encore intensifiée quand j'ai enroulé mes jambes autour de sa taille et l'ai attiré encore plus profondément.

C'était merveilleux. Je pouvais sentir sa semence ressortir et couler dans la raie entre mes fesses pendant qu'il continuait de lâcher sa purée. Je ne pouvais pas croire qu'il y en avait tellement en lui. Alors que les décharges faiblissaient, je pouvais sentir la chaleur de son sperme dans les profondeurs de mon corps, à la recherche des mes ovules. Je restais étendue là, comme dans un rêve éveillé, m'émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l'intérieur de moi.

Quand je suis revenue à la réalité, j'ai réalisé alors ce que j'avais fait. J'ai regardé entre mes jambes ouvertes pour voir son sexe encore partiellement en moi, luisant de son sperme. Qu'est ce que j'avais fait... J'ai commencé à pleurer. Pierre l'a vu et m'a regardée au fond des yeux tout en continuant à me limer doucement avec son sexe qui commençait a réduire de volume. Comme il faisait çà je pouvais davantage sentir son sperme couler hors de moi, de ma chatte tuméfiée.

" Tu m'avais dit que tu te retirerais.....tu me l'avais promis! Et tu m'as peut-être mise enceinte...toi...mon beau-père...et pas mon mari! , j'ai pleurniché. Sa réponse m'a choquée, " Hélène je suis désolé, tu étais si désirable, si excitante... Je n'aurais jamais imaginé que tu me laisserais réellement te baiser...toi, la femme de Jean... quand tu m'a dit que c'était le soir de votre "rendez-vous"...le grand soir...je n'ai pas pu résister à l'envie de...participer..m'assurer que tu aurais enfin un bébé...mais pas de ce connard de Jean!".

J'ai fait une pause et l'ai regardé. Et tout est devenu parfaitement clair. J'ai compris que maintenant c'était juste une histoire de concurrence. Il avait pris ce que Jean avait de mieux: moi. Je suis devenue folle de rage, mais pas uniquement contre Pierre, mais également contre Jean, qui m'avait entraînée dans cette situation.

De toutes les façons, maintenant le mal était fait. Je ne pourrais jamais expliquer tout ceci à mon mari. Il ne me le pardonnerait jamais. Je me suis saoulée et j'ai laissé son propre père m'engrosser...la nuit même de notre "rendez-vous" programmé depuis six semaines...! Pierre m'avait remplie de tellement de son sperme que j'étais à coup sûr enceinte de lui. J'ai réalisé que ce genre de jeu se déroulait depuis la nuit des temps. J'avais laissé Pierre réaliser la plus grande victoire d'un mâle sur un autre mâle. Prendre la femme de son adversaire et l’imprégner de sa progéniture. Jean ne pourrait jamais lui rendre la pareille.

Comme je réfléchissais à tout çà, à la folie de cette situation, j'ai réalisé tout à coup que mes jambes étaient encore enroulées autour de lui et qu'il était toujours en train de me limer doucement, lentement, tendrement. C'était vraiment un sentiment apaisant, et même lorsqu'il était mou, son sexe était encore plus grand que celui de mon mari.

J'ai levé les yeux et j'ai réalisé que mon corps recommençait à répondre. Il m'a embrassé très doucement et a commencé à lécher doucement mes mamelons. À ma grande surprise je pouvais sentir que son membre commençait à durcir encore. Mon mari n'a jamais pu récupérer aussi rapidement. Je savais que je devrais l'arrêter cette fois, juste au cas où il y aurait encore une chance qu'il ne soit pas trop tard. Je ne pouvais pas être assez stupide pour le laisser me baiser une fois de plus! Je l'avais laissé faire une fois et maintenant il voulait recommencer.

Mais alors qu'il continuait à bouger, j'ai réalisé que je ne pourrais pas l'arrêter. J'étais encore très excitée par ce que j'avais fait. Cà avait été si bon. Il m’avait donné tout ce dont une femme pouvait rêver et j’avais terriblement envie qu’il me le donne encore. Mes hanches ont recommencé à venir à la rencontre de chacune de ses poussées. Il a libéré mes mains et nous avons commencé ce qui s'est avéré être une baise très romantique, langoureuse même. Nous avons continué pendant longtemps et ma seule pensée consistait en son merveilleux bracquemard qui pistonnait ma chatte juteuse, l’étirant dans des limites que je ne soupçonnais pas jusqu’à ce jour.

Je n'aurais jamais imaginé que faire l’amour avec un autre homme puisse être aussi bon. Pendant que nous baisions, j'ai eu plusieurs plus petits orgasmes successifs. J'ai soulevé ma tête et ai commencé à sucer les mamelons sur son torse. Après un moment Pierre a haleté, " je sens que je vais jouir encore, tu veux que je me retire?" Ma réponse m'étonne toujours aujourd’hui.

Pendant qu'un autre orgasme montait en moi, j'ai supplié, " non, viens à l'intérieur de moi, je veux te sentir... venir…encore… à l'intérieur de moi... s'il te plaît!" Il a souri, m'a embrassée, et a accéléré son rythme. Sa grosse queue s’est raidie davantage, et je l'ai senti une nouvelle fois tirer un chargement incroyable de son sperme dans mon ventre pendant que je poussais mon bassin contre lui aussi fort que possible. Je pouvais sentir que chaque giclée frappait mon col, déclenchant un orgasme incroyable de violence alors que je sentais que son sperme allait pénétrer mon utérus.

Quand il est entré dedans, j'ai crié et j’ai griffé le dos de Pierre. C’était comme si le monde entier tourbillonnait autour de moi. C’était magnifique. Même mes mamelons me brûlaient. Qui pouvait me laisser imaginer que j’aurais un tel plaisir en laissant un autre homme que mon mari, surtout son propre père, me mettre enceinte, violant en même temps deux tabous profondément enracinés… C'était la trahison finale de mon mari… Je savais que c’était cette trahison qui avait rendu mon orgasme si intense.

Lorsque Pierre s’est retiré lentement, sortant son long membre de ma chatte juteuse, je me suis redressée lentement sur mes coudes et j’ai regardé vers le bas à quoi je pouvais ressembler après une baise aussi féroce. Ma jolie robe était tirebouchonnée sur mes hanches et ma culotte trempée était enroulée autour d’une de mes chevilles. Ma chatte était rouge et toute gonflée et ma toison brune était humide, entièrement imprégnée de son sperme. Mes gros seins étaient tout rouges et couverts de marques de ses succions intenses.

Mais le plus étonnant était le fleuve de sperme qui coulait hors de ma fente, sous moi, sur les draps. J'ai saisi un oreiller et l’ai glissé sous mes fesses pour surélever mon utérus. Je voulais garder sa chaleur en moi un peu plus longtemps. J'étais ouverte comme jamais et je me suis demandée si je pourrais jamais sentir la petite bite de mon mari après un tel traitement. Pierre, devinant ma pensée, a ri et m’a assurée que ce serait notre secret. Après environ 20 minutes, j'ai réussi à me relever, chancelante, du sperme coulant sur mes cuisses et descendant jusqu’à mes pieds pendant que je marchais. Je n'avais encore jamais rien vu de pareil.

Je savais que je ne pouvais pas rentrer à la maison dans cet état. J'ai sauté dans la douche et me suis lavée autant que je le pouvais. Quand j'ai terminé je suis retournée dans la chambre et j’ai trouvé Pierre dormant sur le lit avec son sexe merveilleusement gluant posé paisiblement à travers son bas-ventre. J'ai enfilé ma robe et ce qui restait de ma petite culotte. Je suis restée un moment à me demander si je le reverrais encore, mais ne voulais pas prendre le risque de le réveiller.

Sur le chemin du retour, je pouvais encore sentir son liquide s’échapper de ma fente, et j’espérais que tout serait absorbé par ma culotte avant d’arriver à la maison. Pendant que je conduisais j'ai continué à me demander comment j’avais pu laisser une telle chose se produire. Je me suis senti honteuse. J'ai commencé à me doigter en repensant à tout çà. Quand je suis arrivée à la maison heureusement Jean dormait. Je suis rapidement entrée dans la salle de bains et ai enfilé une chemise de nuit qui a couvert mes énormes seins rouges et gonflés, avant de me glisser rapidement dans notre lit.

J’étais terrifiée à l’idée que d’une façon ou d’une autre il puisse reconnaître l’odeur de son père sur moi. Etendue sur le lit je pouvais encore sentir le sperme chaud de Pierre s’échapper de ma chatte. Jean s'est finalement réveillé alors que nous étions étendus là, dans l'obscurité. Il s’est collé contre mon dos et m’a demandée comment j'avais trouvé le mariage. Je lui ai dit qu'il était très bien mais que moi, sans raison, je ne me sentais pas très bien.

Il a semblé étonné et déçu mais a paru comprendre. Il a juste soupiré, caressé mes fesses du bout des doigts avant de chuchoter que notre « rendez-vous » n’était que reporté, quand je me sentirais mieux. Je savais déjà que j’aurais beaucoup de mal à le laisser me toucher encore, surtout quand j’ai eu la certitude, plusieurs semaines plus tard que je portais maintenant l'enfant de Pierre.

Il m’a demandé si je l’avais vu au cours du mariage, s’il avait pris soin de moi. Je lui ai assuré que çà avait été le cas, et que son père était vraiment un homme…parfait. Je lui ai dit que nous devrions, comme convenu, nous revoir plus souvent, comme autrefois, ainsi qu’il le souhaitait. Dans l'obscurité je n’ai pas pu m’empêcher de sourire en pensant que Jean n’avait pas la moindre idée que son père venait de me mettre enceinte, et que j’en avais tiré un plaisir inouï….

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