Un patron pervers 3 bis

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Le lendemain matin, les sbires de Jérôme les quittèrent pour se rendre à leur boulot, Jérôme, par précaution, leur intima de déposer les cassettes dans son bureau.

Puisque la jeune fille était en vacances d'été et son mari au loin il allait lui tenir compagnie.

La menace de diffuser les cassettes relatant son viol, sa dégradation par deux colosses noirs devait lui assurer sa coopération.

Le matin-même, Darrin appela chez lui pour prendre des nouvelles de sa petite femme chérie, l'informant que son intervention durerait sure ment plus longtemps que prévu, mais son patron lui avait promis une large prime.

Par ailleurs Calhoon venait de lui apprendre que le nain avait investi dans la firme et qu'ils allaient toucher une importante commission.

Darrin s'étalait et s'étalait se réjouissant d'entendre le son de sa femme adorée, et comme Ellen lui faisait remarquer que la facture de téléphone allait se monter à une grosse somme, il lui dit de ne pas se tracasser pour ça, Calhoon lui ayant assuré qu'il prenait à sa charge les dépenses annexes.

Mais le coût de la communication n'entrait pas en jeu, Ellen voulait abréger la conversation parce que le pervers nain installé dans son entre cuisse la rendait folle, il, avait décidé qu'elle jouirait sous les caresses habiles de sa langue.

Le lendemain matin, Darrin reçut un appel dans sa chambre d'hôtel, il fut tout surpris d'avoir Jérôme Wiks au bout du fil, lui disant qu'il avait vraiment passé un bon moment avec sa femme.

Le nain lui dit que le repas était excellent et qu'il avait adoré le dessert que sa femme lui avait offert. Il ajouta que c'était son patron qui lui avait donné son numéro pour qu'il puisse le féliciter de leur accueil.

Darrin avait appris, par son patron que le nain avait investi une forte somme dans la firme, investissement sur lequel il allait toucher une importante commission, il remercia donc Jérôme à profusion.

- "Darrin mon ami, votre femme est vraiment épatante... j'aimerai vraiment en trouver une comme elle....... " le félicita Jérôme.

Darrin fut secoué de rire en imaginant une femme telle que la sienne avec quelqu'un d'aussi ventre que lui, le nain avait encore plus de chance de trouver chaussure à son pied que son patron de voir son rêve se réaliser! .....

Si seulement Darrin avait su qu'à cet instant même sa petite femme chérie était accroupie sur leur lit conjugal, taillant au nain la pipe de sa vie.

Avant de terminer la conversation, Jérôme ajouta :

- "Darrin, la prochaine fois c'est moi qui vous invite tous deux à dîner! ..... Je connais un dessert spécial que votre femme adorera! ......"

Darrin aurait rugi de fureur s'il avait su que sa femme testait justement ce fameux dessert, elle avait la bouche pleine de foutre du nain qui venait tout juste de se vider les couilles dans sa gorge.

Le mois suivant, Ellen resta chez elle à la maison, à la merci du pervers nain.

Ellen ne comprenait pas que l'on puisse toujours avoir envie de baiser, elle était lasse de subir les assauts continuels de ce bâtard.

Chaque nuit son mari l'appelait, elle ne savait pas comment elle était parvenue à s'en sortir lors de son dernier appel, alors qu'à quatre pattes sur leur lit conjugal le pervers nain la défonçait sans merci.

Elle ne comprenait pas pourquoi son corps répondait à chaque fois à ses assauts se pliant voluptueusement à sa volonté.

Son épaisse et longue bite la faisait jouir follement, la faisant rebondir d'orgasme en orgasme, elle n'avait jamais eu autant de plaisir avec son mari.

Elle ferma les yeux se rappelant leur dernière séance de baise, elle avait verrouillé ses cuisses sur son torse et le suppliait :

- "Oh baisez-moi..... baisez-moi monsieur Wicks...... Oh oui... labourez-moi...... Oh ouiiiiiiiiiiiiiiii... baisez-moi..... Encore...... faites-moi un enfant! ......"

Jérôme ne quitta la maison des Ryan que le jour du retour du petit mari

Ellen l'accueillit chaleureusement, après un dîner de fête il était impatient de se retrouver en tête-à-tête avec sa bien-aimée.

Darrin fut fort surpris de la façon dont elle noua ses cuisses autour de son torse l'étreignant de toutes ses forces.

Abasourdit de la voir aussi agressive sexuellement parlant, il attribua cette attitude à la frustration, ses six semaines sans faire l'amour avaient du décupler ses envies, cependant il ne put totalement satisfaire ses appétits éjaculant précocement en elle laissant Ellen s'acharner sur sa bite mollissante.

Deux semaines plus tard façon de l'aimer ne s'était guère améliorée, Ellen devenait folle, se demandant pourquoi l'ignoble nain la faisait tant jouir alors que son mari était incapable de la faire vibrer.

Elle repensa au coup de fil que Jérôme Wicks lui avait passé dans la matinée lui intimant de le rejoindre à son bureau le lendemain à 11 heures si elle voulait goûter à nouveau à sa bite de cheval.

Elle se mordait les lèvres se demandant ce qu'elle allait faire, il ne lui avait pas ordonné de le rejoindre mais invitée à profiter de sa bite.

Le lendemain à 11 heures pétantes, Jérôme sourit à sa ravissante visiteuse et l'escorta jusqu'à son bureau.

Il savait pertinemment qu'elle viendrait et ce n'était pas parce qu'il possédait des vidéos compromettantes d'elle en pleine action.

Elle ne protesta pas lorsqu'il glissa sa petite main potelée sous ses jupes lui caressant la croupe.

Il aimait la tenue qu'elle avait adoptée, elle était si belle dans sa robe blanche d'été, juchée sur ses hauts talons.

Un quart d'heure plus tard, la voix de la secrétaire sortit de l'interphone :

- " Monsieur Ryan... Votre rendez de 11 heures et quart est arrivé! ....."

- "Faites là entrer! ...." répliqua vivement Jérôme enchanté de sa ponctualité.

- "C'est bon de vous revoir Darrin! ... "le congratula Jérôme.

- "Je voulais juste faire le point sur mes investissements et discuter un peu avec vous... " l'avisa-t-il chaleureusement.

- "J'ai fortement apprécié la confiance que vous m'avez manifesté monsieur Wicks en me confiant la gestion de vos investissements dans ma firme... répondit Darrin les yeux rivés sur le petit homme qui se balançait légèrement dans son fauteuil.

Ayant évoqué rapidement le fruit de ses investissements, Jérôme détourna la conversation sur les femmes.

- "Eh bien mon cher Darrin, vous ignorez votre veine d'avoir femme aussi gentille et jolie qu'Ellen...... C'est vraiment une beauté! ...... J'ai beau fouiller mes souvenirs, je n'y trouve pas trace de femme comme elle! ....." le félicitait Jérôme.

Darrin demeurait interdit, ne sachant que répondre pour contenter le vieux et laid nain :

- "Merci monsieur Wicks, je dois admettre qu'Ellen est adorable et que j'ai beaucoup de chance d'avoir une femme aussi jolie et fidèle....."

Puis la conversation se fit plus convivial et Darrin se prit à rire des boutades de cet important investisseur.

- "Darrin vous ai-je parlé de cette ravissante jeune femme que j'ai rencontrée au club rural? ..... Mon vieux elle ne se lasse pas de moi! ..... Un vrai renard au lit... Une fellatrice accomplie! ...." Darrin eut un léger frisson de dégoût en se représentant une ravissante jeune femme se donnant à ce répugnant personnage.

Puis Darrin pensa qu'il, avait vraiment de la chance d'avoir trouvé une salope qui lui fit des pipes, il n'avait jamais eu un tel plaisir, Ellen s'était toujours refusée à le prendre en bouche pour accomplir un acte aussi dégradant.

Darrin se levait pour partir, il tendit la main pour serrer la menotte de Jérôme lui répétant :

- "Je vous remercie encore de m'avoir choisi veiller sur vos investissements monsieur Wicks! ....."

Jérôme lui sourit en retour en lui serrant la main.

- "Darrin je sais que vous faîtes de votre mieux! ..... Dites à votre adorable petite femme que j'ai vraiment apprécié le dîner et le dessert... J"ai hâte de lui faire goûter mon dessert spécial : un fameux pudding au tapioca, je pense qu'elle l'adorera! ......"

En cet instant même, l'adorable femme de Darrin était accroupie sous le bureau de Jérôme, elle savourait les jets de pudding au tapioca qu'il lui injectait dans la gorge.

8 mois plus tard naissait le petit Darrin, il pesait 5 livres et demi. Ellen assura à son mari, que c'était tout à fait normal, puisque le bébé était prématuré de quelques semaines.

Mais la ravissante jeune femme savait très bien que le bébé était né à terme, en dépit de ce qu'elle racontait à son mari, elle priait pour son bébé soit petit, mais pas un nain à l'image de son géniteur.

Darrin embrassa sa femme et avança que son fils ressemblait surtout à son père, un peu gros pour sa taille.

Darrin senior rit sans prêter attention aux frissons de sa femme qui affichait une moue désabusée en écoutant ses dire, il lui paraissait évident que son fils était l'image même de son géniteur.

Il pensait qu'il avait un sacré veine d'avoir rencontré ce nain qui était devenu son principal client, il l'avait félicité dernièrement lui claquant le dos d'une tape amicale.

Darrin senior avait reçu une sacré prime au retour de sa dernière absence de six semaines, il voulait maintenant rester le plus possible avec sa petite famille.

Toutefois son patron venait de lui demander de repartir 6 semaines loin de la ville et de son foyer, il hésitait, ne voulant pas laisser son adorable petite femme seule alors qu'elle venait d'accoucher.

Mais Darrin n'avait pas besoin de se tracasser, son adorable petite femme ne serait jamais seule pendant ces six semaines.

L'aide domestique fournie par l'entreprise pour assister sa femme lors de son absence consistait en une aide de vie, une femme de ménage et un cuisinier.

Tout se mit en place avant même le départ de Darrin, apaisant ses craintes, plus important encore, l'adorable Ellen ne manquerait pas de compagnie.

Darrin avait pris un taxi pour se rendre à l'aéroport, il ne voulait surtout pas troubler sa jeune femme et surtout il voulait lui permettre de terminer sa sieste dans son grand lit.

Une heure plus tard, son adorable épouse se trouvait toujours dans son grand lit mais elle ne se relaxait plus.

Agenouillée au beau mitan du lit elle léchait et suçait consciencieusement la grosse bite déformée du nain contrefait.

Tandis qu'elle satisfaisait les appétits lubriques de ce maudit salaud, Ellen ne s'était pas aperçue de l'arrivée d'un autre homme, le patron de son époux qui en fait, avait été, le principal artisan de sa dégradation.

Et cet homme l'observait attentivement accordant ses faveurs à son meilleur client, il dévêtit prestement impatient de se mêler à l'assaut.

Alors que la grosse queue allait et venait dans sa petite chatte, les mains du petit homme lui tenaient fermement la tête.

Soudain, Ellen effarouchée sentit des mains étrangères se poser sur ses hanches, alors que le lit ployait sous le poids d'un nouvel intervenant.

Elle chercha à se débattre, tentant vainement de se redresser, désespérée, elle sentait quelqu'un s'installer entre ses cuisses.

Un tiers se préparait à la posséder.

Elle pensa que le vieux nain décrépit avait invité l'un de ses employés à partager ses charmes pour le récompenser d'avoir mené à bien une tâche délicate.

- "Vas-y Calhoon, je sais depuis combien de temps tu attends pour fourrer ta grosse bite dans sa petite foufoune! ....." éclata de rire Jérôme.

- "T'as raison j'en ai mal aux burnes d'avoir tant attendu pour lui foutre ma bite dans la chatte! ...." grasseya le vicieux patron de son mari.

Elle reconnut tout de suite sa voix.

- "Viens Calhoon, montre-nous si ru parviens à faire un petit frère ou une petite sœur à mon fils..... Un petit bébé qui viendrait jouer avec lui! ...."

- "Bordel tu ne peux pas savoir ce que le temps m'a paru long de pouvoir poser mes mains sur ton ravissant petit cul madame Ryan! ..... J'ai regardé maintes fois ta vidéo, éjaculant à chaque fois... " ricana grossièrement. Calhoon.

Il commença à caresser les soyeuses cuisses et le cul bien ferme de la jeune femme affolée.

Sa bite se promenait le long de la fente de la foufoune de la jeune femme de son employé.

Arquant le dos Calhoon donna un bon coup de rein, enfonçant profondément sa bite dans l'objet de ses rêves.

De grosses larmes ruisselèrent sur ses joues, elle était honteuse de sentir sa fentine lubrifiée par son propre jus faciliter les coulissements de la bite du pervers patron de son mari qui venait frotter rudement son clito exacerbé.

Son corps s'affolait, alors qu'il forait aisément son chemin dans son fourreau accueillant.

- "Ohhhhhh... " grommela-t-elle la' épaisse bite toujours en bouche, alors que le patron pervers de Darrin enfonçait sa vieille flamberge au fin fonds de son utérus.

Haletant, le vieillard n'en croyait pas ses yeux, il se faisait la plus belle paire de fesses qu'il avait jamais vue.

- "Oh madame Ryan, ton mari pense que je l'ai envoyé en mission pour son expérience, mais c'est toi la véritable raison de son éloignement! ...." l'informa-t-il grossièrement tout en se logeant au fin fond de la chatte de la jeune femme horrifiée par tant de machiavélisme.

- Eh oui ma chérie...... A mon tour de t'engrosser! ..... Tu vas être ma petite pute pendant les 6 semaines à venir...... Jusqu'au retour de Darrin! ......"

- "Oh oui..... Ce que t'es bonne ma petite pute! .... Je... Je jouisssssssssssss...... " grognait Calhoon tout en enfonçant son salami aux confins de son utérus.

Le corps d'Ellen était secoué de spasmes in contrôlables tandis qu'elle succombait à un orgasme fulgurant, bloquant ses cuises autour du torse de ce vieux pervers de Calhoon, qui lui envoyait une bonne pinte de foutre dans sa chatte fertile.

C'est à cet instant même que la monstruosité de l'horrible nain explosa dans sa bouche lui tapissant le palais et la gorge de son épaisse crème.

Un an plus tard, Darrin senior jouait allégrement avec ses deux garçons.

Il était extrêmement fier d'avoir conçu ces merveilleux petits bébés avec son adorable femme.

Il avait était tout surpris, lors de la naissance que son patron lui accorde une semaine de congé le félicitant :

- "Un bon père se doit de prendre grand soin de ses fils! ....."

FIN DE L'EPISODE

11 juin 2007

Coulybaca

Avec l'aimable autorisation de l'auteur :

Black Demon.

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1 Commentaires
maitrepapyjomaitrepapyjoil y a presque 17 ans
c'est toujours aussi bon

les histoires de cet auteur sont les plus bandantes que j'ais jamais lues depuis la fermeture du site pandemonium

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