Nadine 06

BÊTA PUBLIQUE

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Carmen définit ensuite pour tous les règles du jeu pour l'année à venir : tout le monde pouvait l'avoir pendant sa journée de service ou le soir lorsque Carmen, ses invités ou ceux qu'elle désignerait n'en auraient pas l'usage. On pourrait la réserver à l'avance. Si une femme la voulait, Carmen exigeait seulement d'assister au spectacle. Au cas où la femme voudrait la prendre en dehors de la présence de Carmen, Juanita n'avait pas droit de se refuser, mais elle serait punie de vingt coups de fouet pour avoir dévoyé la délinquante. Celle-ci serait punie elle aussi et éventuellement chassée de la propriété avec sa famille.

La punition annoncée fut sévère : les coups étaient assénés sans douceur là où cela faisait mal. Si elle tint bien le coup pour les coups sur les fesses, elle gémit à chaque coup sur les cuisses, hurla comme chaque fois lorsqu'on s'occupa de ses seins qu'elle dut présenter aux coups une main sous chaque mamelle. La cravache s'arrondissait et frappait chaque bras et chaque sein en même temps. Ce fut bien pire lorsque ses tortionnaires s'attaquèrent à son sexe. A chaque coup, elle s'évanouissait. On la jetait alors dans la fontaine du jardin et on la ramenait immédiatement dans la salle à manger, dégoulinante d'eau et de larmes.

Lorsque son supplice se fut enfin achevé, ils la laissèrent au milieu des tables sans autre chose à manger que des morceaux que les convives lui lançaient par terre. . . Pour boire, Carmen avait trouvé drôle de lui imposer avant chaque verre de sucer un des convives en avalant son sperme. En guise de dessert, Carmen remplit une coupe de son urine et exigea qu'elle la boive jusqu'à la dernière goutte devant tout le monde. Donnant l'apparence d'être vexée de la moue de dégoût que Juanita fit en reposant sa coupe, elle lui annonça que, désormais, elle devrait boire chaque matin les urines de sa maîtresse assaisonnées du sperme des hommes avec lesquels elle aurait passé la nuit. Elle espérait bien que Jean passerait la voir bientôt dans sa résidence. Ce jour-là, elle lui promit de l'inviter pour assister aux ébats et à y participer, comme souffre douleur, bien entendu.

Contrairement à ce que prévoyait Carmen après une telle séance, lorsque Juanita fut enfermée avec les ouvriers agricoles, elle était brûlante de désir et s'appliqua à donner autant de plaisir qu'elle pût à ces hommes qui lui inondèrent aussi bien la chatte que le cul ou la bouche. Elle réussit même à improviser une figure assez acrobatique qu'elle avait déjà pratiqué à plusieurs reprises en recevant simultanément une bite dans le vagin, une dans l'anus, une dans la bouche tandis qu'un autre homme se démenait entre ses seins dont les bouts étaient malmenés par un cinquième tandis qu'elle en branlait encore un dans chaque main.

Lorsqu'ils eurent tous été totalement vidés, chacun lui proposa de finir la nuit sur son bat-flanc mais elle refusa : Elle était maintenant trop habituée à coucher à même le sol, à l'attache près d'un lit. Elle obtint qu'ils lui bricolent un collier et une laisse courte qu'elle attacha elle-même à la poignée des toilettes. Il fallait la déplacer pour y accéder ce qui lui valut d'être réveillée à plusieurs reprises au cours de la nuit. Elle se mettait alors à genoux puis se prosternait en présentant sa fente et son anus. Elle fut enfilée sans ménagement par certains de ses visiteurs auxquels la nuit avait rendu quelques forces. C'était exactement ce qu'elle avait espéré. Deux hommes exigèrent même qu'elle nettoie leurs bites et leur anus avec sa langue après avoir fait leurs besoins.

Le lendemain matin, elle fut réveillée ponctuellement à huit heures, conduite dans la cour, douchée au jet d'eau glacée comme elle s'y attendait, puis séchée très énergiquement. Elle fut brossée, ses cheveux nattés autour d'un curieux support en bambou en forme de poignée, maquillée artistiquement mais lourdement par une fille venue de la maison principale. Celle ci insista pour qu'elle reste à quatre pattes pendant toute l'opération mais la fit monter sur une table pour faciliter la tache. Elle lui fixa un mors en métal tenu par un assemblage complexe de courroies de cuir. Curieusement, les rênes étaient beaucoup plus courtes que ce qu'elle avait déjà porté pour tirer une charrette.

Avant de la mettre à l'attache devant l'écurie à un anneau fixé au mur, la fille lui fixa des clochettes assez grosses par des pinces au bout du mamelon. Elle le lui avait fardé en rouge vermillon avec un produit qui lui avait mis la pointe des seins en feu et fait saillir ses mamelons de façon grotesquement obscène. L'application lui avait fait un mal de chien et lui avait arraché des gémissements de douleur. D'autres clochettes avaient été fixées à son collier, et aux bracelets de cuir qu'elle portait aux poignets et aux chevilles ainsi qu'aux anneaux qui ornaient les lèvres de son sexe.

Lorsque Carmen arriva avec près d'une heure de retard que Juanita avait passée en plein soleil, face au mur, elle portait une jupe longue, des bottes mais ce qui fit frémir Juanita, c'était la cravache noire luisante et surtout un flacon contenant un liquide jaune et trouble. Elle la détacha et la tenant par les rênes, elle lui fit faire quelques tours du bâtiment pour l'échauffer comme elle le lui dit. En revenant devant l'écurie, elle la fit mettre à quatre pattes et lui présenta le liquide jaunâtre qu'elle avait vidé dans un bol qui traînait par-là. L'odeur ne laissait aucun doute : c'était de l'urine et on distinguait des filaments blanchâtres qui flottaient ça et là. Il suffit de deux coups de cravache sur ses fesses pour qu'elle vide le bol et d'un autre pour qu'elle lèche les secrétions restées collées sur la fa•ence.

- C'était bon? Tu as de la chance : j'ai beaucoup bu hier soir et c'est pas mal dilué mais attends que Jean vienne. Avec lui, je veux apprécier chaque instant et je bois très peu d'alcool. Comme je me déchaîne avec lui, ça sera beaucoup plus fort et tu auras bien plus d'assaisonnement.. J'ai aussi plein d'autres idées pour toi Viens voir la première.

Elle la conduisit dans l'écurie ou trônait un bizarre chariot à quatre roues en plastique transparent, ce qui le rendait presque invisible.

- Tu vois, ma belle, j'ai conçu ce support pour toi! Avec cela je vais pouvoir te seller et surtout te monter réellement comme l'animal que tu vas être pendant un an et peut être plus si tu l'acceptes. A ce propos, une jument ne parle pas et je ne veux donc plus jamais entendre ta voix sous aucun prétexte, même lorsque tu ne porteras pas de mors. D'ailleurs, je te préviens : dans un an, je te proposerai des modifications notables de ton corps : si tu acceptes, un vétérinaire car tu n'auras plus jamais droit à un médecin, pratiquera sur toi une ablation des cordes vocales. Le silence éternel! Ah Ramon! Prépare Juanita comme prévu.

Juanita trembla de terreur à l'idée du sort qu'on lui promettait. Jusqu'à présent, toutes les prédictions de Jean et de Frédéric s'étaient réalisées. Elle vit dans un brouillard Ramon lui fixer des bottes montantes sans revers qui faisaient ressembler ses jambes à des pattes de chevaux. La forme en était très bizarre. Elles étaient très lourdes. Ramon lui montra que la botte avait exactement la forme d'un sabot et qu'elle portait un vrai fer à cheval. Il y avait même des poils qui pendaient autour de sabots ferrés. Il lui fixa à chaque bras des espèces de gants avec des échasses démesurées, ferrées elles aussi puis il la fit s'étendre sur le chariot. Tout avait été parfaitement calculé. Les «pattes» avant rasaient le sol et son torse était presque horizontal. Les roues arrière lui assuraient une bonne stabilité tandis que ses membres antérieurs étaient fixés à une sorte de pédalier en plastique transparent.

Juanita comprit aussitôt que, de loin, on aurait l'impression de voir un vrai quadrupède. Son ventre était bien soutenu par une barre assez forte mais ses seins pendaient, toujours terminés par cette clochette qui la torturait. Une grande échancrure au creux de sa taille l'intrigua jusqu'à ce que Ramon après lui avoir mis un rectangle de tissu sur le dos, pose sur son dos une vraie selle d'amazone qu'il sangla en serrant fort à lui couper le souffle. Cette fois, elle était vraiment sellée.

Ce n'était plus un simulacre comme dans le film qu'elle avait tourné et un adulte allait la monter réellement. Elle devrait faire une promenade, voire courir, non : galoper plutôt, avec Carmen sur le dos, elle le pressentait Voilà pourquoi les rênes qu'elle portait étaient courtes comme pour un vrai cheval. Les sabots et les échasses lui donnaient en effet une taille nettement supérieure à celle des poneys qu'elle connaissait. Ramon compléta le harnachement par un gros gode qu'elle connaissait bien et qu'il lui enfonça dans l'anus après l'avoir rapidement lubrifié. Carmen avait vraiment le souci du détail. Ramon attacha ensuite deux sacoches sur les fesses, plaça une toile de tente roulée derrière la selle.

Carmen s'appuya sur les mains jointes de Ramon pour monter Juanita et tira sur les cheveux nattés en forme de poignée de sa monture. La douleur fit gémir Juanita, mais le mors étouffa son cri. Elle fut surprise de ne pas se retrouver écrasée, mais tout avait été parfaitement étudié et le poids de sa maîtresse ne la gênait finalement qu'assez peu. Celle-ci lui ordonna, d'un appel sur les rênes, d'avancer. Elle l'amena par une piste parfaitement lisse devant la maison devant un appareil photo pour une longue séance de pose. Elle comptait envoyer une épreuve à Jean, et faire publier les images sur Internet pour que le monde entier puisse voir jusqu'où on pouvait aller en terme de dressage. Après la séance photos, Carmen l'emmena pour une promenade dans la propriété sur cinq ou six kilomètres sur une piste toujours aussi parfaitement lisse. Elle avançait sans effort et pouvait même atteindre une bonne vitesse : elle n'avait qu'à assurer la propulsion.

Le lendemain, Ramon lui apporta son flacon d'urine quotidien, la munit d'une selle normale. Il attacha un étui à fusil au niveau de son épaule. Il tenait à la monter personnellement pour procéder au débourrage du matin, surtout les premiers jours. Le poids de son cavalier, beaucoup plus conséquent que celui de Carmen l'écrasa bien sur son support mais elle s'y fit sans trop de problèmes. Il lui fit travailler les différents pas qu'elle devrait mémoriser et qui étaient différents de ceux appris à la ferme de pony girls. Le trot lui sembla évident mais pour galoper, elle devait appuyer des deux jambes en même temps, ce qui n'est guère évident pour une bipède de naissance.

Pour l'encourager, Ramon disposait et faisait un large usage d'une petite cravache et de ses éperons qui venaient piquer ses cuisses ou parfois ses seins. Le travail continua jusqu'à ce qu'elle soit épuisée. Son cavalier, au retour à l'écurie, lui retira son leurre et l'encula sauvagement sans la lubrifier et sans lui dire un mot. Elle apprécia la brutalité de l'étreinte mais elle comprit obscurément que ce n'était que le début de l'entreprise de déshumanisation que Carmen tentait sur elle.

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