Nadine 06

Informations sur Récit
Nadine is auctioned to a South American owner.
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Récit n'a pas de balises

Partie 6 de la série de 7 pièces

Actualisé 11/02/2022
Créé 04/08/2008
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dan57
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Chapitre 13 le haras. le poney de Jean

Un jour, Jean jeta négligemment à Nadine:

- Ta formation se termine. Tu as déjà fait la chienne avec Warrior. Il te reste encore à être réduite à un rôle d'animal vraiment utile : Je vais te confier à Julien : il dirige un centre équestre qui te conviendra parfaitement.

Julien arriva quelques jours après. Il fit mettre Nadine à genoux sur une table basse. Il lui fit passer une large ceinture de cuir garnie de boucles et d'anneaux qu'il serra au maximum autour de sa taille. Lorsqu'il se redressa, elle ne pouvait presque plus respirer, sa taille était fortement réduite et Jean présentait une érection monstrueuse. Jean et Julien la prirent en sandwich devant un grand miroir pour qu'elle puisse admirer sa taille de guêpe. Puis elle dut enfiler un harnais de cuir qui la serrait depuis les reins jusqu'à la tête. Julien lui fit ensuite tirer la langue, pulvérisa quelque chose sur sa langue qui la rendit totalement insensible. Il lui fit une injection dans la langue et approcha un outil bizarre pendant que Jean lui bandait les yeux. Elle sentit qu'on lui mettait quelque chose dans la bouche sans comprendre ce qu'on lui faisait.

Quelques minutes après, Jean lui retira son bandeau et lui présenta un miroir. Elle avait maintenant un mors comme un cheval de course relié à des rênes qui lui pendaient sur le ventre. Le mors était articulé avec deux tiges métalliques arrondies qui venaient appuyer sur son palais lorsqu'on tirait sur les rênes. Sa langue était prise dans une pince fixée à son mors. Elle ne put émettre que quelques grognements incompréhensibles.

- Tu es maintenant une pony girl de l'élevage de Julien. Une jument ne peut pas parler donc tu seras muette tant que tu resteras avec lui. Il va t'entraîner pour que tu puisses être une ponygirl passable. Tu vas devoir apprendre les différents pas de la promenade au galop, ainsi que la façon de vivre sans l'aide de tes mains. Lorsque tu seras habituée, on te mettra des sabots et on te mettra des fers comme pour un vrai cheval. Ensuite lorsque tu seras entraînée, tu recevras une selle pour porter des gens pas trop lourds ou un bat pour transporter des marchandises. Enfin on t'apprendra à tirer un petit sulky où je ferai de grandes promenades avec toi lorsque j'en aurai envie. Bien entendu, tu ne porteras que ton harnais, été comme hiver car je compte bien faire quelques promenades dans la neige notamment pour Noël. Julien va finir de t'équiper.

Nadine se mit à trembler à la perspective de ce que Jean voulait lui faire subir. Elle s'imaginait déjà, presque nue, bleue de froid, attendant patiemment sous la neige le bon vouloir de son maitre. Une tape sur le sein droit la fit sortir de sa rêverie.

- Rassure-toi : c'est presque fini. Il ne reste plus qu'à fixer des oeillères pour réduire ton champ de vision : comme cela, tu seras moins distraite et tu feras plus attention aux ordres transmis par les rênes ou par la voix. Et bien sur, il faut que je te fasse admirer ce qui va te servir de queue.

Il lui montra une magnifique queue de cheval qui avait exactement la couleur de ses propres cheveux. Elle était ornée de rubans à la base et en plusieurs points de sa longueur. Elle faisait près d'un mètre de long et se terminait par une tige fine et souple elle même fixée à un gros cylindre long et creux. Julien lui expliqua :

- Je vais te faire prendre un lavement puis bien te lubrifier l'anus : ce cylindre est vraiment gros. D'ailleurs, pour ne pas te blesser, je vais devoir t'élargir avec un gode gonflable. Lorsque le diamètre sera suffisant, je mettrai un gode dans ce cylindre et je t'enfoncerai le tout dans le cul. Lorsque ça sera rentré assez profond, je retirerai le gode et tu garderas le cylindre. La petite tige sortira juste un peu de ton cul pour porter ta queue. Comme cela, tu n'auras jamais besoin de la retirer pour faire tes besoins ou quoi que ce soit d'autre et ton anus fera son travail normal ou presque. Tu pourrais garder l'ensemble pour le restant de tes jours. Remarque que la base de cette queue est très relevée pour que tu ne salisses pas tes poils même si tu as des problèmes intestinaux. Dans quelque temps, cette superbe queue fera tellement partie de toi que tu auras de la peine pour t'en passer si ton futur Maître ne souhaite pas t'en mettre une.

Effectivement, la pénétration fut laborieuse mais après beaucoup d'efforts de Julien, de paroles rassurantes et de caresses de Jean, de pleurs et de gémissements de Nadine, l'opération fut menée à bien. Pour lui montrer que le cylindre ne gênait en rien l'usage qu'on pouvait faire de son cul, Jean et Julien l'enculèrent longuement à tour de rôle. Julien précisa que le diamètre de l'objet et la profondeur de pénétration avaient été calculés pour qu'elle puisse recevoir une verge d'un vrai étalon de taille moyenne si Jean ou ses futurs maîtres le souhaitaient. Il faudrait peut-être la graisser et l'élargir progressivement comme on venait de le faire mais il tenait à ce qu'une vraie pony girl puisse être montée de cette façon par un vrai étalon même si elle devait être déchirée.

- Pendant ton stage de pony girl, tu dois porter un nom de jument. Nadine ne convient pas, pas plus que Juanita. Cette année, les yearlings ont un nom en W. Comme tu es une pony girl de l'année, je te donne le nom de Warrior Queen en souvenir de ta première expérience animale.

Chapitre 18 Déjà un an. La vente aux enchères

- Eh bien, Nadine, ton dressage avec moi se termine aujourd'hui. Je vais te débarrasser de tout ton attirail et tu vas pouvoir nous dire ce que tu souhaites. Tu voulais m'abandonner ce choix mais c'est trop important à mon avis. Je te rappelle que tu n'as qu'un choix à faire : soit tu veux continuer ton dressage et on va proposer ton contrat pour un an lors d'une vente aux enchères, soit tu en restes là et tu deviens mon esclave personnelle Ð je te garantis que ton sexe, ton cul ou ta bouche seront largement mis à contribution dans les années à venir par moi ou mes amis, hommes et femmes Ð Carmen, Pierre et Frédéric ont le béguin pour toi, tu le sais -. A moins que tu ne choisisses de me quitter et de reprendre une vie tranquille.

- Après des mois comme ceux que j'ai vécus, je crois qu'il me serait impossible de reprendre ma vie d'avant, à aller prendre le thé avec les autres femmes du tennis-club. De toute façon, ce serait impossible : des rumeurs me présentant comme une femme facile, une putain courent au club et elles me battent froid. Même le curé de la paroisse ne me salue plus comme auparavant. Il a l'air d'hésiter entre le mépris, la pitié ou la haine.

- Il est vrai que tu as fait le bonheur de pas mal d'hommes en un an. Dans le tas, il y en avait peut être quelques uns du secteur. Quant au club de tennis, Frédéric et Pierre te demandent souvent de les sucer à poil au milieu du court de tennis. Il était inévitable que ça finisse par se savoir. Tu n'auras qu'à changer de club et tout se tassera.

- Ce n'est pas ce que je souhaite. J'ai honte, je suis humiliée mais ça m'excite plutôt. Le regard noir de Madame Pichon est un vrai aphrodisiaque surtout qu'elle ne sait pas que son mari qu'elle dit impuissant m'a baisé comme un dieu sur leur lit conjugal pendant qu'elle organisait avec ses amies une vente de charité à l'étage en dessous. Il a joui dans mes trois trous sans débander.

- Ah! C'est pour cela qu'il t'a offert cet ensemble en cuir blanc?

- Non, ça c'est suite à une idée de Pierre. Je ne t'avais pas raconté? Lors de l'assemblée générale, Pichon était à la table de contrôle des entrées et s'ennuyait ferme. Je me suis glissée sous la table qui était couverte d'un drap et je l'ai sucé, léché, caressé pendant toute l'assemblée générale. Il a du jouir dix fois dans ma bouche. Apparemment, il avait pas mal de retard à compenser Un moment, sa femme est venue discuter avec lui. J'ai mis les bouchées doubles, si tu me passes l'expression, et il a joui au milieu de la discussion. Elle a cru qu'il avait un étourdissement jusqu'à ce que je sorte sous ses yeux de sous la table.

- J'aurais voulu être là! Mais ne cherche pas plus loin d'où viennent ces rumeurs Donc, cette possibilité étant exclue, il te reste toujours un choix à faire. Carmen te conseille de choisir de continuer ta formation. Elle pense que tu as un potentiel d'esclave sexuelle comme on en voit rarement. Elle sait bien que je m'ennuierai de toi, pendant cette année et se propose de me tenir compagnie pendant ton absence.

- Cette salope a toujours voulu te prendre pour elle! Elle n'a jamais digéré que tu m'aies épousée plutôt qu'elle!

- Ecoute, si cela peut te rassurer, je te promets solennellement, et tu sais que je tiens toujours mes promesses, que je ne demanderai jamais notre séparation. Si cela se produit, c'est toi qui le décideras! Je vais même renoncer à sa compagnie pendant ton absence, si tu veux.

- Je ne te demande pas cela mais ça me fera mal au coeur de savoir qu'elle s'est installée ici en permanence pendant mon absence.

- De toutes façons, elle m'a prévenu qu'elle voulait passer la plus grande partie de son temps, l'an prochain dans la maison de son père au Brésil ou en Argentine. Elle m'y a d'ailleurs invité dans quelques mois pour y passer quelques jours. La propriété est immense, parait-il et entourée de hauts murs. Elle peut se promener nue toute la journée sans que quelqu'un puisse la mater, sauf le personnel, bien sur!

- Dans ce cas, c'est d'accord. Mon pauvre chéri, je vais t'abandonner pour au moins un an!

- Pour toi, ce sera vite passé : tu vas faire des découvertes sur toi ; même maintenant que ton dégrossissage est terminé!

Dès le lendemain, Jean prit rendez vous pour la présenter à l'office de vente installé aux Bahamas. Arrivée là, Nadine fut mesurée, pesée. On détermina avec précision la taille maximale des braquemarts qu'elle pouvait recevoir dans la bouche, le sexe ou les reins. On compta le nombre d'orgasmes qu'elle pouvait supporter sans s'évanouir, combien d'hommes elle pouvait satisfaire avant de tomber d'épuisement et combien de coups de cravache on pouvait lui administrer avant qu'elle ne tourne de l'oeil. On lui conseilla quelques retouches obligatoires, souvent minimes : recoller un peu les oreilles, pose d'anneaux plus gros sur ses mamelons et les grandes lèvres de son sexe, chirurgie esthétique sur les seins pour leur donner une forme en pomme, plus demandée.

Lorsque tout fut réalisé et cicatrisé ce qui prit près de trois mois pendant lesquelles elle n'eut aucun rapport sexuel mais recevait tous les jours une dose d'un aphrodisiaque assez puissant, elle écumait littéralement de désir. On prit alors de nombreuses photos d'elle sous toutes les coutures : habillée, à poil, avec son harnachement de pony girl, enculée par un étalon alezan. Les mamelons de Juanita sur les photos étaient violacés de désir tant l'abstinence l'avait rendue hystérique. Sur les photos avec le cheval, elle rayonnait de bonheur.

On prit aussi quelques photos d'elle en train de satisfaire en même temps six hommes (le dernier se branlait dans ses cheveux).

On lui mit un bandeau sur les yeux pour qu'elle ne sache pas qui allait enchérir. Elle monta sur une large estrade. Le vendeur vanta sa beauté et ses qualités, insistant sur ce qu'elle pouvait déjà supporter sans flancher. Fière de sa description, elle rentrait le ventre, faisait saillir sa poitrine et cambrait les fesses tout en ondulant du cul. Le vendeur lui avait dit que cela augmentait nettement les enchères et elle voulait absolument être vendue à un bon prix. Pendant que les enchères montaient, quatre figurants taillés comme des gorilles l'enfilaient l'un après l'autre, sans discontinuer pour montrer sa totale soumission. Son contrat partit pour cinquante mille dollars, niveau jamais atteint pour une débutante sans référence, mais Jean avait toujours été un dresseur réputé.

Chapitre 14 Carmen. Sellée

Après la vente sans qu'on ait daigné lui dire qui était son acheteur, on l'amena dans la salle d'expédition. On lui mit une couche pour personnes incontinentes toujours sans explications. On la plaça, allongée sur le dos, dans une caisse sur une sorte de sac en plastique bleu. On lui en mit un autre sur le ventre puis on lui plaça un masque sur le visage avec des tuyaux pour respirer. On referma la caisse. Elle entendit un vrombissement et sentit les deux sacs se gonfler. Avant de refermer la caisse, on lui avait dit de respirer à fond. Elle eut la présence d'esprit d'obéir et ne comprit qu'après ce qu'on lui faisait.

Une mousse plastique avait été injectée dans les sacs. La polymérisation ne dégageait pas beaucoup de chaleur et la température restait supportable. Bientôt, elle sentit les sacs commencer à durcir.. Elle se rappela les conseils qui lui avaient été donnés et gonfla sa poitrine au maximum pour se ménager un volume respiratoire suffisant. Lorsque la prise fut totale, on rouvrit la caisse, on découpa le sac supérieur pour dégager le masque qu'on lui enleva. Elle ne pouvait absolument pas bouger, semblable à une statue. Dans l'espace libéré, on fixa un réservoir d'eau avec une tétine qu'on lui fixa dans la bouche par une sangle. Il lui suffisait d'aspirer pour boire un peu de liquide. A vue de nez, il y en avait à peine dix litres. Pas de quoi aller bien loin

La caisse fut refermée et clouée sans un mot puis mise sur un quai de chargement. Un chariot vint la prendre pour la transférer dans un camion. Après un parcours de près de trente minutes, de nouveaux bruits lui parvinrent : un avion qui décollait. Elle pensa que son acheteur n'habitait pas tout près, finalement

Une fois installée dans la soute, pressurisée, elle l'espérait, elle s'endormit. Elle perdit complètement la notion du temps dans sa prison noire. Au bout d'un temps qui lui parut infini, l'avion se posa rapidement sur un aérodrome peu fréquenté. Elle sentit qu'on transportait la caisse où elle se trouvait sur un camion plat. Après encore un assez long parcours qui devenait progressivement plus cahoteux et au cours duquel sa provision d'eau vint à s'épuiser, elle sentit le camion manoeuvrer. La caisse fut emmenée à bras d'homme. Elle entendit enfin distinctement l'ordre d'ouvrir la caisse. Elle se trouva brusquement plongée en pleine lumière. Elle ne pouvait rien voir, complètement éblouie.

Brusquement, une voix féminine qu'elle avait déjà entendue s'adressa à elle :

- Alors, tu as fait bon voyage, petite pouliche?

Cette voix? Est-ce que ce n'était pas? Elle cligna des yeux. Elle commençait à distinguer son environnement. . . Elle regarda celle qui lui avait parlé. Oui c'était bien elle, Carmen, la secrétaire de son mari, celle qui avait participé à son dressage, à l'occasion, qui l'avait gardée pendant deux semaines lors d'une absence de Jean avec une rigueur inflexible et sans la moindre trace de compassion pour son sort. Jean lui avait effectivement dit que Carmen était brésilienne ou colombienne, elle ne s'en souvenait plus, mais, ce dont elle se rappelait parfaitement, c'était d'avoir éprouvé de la jalousie pour la secrétaire - maîtresse de son mari, de la haine aussi pour la dresseuse adjointe. Maintenant, elle était totalement entre ses mains. Respecterait-elle la règle du jeu fixée à l'avance? De toute façon, l'année risquait d'être longue et pénible.

- Oui, c'est encore moi, ta chère Maîtresse Carmen! Je te dois peut-être quelques explications : Tu ne savais pas que j'étais très riche? En fait, mon père faisait des trafics divers! Je n'ai jamais voulu savoir de quoi- et m'a laissé deux ou trois cents millions de dollars et cette hacienda isolée avec un personnel totalement dévoué.

- Vous vous connaissez Jean depuis longtemps?

- Je l'ai rencontré à Washington il y a cinq ans peu après votre voyage de noces. Nous avons sympathisé immédiatement, couché ensemble le soir même et je lui ai servi de secrétaire pendant ces quatre dernières années. Je baise avec lui depuis, presque tous les jours, même pendant vos vacances. A Pâques, par exemple, Jeanne Dupont, la fille seule qui occupait le pavillon voisin du tien, tu sais, celle que tu as draguée pendant trois semaines, que Jean disait trouver moche et sans intérêt et avec laquelle tu sortais souvent le soir, avec qui tu faisais tes courses et que tu as fini par embrasser sur la bouche, c'était moi.

- Je vous aurai reconnue!

- Avec les cheveux et une perruque châtain, un nouveau maquillage pastel, des talons plats, une jupe simple et un chemisier BCBG, tu n'as pas fait le rapprochement avec la fille aux cheveux brique courts, au maquillage assez agressif, qui ne porte que des talons hauts et des tenues de luxe qui t'a initiée, toi! Quelle meilleure couverture que d'être juste sous tes yeux, tu ne trouves pas? Bien entendu, dès que tu allais à la plage, on faisait l'amour avec Jean comme des malades de toutes les façons imaginables. Un jour où tu ne te sentais pas bien, tu m'as même demandé d'aller avec Jean à la ville voisine pour ne pas qu'il s'ennuie. Ca, je peux t'assurer qu'il ne s'est pas ennuyé avec moi.

- Vous m'avez eue dans les grandes largeurs, Maîtresse. J'ai bien été jalouse de vous mais je ne pensais pas que vous comploteriez contre moi avec autant de soin. Je suppose que vous voulez prendre ma place auprès de Jean et me chasser ou me faire disparaître?

- Epouser Jean est effectivement mon premier objectif. Lui faire deux ou trois enfants mon second. Mais te garder auprès de nous pour que tu assistes tous les jours à ma victoire, que je puisse t'humilier devant lui vient juste derrière. Mais, depuis que tu m'as fourni une occasion en or en demandant à Jean à être dressée pour devenir une esclave, j'ai éprouvé de plus en plus de l'affection pour toi et je me suis fixée un objectif supplémentaire : que tu sois pleinement satisfaite du sort que je te réserve et que tu collabores avec moi activement et non que je doive prendre des précautions pour éviter une tentative de fuite ou de vengeance. Oui, je veux épouser Jean mais je ne le ferai que si tu es à côté de moi le jour de notre mariage et que tu participes à la fête en étant parfaitement heureuse.

- Ca, jamais. Il faudrait que vous soyez le diable!

- Je vais prendre cela pour un compliment. Il n'empêche que tu as parlé et plusieurs fois sans que je te pose des questions, tu auras donc droit à la cravache dès ce soir devant tout le monde. Mais comme c'est aussi ton baptême dans ton nouveau statut d'esclave avouée et vendue, tu n'auras droit qu'à dix coups sur les fesses puis cinq sur les cuisses, cinq autres sur les seins et trois sur ta moule qui ne sera plus jamais poilue. Après, on t'enfermera dans la case des ouvriers agricoles. J'en ai une bonne vingtaine et ils auront toute liberté sur toi pour toute la nuit. A charge pour eux que tu sois à dix heures demain matin, propre, douchée, brossée, maquillée, des clochettes au bout des seins devant la porte des écuries. Je te réserve une petite surprise!

Qu'est ce que cette femme avait pu encore imaginer? On lui avait tout fait en matière équestre : elle avait du apprendre des pas de marche et de présentation, répondre au moindre mouvement de sa bride, tirer une charrette, une charrue ou un sulky de course. Elle avait participé à des présentations et des courses de pony girls, à des films porno où elle s'était fait enfiler par un type, couchée sur une table sur le ventre avec une selle sur le dos. Elle s'était même fait baiser par un vrai étalon.

Cette surprise à venir la torturait toujours lorsqu'un homme qu'elle ne connaissait pas vint l'équiper pour la soirée. Elle reçut mors, bride et rênes ; sa chevelure fut nattée avec des guirlandes de fleurs entrelacées. Guidée par les rênes par Carmen, elle fut amenée dans la salle à manger. Elle fut présentée sous le nom de Juanita en l'honneur de Jean qui semblait connu des assistants, et dont Carmen avait toujours partagé le goût pour la domination des femmes. Carmen expliqua en quelques mots la situation et ajouta qu'elle espérait bien mener à son terme le dressage de cette nouvelle pouliche avant de convaincre Jean et Juanita qu'une esclave ne pouvait être l'épouse légitime d'un Maître et prendre à la nouvelle esclave de l'hacienda la place qui lui revenait dans le lit de Jean.

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