Nadine 04

BÊTA PUBLIQUE

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dan57
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- Vous auriez pu éviter de la laisser s'évanouir! Je lui fais son premier fist fucking et double par dessus le marché et elle est dans les pommes. Vous m'avez gâché la moitié du plaisir! Tiens, je suis dans son cul jusqu'au coude. Prends une photo, Jean : ça lui fera un souvenir.

Carmen passa une pommade apaisante sur tout le corps puis fit quelques piqûres à la suppliciée. Lorsque ce fut fait, elle sortit différents instruments de son sac, retira les enveloppes stériles. . .

Lorsque Nadine se réveilla bien plus tard, elle était couchée, seule, nue et entravée sur un lit dont on avait retiré le matelas, les draps et les couvertures. Elle reposait directement sur le sommier métallique. Son corps était engourdi par la douleur mais elle constata que des anneaux d'or perçaient maintenant les bouts de ses seins, les grandes lèvres de son sexe et aussi le capuchon de son clitoris. Elle avait même un petit anneau dans le nez. Le collier de chien en cuir clouté qu'elle portait autour du cou avait été remplacé par un lourd collier de fer poli. Elle se regarda dans un miroir, trouvant le collier lourd mais bizarrement beau et convenant bien à une jeune esclave comme elle. Elle s'aperçut alors que la charnière et la serrure avaient été soudées! Sa servitude prenait maintenant un caractère inexorable et définitifÊ: terrifiant et en même temps terriblement excitant!

Ch11 la chambre de bonne

Nadine mit un certain temps à reconnaître l'endroit ou elle se trouvait : un grenier de leur maison ou avait été aménagé il y avait peut-être des dizaines d'années une chambre de bonne rudimentaire. Le local était devenu une sorte de débarras ou elle n'avait pas du entrer trois fois depuis son mariage.

Apparemment, Jean avait fait débarrasser tout le fatras qui se trouvait encore là trois mois auparavant. Il avait fait poser des miroirs tout autour du lit et des anneaux avaient été fixés un peu partout : sur le sommier, les murs, le plancher et même le plafond.

Elle avait soif mais on ne pouvait certainement pas l'entendre de l'étage en dessous et de toute façon, elle était parfaitement bâillonnée. Apparemment, on s'était servi d'un de ses bas pour maintenir un bout de tissu dans sa bouche : mouchoir ou peut-être l'autre bas. Un bruit de serrure la tira de la contemplation de son environnement au bout d'un temps qu'elle n'avait pas pu estimer. Carmen entra. Elle portait une jupe ultra courte de chez Dior que Nadine appréciait particulièrement et un de ses plus beaux chemisiers de soie. La nouvelle arrivée sourit en se rendant compte immédiatement que Nadine avait remarqué quels vêtements elle portait.

- Bonjour, Juanita. Tu t'es enfin réveillée? Tu es restée évanouie pendant plus de trois heures, je commençais à m'inquiéter. Comme tu vois, je me suis approprié ce que tu avais de mettable. Jean et moi sommes allés faire quelques emplettes pour te reconstituer une garde robe convenable pour ton nouveau rôle dans cette maison.

Nadine trembla : qu'est ce que Jean et Carmen avaient encore pu inventer? Carmen reprit :

- Désormais, c'est moi qui suis la compagne de Jean. Toi, tu seras la soubrette, la bonne à tout faire, baisable et corvéable à volonté. Tu prendras tes ordres directement de moi aussi bien pour la tenue à porter, les taches à effectuer ou ce que tu seras autorisée à manger. Si Jean ou un de nos invités, homme ou femme, a envie de toi, c'est moi qui déciderai si tu te mets à sa disposition, ce qu'il ou elle peut te faire ou ce que tu dois lui faire et dans quelles conditions. En cas d'impromptu, si je ne suis pas présente, tu te laisses faire sans réaction mais je t'interdis de jouir. Bien compris?

Nadine opina de la tête, seul moyen pour elle d'approuver.

- Bon je vais te libérer. Ta première tache va être de vider tes vêtements de MA chambre. J'ai jeté par terre tout ce que je ne voulais pas. J'ai vu quelques tenues de grands couturiers que je prendrai pour moi à moins que je ne les vende. Toi, je suis sure que tu n'en auras plus besoin. Pour le reste de tes frusques, je te dirais ce que tu pourras garder et ce que tu iras donner à une oeuvre.

- Bien Maitresse!

- Ah tant que j'y pense, tu feras des avances aux livreurs, au facteur, aux voisins. Je veux que tout le monde te prenne pour une salope et trouve normal de te sauter sur la table de cuisine, sur le sol de la terrasse ou même sur une poubelle.

Juanita prit une douzaine de grands sacs poubelle et entreprit de vider ce qui avait été pendant des années sa chambre sous la direction de Carmen. Celle-ci avait jeté à terre pêle-mêle tout ce qu'elle ne voulait pas, y compris ce qu'elle voulait que Juanita garde. La jeune femme comprenait parfaitement que c'était simplement une façon de l'humilier encore un peu plus.

Lorsque tant de souvenirs et de cadeaux de son mari finirent définitivement dans les sacs poubelles destinés à des Ïuvres de charité, Juanita dut encore les descendre à la cave, nue avec seulement des sandales à talons de douze centimètres. Les vêtements qu'elles conserveraientÊ: jupes simples et très courtes, chemisiers à décolletés très profonds, robes avec de la dentelle ou du macramé aux endroits stratégiques qui auraient été sexy avec des sous vêtements devenaient extrêmement osés sans ces sous vêtements. Une robe, par exemple, la seule qui descende en dessous du genou était dans un tissu rêche qui frottait sur ses mamelons qui gonflaient et s'allongeaient désespérément. Les gros trous du macramé laissaient aisément passer ses mamelons turgescents que le tissu immaculé révélait de façon très ostentatoire.

Juanita pleurait lorsqu'elle évacua le dernier sac de son ancienne chambre. Carmen ne lui laissa pas le temps de réfléchir à sa situation. Elle devait déjà s'habiller en soubrette et servir le gouter à Jean et Carmen. Celle-ci lui fit rajouter à sa tenue une ceinture sur laquelle elle roula sa jupe pour la faire servir cul nu ses patrons. Dès qu'elle tournait le dos à l'un ou à l'autre, un doigt fureteur venait tourner sur son anus avant de s'y enfoncer parfois d'une phalange et d'autres fois tout entier.

Ces jeux paraissaient beaucoup émoustiller aussi bien Jean que Carmen. Celle ci troussait sans vergogne sa jupe et sa robe pour faire apparaître le string ficelle qu'elle mettait habituellement. Elle le baissait à ses chevilles d'un geste rapide et l'envoyait valser dans le lustre d'un geste vif de son pied. Ensuite elle appelait devant elle Juanita, lui faisait joindre les pieds et se pencher pour sucer et lécher le sexe de sa maitresse. Ce faisant, elle laiisait ses fesses sans défenses. Jean s'approchait alors, ouvrait sa braguette, se masturbait entre ses fesses ou venait s'appuyer contre son anus directement si sa verge était assez dure avant de s'enfoncer avec un Han! de bucheron dans son petit trou qui devenait de plus en plus accueillant à force d'être ramoné tous les jours par la bite de Jean ou les longs doigts de Carmen.

Bien entendu, après que l'un des deux amants avait fait usage soit de son sexe soit de son cul, Juanita se devait de nettoyer parfaitement avec sa langue la bite ou les doigts qui avaient fouillé son intimité. Avec les jours, ce travail lui semblait de plus en plus normal, allant de soi. On la faisait jouirÊ: il était normal qu'elle nettoie ce qu'elle avait sali.

Ch10 rasée en public exhibée

Carmen voulait encore plus humilier Juanita. Elle suggéra de raser complètement la jeune femmeÊ: chatte et crane mais cette fois, Jean s'y opposa. Détruire la chevelure opulente de Juanita qu'elle avait mis tant de temps à laisser pousser lui semblait un crime intolérable même si l'humiliation de Juanita aurait été totale comme il le reconnut lui-même. Carmen dut abandonner son projet et ne se rabattit qu'avec plus de véhémence sur sa suggestion de lui raser la chatte couverte d'une fourrure épaisse. En argot, on appelait ce genre de toison un tablier de sapeur et les hommes du 19¡ siècle en raffolaient.

Jean appréciait aussi de passer les doigts dans ces poils si doux, voire parfois de la tirer à lui pour la baiser en s'accrochant à son pubis mais il comprenait qu'il devait céder parfois aux demandes de Carmen pour lui complaire. Il lui parut très politiquement correct de lui proposer de raser elle même la jeune femme soumise.

Carmen voulait un rasage en public devant tous leurs amis. Elle leur téléphona à tous pour connaître leurs disponibilités et ils se réunirent tous chez Jean par une chaude journée de Juin. Juanita avait été autorisée à mettre sa robe avec des incrustations de macramé. L'effet habituel se reproduisit et les mamelons pointèrent rapidement par les trous du macramé. Juanita était de service à la porte pour accueillir un à un tous les nouveaux arrivants. Ils furent surpris de la trouver habillée en apparence aussi normalement mais ils ne manquèrent pas de repérer les petites pointes de chair qui pointaient au dehors. Ils se firent un malin plaisir à les caresser et les faire s'allonger encore un peu plus. Carmen eut l'idée particulièrement perverse de fixer des pinces à linges au bout de ses mamelons étirés. Juanita cria lorsque les pinces se refermèrent sur les pointes si tendres et sensibles. Elle pleura même en réalisant que Carmen n'avait aucunement l'intention de lui enlever ces pinces qui lui faisaient si mal.

Lorsque le dernier des huit invités de Carmen fut arrivé, elle ordonna à Juanita d'enlever sa robe en prenant bien garde de laisser les pinces à linge en place. Chaque effleurement la faisait grimacer de douleur au grand plaisir des spectateurs qui guettaient chaque expression de son visage.

Carmen officierait elle-même. Elle commença par éclaircir aux ciseaux la fourrure intime qu'elle voulait faire disparaître. Pour cette fois, elle travaillerait aux ciseaux puis au rasoir mais plus tard, elle utiliserait la cire chaude qui avait la réputation d'être un peu plus douloureuse mais lorsqu'elle se lasserait de jouer avec sa poupée, elle avait déjà résolu de passer à une épilation définitive au laser. Après une dizaine d'interventions, le fameux tablier de sapeur de Juanita ne serait plus qu'un souvenir.

Carmen couvrit ensuite la chatte de sa soumise complètement avec du savon à barbe, avant de la raser avec un coupe choux en ne laissant qu'un cordon de poils sur les grandes lèvres. Elle tira sur l'anneau qui ornait maintenant cette partie sensible de l'anatomie de la jeune femme pour faciliter son travail. En haut et bas de la fente, elle glissa deux doigts à l'intérieur pour terminer avant de passer à l'autre lèvre. Ensuite, elle rinça soigneusement la chatte maintenant aussi dénudée que la fesse d'un bébé. Elle la sécha soigneusement, appliqua un peu d'aftershave.

Juanita dut ensuite se retourner et écarter ses fesses avec ses mains pour permettre à Carmen de raser les poils qui poussaient autour de son anus. Elle ne fur guère surprise lorsque sa maitresse enfonça son index jusqu'à la seconde phalange, le crocha à l'intérieur pour pouvoir éliminer sans danger les quelques poils restants.

La dernière touche à l'humiliation de Juanita fut de convier l'ensemble des spectateurs à venir éprouver eux mêmes la douceur de la peau fraichement rasée. Juanita dut pour ce faire se mettre à genoux et faire un pont arrière pour offrir sa chatte aux doigts ou lèvres inquisiteurs.

Frédéric fit un commentaire goguenard en disant que ses clients apprécieraient certainement de voir dans quoi ils enfonçaient leurs bites et qu'il pourrait bientôt augmenter sa comptée de vingt pour cent.

Pierre ne fit aucun commentaire mais il prit tout son temps pour toucher chaque endroit de la chatte si impeccablement rasée, visiblement très intéressé par les plaisirs nouveaux que la jeune femme pourrait lui apporter. Il devait aussi se demander s'il pourrait faire la même chose à sa femme Claire et surtout aux autres élèves de ses cours de tennis. Il avait justement pour élèves une jeune fille de dix huit ans et sa mère de trente cinq ans, toutes les deux très appétissantes et visiblement subjuguées par ses pectoraux, sa peau bronzée et ses Rayban. Il se donna trois mois pour qu'elles se retrouvent dans un lit avec lui, toutes les deux en même temps, nues et la chatte rasée. Il lui faudrait juste un peu plus de temps avant qu'elles acceptent de se gougnotter l'une l'autre pour l'exciter. Il choisirait alors laquelle il baiserait et laquelle devrait se contenter de les regarder.

Claire, de son coté, se borna à demander à Juanita si l'opération n'était pas trop désagréable et si la perte probablement définitive de sa toison ne lui était pas trop pénible. Visiblement, la jeune femme avait réalisé que son mari prévoyait de lui faire subir le même sort et elle prenait déjà quelques renseignements.

Les autres hommes qui avaient assisté au rasage de Juanita étaient des habitués de Nadine puis de Juanita. Lorsqu'ils l'avaient découverte avec son collier d'acier soudé autour du cou et ses piercings, ils étaient devenus comme fous et, depuis, elle n'avait plus eu l'occasion de racoler dans la rue: chaque quart d'heure de son temps était réservé des semaines à l'avance dans ce que Carmen appelait son carnet de bal.

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