Nadine 04

Informations sur Récit
Nadine's enslavement continues.
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Récit n'a pas de balises

Partie 4 de la série de 7 pièces

Actualisé 11/02/2022
Créé 04/08/2008
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dan57
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Ch9

- Nadine, je peux maintenant t'appeler ma petite pute puisque tu l'es vraiment désormais. A propos, Marine la fille qui t'a appris les rudiments du travail t'en veut à mort. Suite à tes résultats extraordinaires, Frédéric a augmenté sa comptée de presque cinquante pour cent. Elle va devoir faire des efforts pour appater le client ou en accepter qui rapportent plus, comme les sados. Il faudra qu'on organise une soirée ou elle s'occuperait de toi : cela sera gratiné à mon avis.

Jean décida de lui préparer un vrai programme de travail décrivant précisément tout ce qu'il attendait d'elle. Le matin, elle devrait se lever à six heures, prendre un yaourt et du jus d'orange, partir pour un jogging en jupette et tee-shirt court sans rien dessous avec le nombril à l'air, été comme hiver dans le parc voisin, prendre une douche d'eau froide et le réveiller vers huit heures par une pipe très lente. Après avoir servi Jean à table, nue bien sur, elle devrait faire la toilette de son mari en lui nettoyant le sexe et le cul avec sa langue. S'il avait envie de pisser, il se soulagerait sur elle ou dans sa bouche auquel cas, elle devrait avaler autant que possible l'urine avant de le nettoyer a nouveau avec sa langue.

Nadine pourrait, après le départ de Jean, se doucher toujours à l'eau froide avant deux heures d'aérobic ou de stretching. Ensuite seulement, elle pourrait prendre un bain chaud et procéder à ses soins de beauté. A midi, elle n'aurait droit qu'à une petite boite de pâtée ou des croquettes pour chien mais si Jean était présent, elle devrait se contenter des miettes de son repas. Le lundi, mercredi et vendredi après midi, elle irait rejoindre Pierre au tennis. Il pourrait faire ce qu'il voudrait avec elle mais elle devait être rentrée pour huit heures du soir.

Le mardi et samedi, elle devrait se prostituer dans la rue ou ailleurs pour le compte de Frédéric. Elle rentrerait chez Jean dans la matinée du lendemain à pied en faisant son jogging. Ca lui ferait dix kilomètres à faire au minimum mais de temps en temps (lorsque le terrain était détrempé), elle devrait aller pieds nus en prenant un chemin de terre et ça lui ferait cinq kilomètres de plus. Les jours ou elle était de service, elle devrait rentrer chez Frédéric vers trois heures du matin au plus tard. A elle de se débrouiller pour avoir la comptée suffisante pour Frédéric et dormir un peu sur la descente de lit de son mac. Si elle se faisait draguer sur le chemin de retour, elle ne devait jamais se refuser.

- Si tu veux faire moins de passes, je te signale que tu pourrais gagner beaucoup plus et tu aurais bien le temps de récupérer d'une semaine sur l'autre mais c'est toi qui vois.

Du mercredi en fin d'après midi jusqu'au vendredi matin, elle avait quartier libre. Elle devrait en profiter pour aller chez son coiffeur, son esthéticienne, acheter les accessoires que Jean lui indiquerait au magasin près de la gare en les payant avec l'excédent de ses passes. Elle ne devait pas rentrer à la maison avant le vendredi à midi pour son repas. En fait, au bout de quelques semaines, elle comprit par une odeur qui flottait dans l'air, des mégots de cigarette maculés de rouge à lèvres que Jean avait une liaison et en profitait pour la recevoir chez lui, mais il s'était arrogé ce droit dès le départ.

En plus, son dressage d'esclave avait déjà tellement modifié sa façon de voir les choses que Jean aurait pu amener la femme à la maison, baiser avec elle sous les yeux de Nadine ou faire de celle-ci la servante de cette femme, baisable et corvéable à merci, qu'elle aurait trouvé cela normal et y aurait même peut être pris plaisir. Pour l'esclave qu'elle se sentait devenue, aucun Maître n'avait plus besoin de justifier quelque acte que ce fût. Elle était dans l'état d'esprit dont lui avait parlé Jean : S'il lui avait annoncé qu'il voulait la filmer s'empalant elle-même à mort, elle serait montée d'elle même sur un escabeau, et se serait mis des chaînes et des poids au pied avant de prendre place en se tournant vers la caméra pour que chaque étape de son supplice soit parfaitement filmée.

Sentant qu'elle s'installait trop dans son rôle d'esclave, Jean tint à partir de ce moment à passer un week-end tranquille avec elle, comme avant. Le samedi, lorsqu'elle le réveillait en revenant de chez Frédéric, il l'embrassait, la faisait coucher dans le lit à coté de lui, allait lui préparer un petit déjeuner qu'il lui servait au lit. Le soir, il l'emmenait dans des restaurants parfois très luxueux. A ces occasions, elle portait une robe longue ou un tailleur habillé. Lorsque des marques zébraient ces épaules ou sa poitrine, un chemisier opaque masquait les dégâts. Chaque fois que c'était possible, Jean lui faisait porter un grand décolleté devant et derrière. Bien entendu, elle avait ses éternelles échasses de quinze centimètres, parfois des bas et souvent un porte-jarretelles mais rien d'autre. Il lui avait dit :

- Je tiens à ce que tu gardes pour l'instant un contact avec la bonne société. Le dimanche, tu t'habilles élégamment et nous irons au spectacle ou en réception le dimanche soir et nous ferons l'amour comme avant.

Pendant ces réceptions mondaines, elle pensait souvent que le lendemain à la même heure, son prof de tennis se serait vidé les couilles dans tous ses orifices, lui aurait uriné en plein visage et l'aurait renvoyée chez elle sans même lui permettre de se laver et que le surlendemain, à la même heure, quinze ou vingt hommes lui seraient déjà passés dessus.

Pour les nuits qu'elle devait passer dehors, elle avait trouvé rapidement la solution : Pierre envoyait sa femme chez sa mère qui était malade le mercredi et baisait toute la nuit avec Nadine. Le jeudi soir, elle le passait dans un grand hôtel de la ville voisine où on la prenait pour une riche femme d'affaires. Elle payait avec ce qu'elle ramenait des soirées pour le compte de Frédéric : elle prenait toujours au moins deux clients de plus que nécessaire chaque soir, ce qui lui laissait plus de cinq cents euros chaque semaine. Avec cela, elle pouvait aller au restaurant et au spectacle et même inviter parfois un homme qui lui plaisait.

Un jour, elle tomba sur Claire, la femme de Pierre, désemparée car elle était persuadée qu'il profitait de son mercredi pour coucher avec une femme! Elle avait remarqué que son mari était beaucoup moins ardent le jeudi soir. Nadine appela aussitôt Pierre pour lui dire qu'elle avait rencontré sa femme en ville, qu'elle l'emmenait au spectacle et qu'elles coucheraient à l'hôtel dans la ville voisine. En fait de spectacle, elles allèrent dans une boite rétro ou elles dansèrent pas mal, burent encore plus et finirent la nuit dans la chambre de Nadine avec un bel Espagnol qu'elles avaient dragué ensemble. Au matin, Claire n'avait plus rien à reprocher à son mari.

Les deux femmes prirent l'habitude de se retrouver le jeudi soir. Pierre trouvait souvent une amie pour lui tenir compagnie mais Claire trouvait maintenant cela tout à fait normal et lui signalait les jolies filles de leur entourage. Elle allait jusqu'à prendre un verre avec elles pour lui faciliter les premières approches. Un soir, ou Nadine et Claire avaient trop bu de champagne, elles se retrouvèrent au petit matin dans les bras l'une de l'autre. A partir de ce jour, elles se mirent aussi à explorer les plaisirs lesbiens lorsqu'aucun homme à leur goût ne se présentait.

Pierre, au courant de l'idylle qui se nouait entre les deux femmes vint les rejoindre un mercredi soir et ils finirent tous les trois dans le même lit. Ils continuèrent le jeudi soir et les semaines d'après. La femme de Pierre ne mit pas longtemps, à partir de ce moment à suivre l'exemple de sa tendre amie en se prostituant régulièrement. C'était Nadine qui s'occupa du dressage de Claire. Elle savait mieux que Jean, que Pierre et souvent mieux que Frédéric jusqu'où elle pouvait aller avec son élève.

Une grande fête fut organisée avec Jean, Pierre et Frédéric ainsi que son copain noir le jour ou Claire reçut pour la première fois trois hommes en même temps. Jean avait choisi son vagin pendant que Frédéric avait préféré son cul tandis que Pierre s'enfonçait dans la bouche devenue accueillante. Pendant ce temps là, Nadine se faisait enculer d'importance par le noir. Ensuite, les hommes changèrent de position jusqu'à ce que Claire s'endorme épuisée. Ils besognèrent ensuite Nadine plus résistante jusqu'au matin.

Chapitre 10

- Nadine, tes progrès sont inespérés. Je vais devoir bientôt déclarer forfait et mettre fin à ta période de dressage, en tout cas avec moi. Tu veux toujours continuer, je suppose?

- Plus que jamais, Maître. J'ai découvert avec Pierre et Frédéric que je prenais un plaisir pervers à exciter les hommes. Même mes clients n'ont plus aucune difficulté à m'enfiler, tellement je suis mouillée en permanence. Si Frédéric, déjà, m'avait un tant soit peu lubrifiée avec mon jus, la première fois, il m'aurait enculée sans difficulté avant que vous n'interveniez.

- Ne me dis pas que tu regrettes que je sois venu?

- Il m'a fait un mal de chien en m'enculant mais, lorsque vous avez fixé le programme pour moi avec lui, j'ai eu un orgasme rien qu'en pensant à ce qui m'attendait. Je suis devenue une salope pas possible.

- C'est probablement que tu t'habitues comme les précédentes filles que j'ai dressées. Et puis nous n'en sommes encore qu'au début. Il faudra voir si tu dis la même chose à la fin. Mais, à ce train, tu ne mettras pas six mois à arriver à maturité. J'en conclus que tu veux continuer. Je me trompe?

- Oui je veux continuer pour voir. . .

- Voir quoi?

- Jusqu'ou on peut m'avilir sans que je me rebelle et en y prenant plaisir. Je n'arrive déjà plus à imaginer à la fin du stage de revenir à la situation d'avant. Tu, Non, Maître, vous avez perdu la petite femme qui vous attendait sagement à la maison. Je suis désolée.

- Je m'estime gagnant dans l'échange, d'ores et déjà. Revenons plutôt à ta nouvelle épreuve. Grâce à Claire, tu sais déjà sucer une femme, partager un ou plusieurs hommes mais tu n'as jamais été dominée par une femme. Je vais demander à Carmen, ma secrétaire, de venir s'occuper de toi. C'est une dominatrice encore plus experte que moi. A propos, j'ai remarqué que tu tutoyais toujours Pierre. Ce n'est pas convenable pour une soumise comme toi. Je veux aussi que tu le vouvoies et que tu l'appelles Maître, lui aussi, désormais et Carmen sera pour toi simplement Maîtresse. Tu vas les appeler l'un après l'autre pour leur expliquer mes intentions vis à vis de toi. Ecoute-moi bien!

Peu après, Nadine se mit, d'elle même, à genoux devant le téléphone, ce qui fit plaisir à Jean. Elle composa rapidement le numéro de Pierre

- Allô, Monsieur? C'est Nadine. Oui, je vous remercie. Ca n'a été finalement pas trop désagréable, la dernière fois! Justement, nous venons d'en parler. Mon maître veut que je m'adresse à vous de la même façon. . . Non, je crois que ce serait plus normal. Après tout, je ne suis qu'une esclave en cours de dressage. A ce propos, mon Maître souhaiterait aller un peu plus loin. Il veut me dilater les orifices. . . Oui tous les deux pour que vous soyez aussi à l'aise dans mon cul. Lorsque je viendrai vous voir désormais, j'aurais le vagin et l'anus lubrifiés avec un gros gode dedans. Il faudra me renvoyer avec. Jean voudrait aussi que vous étrenniez avec moi le gros gode à picot qu'il m'a fait acheter et qu'il vous a montré. . . Oui celui pour les putes à sados avant une séance d'abattage! Vous ferez comme vous voudrez, Maître! Bien sur, vous pourrez me renvoyer à mon Maître avec ce pal dans mon cul si vous le souhaitez. . . Oui, vous inviterez une douzaine d'amis qui m'enculeront jusqu'au soir. . . Je ferais tout mon possible, MaitreÊ! Bien. . .! Je le lui dirai. . . Bonjour à Claire. Au revoir, Maître.

- C'est bien, tu as parfaitement obéi et Pierre doit être satisfait. Qu'est ce que tu devais me dire?

- Il souhaiterait que vous filmiez désormais mon dressage comme l'a fait Frédéric et que vous lui en envoyiez une copie. . .

- C'est une très bonne idée. On va faire quelques cassettes pour garder des souvenirs de ton dressage. Je vais aussi en envoyer une copie à ta cousine, la gouine qui voulait que tu te mettes avec elle et que tu me laisses tomber. Comme cela, elle saura que sa petite Nadine est devenue une salope qui se fait mettre par tous les trous. J'aimerais qu'elle vienne assister à ta première séance d'abattage. Peut-être que cela lui ouvrirait de nouveaux horizons. Qu'en penses-tu?

- Le seul problème, Maître, est qu'elle va faire des copies à toute ma famille et je n'oserai plus aller voir ma soeur. Mais, bien sur, vous pouvez faire comme vous le souhaitez. Maître Pierre a fait d'autres suggestions : me faire porter en permanence le collier de chien et des liens assortis aux poignets et aux chevilles, me faire faire mes besoins nue dans le jardin, tenue en laisse même sous la pluie ou la neige. Il a parlé aussi de nier mon humanité en m'interdisant de parler avec un piercing bloquant la langue, en m'empêchant de me mettre debout, en me donnant un nom d'animal et en me faisant saillir par un chien ou un singe.

- Oui, encore de bonnes idées. Tout cela est envisageable mais il ne faut pas aller trop loin pour l'instant : c'est le rôle des Maîtres auxquels je te destine si tu tiens jusque là. Mais n'oublie pas d'appeler Carmen

- Tout de suite, Maître. . . Allo, Carmen. . . Ici Nadine. Comment allez-vous?. . . Je vous appelle de la part de Jean. . . Non ce n'est pas pour le travail. C'est pour moi! Eh bien, je vais être directe : Jean vient de me dire que vous étiez une dominatrice très expérimentée. . . Oui. . . Il vous a peut-être dit qu'il avait commencé mon dressage. . . Ah c'était bien vous que j'avais vue dans la clairière. . . Bien, Maîtresse, j'essayerai de ne pas oublier. . . Justement, Jean voudrait que vous y preniez désormais une part active.

Carmen donna son accord total à cette proposition qu'elle attendait en fait depuis longtemps. Elle demanda à Nadine pourquoi Jean ne l'avait pas appelée lui même plus tôt. Lorsque Nadine lui eut expliqué leur petit jeu du vendredi, elle s'attira un rire méprisant : une esclave qui a droit de décider ce qu'elle accepte qu'on lui fasse, une esclave qu'on emmène au restaurant, qu'on sert au lit, qui reçoit des invités et puis quoi encore!

Pour Carmen, une esclave doit faire tout ce qu'on lui dit, mange les restes de son maitre, un brouet d'esclave ou un repas simple. C'est elle qui apporte le repas au lit à son maitre. Si on l'emmène au restaurant, c'est pour se faire servir par elle, s'amuser avec elle, l'exhiber devant les clients ou l'offrir en pourboire au serveur. Il n'est pas question qu'elle partage le repas de ses maitres comme une égale. Et on lui met un corset ultra serré ou un gros gode dans le cul et des pinces aux seins et aux grandes lèvres, comme cela, elle se rappelle à chaque instant pourquoi elle est là.

Si son maitre reçoit des invités, elle est nue avec un collier d'esclave et elle leur présente une cravache et un fouet. Lorsqu'elle dort, c'est par terre ou sur un sommier sans drap ni couverture, enchaînée à un anneau au mur.

Bref, toute l'éducation de Nadine était à refaire. Pour commencer, elle allait perdre ses privilèges et même son nom. Un nom de femme libre ne pouvait convenir à une petite esclave. Désormais, elle devrait répondre au nom d'esclave de Juanita. Carmen allait venir chez Jean mais elle voulait en arrivant que Juanita ait déjà dit à son mari qu'on ne devait plus lui donner que son nom d'esclave, qu'elle offrait à Carmen tous ses vêtements et sa chambre, qu'elle renonçait à sa possibilité de refuser un ordre et qu'elle voulait qu'elle soit fouettée sur tout le corps ce soir même, bras et jambes en croix, suspendue par les pieds. Elle s'exécuta aussitôt après avoir raccroché sans même une seconde de réflexion.

- Maître, Maitresse Carmen insiste pour que je vous annonce que la cérémonie du vendredi en revenant de chez Pierre, lorsque vous me débarrassez de toutes mes entraves et que vous me demandez poliment si je veux bien continuer mon dressage n'a plus de sens pour moi. Je me sens maintenant une esclave, à part entière. J'ai parfois de la peine à accepter une nouvelle épreuve mais je ne souhaite pas y échapper ou arrêter le déroulement de mon dressage. Je propose donc de m'abandonner totalement à vous en vous demandant d'utiliser tous les moyens pour me contraindre si nécessaire et faire taire tous mes refus éventuels sous le fouet. Je vous supplie de ne plus me demander mon avis sur quoi que ce soit. Je suis votre esclave jusqu'à ce que vous vous sépariez de moi d'une façon ou d'une autre. Lorsque vous m'en estimerez digne, vous pourrez me proposer pour les contrats que vous avez prévus sans me demander mon accord, verser l'argent de mes contrats sur un compte en Suisse ou vous pourrez vous servir et même me vendre dans un bordel à l'autre bout du monde ou à un vrai sadique qui me fera subir de vraies tortures. J'ai beaucoup parlé alors que mon rôle n'est que de m'occuper de votre plaisir, de crier de douleur ou de gémir de plaisir. De plus, je dois vous dire que Maitresse Carmen va venir. Je lui cède tout ce qui est à moi dans cette maison. Elle veut qu'on m'appelle désormais Juanita et que vous me fouettiez au sang les bras en croix et la tête en bas avant son arrivée. Elle veut que vous me fouettiez les fesses, le dos, les cuisses devant et derrière, les seins et le sexe. . .

La longue déclaration de Nadine fit extrêmement plaisir à Jean qui voyait son dressage couronné de succès bien avant le terme prévu. Il restait certes à habituer Nadine aux rigueurs extrêmes qu'elle pouvait devoir endurer. Maintenant, il n'avait plus de gradation à respecter, il n'avait plus qu'à obtenir son obéissance et elle venait de l'autoriser à utiliser la force.

- J'ai bien compris et j'accepte volontiers ce changement de programme. Tu vas déguster. Je ne t'épargnerai plus désormais.

La punition fut effectivement sévère a la mesure de la satisfaction de Jean : Nadine fut attachée au plafond la tête en bas et les jambes à angle droit. Elle fut hissée à près d'un mètre de haut. Jean apporta une variante au programme Ses bras complètement retournés, ses poignets furent fixés directement à son collier. Pour augmenter son inconfort, des poids furent accrochés à ce collier. La douleur devint extrême lorsque Pierre introduisit dans son anus et son vagin près d'une livre de feuilles d'orties bien piquantes. Pierre la fustigea avec des brassées d'orties sur tout le corps. Elle se mit à hurler de douleur. Jean et Frédéric prirent de grands fouets de cocher et se mirent à la frapper sur tout le corps avec de grands mouvements amples du poignet.

Lorsque les cris de la jeune femme devinrent insupportables, ils lui placèrent trois gros godes. Celui qui fut introduit dans sa bouche était gonflable ce qui rétablit le silence. Un harnais de cuir passé autour de sa tête empêchait de le rejeter. Les deux autres écrasèrent les feuilles d'orties sur la paroi tendre du vagin et de l'anus. Les tortionnaires appuyèrent sur un interrupteur ce qui fit sortir une série de protubérances sur toute leur longueur. Lorsque les godes s'animèrent d'amples mouvements de pénétration et de recul, le corps torturé sembla se tétaniser. Jean s'en inquiéta quelques instants jusqu'à ce qu'il constate une émission abondante de mouille qui débordait du sexe de Nadine. Les trois hommes recommencèrent à fouetter leur victime.

Nadine ressentit outre une douleur horrible, des élancements dans tout son corps qui ressemblaient étrangement à un plaisir incroyable. Elle sentit un liquide remplir son vagin et une odeur caractéristique flotta vers ses narines : elle n'avait pas une hémorragie mais elle mouillait comme une malade. Au bout de quelques minutes, elle ressentit un orgasme tellement violent qu'elle s'évanouit. La voyant inerte, Jean et Pierre arrêtèrent de martyriser son corps et se précipitèrent sur leur victime, la reposant à terre. Ils la débarrassèrent avec précautions de tous les instruments de torture. Carmen, la secrétaire de Jean, était arrivée pendant ce temps. Elle n'avait pas participé à la fustigation mémorable subie par Nadine mais, elle introduisit sa main gantée jusqu'au poignet dans le vagin puis l'anus distendus pour en retirer elle-même toutes les feuilles d'ortie restantes.

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