Ma Logeuse Ch. 05

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

« Je vous en supplie Madame, laissez moi jouir...s'il vous plaît... je n'en peux plus »

Elle me regardait avec un sourire espiègle. Se levant du lit où elle était assise, je la vis enlever un bas puis se rasseyant à mes côtes, le posa sur ses genoux. Et elle reprit sa caresse lente, à nouveau le plaisir qui en devenait presque douloureux...à nouveau elle s'arrêta au tout dernier moment, laissant ma verge osciller inutilement. Puis, saisissant son bas, elle le laissa pendre au-dessus de mon ventre, faisant en sorte que le pied effleure à peine mon gland..la caresse légère du nylon fut la stimulation finale qui me fit passer le point de non retour, mais cette stimulation était bien trop faible pour me permettre d'obtenir la jouissance que tout mon corps réclamait et je compris qu'elle allait encore me priver de mon plaisir

« Non...je vous en supplie...non, ne faite pas ça »

« Va y...vide toi mon puceau...donne tout »

Je me tordais dans mes liens en voyant le sperme s'écouler de mon méat et courir le long de ma verge sans que j'éprouve le plaisir dont j'avais tellement besoin et rompu par cette frustration insupportable, j'éclatais en sanglot. Hélène regardait avec un sourire extatique cet écoulement épais qui n'en finissait pas. Je m'aperçus à cet instant qu'elle était en train de se caresser, une main passée dans la ceinture de sa jupe

« Pourquoi avez-vous fait ça Madame? ...j'ai tellement besoin »

Elle me regarda toujours en souriant, essuya les larmes sur mes joues et se penchant sur moi plongea mon visage dans sa poitrine pendant qu'elle me caressait tendrement les cheveux.

« C'est ma manière à moi de t'aimer Pascal...je t'avais prévenu... »

Perdu dans un océan de pensées et de sensations contradictoire, je m'enfonçais dans la chaleur douce de cette poitrine opulente. Nous restâmes longtemps ainsi, moi cherchant à retrouver mon calme, elle jouant avec mes cheveux.

Puis, elle se releva, quitta la chambre et revint quelques minutes plus tard avec une cuillère à café. Raclant la flaque de sperme qui s'était formé contre mon ventre glabre, elle mit devant ma bouche une cuillère à moitié pleine de ma semence. Je lui jetai un regard suppliant. Elle avait toujours un sourire sur les lèvres et me dit, d'un ton presque maternel.

« Allez, ouvre la bouche »

Vaincu, j'ouvrai la bouche et elle y vida la cuillère, m'emplissant de la substance glaireuse et acre que j'avalais en fermant les yeux avec un profond dégoût. Elle refit la même chose plusieurs fois, jusqu'à ce que j'ai ingéré tout ce que ce plaisir raté avait produit.

Enfin, elle me remit ma cage de chasteté et me détacha. Je me relevai en titubant. Elle s'approcha de moi et me prenant dans ses bras m'embrassa fougueusement, insinuant sa langue dans ma bouche, C'était la première fois qu'elle m'embrassait ainsi et, tout en me laissant aller au plaisir imprévu de ce baiser, je ne pouvais m'empêcher de penser que décidément, nos rapports avaient bien changés.

Le début de la semaine se passa sans incident. J'étais de plus en plus

stressé par la proximité de mon examen et Hélène très occupée par son

boulot. Nous discutions un peu, le soir, pendant notre dîner.

Le mardi soir, je demandais à Hélène si elle pouvait me retirer ma cage. Mes examens commençant le lendemain, j'aurais voulu pouvoir me concentrer entièrement sur les épreuves. Elle m'observa un instant en silence

« Non, Pascal, tu gardes ta cage »

« Mais Madame, je n'en peux plus, il faut que je jouisse »

« Tu as jouis dimanche »

« Non...j'ai juste éjaculé...je n'ai pas vraiment joui depuis des semaines »

« N'insiste pas, c'est non »

« Mais pourquoi? »

« Je te l'ai déjà dit, quand tu es en manque j'adore la manière dont tu me regardes en croyant que je ne te vois pas. »

« Mais là, ce n'est pas pareil...je dois me concentrer... »

« Et bien justement, c'est une bonne occasion d'apprendre à te concentrer sur autre chose que moi »

La brutalité de sa remarque mit fin à la discussion.

Mes examens commencèrent le mercredi matin. Ils devaient durer jusqu'au vendredi. Hélène se montra très maternelle durant cette période, m'apportant tout le réconfort qu'elle pouvait, comme pour se faire pardonner de me conserver dans cet état de tension sexuelle.

Elle ne fit rien pour m'aguicher mais elle avait allumé un feu qui me consumait et je me réveillais plusieurs fois la nuit en sursaut, après un rêve où je me voyais la tête plongée entre ses cuisses.

Le vendredi soir, je rentrais épuisé de ma dernière séance. Je n'étais pas trop mécontent de mes épreuves et, l'un dans l'autre, je pensais que j'avais évité les principaux écueils.

À ma surprise, Hélène était déjà rentrée et je la rencontrai dans le salon, en train de lire un hebdomadaire quelle reposa sur le table basse en m'entendant arriver.

« Alors jeune homme...comment ça s'est passé? »

« Euh...pas trop mal...je pense que mes notes ne seront pas mauvaises »

« Bien, va te doucher et prépare toi...on sort ce soir »

Je la regardais éberlué, C'était la première fois qu'elle m'invitait à sortir avec elle et j'en éprouvait une sorte de fierté nouvelle. Je pris ma douche et m'habillait avec mes plus beaux vêtements.

Redescendue dans le salon, elle me prit par le bras et nous sortîmes. Elle me tenait toujours pas le bras quand nous arrivâmes au restaurant. Des regards ternes se tournèrent vers nous, se demandant sans doute s'il s'agissait de ma mère ou si j'étais son gigolo. Le garçon nous conduisit à une table à l'écart qu'elle avait réservé. Elle paraissait parfaitement à l'aise dans ce décor rupin auquel je n'étais pas habitué. Nous commençâmes par un apéritif. Le Whisky aidant, je commençais à me détendre un peu.

« Pascal, il faut qu'on parle »

Je pâlis un peu à cette entâmes de conversation.

« Cela va bientôt faire trois mois que nous vivons ensemble, nous avons vécu bien des choses pendant ce temps. Ces derniers jours ont été...disons un peu spéciaux »

Elle posa sa main sur la mienne au travers de la table.

« J'ai besoin de savoir Pascal, maintenant que tu sais à quoi t'attendre de moi, veux tu toujours vraiment rester avec moi? »

Je la regardais...elle avait un regard implorant...et je compris que cette question avait beaucoup d'importance pour elle.

« Oui, Hélène...plus que jamais...je veux rester avec vous »

Elle continuait à me fixer, en silence son regard pris en air de défi :

« Et si je te disais que tu resterais puceau jusqu'à la fin? »

J'hésitais devant l'abandon de mes espoirs de tenir enfin une femme dans mes bras, mais je me résolus à cette éventualité

« Je reste avec vous...et je resterai puceau »

« Et si je te disais que tu n'aurais aucun orgasme jusqu'à ce que te me quittes? »

J'accusai le coup de cette hypothèse folle...ne plus jouir pendant 6 mois...je ne m'en sentais pas capable, surtout après le dimanche qu'elle m'avait fait vivre...et pourtant, j'étais prêt à tout pour elle...après un long moment, je lui répondis

« Si ça vous fais plaisir,»

Elle me regardait presque tristement.

:

« Tu m'aimes à ce point que tu es prêt à sacrifier tout cela? »

« Oui Madame, je vous en prie...n'en parlons plus...faites de moi ce que vous voulez...mais ne me demandez plus si je veux rester avec vous »

Il y eut un instant de silence.

« Ça t'excite quand je t'humilie? »

Je baissais la tête et répondit à voix basse.

« Oui Madame...vous ne pouvez pas savoir à quel point »

Le garçon amena les hors d'œuvres et nous changeâmes de sujet. À un moment du repas, elle fini son verre et se leva.

« Je vais aux toilettes »

Quand elle revint quelques minutes plus tard, elle tenait en main un grand verre à vin plein d'un liquide jaune pâle. Je compris tout de suite de quoi il s'agissait. Elle posa le verre devant moi

« Tiens, c'est ta boisson pour la soirée »

J'avais déjà goutté à son urine et je n'en gardais pas un très bon souvenir, et puis c'était la première fois qu'elle m'imposait cette humiliation en public. Elle se resservit un verre de vin blanc et levant son verre.

« Allez, on trinque à notre nouvelle vie »

Je prenais à la main le verre tiède. L'odeur forte de l'urine me saisi et j'eus un geste réflexe de recul. Elle m'observait avec un sourire ironique. Je ramenais le verre vers moi, m'efforçais de respirer par la bouche pour ne pas m'imprégner à nouveau de cette senteur douceâtre et je portais mon verre à mes lèvres en même temps qu'elle y portait le sien. Nous bûmes en même temps, scellant par là notre accord définitif. Je gouttais la saveur amère et légèrement salé de son 'cru du jour '.Je m'efforçais de la fixer dans les yeux pendant que j'absorbais le produit de sa miction.

Je vis son sourire s'épanouir,

« J'adore ça...et toi? »

« Non, pas trop Madame »

« Alors, c'est encore meilleur »

Je fus un peu interloqué par cette remarque étrange. Nous avions reposé nos verres, le niveau du mien n'avait pratiquement pas bougé et je commençais à comprendre que la soirée serait longue

Nous quittâmes le restaurant vers 23h.. Elle semblait parfaitement décontractée, un peu gaie du vin qu'elle avait absorbé et me tenait par le bras comme elle l'avait fait à l'allée. Moi, j'avais finis mon verre et avais la bouche pleine de l'amertume fade de son urine.

Quand nous arrivâmes à la maison, elle me demanda de me

déshabiller. Quand je me retournais, elle était assise sur le bord

d'un fauteuil, les jambes reposant sur les accoudoirs, et écartait avec ses deux mains les lèvres de sa chatte.

« Suce moi »

Me mettant à genoux, je commençais ma tâche enivrante, m'immergeant

avec délice dans ses senteurs intimes jusqu'à ce quelle explose dans

un premier orgasme. Après avoir récupéré, mon visage toujours coincé

entre ses cuisses, elle appuya à nouveau ma tête sur sa chatte, m'intimant ainsi l'ordre tacite de recommencer mes caresses. Je repris doucement les rotations de ma langue sur son clitoris elle se laissait aller complètement. Puis son bassin commença à aller et venir, comme pour faciliter en elle le mouvement d'un sexe imaginaire. Je m'appliquais à suivre ses mouvements tout en m'efforçant de continuer mon léchage appliqué. Je l'entendis gémir et elle appuya ses deux mains sur ma tête, me plaquant fortement contre son sexe.

« Oui....continue petit-puceau...suce moi...oh oui, oui, ça vient...je vais te jouir dessus...Oooooh tiens, je viens...mange »

Elle se raidit brusquement sur le fauteuil, appuyant de toutes ses forces mon visage contre sa chatte. J'étais écrasé contre cette chair humide et je sentais dans ma bouche l'écoulement chaud d'une liqueur acidulée. Puis elle se détendit, relâchant la pression de ses mains sur ma tête. Je m'écartais un peu pour reprendre mon souffle. J'avais le visage enduit de mouille. Elle était étendue lascivement sur le fauteuil, les yeux fermés, le souffle court, son visage adorable rougis par le plaisir et ses longs cheveux collés par la sueur. Je récupérais moi même de ce voyage fabuleux que je venais de faire dans les chairs intimes de celle qui était devenue au fil des semaines ma Déesse. Et je me dis que j'avais une chance inouïe d'avoir rencontré cette femme fabuleuse.

Nous restâmes tous deux ainsi un long moment, à récupérer de nos expériences mutuelles. Puis, elle ouvrit les yeux et se redressa en me fixant.

« Montre moi ta cage »

Je me levai pour exhiber mon sexe violacé écrasé contre les barreaux

d'acier, avec le traditionnel filet transparent qui pendait au bout de mon gland.

« Ça te fait mal »

« Oui Madame »

Elle me lança un regard étrange.

« Tu es trempé...c'est moi ou c'est ta sueur? »

« Euh...c'est surtout vous Madame »

« Je mouille autant? »

« Ben...oui »

« Et tu l'aimes ma mouille? »

« Oui Madame »

« Quel goût ça a? »

« Euh...c'est dur à dire...ça n'a pas un goût très fort...c'est un peu salé...un peu acidulé »

Elle éclata d'un rire gai

« Oui, c'est pas mal défini...tu sais, je me suis déjà goutté quand je me caresse...je te fais enrager »

Elle préleva d'un doigt le filet visqueux qui pendait de ma cage et me le mit dans la bouche.

« Et ça, tu aime? »

« Pas trop Madame »

« Oh Pascal, Pascal, si tu savais toutes les idées perverses que tu m'inspires...d'une certaine façon, tu as fait exploser ma libido...mais je ne suis pas sûr que ça te plaise toujours »

« Hélène, tout ce qui vient de vous me plaira, aussi dur, aussi dégradant que ça puisse être, parce que ça vient de vous »

« Viens là »

Elle me prit dans ses bras longuement, puis elle ajouta en murmurant à mon oreille.

« Dur et dégradant...oui, je te le promets »

Et elle partit du rire gai et espiègle qu'elle avait depuis quelques jours.

« Bon aller, allons nous coucher...je vais te faire une fleur ce soir...tu dors avec moi...je veux dire dans ma chambre »

Quand j'arrivais un peu plus tard dans sa chambre, elle avait étalé sur le tapis à côté de son lit un gros oreiller et une couverture.

« Voilà, c'est là que tu dors »

Je m'allongeai sur le tapis, recouvrant ma nudité de la couverture. Je la vis se déshabiller lentement au-dessus de moi, ôtant sa robe, puis son soutien gorge laissant libre sa poitrine lourde, puis elle décrocha ses bas de son porte-jarretelles et les descendis doucement comme dans une scène de film, enfin, elle retira son porte-jarretelles et se retrouva devant moi, absolument nue, sans sembler y attacher le moindre importance. Je me régalais de son corps...ses seins fermes, ses hanches larges. Elle s'allongea sous sa couette, me cachant ce spectacle paradisiaque.

« Ça va petit-puceau, tu es confortablement installé »

Je haïssais qu'elle m'appelle de ce surnom humiliant et je savais que c'est précisément pour cela qu'elle le faisait.

« Oui Madame, ça va »

« Bon, allez, bonne nuit »

Elle éteignit sa lampe de chevet, nous plongeant dans un noir dense. Je ne mis pas très longtemps à m'endormir. Dans la nuit, je fus réveillé par Hélène qui se levait comme un zombie pour se rendre aux toilettes. J'adorais secrètement cette nouvelle complicité qui se tissait entre nous en partageant une partie de sa vie que j'ignorais.

12
Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
1 Commentaires
AnicetteAnicetteil y a 11 mois

L'amour de ce jeune homme me vrille le ventre, j'ai envie qu'il soit libéré de cette cage d'acier qui emprisonne son membre viril. C'est beau un jeune en pleine érection devant une dame mûre . Cà me rend excitée de voir une description de la scène ,dans un prochain chapitre Je reste avec ma culotte enlevée humide! Vive l'amour!!! Bisous à l'auteur.

Partagez cette Récit

LIRE LA SUITE DE CETTE SÉRIE

Ma Logeuse Ch. 06 Partie Suivante
Ma Logeuse Ch. 04 Partie Précédente
Ma Logeuse Info Série

Histoires SIMILAIRES

Madame Jennifer 04. Aie Il va falloir faire preuve d'endurance.
Madame Jennifer 03. Gourmand Les choses sérieuses commencent.
Madame Jennifer 02. Dur Labeur Un début en douceur pour notre puceau débutant.
Madame Jennifer 01. Le Recrutement Les aventure d'un puceau qui plonge dans l'inconnu.
Premier Rendez-vous Matthieu rencontre sa maitresse Hélina pour la première fois.
Plus d'histoires