Le Pasteur Poursuit Sa Carrière 02

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici
Coulybaca
Coulybaca
103 Admirateurs

Et effectivement la vie de son alliance et de sa bague de fiançailles ser-rés sur sa hampe avait sur lui le même effet que sur le pasteur Knowlton et le pasteur Mollway qui regardaient, ils étaient tous trois excités comme des poux.

La bouche sèche, Julie hésitait sur ce qu'elle devait faire ensuite lorsqu'il l'interrogea :

- "As-tu déjà sucé une bite auparavant ma chérie? ...."

- "Nnnn... Non..... " répondit-elle misérablement, mais soudain elle se coupa, son esprit lui soufflant le contraire.

Provenant des profondeurs de son inconscient une voix lancinante lui susurrait :

- "Tu as déjà sucé des bites auparavant..... Tu sais comment t'y prendre pour faire plaisir à un homme avec ta bouche..... Pointe le bout de ta langue et regarde monsieur Gibbons droit dans les yeux..... Tous les hommes adorent voir une adorable jeune femme agenouillée entre leurs cuisses les regardant droit les yeux tout en cajolant leur phallus! ...... Leur esprit est ravi de savoir qu'elle va lécher le méat de leur gland! ...."

Elle lui prodigua rapidement une caresse de la langue avant d'ouvrir la bouche en grand pour envelopper le bourgeon de ses lèvres purpurines.

Richard Knowlton, avait vu comment le pasteur Ralph Mollway avait ini-tié sa ravissante paroissienne aux enivrantes techniques fellatoires, puis il avait goûté les lèvres de la charmante apprentie sur son propre pénis avant d'éjaculer un torrent de foutre au fin fond de sa gorge asservie.

Et maintenant la vue de cette adorable jeune femme suçant une énorme mentule noire lui procurait un spectacle enthousiasmant, d'autant plus excitant qu'elle arborait alliance et bagues de fiançailles, cette alliance qu'il avait lui-même bénie deux plus tôt.

Elle serrait les lèvres sur cette monstruosité noire qui lui emplissait la bouche la main gauche courant sur la colonne de chair tout en le fixant droit dans les yeux.

Ses idées étaient confuses, des pensées contradictoires envahissaient son esprit, tout d'abord l'impression de se livrer à des gestes déplacés, mais elle continuait néanmoins à flatter le méat suintant du bout de la langue, alors qu'elle tenait fermement la bite de sa main droite.

Des pensées coupables la tourmentaient :

- "Oh mon Dieu... Que suis-je en train de faire? ......"

- "Oh mon Dieu..... Elle est encore plus grosse que la bite dont je rêve chaque nuit! ...."

- "Comment puis-je faire cela avec un autre que mon mari! ...."

- "Humm.. Je me demande bien quel goût a le sperme de monsieur Gibbons? ...."

- "Et c'est moi qui l'ait invitée à me rencontrer! ...."

- "Je lui ai même fait dupliquer une clef que je lui ai envoyée! ..."

- "Comment puis-je me conduire de façon si dépravée! ......"

- "Ohhhhhh, ses burnes sont si grosses! ...."

Quant à Cecil Gibbons il voyait là se réaliser son rêve le plus salace : se faire sucer par une rouquine appliquée à la tâche.

La première fois qu'il avait vu une photo de cette succulente jeune femme sur l'album souvenir du site internet de la congrégation, Cecil avait été décidé de la sauter...... Et ce de façon permanente, peu lui im-portait le coût! ......

Loin d'être un type en vue, Cecil savait qu'elle ferait jaser les chalands lorsqu'il se promènerait à son bras.

Le fait qu'elle enseigne dans une classe primaire rendrait ses copains gagas! ......

De plus le fait qu'elle ait été mariée à un autre homme, un cornard de blanc, renforçait sa joie lorsque les nombreux jaloux apprendraient qu'il l'avait détournée de cet abruti de mari blanc.

Mais pour l'instant, sachant que ce vieux salaud d'Hollway et peut-être même son jeune acolyte blanc pasteur de la jeune femme observaient sa performance, il ne put résister à les railler ironiquement :

- "J'ai appris que tu avais été initiée à l'art de la fellation, il y a une paire de semaines, par deux hommes avec des petites bites! .... Des saucisses minuscules comparées à l'éclair au chocolat que t'as maintenant en pleine bouche, he, he, he! ....."

Les deux pasteurs avalèrent leur salive tant ils étaient gênés de la com-paraison, pourtant leurs bites étaient loin d'être minuscules, évidemment, comparées à cette monstruosité! ....."

En fait leurs deux bites réunies n'égalaient en longueur le chibre de Cecil Gibbons.

Richard et Mollway regardaient tous deux avec intensité, mâchoires serrées, les yeux rivés sur cette somptueuse beauté, si innocente et fidèle auparavant, sucer avec avidité l'extrémité de l'énorme bite noire de son invité comme si elle ne pourrait jamais s'en rassasier.

Quelque chose au fin fond de l'esprit de Julie l'obligeait à dispenser le plus grand plaisir à son "amant".

La façon qu'elle avait de le regarder pour vérifier si elle le satisfaisait pleinement alors qu'elle le suçait consciencieusement excitait d'autant plus les deux pasteurs qui se branlaient vigoureusement devant ce spec-tacle hautement pornographique.

- "Oh oui, c'est ça madame Morris... Comme ça...... Et maintenant suis la hampe..... Ahhhhh, ouiiiiiiiiiiiiiiiii...... " l'encourageait son hôte assis bien installé dans sa chambre.

Les yeux rivés sur l'écran ils continuaient à l'observer dispensant cette magnifique fellation à son invité dans sa chambre conjugale, la jeune femme semblait se régaler de la monstruosité noire dont elle parvenait à gober le gland.

Avec une de ses menottes elle serrait la base de sa bite comme si elle tenait une bâte de base-ball, il subsistait encore une bonne vingtaine de chair noire en dehors de sa bouche, mais petit à petit son chibre dispa-raissait dans la bouche de la chaude salope alors qu'elle approchait la tête de son pubis.

Et maintenant la chevelure rousse montait et descendait tandis qu'elle lui dispensait une gorge profonde, avalant sa bite animalesque loin dans son arrière gorge.

Ebahis, ils virent les lèvres de l'adorable Julie toucher le dos de sa main serrée tout conte ses burnes, ce qui indiquait qu'elle était parvenue à avaler son monstrueux chibre dans sa quasi-intégralité, il devait être en-foncé profondément dans on arrière-gorge.

Mollway et Richard pensèrent tous deux que c'était un véritable exploit pour une suceuse aussi inexpérimentée jamais ils n'auraient pensé qu'elle puisse y parvenir, bien au contraire ils auraient craint tous deux qu'elle s'étouffe s'il forçait son arrière-gorge.

Elle les surprit encore plus lorsque, enlevant sa main droite posée à la racine de sa bite, elle termina son oeuvre en absorbant les quelques centimètres de chair restant, enfouissant son nez dans toison crépue.

- "Ooh, oui, chérie! .... Ohhhhh, Madame Morris..... Ouiiiiiiiiiii..... Ohhhhhhh chérie t'es vraiment une bonne petite suceuse! ...." haletait Cecil une main enfouie dans sa longue chevelure rousse.

Poussant des hanches vers l'avant, il s'enfouit de quelques nouveaux centimètres s'enfonçant à l'orée de son œsophage.

Puis il sentit son ventre heurter la main de la jeune femme refermée à la racine de sa mentule.

- "Enlève ta main ma chérie..... Je veux m'enfoncer entièrement dans ta gorge! .... Allez chérie... Tu peux le faire! ...." l'encourageait Cecil.

A peine eut-elle entendu cet ordre, après un instant d'hésitation, la nerveuse jeune femme lâcha la colonne de chair sachant qu'il allait enfouir totalement sa monstruosité dans sa gorge.

Le nez planté dans sa toison crépue, l'adorable Julie Morris frottait son visage contre son pubis, les deux spectateurs eurent tous deux la même pensée alors qu'ils s'émerveillaient :

- "Mon Dieu, son mari voudra-t-il encore d'elle si on lui envoie des photos de cette fellation dans leur chambre conjugale..... Quel savoureux contraste entre chair blanche et chair noire......"

Pendant les quelques minutes qui suivirent, les spectateurs virent que la jeune femme poussait sur les cuisses de son amant comme si elle voulait extraire son énorme mentule de son oesophage.

Mais ses mains puissantes posées sur sa nuque lui interdisaient tout recul, elle toussait et crachotait alors qu'il enfonçait ses derniers centimètres dans son oesophage.

- "Ah... A ... A ... A... Ah... Ah... Ah... Ah... Ah... Ah.... Arg-hhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh..." Cecil clamait son triomphe bien installé dans la chaleur de son arrière-gorge alors que son corps d'ébène frissonnait de tous ses membres.

Il devint alors évident que si elle tortillait de cette manière, alors que ses yeux roulaient dans leurs orbites, c'est qu'elle évidemment incapable de respirer avec cet obélisque planté dans l'œsophage

Heureusement Cecil Gibbons eut pitié d'elle et se retira de sa bouche se soulageant d'un déluge de foutre sur son menton, un fleuve de semence lui couvrit alors le visage.

L'innocente institutrice d'école élémentaire n'avait sûrement jamais rempli ce rôle de réceptacle à foutre, elle n'avait jamais reçu un tel torrent de foutre qui lui couvrait le visage, le menton et le haut de son corsage.

Agenouillée sur la moquette de sa chambre elle haletait tout en levant les yeux sur son suborneur qui s'asseyait maintenant sur le petit fauteuil tout en se branlant machinalement.

Lentement elle se releva et se posta devant son invité qui ranimait sa bite, Julie entreprit alors de déboutonner de son chemisier souillé de foutre, exactement comme le lui avait prescrit le pervers moine en implantant ses ordres au fin fond de son inconscient la semaine précédente.

Puis, se servant d'une partie intacte de son chemisier elle s'essuya son menton et son visage empesé avant de défaire les boutons de sa jupe.

Elle jeta son chemisier au sol et tendit alors le bras pour dégrafer les clips de son soutien-gorge dans son dos.

Son soutien-gorge défait, surmontant maintenant son chemisier au sol, Mollway se pourlécha les babines alors que la charmante jeune femme se débarrassait de ses hauts talons puis roulait sa petite culotte de den-telle sur ses hanches.

Cela formait un bon petit clip pensait Mollway alors qu'il indiquait au pas-teur Knowlton :

- "Lorsque j'ai interrogé son cornard de mari, j'ai implanté une sug-gestion hypnotique l'amenant à se demander ce que pouvait bien faire sa charmante femme lorsqu'il n'était pas là..... Avec ce sorti-lège, imagine sa réaction si on le faisait visionner cette scène de sa femme suçant une énorme bite noire avant de se foutre à poil! .... Mais regardons! ...."

Richard Knowlton ne pouvait détourner les yeux de l'écran observant in-terdit la jeune femme qu'il avait mariée à Ken Morris se tenant sans aucune honte entièrement nue devant Cecil Gibbons qui se branlait cale-çon baissé sur les genoux.

Quelques secondes plus tard, les menus doigts manucurés empoignaient l'épaisse colonne se démenant pour lui rendre sa bandaison démesurée.

Il était certain que si Ken Morris voyait ces images de sa ravissante épouse ramenant à la vie un énorme chibre avant de l'attirer dans leur lit conjugal elles s'imprimeraient de façon définitive dans son esprit.

La captivante Julie Morris était étendue sur son lit conjugal, jambes en l'air, grandes écartées, il était tout à fait évident que cette ensorcelante jeune femme inexpérimentée ne s'était jamais fait bouffer le gazon alors qu'elle haletait :

- "Que... Que me faites-vous? ...." Je vous en prie..... S'il vous plait..... J'ai trop envie..... Prenez-moi...... J'en ai besoin! ...."

Son embarras transparaissait sur son visage lorsqu'il lui dit :

- "Je vais tout d'abord te bouffer ton enivrante petite chatte rousse! ...."

- "Ohhhhhhhhhhhhhhh... Mon DIeuuuuuuuuuuuuuuuuuuu... " miau-la-t-elle toute à son émoi.

Elle empoigna ses cheveux crépus et serra ses cuisses nacrées sur son visage couleur ébène pressant son visage contre sa toison, l'adorable jeune femme se cambrait de plaisir pour mieux éprouver les caresses habiles de la langue se promenant dans sa cramouille affolée.

- "Oh mon Dieu..... Oh, mon Dieu...... Oh mon Di-euuuuuuuuuuuuu......" rugissait-elle affolée.

- "Oh oui..... Oui..... Lèche ma foufoune..... Mange moiiiiiiiiiiiiiiiii..... Oh mon Dieu..... Oh, oui...... Que c'est bonnnnnnnnnnnnnnn... " gémissait-elle alors que son corps et son esprit succombaient à un premier orgasme fracassant.

L'ensorcelante jeune femme revint sur terre alors que son "amant" se mettait en bonne position, il tenait ses chevilles dans ses mains.

Mollway poussa du coude Richard qui se tenait à ses cotés, l'invitant à savourer ce qui allait suivre, il lui dit :

- "Regarde ce qui va se passer lorsque Cecil Gibbons lui annoncera ses intentions en utilisant la phrase clef que j'ai implantée dans son esprit ce qui cassera son hébétude et la fera reprendre pied dans la réalité......"

La bite postée à l'orée de sa grotte enfiévrée, les chevilles fermement tenues, Cecil Gibbons sourit avant d'énoncer la phrase magique.

- "Madame Morris, je vais faire de toi ma petite chienne de blanche! ...."

C'était une phrase qui normalement ne devait pas se dire en sa pré-sence, elle servait à la ramener sur terre, et là elle brisait le charme elle constatait qu'il ne s'agissait pas d'un rêve, mais d'un événement qui se déroulait véritablement dans le grand lit de leur chambre à coucher conjugale.

Les yeux clignotant, incrédule le suppliait maintenant frénétiquement

- "Non... Non... Je ne veux pas..... S'il vous plait non..... Pas ça..... Non..... NONNNNNNNNNNNNNNNNNNNN....."

Sa plainte se terminait sur un ton suraigu trahissant sa douleur alors qu'il introduisait son épais bourgeon noir dans sa petite chagatte si étroite, distendant sa foufoune comme jamais elle ne l'avait été.

- "CESSEZ..... ARRETEZZZZZZZZZZZ..... S'il vous lait..... Non...... C'est VIOL..... Arrêtezzzzzzzz..... Je vous en supplie..... Je n'ai jamais trompé mon mari! ..... " s'époumonait Julie

Mais ses supplications étaient vaines, l'épaisse colonne de chaire s'enfonçait irrémédiablement dans sa cramouille affolée, il l'élargissait quasiment au point de rupture.

- "Arrêtez... Je vous en prie..... J'ai mal... Si mal..... Oh mon DIeu... Vous me pourfendez en deux! ..... Je vous en prie..... S'il vous plait..... Je ne veux pas..... C'est un viol! .... Arrêtez... Je vous en prie... Arrêtez...... Je vous en supplie! ....." sanglotait-elle horri-fiée.

Cecil se réjouissait de la sentir lutter pour se libérer, son ravissement de posséder son enivrant corps blanc n'en était que plus grand.

- "Oh madame Morris, t'es si étroite..... Aussi étroite qu'une pucelle! .... Ah, oui... Je vais dévaster ta chatoune! .... Tu ne sentiras plus que ma grosse bite après ça! ..... Tu ne sentiras plus jamais plus la rachitique saucisse de ton cornard de mari lorsqu'il voudra te posséder! ....." sifflait Cecil alors qu'il pénétrait maintenant des territoires vierges de toute intromission, hors de portée de la bite de son malheureux époux.

- "Owwwww... Owwwwwwwww..... Ohhhhhhhhhh..... Nonn-nnnnnnnn... " criait la jeune femme éperdue.

Témoins du viol de la ravissante jeune femme, les deux pasteurs se branlaient frénétiquement au travers du tissu de leurs caleçons, ils au-raient tous deux souhaité se trouver entre les cuisses de l'ensorcelante proie, à la place de Cecil.

Ce dernier leur offrait un véritable spectacle, extrayant d'abord ses 32 cm de la chatoune dévastée de la malheureuse avant de l'enfouir à nou-veau dans ses profondeurs intimes.

Le colosse noir accélérait le rythme de ses coups de boutoir, la monstruosité noire la pilonnait allégrement à la vitesse d'un marteau piqueur.

Sa malheureuse victime poussait des cris et des sanglots alors qu'elle essayait de lui donner des coups de pieds de le repousser de ses eux mains appliquées contre son torse.

Mais soudain la situation changea d'aspect alors que Cecil se courbait pour lui mordiller le lobe de l'oreille lui susurrant le mot magique qui la confinait dans un profond état de stupeur hypnotique :

- "PPBN... " le sigle de "Pouffe Pour Bites Noires".

Sa révolte cessa instantanément, elle cessa de le repousser, elle se mit à caresser sa musculature dorsale de ses petites mains manucurées de prêt alors que ses cuisses se firent accueillantes, elle ne tarda d'ailleurs pas à les verrouiller dans son dos, s'arquant pour mieux profiter de sa vigueur.

Les cris et les pleurs avaient cessé, ils étaient maintenant remplacés par des suites de halètements extasiés.

- "Faites-moi l'amour..... aimez-moi... Plus profond..... Encore plus profond..... Plus vite... Plus vite......"

Une union frénétique se tenait sur le lit conjugal, seulement ce n'était pas entre mari et femme comme l'annonçait le dominateur noir :

- "Je vais t'engrosser salope! ... Je vais t'engrosser sur le lit que tu partages habituellement avec ton mari! ....."

- "Ahhhhhhh..... Ahhhhhhh..... Je jouiiiiiiiiiiiiiiiisssssss....." miaulait alors la ravissante beauté.

Puis à voir l'énorme bite noire profondément implantée en elle, les muscles noirs du fessier de l'homme se crisper et se tordre, il fut évident que le solide gaillard emplissait sa chatoune distendue d'un torrent de foutre chaud.

Quelques instants plus tard, tout était calme et tranquille dans la cham-bre des Morris alors que le grand corps du colosse noir restait étendu sur le corps de sa somptueuse partenaire blanche.

Finalement Cecil Gibbons roula sur le flanc permettant à la caméra du portable de capturer l'effarant spectacle de sa bite d'âne sortant de la chatoune distendue de sa jeune "maîtresse".

Sa bite luisante, couverte de taches de sperme, centimètre après centi-mètre, réapparut à l'air libre avant qu'enfin, avec un "plop"sonore l'énorme gland sorte de la petite chatte endolorie, tout de suite suivi par un flot de crème épaisse.

On aurait dit un puits de pétrole bouillonnant sauf que la cramouille de Julie rejetait un bouillonnant trop plein de semence.

18 heures plus tard, la fenêtre de la chambre des Morris était grande ou-verte pour aérer la pièce et dissiper la lourde odeur de rut qui l'impré-gnait.

C'était presque un événement après cette nuit de baise non-stop à laquelle s'était livrée la paisible jeune femme et son amant noir.

Non seulement Julie avait rebondi d'orgasme en orgasme, mais elle avait appris énormément de nouvelles façons de plaire à un homme, comme celle de se faire bourrer le trou du cul, ou même d'agripper le fut frémissant entre ses plantes de pied pour le branler.

Mais sa position favorite était celle de la levrette et celle où elle enfour-chait son amant pour conduire elle-même la manœuvre avant qu'il n'explose au pus profond de son utérus fertile.

Dès ces moments, Cecil Gibbons, désira fortement que cette ensorce-lante rouquine soir sienne définitivement, il trouvait que le plan ourdi avec Mollway se déroulait trop lentement, il devrait attendre l'année pro-chaine pour le voir aboutir.

Cecil connaissait le pouvoir de l'argent, et la suggestion de faire une im-portante donation au "PPBN" lui paraissait le meilleur moyen de faire avancer ses projets, même si le divorce de ce couple modèle ne pourrait que créer des remous dans la communauté de Presswood.

Serrer son enivrante dulcinée entre ses bras impressionnerait certaine-ment les salopards qu'il côtoyait, ils regretteraient tous de ne pas être dans ses chaussures.

Les choses s'accélérèrent subitement lorsque le pasteur Knowlton demanda à Ken Morris de donner son avis au conseiller marital sur la réussite incontestable de son mariage.

Mollway avait alors hypnotisé le malheureux époux, lui intimant de briser rapidement son mariage avec son adorable épouse.

Dès cet instant, chaque nuit la photo qu'il avait visionnée, sous état d'hypnose, dans le bureau du conseiller matrimonial lui revenait à l'esprit.

Et lors de la séance suivante avec Julie Morris, quelques temps plus tard, il implanta de nouvelles suggestions dans son subconscient lui enjoignant de prendre rendez-vous, avec Cecil Gibbons, dans l'hôtel le plus proche... Les choses étaient maintenant en place pour le prochain scoop......

Coulybaca
Coulybaca
103 Admirateurs