Le Pasteur Poursuit Sa Carrière 02

BÊTA PUBLIQUE

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- "As-tu l'habitude de te faire des masques faciaux ma petite chérie? ...."

- "Bien sûr! ...." répondit la malheureuse sous contrôle.

Le salopard lui intima alors en gloussant :

- Porte ta main gauche à ton visage ma petite chérie..... Oui comme ça mon amour..... Inspire profondément..... Tu sens cette déli-cieuse odeur? ..... Respire le délicieux parfum de cette crème épaisse qui poisse tes doigts... Et maintenant étale le sperme de ton cher pasteur Knowlton sur tes joues......"

Totalement incrédule le pasteur Knowlton contemplait la jeune rouquine membre de sa congrégation étalant sa semence sur son visage.

Et dire qu'à l'instant précédent il allait lui essuyer les doigts? Il regardait ses doigts parfaitement manucurés, aux ongles peints en rouge lustré, alors qu'elle s'appliquait ce masque facial si particulier.

Ses joues, son nez, ses lèvres, et son menton étaient maintenant cou-verts d'une épaisse couche de foutre blanchâtre alors que Richard se dirigeait vers la salle de bain pour y dénicher un gant de toilette humide.

Sachant que l'odeur imprégnant ses doigts les taches marbrant son visage dénonceraient ce qui s'était passé dans le bureau de Mollway, Richard humidifia un gant de toilette pour essuyer son visage et ses doigts et effacer l'odeur de sperme qui émanait d'elle.

Le gant de toilette en main il revenait de la salle de bain deux minutes plus tard, il se figea en voyant que Mollway avait sorti sa bite de son ca-leçon et qu'il frottait sa pine contre ses lèvres pulpeuses.

Mollway lui jeta un oeil hilare et lui sourit lui disant :

- "Aurais-tu pu imaginer que la charmante madame Morris n'a ja-mais sucé de bite privant son bien aimé mari de ce plaisir béni des Dieux! .... Je ne vais donc plus tarder à initier cette adorable sa-lope à l'art de la fellation! ......"

Incrédule Richard regardait sa ravissante paroissienne obéir aux instruc-tions de Mollway :

- "Tire ta langue ma chérie..... Et maintenant enrobe ma grosse bite..... Suce là, madame Morris..... Ah, oui c'est ça...... Comme ça...... Oui, ouiiiii..... Enrobe ma bite de ta langue..... Et maintenant sers toi la pointe de ta langue et titille mon méat....." pantelait Moll-way, Richard regardait attentivement comment l'innocente jeune femme obéissait à tous ses ordres, léchant le vieux pénis si peu ragoûtant.

- "Prends-moi en bouche! ...." l'ordre jaillit net et clair, et la ravis-sante jeune femme emboucha la grosse pine qu'elle entreprit de sucer avidement bien que ce soit la première bite qu'elle cajole.

Richard agrippa sa main et mit en évidence son alliance et sa bague de fiançailles, il débarrassa chacun de ses doigts de l'amidon spermatique qui l'empesait, puis ils nettoya attentivement son alliance et sa bague de fiançailles les débarrassant de toutes souillures suspectes.

Mollway avait maintenant posé une main sur sa nuque alors qu'il coulis-sait frénétiquement entre ses lèvres gourmandes.

- "Goûte-moi bien ma chérie! ..... C'est ainsi que tu communieras chaque dimanche dorénavant..... Aimes -tu le goût de mon vin sa-cré? ...... Oh... Oh... Que Dieu te garde mon adorable chérie..... Ahhhhhhh..... Ahhhhhhhhhhhh..... Arrgghhhhhhhhhhhhhhhhhhh! ....." gémissait et grognait Mollway alors que sa vieille carcasse tremblait de tous ses membres.

Il dispensait à la jeune femme un type de communion tout à fait inhabi-tuel.

Ralph Mollway, était d'autant plus excité qu'il savait que les lèvres de la jeune femme s'étaient refermées, pour sa première fellation sur sa bite ridée

En voyant le corps de la ravissante jeune femme il savait que ses nau-sées étaient dues au fait qu'elle n'avait pas coutume d'ingérer les chau-des giclées de foutre qui lui coulaient maintenant dan son estomac.

Ce jeune benêt de pasteur qu'il faisait chanter avait maintenant son sort scellé du fait de sa participation à la dégradation de sa jeune et ravis-sante paroissienne.

Et maintenant pourquoi ne pas faire le pas en avant qui en ferait son complice actif, sur cette pensée, Mollway saisit une caméra et prit en-core quelques gros plans croustillants.

Il filmait Richard nettoyant l'alliance et la, bague de fiançailles de leur jeune victime, on voyait parfaitement que le jeune pasteur avait la bite à l'air et qu'elle vibrait alors qu'il renfilait les anneaux aux doigts de leur somptueuse proie.

- "Hey Richard, n'as-tu pas l'impression de revivre tes années col-lège..... Quand tu couvais d'un regard concupiscent te ravissante prof, hum......"

Sur ces mots le démoniaque vieillard donna de nouveaux ordres à la malheureuse madame Morris totalement sous son emprise :

- "Assieds-toi ma chérie, et maintenant glisse-toi hors de la couche et agenouille-toi devant le pasteur Knowlton.... Tends ta main gauche et attire le à toi....... Ton pasteur va à son tour te communier pour t'accorder le pardon de tes fautes! ...."

L'ampleur de sa bite ressuscitée, Richard frémissait de plaisir alors que les fins doigts manucurés se refermaient sur sa hampe vibrante.

Voir de nouveau les bijoux qui ornaient ses doigts ne fit qu'accroître son excitation alors que ses lèvres pulpeuses étaient si proches de son gland turgescent.

- "Montre-lui ce qui tu viens d'apprendre ma chérie! .... Montre à ton pasteur comment tu aimes recevoir la communion! ...." s'esclaffait Mollway hilare.

- "Oh, mon Dieu..... Mon Dieu..... Ohhhhhh, Dieu soit loué....." grommelait Richard alors que la charmante Julie Morris pointait sa langue sur son méat si sensible.

Le vieux pervers sourit et zooma sur la jeune femme se penchant en avant pour emboucher la bite de son pasteur entre ses lèvres pulpeuses.

Mollway se recula la caméra en main prenant le pasteur de pied en cap alors qu'il saisissait la nuque de sa ravissante paroissienne.

Ce n'était certainement pas le comportement habituel d'un prêcheur en-vers ses ouailles féminines, de plus une femme mariée à un autre homme...... Un mariage auquel il avait lui-même procédé deux ans plus tôt.

Il connaissait les tendances secrètes du pasteur Knowlton au voyeu-risme, et voila qu'il réalisait l'ardeur avec laquelle il se livrait au pêché de chair.

Mollway se disait maintenant qu'il serait bien plus utile et agréable que Richard devienne son complice actif, un disciple actif de la PPNB plutôt que de l'obliger à le servir en le faisant chanter.

Il ne pouvait plus revenir sur ses pas à cet instant, pas lorsqu'on le plai-sir évident que le jeune pasteur prenait entre les pulpeuses lèvres de sa charmante paroissienne, à l'insu de son plein gré.

Plus tard, Mollway pensa qu'il pourrait satisfaire les penchant voyeuristes de son "complice" en lui faisant regarder l'initiation de l'adorable Julie Morris aux grosses bites noires.

Le jeune pasteur chercherait de lui-même qu'elle serait la prochaine beauté de sa paroisse qui se verrait initiée à la négritude et à leurs gros-ses queues.

Mais pour l'instant, il était ravi de filmer les ébats de la ravissante jeune femme qui figurait sur l'album photos souvenirs de la paroisse, elle suçait la bite de son pasteur avec une indéniable ardeur alors qu'il lui malaxait lascivement les nichons.

Puis, le jeune pasteur se mit à émettre des grognements sourds, rau-ques alors qu'épais flot de foutre épais et crémeux emplissait la bouche de la jeune beauté, quelques filets blanchâtres suintant aux commissu-res de ses lèvres serrées sur l'épaisse hampe.

Dix minutes plus tard, Richard se tenait à nouveau dans le cabinet de toilette et regardait par les fentes de la porte, l'adorable Julie Morris sor-tir de la salle de bain où il lui avait été ordonné de se rendre pour effacer les traces de sperme sur son visage et ses mains

Cependant elle ne devait pas s'être totalement nettoyée car Mollway lui avait ordonné :

- "Ne te rince pas la bouche et n'essuie pas tes lèvres, ainsi tu pour-ras donner à ton mari un baiser juteux lorsque tu retourneras chez toi! ......"

Puis comme Mollway voulait être sur que tout ce qui s'était passé dans ce bureau soit profondément implanté dans son inconscient de façon à ce qu'elle ne puisse comprendre qu'elle avait été hypnotisée et qu'elle avait eu des rapports sexuels avec deux hommes sous contrôle hypnoti-que.

Puis Richard put voir comment s'y prenait son pervers confrère pour préparer un sujet à devenir une esclave sexuelle du "Parti Progressiste du Bienheureux Nestor" (souvent appelé PPBN) car en réalité son nom signifiait Pouffes Pour Bites Noires.

La lumière diminuée la salle se trouvait presque dans l'obscurité, Moll-way projeta l'image d'un colosse noir sur le mur blanc face à Julie Morris, il l'informa ensuite d'une voix autoritaire :

- "Cet homme s'appelle Cecil Gibbons, c'est un des généreux frères qui octroient de grosses donations à notre organisation..... Tu au-ras l'image de cet homme en tête chaque nuit lorsque tu iras te coucher et tu rêveras constamment de lui! ......"

- "T'es-tu déjà masturbée ma petite chérie? ..... T'es-tu déjà touchée intimement pour calmer ton excitation sexuelle? ....." demanda-t-il soudain à la jeune femme sous contrôle.

- "Oh non jamais! .... " claqua immédiatement la réponse.

- "Et pourquoi non? ...."

- "Parce que c'est vicieux! ...."

Richard vit le sale pervers approcher sa chaise du canapé alors qu'il poursuivait d'une voix toujours aussi autoritaire :

- "Tu rêveras de lui contamment, chaque nuit...... Tu te demanderas ce que tu ressentirais si ses mains te touchaient et te caressaient intimement! ..... Et à ces moments tu joueras avec ton corps comme ceci! ......"

Les mains dodues du vieux bâtard se posèrent sur la poitrine de la jeune femme allongée sur le sofa, il empaume ses nibards au travers de son fin corsage et de son soutien-gorge en dentelle, puis ses pouces ma-laxèrent lentement ses mamelons bourgeonnant.

La somptueuse jeune femme se tortillait sur sa couche alors que Moll-way stimulait ses bourgeons maintenant érigés entre pouce et index.

- « Monsieur Gibbons nous fait parvenir une photo de lui qui te fera rêver de lui chaque nuit lorsque tu te seras allongée aux coté de ton mari! ..... » l'avisa alors le démoniaque pervers en projetant sur le mur une photo qui provoqua un sursaut de Julie.

Regardant la photo sur le mur, Richard lui-même en eut le souffle coupé à la vue de la monstruosité sur laquelle l'homme refermait son poing.

Puis il projeta l'image suivante, un mètre ruban, était étalé le long de la bite démesurée, elle attestait de l'incroyable longueur de 32 centimètres.

- "Regarde bien cette monstrueuse bite madame Morris... Imagine cette bite d'âne coulissant dans ton étroite petite chatoune madame Morris! ...." avançait la voix autoritaire

- "Dorénavant, l'image de cette bite démesurée dont est si fier mon-sieur Gibbons remplira ton esprit! ... Et tu t'imagineras l'effet dis-pensé par cette gigantesque bite lorsqu'il la frottera sur ton visage! .... ... Tu te demanderas les émois que tu ressentiras en la prenant en bouche! .... Etoufferas-tu lorsqu'il s'enfoncera dans ton arrière-gorge? ..... Crachoteras -tu à moitié étouffée lorsqu'il déversera des torrents de sperme dans ton arrière-gorge en se vidant ces énormes burnes noires? .... Imagine ce que tu ressentiras lorsqu'il t'offrira un onctueux masque facial avec tout le foutre qu'il a en ré-serve! ......" lui disait-il.

Richard remarqua que Mollway se laissait glisser de sa chaise la main gauche tendue vers l'adorable Julie relevant le bas de sa jupe alors qu'il continuait à triturer ses mamelons de sa main droite.

- "Et bien sur ma chère madame Morris tu t'imagineras copulant avec monsieur Gibbons, sa bite démesurée coulissant d'avant en arrière dans ta chaude petite cramouille distendue! ...." lui suggé-rait Mollway tout en plongeant sa main sous la ceinture élastiquée de sa petite culotte de coton blanc.

Richard nota que le corps de la charmante paroissienne tremblait, alors que le pervers bâtard lui branlait allégrement la chatte doigts plongés dans ses babines gorgées de sang.

- "Tu en as envie madame Morris... Tu veux sentir la grosse bite noire de monsieur Gibbons plonger dans ta petite cramouille! ..... Tu veux la sentir coulisser dans ta caverne juteuse! ..... Tu le veux! ... Dis-le-moi, madame Morris! ... Dis-le-moi! ...." intimait Mollway à la jeune femme tout en la branlant frénétiquement.

- "Oh oui... Ouuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiii..... Je le veuxxxxxxxxxxxxx....." rétorqua-t-elle avec frénésie.

En la voyant arquer les hanches vers le haut, Richard comprit que l'igno-ble bâtard avait crée chez la ravissante Julie Morris un énorme besoin sexuel, ce fut encore plus évident lorsqu'il la vit se trémousser alors qu'il continuait à psalmodier :

- "Tu le veux! ..... Tu sais pertinemment que tu veux goûter à la grosse bite noire de monsieur Gibbons! .... Tu la veux dans ta petite chatte toute excitée! ...... 32 centimètres de chair noire! ...... 32 centimètres qui vont coulisser dans ta cramouille... Dedans dehors! ...... Encore et encore! ..... Et maintenant regarde cette nouvelle image qui te donne le diamètre de sa bite...... 9 cm de circonférence! ....... Une telle bite ferait la fierté d'un étalon! ......" tonnait-il.

Se tortillant sur le sofa, l'innocente jeune femme avait besoin de jouir.

La semaine suivante, toute étonnée Julie trouva une enveloppe dans son sac à main, elle contenait une carte d'invitation blanche scindée en deux parties, la partie conservée portait les nom et adresse de monsieur Cecil Gibbons à Presswood.

Son mari l'avisa alors, qu'à son insu, il avait organisé une petite excur-sion de pêche avec ses copains, c'est alors que son subconscient lui avait dicté de fouiller son sac ou elle avait trouvé cette "invitation".

Monsieur Gibbons, ce nom lui semblait familier mais elle ne parvenait pas à le replacer correctement.

Elle s'efforça de chercher dans son esprit qui était ce monsieur Gibbons mais elle était incapable de se souvenir où et quand elle l'avait ren-contré! ......

Alors qu'elle préparait le repas du soir dans la cuisine, Julie jeta un oeil sur la pendule et se demanda ce qu'elle avait bien pu faire depuis sa sor-tie de l'école élémentaire. Elle avait arrêté chez le blanchisseur, puis elle se rappelait s'être retrouvée dans sa cuisine.

Secouant la tête, Julie se dit en elle-même :

- "T'as maintenant 30 ans ma vieille, tu vieillis et ta mémoire en a prit un coup! ......" mais en réalité, elle avait quelques suggestions qui couraient dans son esprit, profondément implantées dans son in-conscient qui incluait la note qu'elle avait écrite de sa main avant de la poster.

Et ce message disait :

"Cher monsieur Gibbons

Je rêve de vous toutes les nuits et je me demande si vous pourriez remplacer mon mari absent dans mon lit.

Ce dernier va aller pêcher un jour et une nuit en mer avec ses amis ce week-end, il partira le matin vers 7 heures. J'espère que vous pourrez le rendre visite pendant ce temps.

Je joins une clef que j'ai fait dupliquer à votre intention.

J'ai follement envie de vous.

Julie MORRRIS."

Samedi matin, une fois que la voiture de son mari eut quitté l'allée du ga-rage et disparut de sa vue, Julie, comme en transe, traversa la cuisine et ouvrit la porte du garage.

En ouvrant la porte du garage de son mari, elle jeta un oeil dans la rue, puis se retourna après avoir verrouillé la porte et retourna dans sa chambre.

Se rendant dans son cabinet de toilette, Julie sortit de la commode un long chemisier blanc et une jupe bleue marine et les étala sur son grand lit.

Elle se brossa les cheveux, se mit un peu de rouge à lèvres, puis elle glissa ses bras dans les bretelles de son soutien-gorge de dentelle et tendit les bras dans son dos pour l'agrafer, puis elle s'habilla comme elle le faisait chaque week-end avant de se rendre à l'école primaire.

Mais on était samedi, l'école était fermée, il n'y avait pas de classe de rattrapage, et elle n'avait aucune raison de s'y rendre.

Après avoir enfilé une paire de hauts talons bleus marines, elle se regar-da dans le miroir et se demanda :

- "Mais on est samedi! ... Pourquoi me suis-je habillée ainsi? ...."

Elle entendit alors un bruit dans le garage, comme une porte qu'on ou-vrait et refermait, elle était saisie, puis elle se dit que ce devait être son mari qui avait oublié quelque chose et revenait le chercher.

En entendant des pas résonner dans le vestibule, elle demanda :

- "Chéri... Est-ce toi? ....."

Ses yeux s'écarquillèrent lorsqu'elle vit dans le miroir de la coiffeuse un homme extrêmement viril s'encadrer dans l'encadrement de porte.

Tendant une main tremblante, Julie l'interrogea :

- "Monsieur... Monsieur Gibbons? ...."

- "Tout à votre service ma chère madame Morris! .... Votre message disait que vous rêviez de moi toutes les nuits..... Etes-vous heu-reuse de me voir? ....." s'enquit alors l'homme à la porte de sa chambre.

- "Oh... Oui... Ouiiiiiii....." tremblait Julie en lui répondant les yeux fermés, haletante alors qu'il s'approchait lentement d'elle.

Elle ignorait qu'un téléphone cellulaire équipé d'une petite caméra digi-tale reliée à un chargeur qui lui permettait de fonctionner selon la volonté de celui qui l'enclenchait, était stratégiquement disposée dans sa cham-bre à coucher, cette micro caméra avaient été posée à leur insu lors de la dernière visite d'un électricien, à la solde de Mollway, qui était sensé vérifier les circuits électriques.

Elle retint son souffle en sentant les puissantes mais noires se poser sur ses épaules.

- "Vous êtes vraiment ravissante madame Morris... Est-ce ainsi que vous vous habillez pour enseigner à votre école? ......"

- "Euh, oui......" Répliqua Julie toute tremblante.

Les puissantes mains lui caressaient maintenant les bras, puis elles re-descendirent sur sa taille avant de lentement remonter vers ses nichons.

- "Oh... Oh...... Ohhhhhhhhhhhhhhh..." haletait-elle alors que son suborneur triturait ses mamelons au travers du fin tissu de son corsage et de la dentelle de son soutien-gorge.

- "Détendez-vous madame Morris je ne fais que ce dont vous avez rêvé depuis des nuits et des nuits! ....." la calma-t-il.

Quelques instants plus tard, comme ses mains palpaient la bosse dé-formant l'avant de son pantalon il lui demanda :

- "Dis-moi madame Morris, te rappelles-tu des photos montrant la taille de ma bite? ..."

- "Oh oui..... trente...... Trente deux centimètres! ...." susurra-t-elle d'une voix tremblante.

Il lui conseilla de s'agenouiller pour examiner sa virilité impatiente, Julie s'empressa d'obtempérer et tendit la main vers sa braguette.

Elle ne trouva aucun sous-vêtement lorsqu'elle plongea sa main dans l'ouverture du pantalon, rien ne l'empêchait de palper la colonne char-nue.

Encerclant des doigts la base de la colonne de chair, Julie ouvrit des yeux comme des soucoupes alors qu'elle avait des difficultés pour sortir sa bite de son pantalon.

Lorsqu'elle y fut enfin parvenue, l'épaisse monstruosité jaillit à quelques centimètres de son visage.

Agrippant son phallus à deux mains elle le sentait palpiter et battre entre ses doigts. Les paroles de Mollway dans son cabinet lui revinrent alors à l'esprit, une mentule de la taille de celle d'un âne! ..... Une bite qui, au-rait empli de fierté un étalon! .....

Et voilà que cette bite d'âne se trouvait entre ses mains, elle se mit alors à le branler consciencieusement.

Cette scène d'un haut niveau d'érotisme était retransmise et enregistrée à quelques kilomètres de distance. Julie Morris dans sa chambre conjugale... Agenouillée sur la moquette alors qu'elle branlait la queue d'un autre que son mari..... Un homme dont la bite faisait bien deux la taille de celle de son mari! ..... Une bite si grosse, si noire! .....

La main gauche serrant la base de la bite de monsieur Gibbons, elle ré-alisait tout en le branlant tendrement que la vue de son alliance et de sa bague de fiançailles devait vivement émoustiller son "suborneur".

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