Le Pasteur Poursuit Sa Carrière 02

Informations sur Récit
Les deux pasteurs unissent leurs efforts.
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Partie 2 de la série de 6 pièces

Actualisé 03/18/2021
Créé 08/27/2007
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Le Pasteur maquereau 2

Pimped by Her Own Pastor II

Coulybaca / Black Demon

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Cette histoire se suffit en elle-même, Cependant elle est aussi une suite directe de « Violée et subjuguée pendant les vacances », « Le Pasteur se fait maquereau » et « Le Pasteur victime d'un chantage »

(Victim's Violated Vacation & Pastor's a Pimp 1 & 2)

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Secoué de nausées, le pasteur Richard Knowlton jeta un oeil sur le prê-tre pervers au courant de son sombre secret et qui s'en servait pour le faire chanter.

Richard n'avait pas le choix, si son secret venait à être dévoilé, sa vie en serait dévastée.

Comme il n'avait pas le choix, il s'était plié aux volontés de son pervers maître-chanteur, laissant ce vieux bâtard s'envoyer sa femme.

Il avait du l'inviter à dîner, avisant sa femme qu'il s'agissait d'un vieux confrère qu'il avait rencontré lors de leurs vacances, le dîner à peine terminé, il avait reçu un pseudo appel, qu'il avait enregistré et program-mé l'après-midi même, qui le convoquait sur une urgence.

Il livrait ainsi sa femme Nell à ce vieux bâtard de confrère qui voulait se glisser entre ses draps.

Comme il n'y avait nulle urgence en fait, Richard était revenu chez lui, avait rangé sa voiture dans une discrète rue adjacente, et avait gagné rapidement l'arrière cour de son habitation.

Il les avait alors épiés au travers d'un trou qu'il avait ménagé dans les stores aveuglant les fenêtres de la chambre, il avait alors à nouveau goûté à l'amer plaisir du voyeurisme.

Ses remords et sa culpabilité disparurent rapidement à la vue du vieux salopard attirant de force sa femme entre ses bras en l'empoignant par ses hanches dodues.

Lorsqu'il avait informé sa femme qu'il avait invité le pasteur Mollway à dîner, Nell avait montré sa joie de revoir ce pasteur plein de bonté qui les avait si bien accueillis dans les îles.

Elle revoyait ce jovial ami leur offrant un panier de fruit sur le quai des départs.

Ils ignoraient tous deux qu'en fait, le vieux salopard les avait vus arriver du promontoire derrière l'église, il les avait observés à la jumelle et avait tout de suite eut envie de posséder le corps de cette adorable jeune femme.

Le vieux salaud était sur le point de satisfaire sa longue attente et ses rêves d'user et abuser des appâts de sa charmante hôtesse.

La bite à la main, se branlant frénétiquement, Richard avait vu de la ré-vulsion s'afficher sur le visage de sa jeune femme alors que le "si gentil confrère" lui signifiait ses intentions.

Mais rapidement les remords de Richard de livrer sa femme à ce vieux salaud s'envolèrent alors qu'il satisfaisait ses penchants pour le voyeu-risme en le voyant copuler avec elle.

Ses rêves de voyeur les plus pervers se réalisaient alors que le pervers confère glissait son corps dodu entre les cuisses de la jeune femme pour posséder son corps rétif, de violents coups de boutoir.

Richard se pourléchait les babines en voyant le spectacle qui se déroulait dans sa chambre conjugale, son adorable jeune femme avait refermé les jambes sur dans le dos de son suborneur alors qu'il la fourrait à grands coups de bite.

A la vue du pervers pasteur sautant avec énergie sa charmante épouse, Richard se demandait si cette frénésie sexuelle était due aux nombreu-ses années d'abstinence que s'était imposées son démoniaque confrère, alors qu'il le voyait maintenant marteler le corps de sa bien-aimée, ce dont il ne pouvait le blâmer.

Finalement le vieux débauché extirpa sa bite de sa chatte dégorgeant de foutre et l'essuya dans les boucles de sa toison dorée.

Plus tard, en regardant une photo que le vieux salopard lui tendait, Ri-chard avait réalisé que se taper sa femme n'était que le premier pas pour éviter que ce le vieux déviant ne ruine sa vie.

C'était la photo d'une des membres de la congrégation, une photo tirée du site inermes de la paroisse, une photo de la ravissante Julie Morris.

Richard connaissait l'adorable Julie Morris depuis deux ans, à l'époque où on l'appelait encore mademoiselle Julie Bender, et c'est lui qui avait célébré son mariage avec Ken Morris deux ans plus tôt.

- "Pourquoi me tend-il la photo de Julie Morris? ..... Que veut-il en faire? .... Qu'attend-il de moi? ..... Voudrait-il que je lui arrange les choses pour qu'il puisse disposer d'elle comme de Nell? ....." se demandait-il avec angoisse.

Il fut profondément choqué en entendant son maître-chanteur l'aviser qu'il avait sélectionné Julie Morris, et lui demander s'il se souvenait du PPBN, le "Parti Progressiste du Bienheureux Nestor" dont il lui avait par-lé sur l'île.

Avalant sa salive, Richard hocha la tête, déclenchant les gloussements de son démoniaque confrère qui poursuivit :

- "Tu sais ce qu'est vraiment cette confrérie? ..... Non... "

C'est alors qu'il apprit qu'en fait, elle était constituée de riches et géné-reux donateurs qui aimaient la chaire blanche fraîche, aussi avait-il décidé de leur offrir la sémillante Julie Morris contre rétribution bien évidemment.

Elle semblait pure et innocente sur cette photo et il voulait être celui qui initierait cette adorable jeune femme aux joies des sexes noirs.

Aussi, Mollway lui imposait-il de trouver le moyen de l'amener à fréquen-ter son bureau de conseiller matrimonial.

- « J'ai promis à mes amis de la PPBN de leur livrer des poupées amoureuses après les avoir hypnotisées, je connais des procédés infaillibles pour les placer sous mon emprise totale! ...... »

Eberlué par l'outrageante proposition, Richard gara sa voiture et gagna son bureau alors que son vieux bâtard de confrère montait dans sa voiture personnelle garée sur le parking de l'église.

Il saisit l'album souvenir de l'église, celui contenant les photos des nombreuses cérémonies de mariages qu'il avait célébrées. Il chercha les photos concernant les deux dernières années.

Lorsqu'il eut trouvé la page concernant la cérémonie Barret / Morris, il saliva nerveusement le regard fixé sur l'adorable jeune mariée toute de blanc vêtue.

Deux années d'e béatitude conjugale, un très heureux mariage dont les deux membres respectaient leurs vœux de fidélité l'un envers l'autre, et voilà que maintenant Richard devait être l'instrument de perversion de ce couple...... Celui qui amènerait l'adorable jeune Julie Morris à ouvrir ses cuisses à un suborneur noir.

- "Dois-je en passer par-là? ....." se demandait-il, mais la réponse ne pouvait venir que de sa bite qui réfléchissait pour lui.

De retour chez lui, Richard remarqua que la table du dîner avait été nettoyée, il était évident que Nell avait effacé toutes traces montrant qu'elle avait servi de dessert au vieux salaud dans le lit conjugal une fois le repas terminé.

Rampant dans le lit pour se couler le long de sa femme qui venait de se faire violer, Richard avait en tête des images de la ravissante Julie Mor-ris sortant de l'église deux ans plus tôt.

Il avala sa salive se l'imaginant déjà sous l'emprise hypnotique de Moll-way, se faisant sauter par le généreux donateur du "PPBN" qui l'avait choisie sur catalogue.

Ce dimanche, embarqué dans une conversation avec quelques membres de la congrégation le pasteur Knowlton s'ingéniait à dénicher l'adorable madame Morris avant qu'elle ne quitte l'église en compagnie de son charmant mari.

Il avait formé le vœu, avec plusieurs de ses plus fidèles paroissiens de demander à des couples particulièrement bien mariés d'unir leurs efforts autour d'un conseiller marital pour faciliter la vie des futurs ménages qui se formeraient dans la paroisse.

Interceptant l'heureux couple, Richard leur expliqua que la première étape qu'ils voulaient suivre était d'interviewer diverse femmes de la congrégation pour essayer d'établir un processus et des conseils qui fa-ciliteraient la future vie maritale d'un large nombre de candidats au ma-riage.

Avec la promesse que ces réunions ne dureraient qu'une heure et demi à deux heures, la belle Madame., Julie Morris n'e pas pu refuser l'hon-neur d'être choisie par l'honorable Pasteur Knowlton pour aider son église et sa congrégation.

Comme son mari rejoignait ses employés une paire d'heures chaque vendredi, vers 16 h 30, elle inscrivit ses réunions sur son agenda à la même heure, sans aucun soupçons son mari donna son accord flatté de la voir contribuer au bien de la communauté en secondant le conseiller marital.

Richard lui donna la carte du conseiller matrimonial concerné et elle l'as-sura qu'elle serait à son bureau vendredi à 16 h 30.

Le jeune couple était loin de soupçonner que leur mariage si heureux allait être extrêmement fragilisé par leur propre pasteur qui les remettait dans la main d'un vieux bouc pervers.

Les membres de la communauté étaient maintenant partis, Richard re-tourna dans son bureau à l'église, il avait besoin de réfléchir à ce doulou-reux dilemme dans lequel il venait de se jeter tête baissée.

Tout avait commencé pendant les vacances familiales, son voyeurisme avait été filmé, et il devait maintenant se plier aux volontés de cette or-dure de vieux maître chanteur pour éviter le scandale qui ruinerait sa vie aussi bien professionnelle que conjugale.

Le prix à payer était exorbitant, il avait déjà sacrifié son adorable jeune femme et voila que maintenant il avait programmé de sacrifier une adorable jeune femme membre de sa congrégation toujours dans le but d'épargner sa vie propre.

Il venait de poser les rails qui entraîneraient la somptueuse Julie Morris dans des ténèbres démoniaques, Richard en oublia son fétichisme alors qu'il se demandait si Mollway lui accorderait le plaisir d'observer com-ment il allait s'y prendre pour asseoir son emprise hypnotique sur la somptueuse beauté et ensuite la former aux plaisirs à offrir à son futur client de la "PPBN".

Fermant les yeux il secouait la tête incrédule, il ne comprenait pas com-ment les choses avaient pu s'enchaîner si rapidement.

Non seulement il avait sacrifié son adorable jeune femme et obéi au maî-tre chanteur en ce qui concernait Julie Morris quelques heures plus tôt, mais il savait déjà qu'il était prêt à aller bien plus loin dans l'ignominie.

L'après midi même il se dirigeait vers le bureau de Mollway pour lui si-gnaler qu'il avait appâté Julie Morris, Richard savait maintenant de pre-mière main à quel point les plans de Mollway s'avéraient élaborés depuis qu'il l'avait vu téléphoner à sa fondation et lui avait dit de suivre.

Richard avait alors observé le vieux saligaud ouvrant l'album de presse de la congrégation sur son site internet, il regardait attentivement com-ment une autre ravissante femme de la paroisse était l'objet d'un marché en sa présence.

Ce n'était rien de moins que de la prostitution et il s'agissait d'une des membres de la congrégation dont son maître chanteur vendait les char-mes à un des membres de la "PPBN".

Ce vendredi après-midi, Richard était arrivé avant la venue programmé de la belle Julie Morris, il gagnait les toilettes que lui désignait Mollway.

Quelques instants plus tard, derrière la porte, Richard regardait par les fentes de la porte en entendant résonner les talons de la ravissante membre de sa paroisse.

Elle arrivait tout droit de l'école élémentaire où elle enseignait, elle était élégante et quelque peu guindée dans son long chemisier blanc qu'elle portait sur une jupe bleu azur, l'ensemble était complété par une paire de hauts talons bleus.

Comme il faisait chaud, la charmante jeune femme ne portait pas de col-lants, il regardait ses longues jambes blanches avec la même concupis-cence que Mollway.

Alors que le félon l'invitait à s'allonger sur le sofa, exactement comme chez un psychiatre, la bite de Richard se mit à frémir dans son caleçon.

Richard observait attentivement ce vieux bâtard déployer son jeu, il ex-pliquait à la jeune et naïve épouse son souci d'être le plus proche possi-ble de la vérité dans l'utilisation des renseignements que lui donnaient ses intervenants, lui demandant si, à cet effet il pourrait l'interviewer sous hypnose afin d'écarter toute subjectivité de ses réponses.

Et, comme l'adorable jeune femme avait vraiment le désir de se rendre utile à sa communauté, elle lui donna rapidement son accord.

Richard était assez surpris de voir à quel point le vieux salopard pouvait être efficace et rapide, il avait obtenu somme toute facilement de pouvoir disposer de la jeune femme sous son contrôle mental.

Quelques instants plus tard, Richard était épaté de voir la charmante Ju-lie Morris étendue mollement sur le sofa du pervers cherchant à répondre sincèrement à ses questions en en tentant de gommer ses croyances, ses colères et ses désirs.

Ayant été instruit plus tôt du déroulement de l'interview par son ex-confrère, Richard se pencha en avant pour mieux l'entendre à ces ques-tions sous hypnose.

Il commença par les questions traditionnelles : son âge, son niveau sco-laire, son type d'éducation, sa première rencontre avec son époux.....

La bite de Richard commençait à se déployer dans son caleçon alors que les questions abordaient maintenant un domaine plus sexuel.

- "Combien d'hommes avez-vous connu avant votre mari... "

- "Pas un! ...."

- "Avez-vous perdu votre pucelage lors de votre nuit de noce? ...."

- "Non... "

- "Comment s'est passée votre nuit de noce? ...."

- "Alors que j'avais le pénis de mon époux en main et que je le gui-dais, il éjacula prématurément! ...."

- "Quand avez-vous perdu votre pucelage? ...."

- "Deux jours plus tard, pendant notre lune de miel, au quatrième essai, après que Ken ait éjaculé précocement aux trois tentatives précédentes! ....."

La situation devenait de plus en plus chaude alors que Mollway pénétrait son cerveau.

- "Quelle est votre position favorite dans l'amour? ...."

- "J'aime bien quand mon mari est allongé sur moi, mais j'aime tou-tes les positions! ..."

- "Avez vous déjà pensé coucher avec un autre homme? ...."

- "Oh non! .... Jamais...."

- "Comment vous sentiriez-vous avec un colosse noir couché sur vous en train de vous faire l'amour? ..."

- "Honteuse! ... Folle de honte! .... Je serais morte de honte! ....""

- "Dites-moi madame Morris avez-vous déjà sucé un pénis? ...."

- "Je ne comprends pas ce que vous voulez dire par-là! .... Comment ça sucer un pénis? ...."

- "Avez vous déjà pris un sexe masculin dans votre bouche pour le sucer jusqu'à ce qu'il éjacule dans votre gorge? ...."

- « Oh, non! .... Jamais! .... »

- "Et pourquoi pas? ...."

- "Parce que... Parce que c'est très sale! .... dégoûtant! ...."

En voyant Mollway relever les yeux et regarder dans sa direction, Ri-chard vit qu'il lui adressait un sourire démoniaque alors qu'il se redressait et allait s'asseoir sur le sofa où gisait la charmante jeune femme hypnoti-sée.

Même après avoir entendu la jeune femme répondre sans sourciller aux questions indiscrètes de Mollway je ne croyais pas encore que ce vieux bâtard puisse être plus efficace dans sa tentative de domination mentale de la jeune femme et je n'étais pas encore convaincu que la succulente Julie Morris se trouvait sous son entière emprise.

Je vis alors le vieux pervers tendre la main pour caresser les jambes de sa ravissante proie, c'est alors que Richard comprit qu'elle se trouvait sous la totale domination de son emprise hypnotique, sinon elle n'aurait jamais autorisé Mollway à lui caresser les cuisses de façon aussi lascive.

Richard écarquilla les yeux lorsqu'il comprit qu'il pouvait même mainte-nant entrer dans le salon, que leur malheureuse victime serait totalement inconsciente de sa présence à leurs cotés.

Ses mâchoires lui en tombèrent à la vue de ce qui se passait mainte-nant, le vieux salaud enlevait les chaussures de la jeune femme et les posait sur une étagère proche.

L'adorable Julie Morris était inconsciente de ce qui se tramait :

- « Bordel ce vieux fou vient de sortir sa bite de son caleçon! ... » remarqua alors Richard incrédule.

Visiblement ce vieux bâtard était fétichiste des pieds alors que Richard le regardait, il avait placé sa bite toute ridée entre les plantes de pieds de son adorable victime et il se branlait allégrement entre elles, et bientôt sa vieille bite grandit, enfla et atteignit la taille de 15 centimètres.

- "Oh oui..... T'es si douce et si sexy! ..... Oh chérieeeeeeeeee..... Oh, oui... Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhh..... " grognait le vieux porc secouant la tête en prenant son pied.

Richard vit alors sa vieille bite cracher son gluant venin sur les pieds de son inconsciente victime.

Mollway lui fit alors signe de le rejoindre, et de se poster devant la jeune femme qu'il allongeait sur son sofa de psychiatre.

Quelques secondes plus tard, placé juste à coté de l'adorable jeune femme, Richard regardait l'épaisse couche de sperme qui s'étalait sur ses pieds ses orteils, alors que le vieux salaud rétablissait son pouvoir sur lu :

- "Plus tard, tu te trouveras un bout de chiffon pour lui nettoyer les pieds! ...."

Richard avala sa salive, sa bite frémissait dans son caleçon alors qu'il trouvait que cette tâche s'avérerait drôlement excitante finalement, puis il entendit Mollway qui disait s'adressant à Julie Morris :

- "Ton mari si amoureux se trouve juste à coté de toi ma chérie, tends ta main droite et tu vas voir à quel point tu l'excites! ....."

Richard, ravi, se figea au moment où il vit la somptueuse Julie Morris tendre sa main finement manucurée pour palper l'énorme bosse qui dé-formait son pantalon.

La bite tressautant sous la caresse, Richard haletait tout en dégrafant sa braguette alors que Mollway lui prescrivait :

- "Glisse ta main dans le pantalon de ton mari et sors sa queue! .... Et maintenant je veux voir comment tu te sers de tes mains pour le branler....."

Richard avala un bon bol d'air après avoir ouvert son caleçon pour lui faciliter la tâche, il frémit de plaisir alors que ses doigts encerclaient sa virilité tendue.

Il savait que toute la scène était enregistrée par des caméras, dissimu-lées dans la pièce, que lui avait montrés Mollway, il sentait monter en lui le désir de posséder une copie de cette rencontre avec l'adorable Julie Morris.

La bite sortie de son pantalon, Richard contemplait la jeune femme qui le branlait tendrement, puis Mollway reprit :

- "C'est bien ma chérie, et maintenant sers-toi de ta main gauche! ...."

Richard ravi la vit alors se servir de sa main portant son alliance et sa bague de fiançailles pour le branler, cet anneau qu'il avait lui-même béni devant la congrégation rassemblée lors de ses épousailles.

Et maintenant cet anneau reposait sur sa bite alors que la charmante Ju-lie lui prodiguait des caresses qu'elle n'aurait du prodiguer qu'à son mari, et surtout pas à son pasteur.

Richard n'aurait pas su interrompre cette délicieuse branlette, il luttait pour ne pas éjaculer prématurément.

Il était sur le point de jouir et s'y refusait, voulant prolonger la jouissance de ces caresses.

Il luttait la bite à quelques centimètres de sa jupe pour contrôler ses sens, il ne voulait surtout pas projeter sa gourme sur ses vêtements.

Incapable de saisir son mouchoir à temps, il usa de son autre main pour agripper la main qui le branlait si délicieusement pour stopper sa bran-lette et la retint posée sur sa bite sensibilisée.

C'est à cet instant que son corps se tendit au contact de la paume soyeuse sur sa bite tressautante, la sensation était si agréable qu'elle l'envoya direct au tapis, sa bite vibra encore et cracha des torrents de foutre sur ses doigts agiles.

Etant finalement parvenu à pêcher son mouchoir dans sa poche, Richard rattrapa les gouttes qui tombaient du bout de ses doigts, il allait es-suyer sa main, lorsque le vieux Mollway l'interrompit.

- "Arrête avec ce mouchoir! ....."

Richard jeta un oeil perplexe sur le vieux pervers, qui s'adressait mainte-nant à la jeune femme en son pouvoir lui enjoignant :

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