Le Club - Partie 32

BÊTA PUBLIQUE

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Christine s'approcha de l'entrée de sa nouvelle chambre en tremblant. Elle savait qu'une bête fauve l'attendait à l'intérieur. La veille, les ouvriers avaient enfin terminés la construction de cette maudite muraille et les soubrettes étaient revenues dans leurs quartiers après presque deux semaines d'enfer sur le chantier mais Angel leur réservait encore une surprise bien désagréable.

- J'ai décidé de réorganiser l'attribution des chambrées, avait-il expliqué aux jeunes femmes toujours sous le coup de ce qu'elles venaient de vivre. Je pense que Laura va avoir besoin du réconfort de sa petite maman après le dur labeur qu'elle a dû subir ces derniers jours.

Le visage épuisée de la jeune Blenon retrouva un peu de couleur quand elle comprit qu'elle allait enfin échapper à l'emprise permanente que Jennifer exerçait sur elle depuis plusieurs mois mais ce fut une autre soubrette qui accusa le coup de cette nouvelle. Anne-Marie conclut qu'elle allait devoir retourner vivre avec son ancienne pupille qui l'avait déjà fait tant souffrir. Angel saisit le regard désespéré de l'ancienne assistante sociale et sourit.

- Rassure-toi Anne-Marie, je ne suis pas un monstre, fit-il faussement compatissant. Je sais que ta cohabitation avec Jennifer ne fut pas idéale et j'ai décidé de ne pas la reconduire. C'est pour ça que tu iras rejoindre Sandrine dans la chambre 3 et que Christine passera dans la chambre 2.

Christine se décomposa à cette nouvelle. Angel l'envoyait passer ses nuits avec la soubrette la plus brutale et celle qui lui reprochait ouvertement la dernière punition qu'elles avaient toutes eu à subir. La directrice du foyer savait qu'elle allait subir des représailles dont elle ne mesurait pas encore la valeur.

- Entre donc! Fit la voix impérieuse de Jennifer depuis le fond de la chambre.

Christine se figea en entendant cet ordre et surtout le ton faussement avenant employée par la jeune fille.

- ENTRE!! Cria finalement sa nouvelle camarade de chambre qui avait très vite perdu patience.

Consciente qu'elle ne pourrait pas retarder l'échéance bien longtemps, Christine pénétra dans son nouvel appartement.

Jennifer qui était allongée sur le lit, se releva alors et s'approcha d'elle. Son corps nue apparut en pleine lumière laissant apparaître tous les sévices que les ouvriers lui avait fait subir. Elle était couverte d'ecchymoses, des traces de morsures défiguraient son opulente poitrine et ses fesses et un œil au beurre noir l'obligeait à maintenir l'un de ses yeux presque fermé. A ce moment, Jennifer Guilot n'était plus très reconnaissable et d'ailleurs Angel l'avait dispensée de la soirée du lendemain pour la raison qu'elle n'avait plus l'air d'une femme. Etrangement, la jeune fille avait accueilli cette décision qui lui épargnait une nouvelle nuit de calvaire comme une punition et elle décuplait encore sa colère.

Jennifer attrapa Christine par le cou la forçant à se tordre sous l'effet de la douleur.

- Salope! L'insulta-t-elle. Je vais te faire regretter tout ce que ces connards m'ont fait subir.

- Jennifer, balbutia Christine. Attends! Je t'en prie.

Pour toute réponse, Jennifer lui expédia un coup de poing en plein ventre qui lui coupa le souffle et la fit se plier en deux. Jennifer profita de cette situation pour la faire s'agenouiller en avant sur le lit de la chambre. Elle glissa sa main sous le matelas et en sortit un outil en fer que Christine eut du mal à reconnaître : il s'agissait d'une visseuse de chantier.

- Un des ouvriers s'est amusé à utiliser cet engin sur moi, expliqua Jennifer. Quand il est parti, je le lui ai volé en pensant à toi. Tu vas voir, ce sont des sensations encore plus pénibles que le godes à pointes du maître.

Christine réalisa que Jennifer envisageait de la violer avec cet objet et elle se mit à se débattre. Jennifer dut lâcher l'outil pour la maintenir dans sa position de prisonnière et elle s'assit sur son dos pour l'empêcher de bouger cependant dans cette position elle était incapable de s'emparer de la visseuse et l'introduire dans l'un des orifices de sa victime.

- Anne-Marie, hurla-t-elle. C'est maintenant!

Les yeux de Christine s' arrondirent quand elle entendit les pas d'une nouvelle personne dans la chambre.

- J'ai failli attendre, fit Jennifer.

- J'ai dû faire attention que le maître ne me voit pas, fit la voix d'Anne-Marie dans le dos de Christine.

- Prends la visseuse! Ordonna Jennifer. Cette salope se débat trop, il faut que je la tienne pour que tu puisses la transpercer.

- Anne-Marie! Pleura Christine. Non! Pitié.

- Pitié? Lui rétorqua son ancienne subordonnée. Et moi, je n'en avais pas besoin de pitié alors que l'autre immonde salaud m'obligeait à boire sa pisse et à bouffer sa merde?

Christine put tourner un peu la tête et croisa le regard d'Anne-Marie pour n'y voir qu'une colère embrasée ; la jeune assistante sociale dévouée à ses pupilles semblait avoir totalement disparue laissant place à une folle qui avait vécue l'épreuve de trop. Jennifer posa à nouveau sa main sur sa nuque pour l'obliger à mordre le drap du lit et à tendre la croupe.

- Dans lequel? Demanda Anne-Marie.

- Encule-là! C'est bien plus douloureux, tu t'en doute.

Christine tentait de se soustraire à la poigne de Jennifer mais elle était totalement prisonnière sous son poids et elle sentit la pression du mandrin de fer contre son œillet anal. Elle voulut crier mais Jennifer appuya un peu plus contre sa nuque lui enfonçant encore un peu plus le visage dans le drap du lit. Anne-Marie planta la visseuse dans son anus sans montrer la moindre pitié. Christine eut l'impression d'être déchirée en deux par l'instrument de métal dont le mandrin était d'une largeur effrayante mais le pire était encore à venir car son ancienne subordonnée appuya sur la gâchette. Bien que privé de l'embout capable de blesser gravement la jeune femme, le mandrin se mit à tourner à grande vitesse dans son anus lui raclant l'intérieur des intestins. Christine eut l'impression que des lames de rasoirs étaient en train de lui raser l'intérieur du rectum et elle réussit à détacher son visage du matelas pour pousser un hurlement de douleur salvateur.

- Tu comprends ce que j'ai ressentis, lui cracha Jennifer. Cette ordure m'a violée dans tous les orifices avec cet engin pendant plusieurs jours et crois-moi je ne vais pas me gêner pour te rendre la pareille.

Mais Christine n'écoutait plus les paroles de sa tortionnaire : elle était au-delà de ça.

- Nous devrions arrêter, proposa Anne-Marie dont la détermination semblait s'être affaiblie devant les hurlements de Christine.

Jennifer se retourna vers sa complice le visage empourpré de rage.

- Si jamais le maître découvrait ce que nous faisons, se défendit l'ancienne assistante sociale qui se sentait soudainement en danger, il pourrait nous punir de mettre ainsi en danger une autre soubrette.

Cet argument était bien le seul qui pouvait porter sur la bête qu'était devenue Jennifer et cette dernière relâcha sa prise. Anne-Marie sortit la visseuse de l'anus de Christine qui resta immobile, l'esprit toujours embué par la douleur.

- Ce n'est qu'un début, lui souffla Jennifer à l'oreille. Nous allons passer de très longues nuits ensemble.

CHAPITRE 8

La voiture de Morgan arriva à l'entrée de la résidence de David Angel en début de soirée et le garde ne le retint que quelques instants. Il faisait désormais parti des quelques privilégiés autorisés à accéder en ce lieu si bien protégé. Il jeta un coup d'œil dans son rétroviseur pour s'assurer qu'Emily était toujours correctement attachée sur la banquette arrière. Son équipière de l'unité TCD lui renvoya un regard chargé de haine et il sourit.

Le juge les attendait dans le parking de la villa accompagné de son garde du corps.

- Mon cher Shemar, Salua le vieillard. Heureux de vous revoir. Et voici donc la belle et radieuse Emily Proctor, nous n'avons toujours pas été présenté, je suis...

- Je sais qui vous êtes pourriture, répondit Emily pleine de hargne.

- C'est vrai, sourit le juge. J'oubliais qu'elle n'avait pas encore été correctement dressée.

- C'est vrai qu'elle est toujours aussi frondeuse, reconnut Morgan.

- Nous allons corriger ce petit défaut, affirma le juge.

Il expédia alors un coup de genoux dans le ventre de la jeune femme qui se plia en deux en toussant. Comme elle avait toujours les mains ligotées dans le dos, elle était totalement incapable de se défendre contre ce genre d'attaque. Elle cracha difficilement devant la force du coup et Morgan la poussa en direction de la villa. Quand ils entrèrent la scène à laquelle ils assistèrent fut tout simplement dantesque. Environ deux douzaines de personnes des deux sexes et de tous les âges, se vautraient dans le salon dans une véritable orgie de sexe. Morgan reconnut la plupart de ces personnes pour avoir vu leurs visages affichés sur le tableau blanc de la salle de réunion de l'unité de Traque des Criminels Dangereux mais certains lui était totalement inconnus.

- Je suis désolé, s'excusa le juge, mais nos amis n'ont pas voulu vous attendre. Ils étaient bien trop excités.

Excités était un faible mot pour qualifier le déferlement de sexe qui se s'exposait sous le regard des deux policiers. Par deux, par trois et parfois plus, les participants se déchaînaient sans aucune limite morale. Emily devint livide et se tourna vers Morgan en ouvrant la bouche visiblement dans l'intention de dire quelque chose mais celui-ci la devança en lui expédiant une paire de claque magistrale.

- Tu parleras quand je t'y autoriserais! Tonna-t-il alors que la force du coup la faisait reculer d'un mètre.

Cet éclat attira l'attention d'un des convives. Angel écarta Anita Fuentes qu'il était en train de sodomiser de bon cœur pour s'approcher des nouveaux venus. Pas du tout gêné par le fait d'être nu comme un ver, il serra la main de Morgan puis se tourna vers Emily qui s'était difficilement redressée après la correction qu'elle venait de recevoir.

- Voilà donc la star de la soirée, déclara-t-il en détailla la policière. Vous permettez?

Morgan hocha la tête en signe d'approbation et Angel s'approcha d'elle. Emily affichait toujours son expression de défi mais Angel ne paraissait pas impressionné une seconde. Il posa la main sur son épaule droite et pressa. La douleur la fit grimacer jusqu'à plier le genou.

- Je vois que tu fais la fière pour l'instant, constata-t-il sur ce ton faussement badin qui était sa marque de fabrique, mais laisse-moi te préciser quelques détails. Pour le reste du monde, tu es déjà morte avec le reste de ton unité. Ce qui signifie que nous pouvons très bien t'éliminer ce soir si nous ne sommes pas satisfaits et que personne ne s'en rendra compte.

En dépit de la douleur, le visage d'Emily s'illustra d'une nouvelle expression. Elle avait parfaitement compris que sa vie se trouvait désormais entre les mains de ces monstres. Angel sut que son message était passé et s'empara de la jeune femme comme il l'aurait fait d'un paquet. Dans cette posture, Emily ne vit pas qu'il la conduisait vers un chevalet placé au centre de l'orgie. Il la plaça à plat ventre sur cette table et la libéra de ses liens. Elle n'eut que quelques secondes pour retrouver des sensations dans ses membres car Angel les emprisonna dans les bracelets et releva sa jupe pour montrer ses fesses nues. Elle se retrouva donc pliée en deux, la croupe totalement offerte aux regards concupiscents de tous les participants de l'orgie.

- Messieurs! Déclara le maître des lieux. Je vous présente l'officier Emily Proctor, la grande star de notre petite soirée. Comme vous le savez tous, elle n'a pas encore été visitée par aucun d'entre nous et nous allons rattraper cette lacune. Durant cette soirée, nous allons tous profiter de cette jolie pouliche.

Il se tourna vers Morgan.

- Mon cher, ajouta-t-il. Elle est à vous. Alors à vous la primauté!

Morgan sourit et s'approcha du chevalet pour se placer dans le dos d'Emily qui ne pouvait rien voir de ce qui passait. Il glissa sa main entre ses cuisses et commença à lui masser les petites lèvres. Emily commença à se dandiner d'une façon qui indiquait que son corps réagissait aux caresses prodiguées par son ancien coéquipier contre sa propre volonté. Elle tentait de se soustraire à ce plaisir qui la dégoutait mais les liens qui la retenaient dans sa position humiliante. La main exploratrice de Morgan continua son petit jeu pendant plusieurs minutes et finalement la jeune femme poussa un râle désespéré annonçant qu'elle venait de jouir. Plusieurs applaudissements accompagnèrent cette conclusion qui accentuait encore l'humiliation de la policière. Morgan ne se contenta pas de cette petite démonstration et baissa son pantalon pour présenter son pénis à l'entrée du vagin de sa coéquipière. Lubrifiée comme elle l'était par le jeu de caresses, il n'eut aucun mal à la pénétrer jusqu'à la garde. Il commença alors la limer doucement avant d'accélérer le rythme progressivement. De nouveau, Emily remua dans tous les sens pour tenter de se libérer, en vain. Les va et vient de Morgan devinrent presque frénétiques et la jeune femme ne put plus que se cambrer pour résister à la puissance des coups de reins de son violeur. A un moment, celui-ci finit par se crisper et il se retira pour éjaculer sur les fesses de sa victime dans un cri de jouissance et de victoire. Emily crut que son calvaire se terminait mais à peine Morgan s'était-il éloigné qu'elle sentit les mains d'un autre homme se poser autour de sa hanche.

- Prépare-toi ma belle, fit la voix d'Angel dans son dos. Ca va être plus sportif!

Il l'empala d'un coup sec et brusque et elle sentit tout son corps s'étirer sous la force de sa pénétration. Ce nouveau coït fut mille fois pire que le précédent tant Angel fit montre de brutalité. Emily serra les dents pour ne pas lui offrir la satisfaction de la voir pleurer ou crier puis elle sentit l'écoulement d'un liquide chaud à l'intérieur de son ventre et sut qu'il venait de jouir. Angel se retira laissant la policière attachée sur le trébuchet tenter de reprendre son souffle. Malheureusement pour elle, aucun répit ne lui fut accordé car, immédiatement, un nouveau pénis envahit son intimité pour un nouveau coït tout aussi brutal que le précédent.

La soirée continua sur ce rythme de folie et Emily perdit le compte des hommes qui se succédèrent en elle. Elle avait compris depuis longtemps que la sombre menace d'Angel était bien une réalité et que tous les hommes présents comptaient bien la posséder avant le levé du jour. Elle était maculée de sperme et son vagin dégoulinait de la semence de toutes ces pourritures qui l'avaient violée sans aucune pitié mais le pire restait à venir.

Une main se posa sur son dos et se mit à lui masser les reins avec un talent indéniable. Toujours emprisonnée, la jeune femme ne pouvait pas identifier le responsable de ces nouvelles caresses. Ces mains s'aventurèrent plus en avant dans le sillon de ses fesses et elle comprit leur objectif.

- Je sens qu'elle n'a jamais connu les joies de se faire casser le cul, annonça le juge alors que son auriculaire droit s'enfonçait dans l'œillet anal de la policière. Mon cher Morgan, me laisserez l'honneur de déflorer cette virginité?

- C'est avec plaisir que je vous l'accorde, répondit Morgan. Son cul est tout à vous.

Emily retrouva un regain d'énergie alors que les doigts du vieillard lui évasaient l'anus qui lui donner une plus grande élasticité. Elle se débattit de nouveau pour se libérer de ses liens et échapper à l'affreux sort qu'on lui promettait. Malheureusement pour elle, aucun de ses effort n'empêcha le juge d'introduire son sexe en érection dans son anus encore vierge. Cette fois, elle ne put pas retenir ses cris tant la douleur qui la transperça fut horrible. Le juge se montra aussi brutal qu'Angel avant lui et elle eut l'impression que ses intestins prenaient feu. Le juge n'eut cure des hurlements de la jeune femme et accéléra le rythme pour arriver rapidement à la jouissance. Il éjacula alors, envahissant un nouvel orifice de la jeune femme de liquide séminal avant de se retirer sans autre forme de procès. Comme auparavant, il fut immédiatement remplacé et Emily dut subir une nouvelle sodomie qui s'avéra encore plus horrible que la précédente. A ce moment, Angel présenta son sexe au visage de la jeune femme avec l'apparente intention qu'elle le prenne en bouche.

- Je te rappelle ce que ma précision de tout à l'heure, fit-il en se penchant vers elle. Ta vie est à nous... la tienne et aussi celle d'une amie que je te sais très chère : Amanda-Jean. Pense bien à tout ce que nous pourrions lui faire si jamais tu refusais de nous obéir.

Les yeux embués de larmes, Emily céda alors et ouvrit la bouche pour accepter le sexe du millionnaire psychopathe et se retrouver ainsi violée par deux hommes à la fois. Elle devait accepter de satisfaire le plaisir de ces monstres.

Angel se déversa dans sa bouche en prenant bien soin de lui boucher le nez avec sa main afin de l'obliger à boire sa semence. Elle avala difficilement le liquide visqueux. Puis ils semblèrent enfin lui accorder la paix qu'elle attendait tant mais ce n'était qu'un leurre.

- Messieurs, reprit Angel dans son dos. Voici venu le temps de signifier à cette magnifique chienne qu'elle nous appartient pour toujours. Voici venu le moment du marquage!

L'image du corps d'Opale Opaline et de la marque au fer rouge que la jeune fille portait sur la fesse droite s'imposa à l'esprit d'Emily qui fut persuadée qu'elle allait subit le même sort. Ereintée par les épreuves qu'elle avait dû endurer, elle n'eut même pas la force de tenter de se libérer alors que le bourreau d'Angel approchait le tisonnier incandescent de sa fesse totalement offerte. La sensation de brûlure intense réveilla son ardeur et elle recommença à lutter contre ses liens alors qu'une odeur affreuse de chair carbonisée lui montait aux narines. La douleur se prolongea pendant de longues minutes avant de se calmer doucement.

- Voilà, fit Angel en se penchant sur son dos et posant sa main sur fesses droite toute endolorie. Désormais, tu nous appartiens corps et âme!

Elle sentit alors qu'on la libérait de ses liens.

- Serena! Fit la voix forte d'Antonin Marius. A toi!

On déposa Emily sur un divan et elle put voir une jeune femme blonde se faire enchaîner à sa place sur le trébuchet. Cette inconnue se débattait au moins aussi intensément qu'elle, hurlant et implorant la pitié des monstres qui se trouvaient dans la pièce. Cependant Emily ne put pas assister à la fin du supplice de Serena Southerlyn car une masse imposante se mit au travers de son champ de vision.

- Mademoiselle Proctor, fit Antonin Marius. Je suis tellement heureux de vous voir ainsi!

Le commissaire s'avança alors, le sexe en avant et la jeune policière, l'esprit totalement embrumé par l'épuisement, ouvrit mécaniquement la bouche pour l'accueillir.

CHAPITRE 9

La soirée se continua par le marquage de Serena mais aussi des anciennes conjurées Gwendoline, Marine et Savannah puis l'orgie reprit de plus belle. Emportant Emily dans un véritable maelström de débauche. La jeune femme fut souillé un nombre incalculable de fois avant que le jour ne pointe ses premiers rayons annonçant la fin des festivités. A ce moment, Marius eut un geste d'audace imprévu, il attrapa la jeune policière par le col.

- Je vais emmener mademoiselle Proctor avec moi, décida-t-il. Après tout, c'est par ma volonté qu'elle est ici, il est normal qu'elle rejoigne mon cheptel.

Le silence envahit la pièce attendant la réponse de Morgan qui ne se fit pas attendre.

- Certainement pas, fit le policier. Cette chienne est ma possession. J'ai pris trop de risques pour vous en laisser en retirer tous les lauriers.

- Vous oubliez que vous n'êtes pas encore un membre du Club, lui rétorqua le commissaire. Vous ne pouvez rien exiger. Méfiez-vous des conséquences!