Le Club - Partie 22

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

- Embarrassant, n'est-ce-pas? déclara Marius. D'autant plus en sachant que Dorset était innocent des crimes pour lesquels vous l'avez envoyé à l'échafaud.

La mine qu'elle afficha dut être grotesque car le commissaire éclata de rire.

- Anna ne vous a pas expliqué la situation? Et oui, j'ai fait des découvertes fascinantes qui pourraient l'envoyer en prison pour de longues années pour meurtres.

- La jurisprudence Iota, comprit Serena.

- Exactement. Et à votre avis, est-ce qu'elle s'appliquerait à une avocate générale qui a incité son témoin à mentir sous serment et à trafiquer des preuves en parfaite connaissance de cause?

La procureure se mit à cogiter comme jamais. Cette situation ne s'était jamais présentée mais elle savait que déjà des avocats généraux comme elle avaient été condamnés dans des affaires moins importantes à des peines de prison pour avoir falsifié des preuves mais jamais cela n'avait conduit à la condamnation à mort du coupable. Si Marius disait vrai l'administration judiciaire risquait bien d'ouvrir rapidement le parapluie et de la laisser seule en face de la tempête surtout si elle apprenait son secret. Le rictus mauvais de Marius s'accentua encore et elle comprit qu'il venait de surprendre son air inquiet.

- Notre Anna ne sait pas encore toute la vérité, ajouta-t-il. Il faut dire que je ne la connais que depuis peu de temps et que je n'ai jugé utile de l'en informer. Vous êtes une enfant adoptée, mademoiselle Southerlyn, une orpheline de naissance mais pas une enfant sans famille. Un de mes amis, un juge très influent même en dehors de cette région m'a appris que vous aviez une sœur de sang sinon de lait et il a retrouvé sa trace dans les méandres de l'administration sociale. Il se trouve qu'il s'agit de Mademoiselle Karen Mira.

- La première victime du tueur à l'éventration, manqua s'étouffer Anna.

- Je l'ignorais! se défendit Serena. Je n'avais plus revu Karen depuis mes 5 ans.

- C'est un mensonge et vous le savez car vous avez demandé et obtenu son dossier grâce à vos relations. Vous saviez que votre sœur était la première victime présumée de Dorset A partir de là comment ne pas imaginer que vous meniez une vendetta contre cet homme innocent. Le meurtre avec préméditation se rapproche.

- C'est de la folie, démentit Serena. Rien de tout cela ne tiendra devant un tribunal.

Mais elle-même ne croyait pas ce qu'elle affirmait. Elle savait d'expérience qu'un bon procureur, s'il avait les bonnes cartes en main, pouvait obtenir tout ce qu'il voulait d'un jury et dans ce cas, si les affirmations de Marius s'avéraient, l'affaire deviendrait très médiatique et il lui enverrait un cador, leur meilleur requin, quelqu'un comme elle. Elle devait tenter de ruser, ne pas se laisser impressionner par ce flic mais elle n'était pas dans une disposition d'esprit pour jouer son meilleur jeu et Marius le savait et comptait bien en profiter.

- Tout est fini déjà, décréta-t-il. Votre sort est joué et vous le savez. Une décision de nous et vous tombez.

- Et Anna avec moi, tenta-t-elle dans une dernière tentative désespérée.

Marius se pencha vers la petite technicienne dont il flattait toujours la chevelure.

- Elle me manquera, estima-t-il avec une pointe d'ironie, les esclaves de sa qualité sont rares mais Lilleland est assez pourvue dans ce domaine heureusement.

Anna se serra contre la taille de Marius et Serena crut devenir folle en réalisant à quel point cet homme avait su insuffler la terreur dans l'esprit de la jeune fille. Elle ne pensait même pas à se rebeller contre l'idée d'être sacrifiée car il était évident que, pour elle, Marius ne bluffait pas. Serena décida donc de tenter la dernière tactique qu'il lui restait, la négociation.

- Que voulez-vous exactement?

« Et je verrais ce que je peux vous donner » pensa-t-elle en bon procureur mais de nouveau Marius sourit.

- Je ne suis pas ici pour négocier. Seuls ceux qui sont en position de faiblesse négocient et ce n'est pas mon cas. J'ai toutes les cartes en main et vous, aucune. C'est une reddition sans condition que j'exige et immédiatement!

- C'est inacceptable, je n'ai rien à y gagner.

- Oh si beaucoup de choses : la vie d'abord. Vous pensez qu'un procureur comme vous survivra longtemps derrière des barreaux? Votre situation ensuite. Nous avons besoin de quelqu'un a nous dans les rouages de la justice, quelqu'un de dévoué. Alors décidez! La mort ou la vie?

Elle fut incapable de parler mais baissa son regard et Marius comprit qu'elle abandonnait. Il tapota sur le crane d'Anna qui se redressa pour se rapprocher d'elle. Serena se tenait toujours droite, la main accrochée sur le drap de lit qui recouvrait son corps nu. D'un geste brusque, la jeune technicienne lui arracha cette fragile protection, la laissa totalement nue sous le regard pervers de Marius puis approcha son visage du sien.

- Regarde ce que je suis devenue à cause de ce que j'ai fait pour toi, lui cracha-t-elle au visage. Maintenant, c'est ton tour.

Avec une brutalité dont elle l'aurait cru incapable, elle l'attrapa par sa crinière blonde et la força à s'agenouiller. Serena, sous le coup de la surprise, manqua de réaction et se retrouva dans une position de dominée. Anna la traîna par les cheveux sur plusieurs mètres lui arrachant des cris des douleurs sous le regard hilare de Marius qui avait commencé à se déshabiller. La jeune technicienne coucha celle qui, la veille, avait été son amante sur le dos sur le lit, les jambes pliées vers le sol, et s'assit sur sa poitrine. Serena eut le souffle coupée par le poids qu'elle faisait reposer sur elle et se débattit pour trouver de l'air en hurlant à celle qu'elle croyait être son amie d'arrêter mais elle ne reçut que des gifles pour toute réponse. Puis soudain, elle sentit un contact chaud au niveau de son entrejambe et elle comprit que ce salopard de Marius était en train d'insinuer son pénis en elle. Son énergie se décupla ; jamais un homme ne l'avait possédée, les seules choses qui l'avaient pénétrée avaient été les godes qu'elle-même ou ses partenaires féminines avaient utilisées à l'occasion mais jamais le membre de chair d'un homme n'avait profané son antre d'amour. Anna lui attrapa les bras pour l'empêcher de bouger et elle découvrit que sous ses allures de faible jeune femme, cette dernière possédait une force bien supérieure à la sienne.

Marius quant à lui ne s'en laissait pas compter et l'avait déjà quasiment pénétrée en totalité. Quand elle sentit le contact de ses bourses contre la peau de son vagin, elle hurla de dégoût. Elle était devenue la chose d'un homme. Elle sentit alors le poids du commissaire qui s'appuyait de plus en plus sur son ventre et Anna glissa petit à petit jusqu'à appuyer son intimité contre son visage.

- Suce-la, ordonna Marius. Suce-la salope comme tu l'a si bien fait hier soir. Tu ne peux pas savoir comme cela m'a excité de vous voir vous envoyer en l'air.

Suffoquant et comprenant qu'ils n'auraient de cesse de la tourmenter tant qu'ils n'auraient pas eu ce qu'ils désiraient, Serena ouvrit la bouche et commença à balader sa langue sur la vulve d'Anna. La passion de la veille s'était dissipée et ce fut des larmes plein les yeux qu'elle se plia à cette manœuvre.

Satisfait de ce spectacle, Marius entama alors de la besogner avec la brutalité dont il était familier. Les cris de Serena, étouffés par les cuisses d'Anna, décuplaient son plaisir et il finit par se lâcher en elle. Pour la première fois de sa vie, Serena fut envahie par le sperme d'un homme et elle en réalisa les conséquences en sachant que, compte tenu de sa sexualité, elle ne prenait bien entendu pas de pilule contraceptive. La seule pensée de risquer de tomber enceinte faillit lui faire perdre l'esprit.

Repu, Marius se retira et se rhabilla alors qu'Anna continuait à maintenir Serena prisonnière entre ses cuisses. Il se dirigea vers la porte et l'ouvrit. Mario et Bogdan entrèrent. Il leur indiqua la procureure du doigt.

- Elle est à vous pour la journée, précisa-t-il. Faîtes-en ce que vous voulez mais ne touchez pas à sa petite rondelle, elle m'est réservée.

Les deux flics affichèrent des mines enjouées à la seule idée de pouvoir disposer ainsi d'une femme aussi superbe et Marius regrettait de devoir ainsi partager une telle prise avec ses hommes mais il n'avait pas le choix ; Elle était bien trop intelligente, il devait à tout prix briser sa volonté au plus vite sans lui laisser le temps de se reprendre.

CHAPITRE 11

Assis dans son fauteuil en sirotant un bon verre de bordelais, l'homme au masque profitait de ces moments d'attente. Entre ses jambes, la docile et efficace Sophie lui prodiguait la plus fabuleuse des fellations pendant que Mathilde, totalement domptée, se livrait à son show torride pour le seul plaisir de ses yeux. Un jour normal et compte tenu de l'état d'excitation dans lequel il se trouvait, il aurait dû depuis longtemps s'emparer de l'une de ces deux chiennes voire des deux mais il ne s'agissait pas d'un jour normal : c'était le jour de la livraison d'un paquet très particulier qu'il attendait depuis des semaines.

On tapa à la porte et un seul regard à Mathilde suffit pour cette dernière abandonna le poteau de strip-teaseuse autour duquel elle se trémoussait pour aller ouvrir. Elle fit entrer un homme qui ne parut pas du tout surpris de trouver ainsi deux femmes totalement nues.

- Bonjours mon cher enfant, le salua l'homme au masque. Alors? Vous l'avez?

- Oui, père, répondit l'homme. Cela n'a pas été facile. Nous avons dû totalement reformater sa personnalité pour introduire celle que tu voulais. C'était bien plus compliqué que le conditionnement habituel.

Il jeta un regard sur Sophie qui continuait sa fellation comme si de rien n'était. Elle était bien dressée et ne cesserait son activité que quand son maître lui en donnerait l'ordre.

- Il n'y a eu qu'avec la première, l'américaine, reprit l'homme que nous avons eu plus de problèmes mais dans ce cas, tes consignes étaient encore plus délicates.

- Je sais tout cela, Kyle, le coupa l'homme au masque qui n'y tenait plus. Où est-elle?

Lyle se tourna vers la porte et son frère entra dans la pièce suivis d'une jeune fille rousse que les élèves de l'académie Oscar Bono appelaient naguère professeur Bethany Carter. Cependant, beaucoup auraient eu du mal à la reconnaître, certes elle restait une superbe jeune femme mais son physique s'était encore affiné tout en conservant ses formes aguichantes. Ses cheveux étaient plus longs mais pas encore égalisées ce qui indiquait que l'on comptait les faire pousser encore plus et son teint avait encore pali mais le plus importait était son regard bleu qui fixait le vide dans l'attente qu'un ordre vint le raviver. Bethany Carter, bien que désormais elle ne répondait plus à ce nom, était bel et bien devenu une esclave au moins aussi docile que l'étaient Sophie et Mathilde et en expert du genre, l'homme au masque l'avait parfaitement deviné.

- Excellent, mes enfants, félicita-t-il. Elle est parfaite.

- Si tu es heureux père, nous le sommes aussi, affirma Kyle. Que veux-tu que nous fassions maintenant?

- Retournez à Lilleland. Reprenez votre mission précédente, l'autre n'est pas loin j'en suis sûr.

Les deux frères partirent alors laissant l'homme au masque seul avec ses femmes. Il repoussa Sophie sans ménagement sans que la jeune femme ne cille devant la violence de son maître. Il s'approcha de la jeune femme rousse.

- Bethany? Tenta-t-il et constata avec plaisir qu'elle ne réagissait pas.

Il passa sa main sur son visage si pâle et si fin. Son excitation, entretenue par la bouche experte de Sophie, augmenta encore à la simple vue de ces traits qui lui rappelaient cette femme qu'il désirait tant. Dès le moment où il avait entrevu le visage de Bethany Carter, il n'avait pu se détacher d'elle tant elle ressemblait à la seule femme qui n'avait jamais été capable d'éveiller un réel sentiment de convoitise, la femme qui avait précipité sa perte aussi. Dès ce moment il avait totalement oublié la cible qu'il avait précédemment en tête pour se concentrer sur une seule obsession : posséder cette jeune anglaise et la remodeler afin d'en faire un parfait substitut à celle qu'il avait perdue.

Il se tourna vers Sophie qui, sans attendre une parole de sa part, s'empara de celle qui avait été Bethany pour l'allonger sur le lit. Elle la déshabilla avec une facilité effrayante et commença à la caresser dans ses parties intimes. La jeune fille qu'il avait envoyée plus d'une fois se faire sauter dans des bars lesbiens était une experte dans le domaine des jeux de langues et elle réussit à faire jouir la jeune anglaise en un temps record. Il fallait dire qu'une des conséquences du traitement de choc que les frères Smith lui avait fait subir était de l'avoir rendu hypersensible à ce genre de sollicitations. Sophie ne se contenta pas de cela, elle accentua son action par des massages bien senti avec un seul objectif : inonder le vagin de la jeune femme de cyprine afin de le rendre le plus agréable possible pour son maitre.

L'homme au masque s'approcha alors des deux femmes, suivit comme son ombre par Mathilde. Il attrapa Sophie par la queue de cheval et la repoussa vers le coin de l'immense lit où il dormait.

- Toi! Ordonna-t-il à l'ancienne Bethany. A quatre pattes!

Sans un mot, la jeune rouquine s'exécuta et se plaça en position de levrette sur le lit. L'homme au masque vint se placer derrière elle pendant que Sophie et Mathilde s'agenouillaient de part et d'autre d'eux, prêtes à lubrifier le pénis de leur maître avec leur bouche s'il le jugeait nécessaire. L'homme au masque se planta alors dans le vagin de la jeune anglaise lui arrachant à peine un petit cri et il commença à la besogner. Bethany répondit à ses coups de rein comme elle avait appris à le faire dans la geôle des frères Smith afin de réduire au maximum les sévices qu'ils lui faisaient subir à longueur de journée. Elle ondulait du bassin pour s'empaler elle-même sur le pénis qui la pourfendait et l'homme au masque prenait un immense plaisir à violer cette jeune femme sans défense tout en pensant à la femme qu'elle lui rappelait. Il s'arrêta un instant s'appuyant sur son dos et lui pelota la poitrine, elle était ferme et douce, un pur plaisir. Puis il se retira de son vagin pour tourner son membre vers Sophie qui l'emboucha sans la moindre réticence. Dans le même temps, Mathilde colla sa bouche entre les fesses de Bethany et lui lécha l'anus afin de lubrifier. Quand l'homme au masque s'estima satisfait, il reprit sa position initiale en écartant Mathilde qui ne pipa mot en dépit du coup de coude qu'il lui porta. Il posa le gland de son pénis contre la rondelle de l'anus de Bethany et d'un coup sec, l'emmancha. Bethany s'avança d'un demi-mètre sous l'effet de la violence de la pénétration mais elle ne cria pas et il fut un peu déçu bien que pas surpris. Il savait que le conditionnement avait contraint les frères Smith à la sodomiser un bon nombre de fois. Par conséquent, son anus possédait désormais une élasticité remarquable et elle avait acquis une grande résistance à la douleur dans cette zone. Il oublia vite cette petite contrariété car même dans ces conditions, son rectum était un pur délice à visiter et il s'échina en elle avec toute l'énergie dont il se sentait capable. Alors qu'il était au bord d'exploser, il se pencha vers elle.

- Dis-moi ton nom! Lui ordonna-t-il au creux de l'oreille. Dis-moi comment tu t'appelles!

- Martina! Dit-elle, persuadée de se nommer comme ça. Martina, maître.

Et il jouit en elle en entendant le nom de cette femme qui le rendait fou et qu'il ne désespérait pas de posséder un jour.

Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
Partagez cette Récit

LIRE LA SUITE DE CETTE SÉRIE

Le Club - Partie 23 Partie Suivante
Le Club - Partie 21 Partie Précédente