Le Club - Partie 16

BÊTA PUBLIQUE

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- Laissez -- le tranquille, on s'occupera de lui en temps voulu. La priorité c'est Diomandé.

Hassan ne protesta pas. Savoir rester à sa place, Hassan avait de l'avenir dans son petit groupe.

CHAPITRE 11

Ce fut Anita qui provoqua la rencontre avec Laroquette, à la grande satisfaction du directeur. Cela prouvait que la panique commençait à gagner la jeune femme. Il la considéra alors qu'elle s'asseyait en face de lui et se dit qu'il perdait vraiment au change par rapport à Bethany Carter. Anita était un fil de fer dont le seul avantage était de posséder de petites fesses sculptées. Son visage était assez agréable sans être fascinant surtout avec ses petites lunettes rondes et ce chignon strict dans lequel elle s'obstinait à emprisonner sa chevelure brune. Il s'étonnait encore que Danielle Ramos ait put croire que son époux et elle aient pu être amants alors que les femmes les plus séduisantes de la communauté hondurienne ou de la haute société de Lilleland se pâmaient devant lui. Il n'y avait pas plus irrationnel que le cœur d'une femme bafouée. Cependant, Laroquette n'allait pas faire la fine bouche surtout que le temps lui était compté et qu'il avait eu du mal à convaincre les membres du club de lui donner une seconde chance.

- Monsieur le directeur, déclara la jeune femme, je ne comprends pas pourquoi je n'ai toujours pas reçu de proposition de renouvellement de contrat.

- La raison en est simple mademoiselle, répondit -- il en feintant la gêne. C'est parce que nous ne comptons pas vous conserver parmi notre personnel.

Il la vit blêmir à vue d'œil et goûta à ce spectacle. Depuis qu'elle était arrivée, elle n'avait eu de cesse de le déprécier aux yeux de ses collègues étrangères, l'accusant d'être rétrograde et misogyne. Il fallait dire qu'avec son puissant protecteur le député Ramos, elle pouvait se permettre de se la jouer mais maintenant elle était seule et les as étaient dans d'autres mains.

- Je ne comprends pas, mon travail...

- Etait satisfaisant, je le reconnais mais ce n'est pas le problème. Nous avons reçu des plaintes de nombreux parents d'élèves. Il semblerait que vous soyez une activiste politique de gauche, une extrémiste.

- Pas du tout.

- En tout cas, ce sont les arguments que vous avez avancé pour obtenir le statut de réfugiée politique. Comprenez que nous sommes une institution privée qui survit essentiellement grâce aux dons des associations de parents et d'anciens et ils sont tous politiquement à droite. La seule idée qu'une militante d'extrême gauche puisse enseigner ses idéaux à leurs enfants les a rendus hystériques.

- Mais je suis..., si vous me renvoyez, je vais devoir rentrer au Honduras et vous me condamnez à mort.

- C'est gênant bien sûr mais si je vous garde, je perdrais mon emploi à coup sûr et c'est mon successeur qui vous renverra.

- Mais c'est impossible, je ne peux pas...

C'en fut trop pour elle, elle s'effondra, pleurant devant lui. Il comprit qu'il venait de rouvrit de vieilles blessures ; il n'en avait pas espéré tant. Il décida de porter l'estocade.

- Je pourrais tenter de défendre votre cas devant le conseil et les parents, dit-il.

Il vit une lueur d'espoir dans son regard et il s'empressa de l'éteindre.

- Mais pour cela vous devez m'aider. Vous allez devoir renier publiquement vos convictions politiques afin de calmer les ardeurs des parents.

- Mais..., commença -- t -- elle, si je fais ça, le statut de réfugié politique.

- Vous sera à jamais inaccessible, je le sais mais de toute manière tant que vous travaillerez chez moi vous ne risquerez pas l'expulsion et en plus cela montrera votre bonne foi au gouvernement de votre pays.

- La dictature ne croit pas en ce genre de déclaration, elle s'en sert pour sa propagande mais elle élimine ceux qui les font pour éviter qu'ils ne se rétractent par la suite.

Il savait qu'elle parlait d'expérience puisque c'était ce qui était arrivé à son frère. Décidément, il aimait cette dictature.

- A vous de choisir, c'est tout ce que je peux vous offrir.

Il la vit réfléchir intensément. Il comprenait qu'il lui demandait de choisir entre sa vie et des convictions héritées de ses parents décédés. Il exigeait tout simplement d'elle de les renier. Il vit que l'instinct de survie finit par l'emporter.

- Je le ferais, lâcha-t-elle. Est-ce tout?

- Non, car quoi qu'il en soit, je vais faire beaucoup d'effort pour vous sortir de ce mauvais pas.

- J'en suis parfaitement consciente et je vous en remercie.

- Justement, il va falloir discuter maintenant de ma récompense.

CHAPITRE 12

Assise dans le salon de la villa de David Angel, Anne-Marie ressentait une incroyable impression d'irréel. En quelques jours, elle venait d'accepter de renoncer à tout ce qui faisait sa vie et cela pour sauver ce qui comptait vraiment pour elle.

- L'homme qui a découvert ton secret m'a proposé un marché obscène, lui avait dit Christine. Il se fiche du sort du foyer en vérité. Nous sommes la seule chose qui l'intéresse. Il veut faire de nous ce qu'il veut.

- Mais, c'est horrible.

- J'ai accepté, ajouta-t-elle, honteuse. J'ai accepté parce que la seule chose qui compte pour moi est de sauver le foyer et les gens qui y vivent. S'il venait à disparaître, ils seraient condamnés à retourner à la rue dans l'alcool, la drogue ou la prostitution. Et il n'a pas attendu pour en profiter.

Anne-Marie avait été envahie par une immense vague de remord. Tout cela était de sa faute et Christine avait dû en payer un prix affreusement élevé. Elle savait qu'elle ne pouvait pas l'abandonner à son triste sort.

- Je te soutiendrais moi-aussi, affirma-t-elle.

- Ce n'est pas aussi simple, tempéra Christine. Il exige encore plus de toi que de moi. De moi, il ne veut que quelques parties de jambes en l'air de temps en temps. Toi, il réclame que tu abandonne tout pour partir vivre avec lui.

Le choc avait été rude mais elle avait fini par l'accepter. Après tout, elle devait assumer les conséquences de ses actes. Elle avait donc téléphoné à cet homme, ce David Angel et prit rendez-vous.

Le pire était qu'il était loin d'être moche, bien au contraire. Cependant, il émanait de lui, une sorte d'aura qui entretenait un sentiment de malaise persistant et ce n'était pas ces domestiques en tenues obscènes qui rendaient l'ambiance plus agréable.

- Tu aimes ces tenues? la questionna Angel en surprenant un de ses regards gênés sur les fesses nues de la jeune fille qui venait de lui apporter sa boisson. Il y en a une qui t'attend à l'étage.

Un frisson d'horreur la parcourut.

- Vous croyez que...

- Assez de discussion. Tu as vu mes preuves et avec elles je peux détruire ce foyer ridicule pour inutiles qui occupe un emplacement si rentable en centre-ville. Maintenant, je n'ai pas de temps à perdre, sois tu acceptes mes conditions soit tu te lèves et tu quittes cet endroit.

Instant décisif. Elle hésita une seconde, consciente qu'elle n'aurait plus les moyens de reculer ensuite mais elle resta assise et le Angel sourit.

- Parfait, tu vas me remettre toutes tes clés. Ta voiture sera donnée et ton appartement reloué dès demain.

- Mais mes affaires, ...

- Tu n'en auras plus besoin. Cette villa sera désormais ton seul univers pour le restant de ta vie et cet uniforme sera le seul vêtement que tu seras autorisée à porter.

Il lui aurait porté un coup de massue qu'il ne lui aurait pas fait plus mal. Elle resta assise sans réaction sous l'effet du choc.

- Déshabille-toi, ordonna-t-il.

Elle resta sans réaction.

- Tout de suite!!!

Elle sursauta devant son ton impérieux et presque contre sa volonté, elle commença à enlever ses habits. Elle finit par se retrouver droite et nue devant lui, tentant de dissimuler son sexe et sa poitrine avec ses bras et ses mains.

- Pas de pudeur mal placée ma chère, ricana-t-il. Les bras le long du corps.

Comme une automate, elle lui obéit et il put la détailler avec gourmandise. Il se leva et s'approcha d'elle. Il joua avec les mamelons de ses seins puis descendit jusqu'à son clitoris. Elle détourna son regarda pour ne pas lui donner le plaisir du spectacle de sa honte. Cependant, il ne poussa pas plus loin son petit jeu. Il lui attrapa le poignet et l'entraîna dans la maison, la faisant grimper un étage. Ils arrivèrent dans un large couloir. Il la fit passer devant une lourde porte blanche fermée à clé puis s'arrêta devant une seconde en tout point identique à la précédente.

- Voici ta chambre, lui dit-il et elle pensa qu'il aurait mieux fait de parler de cellule. Je vais te présenter ta colocataire. Tu vas voir, tu vas l'aimer.

Il sortit une télécommande et appuya sur le bouton marqué deux. Le verrou de la porte se déclencha dans un grand bruit de mécanique et elle s'ouvrit. En entrant dans la chambre, Anne-Marie remarqua immédiatement qu'il n'y avait qu'un seul lit mais ne put s'attarder sur ce détail car Angel attira son regard sur la jeune femme qui se trouvait dans le fond. Le cœur de l'assistante sociale s'arrêta de battre : il s'agissait de Jennifer.

La jeune fille était vêtue de la même tenue que les deux autres femmes qu'elle avait croisées au rez-de-chaussée. Elle avait les deux mains liées à une barre à danser de telle façon qu'elle ne pouvait que se tenir totalement cambrée en avant, les jambes écartées.

- Jen..., balbutia -- t -- elle.

- Notre jeune amie est ici depuis quelques jours déjà, se moqua Angel. Elle apprend doucement les règles de la vie en communautés selon David Angel mais c'est une bonne élève.

Anne-Marie voulut s'élancer vers Jennifer dans l'idée de la libérer mais Angel la rattrapa par le bras et fit revenir vers lui.

- Où tu crois aller? Finis la belle époque du foyer. On ne joue plus les bons samaritains. Ici, on joue à des jeux amusants.

De son autre main, il tendit la main et l'une des domestiques placées derrière eux lui tendit un objet sombre. Il l'approcha du visage d'Anne-Marie qui identifia alors un gode ceinture.

- Voilà pour toi! Mets-le et encule-là!

Elle secoua la tête et reçut une gifle monumentale comme seule récompense. Il resserra son emprise sur son bras.

- Non n'est pas un mot autorisé en ce lieu. Celles qui le prononcent finissent toujours par céder mais après bien des souffrances.

Il la frappa encore plus fort et elle ne put s'empêcher de pleurer.

- Je peux aussi te briser tous les os du corps, un par un, affirma-t-il. Et demander à l'une d'entre elle de faire ce que je veux. De toute manière, ce soir, ta petite protégée aura le cul bourré. A toi de choisir si en plus tu veux souffrir le martyr en plus.

A sa grande honte, Anne-Marie céda et le laissa la ceindre du gode. Comme un zombie, elle fut conduite vers le postérieur cambré de Jennifer. La jeune femme avait depuis longtemps compris le sort qu'on lui réservait et tentait de se libérer de ses chaînes mais les deux soubrettes étaient entrés dans la chambre et s'attelaient à la faire se tenir tranquille.

- Tu vois, montra Angel en plongea un doigt dans l'anus de Jennifer qui poussa un cri, c'est encore bien rigide. Elle est tout à fait vierge. C'est un beau cadeau que l'on te fait là.

En larmes, Anne-Marie ne fit rien quand il guida le gode à l'orée de l'anus de la jeune femme.

- Et maintenant, enfonce-le, ordonna-t-il.

Et comme elle hésitait, il sortit un martinet et lui cingla le dos avec. La douleur lui vrilla le corps et comme un réflexe, elle enfonça le membre de plastique dans les intestins de son ancienne protégée qui hurla alors échappant à l'emprise des deux autres femmes. Mais il était trop tard, comme possédée par la douleur, Anne-Marie l'avait totalement pénétrée et elle ne put que s'agripper à la barre de danse pour tenter de tolérer un peu mieux la souffrance infligée par cette pénétration contre nature. Angel se déchaîna alors.

- Baise-la! Encule-la! Répétait-il en lui fouettant le dos et les fesses avec le martinet si jamais elle ralentissait le rythme de son pilonnage

Il fit durer ce plaisir pendant une demi-heure, laissant les deux femmes exsangues. Puis il libéra Jennifer qui s'écroula sur le sol. Anne-Marie, le dos en miettes d'avoir reçu autant de coups de fouet, réussit à s'allonger sur le lit. D'un signe de la tête, il ordonna aux deux soubrettes de sortir de la chambre, elles obéirent sans un mot. Il les imita quelques secondes plus tard en posant le gode ceinture sur le sol. La porte se referma derrière lui laissant les deux femmes seule dans la semi-pénombre.

Anne-Marie tentait de reprendre son souffle après l'horreur qu'elle venait de vivre. Puis soudainement, elle sentit une ombre peser sur elle. Au prix d'un grand effort, elle réussit à tourner la tête.

Jennifer se trouvait juste au dessus du lit. Elle avait enfilé le gode ceinture et son regard trahissait toute la rage qu'elle éprouvait.

- Salope! Pétasse! Eructait-elle. Tu m'as enculée et tu y as pris plaisir. Tu vas le regretter.

Elle aurait voulu se défendre, lui dire qu'elle n'avait pas le choix et qu'elles devaient faire front ensemble contre ce monstre mais elle n'en avait pas le force. Elle ne put rien faire quand Jennifer lui écarta les fesses de force et introduisit le gode dans son anus, vierge lui aussi ; rien faire d'autre que hurler à son tour.

CHAPITRE 13

Allongé sur le dos, Amandine assise à califourchon sur son pénis, Angel assistait avec délectation au spectacle de la vengeance de Jennifer aux dépends de la pauvre Anne-Marie. La caméra de la chambre 2 fonctionnait à merveille et rediffusait en cinémascope le viol anal de l'assistante sociale par son ancienne protégée. Un viol qui dépassait les espérances du maniaque. Il avait volontairement laissé le gode en capitalisant sur la rage qui habitait en permanence la jeune fille et elle ne l'avait pas déçu. Il se dit cependant que cette violence était peut être un peu trop incontrôlée et qu'elle risquait de détruire une Anne-Marie qu'il venait à peine d'acquérir. C'aurait été dommage. Il fallait associer cet animal farouche avec une compagne plus rompue aux joutes perverses de cette maison.

- Laura! lança-t-il en direction de la plus jeune résidente de la maison qui en ce moment même s'empalait sur un gode anal. Demain tu vas changer de chambre.

- Bien maître.

Toujours docile, la jeune fille ne contesta pas sa décision même si cela signifiait qu'il l'envoyait partager la cage d'une bête indomptée. A ce moment, Anne-Marie poussa un nouveau hurlement alors que Jennifer enfonçait à nouveau le gode au plus profond de ses intestins. Cela provoqua une poussée d'excitation en Angel qui jouit dans le ventre d'Amandine, la renversa pour s'assurer que le sperme reste en elle et ne vienne pas maculer son pénis. Il écarta ensuite l'ancienne maîtresse des lieux et constata que Jennifer ne semblait pas décidée à mettre fin au supplice d'Anne-Marie. La nuit promettait d'être longue pour la désormais ancienne assistante sociale.

CHAPITRE 14

La voiture de Thierry Diomandé roulait tranquillement en direction du quartier sud quand il arriva devant un barrage de police qui filtrait les voitures. Il ralentit et commença à préparer ses papiers quand quelque chose l'inquiéta. Il se rendit compte que ce barrage de police n'avait rien de classique. Il ne vit aucun flic en uniforme et en regardant les numéros des voitures, il comprit qu'elles appartenaient à des services totalement différents. Il se crispa alors que le policier le plus proche s'approchait de lui. Il était bien trop souriant à son goût. Un flic ne souriait jamais sauf quand il voulait rassurer un suspect. Pris par la certitude qu'il venait de tomber dans un traquenard, il accéléra, manquant renverser le policier le plus proche.

Son impression fut renforcée quand une voiture qui n'appartenait pas au barrage se lança à sa poursuite. Il se retrouvait traqué par plusieurs voitures dans les rues de Lilleland, se croyant revenu 10 ans en arrière et ce n'étaient pas bons souvenirs. La voiture la plus proche était plus puissante que la sienne et se rapprocha dangereusement. L'homme côté passager sortit la tête à la fenêtre et tira sur lui. A cette vitesse, il fallait un tireur d'élite pour atteindre sa cible et ce n'était pas le cas du gaillard. Sa balle se perdit dans les rues. Thierry savait qu'en restant en ville, ses poursuivants finiraient par rameuter la moitié des flics de la ville. Il décida de tenter sa chance dans les quartiers périphériques que la police ne contrôlait. Il prit Aubey Road puis remonta l'avenue Donovan mais une des voitures qui se trouvaient sur le barrage lui coupa la route alors et il dut bifurquer sur Ulysse Street. Il connaissait cependant trop bien la ville pour se faire avoir et il évita l'impasse où ils voulaient l'enfermer mais se retrouva obligé d'emprunter la voie rapide qui longeait le front de mer. Sur cette zone les voitures plus puissantes de ses poursuivants finirent par le rattraper. La plus grosse se mit à sa hauteur mais le conducteur fit une mauvaise manœuvre et les deux voitures se percutèrent. Thierry perdit le contrôle de son véhicule qui quitta la route pour plonger par-dessus une falaise qui tombait en à -- pic dans la mer. Sa voiture coula dans l'eau noire et froide.

CHAPITRE 15

- Je ne suis pas sûr que c'était ça que le patron entendait quand il disait « pas de vagues », estima Hugo dubitatif.

Il portait les stigmates de sa rencontre mouvementée avec Angel et n'avait plus le cœur à faire des écarts avec la discipline.

- En tout cas il est bien mort, assura Hassan en regardant en bas de la falaise.

- Pour sûr, confirma Hugo. Pour survivre à ça, il faudrait être robocop.

- Je préviens le patron. On n'a pas trop réussi dans le domaine de la discrétion mais au moins il ne posera plus de questions gênantes.

CHAPITRE 16

Allongé sur le lit de Sonia, Laroquette assistait un spectacle qui la comblait de plaisir. Avec art et style et efficacité, la jeune étudiante était en train d'effeuiller Anita Fuentes. Totalement soumise, l'enseignante s'était laissée maquillée et apprêtée selon les désirs du vieux directeur. Ce dernier avait été surpris par la vitesse à laquelle la sud-américaine s'était soumise à son autorité comme si ces quelques mois passés dans les geôles de la dictature hondurienne l'avaient conditionnée.

Sonia baissa la culotte d'Anita révélant une toison taillée à merveille. Et Laroquette se redressa pour mieux admirer la scène. Le clou du spectacle fut quand le cou de l'enseignante fut ceint du même collier de cuir que celui que la jeune fille portait en permanence quand elle n'était pas en présence d'étrangers.

Laroquette se leva alors et se dirigea vers les deux femmes, il les conduisit à s'enlacer l'une l'autre et à s'embrasser puis glissa ses doigts dans les anus de chacune ; elles poussèrent un cri à l'unisson. Leurs cris redoublèrent quand il augmenta le nombre de doigts qui envahissaient cette cavité encore inexplorée. Il décida cependant de ne pas la visiter encore : il la gardait pour une grande occasion. Il attrapa Anita par ses cheveux désormais libérés de leur chignons et la mis à genoux, elle fut conduite à une fellation profonde pendant qu'il échangeait des baisers baveux avec Sonia. Il savait à quel point ces échanges intimes dégoûtaient la jeune fille et il les prolongeait à plaisir. Anita quand à elle ne semblait pas dégoutée par le parfum de son pénis car il sentait sa langue danser agilement sur son membre. Il abandonna Sonia pour son concentrer sur sa nouvelle petite amie et prit sa tête entre ses mains. Le plaisir ne tarda pas à venir. Il jouit au fond de sa gorge, la tenant fermement par les oreilles pour s'assurer qu'elle ne recrache pas semence. Quand il la relâcha, Anita détourna ostensiblement le visage pour cracher et respirer. Il l'attrapa alors et la projeta sur le lit et en fit de même avec Sonia.

- Un homme, deux putes, se dit-il, des milliers de possibilités.