La Reine de Glace Pt. 02

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

- J'ai pensé amener Maxime avec moi parce que voyez vous, je serai absent pendant un certain temps et je tiens à ce que mon meilleur lieutenant veille sur votre bien être.

Le repas se passa sensiblement comme le premier. Jeanne était muette et n'avala rien. Marie était terrorisée et ne répondait aux questions que lorsqu'elle était obligée et Sylvie minaudait de plus belle avec le chef de la mafia. La seule différence était qu'elle ne pouvait s'empêcher de jeter des regards vers Maxime. Celui-ci parlais peu, mais était d'une politesse et d'une classe sans failles. Au moment de passé au salon, Sylvie opta pour une robe de chambre courte et sexy, mais qui avait beaucoup plus de classe que sa nuisette rose. À la fin de la soirée, Raphaël remercia les deux filles pour ensuite prendre Jeanne par le bras. Il se tourna vers Maxime.

- Tu peux m'attendre ici. Je ne serai pas long.

6.

Il s'écoula environ un mois avant le retour de Raphaël. La routine avait repris dans la villa Castillo. Sylvie flirtait de plus en plus avec la dépression. Seule et isolée de sa famille, elle attendait avec impatience les visites de Maxime. Celui-ci venait régulièrement à la villa. Sous diverses prétextes, il passait toujours un moment en compagnie de Sylvie. Lors de ces rencontres qui se faisaient de plus en plus longues et fréquentes, il l'écoutait, la rassurait, l'amusait. Les heures devinrent des soirées, puis des journées. Il lui racontait qu'une fois rendu dans la maison de Da Silva, elle serait libre et que lui, serait là tous les jours. Il lui dit combien il l'aimait et comment il entendait confronter son patron pour la protéger. Il lui parlait de leur amour impossible

Un soir, alors qu'elle lui racontait son angoisse, il lui offrit de fumer un peu de marijuana en sa compagnie. Sylvie, qui n'était pas étrangère à cette substance, ressentie un grand bien être. Son angoisse revint de plus belle le lendemain et Maxime lui offrit des comprimés. Elle refusa d'abord, mais les garda avec elle. Deux jours après, elle avalait le premier cachet.

Au moment où Maxime lui annonça le retour de Raphaël, Sylvie était tombée complètement amoureuse de son sauveur.

7.

Cette nouvelle visite de Raphaël se passa sous un tout autre ton. Le Parrain avait ramené d'Europe un choix impressionnant de vins de qualité. Le repas allait être arrosé.

Jeanne ne but aucune goutte. Marie, qui détestait le vin et l'alcool, trempa ses lèvres poliment dans le nectar, bredouilla un commentaire élogieux et retourna son attention à son assiette. Sylvie de son côté prenait un grand plaisir à boire et les deux hommes veillaient à ce que son verre soit toujours plein.

En attendant le dessert, Raphaël interrogea Marie.

- Alors, Est-ce que tu as un amoureux?

La jeune fille devint écarlate.

- Euh... Non monsieur.

- Mais tu en à déjà eu un?

- Non monsieur.

- Tu as déjà embrassé un garçon au moins?

- Non

La voix de Marie était à peine audible. Da Silva éclata de rire.

- Tu ne vas pas me dire que tu es vierge?

- ..............Oui monsieur.

Raphaël riait à gorge déployée

- Dis moi. Tu es aux hommes au moins? Tu n'es pas une de ces sales gouines quand même?

- Euh... Je... Svp

- Quand tu te branles, tu penses aux queues ou aux chattes?

Marie était sans voix.

- RÉPONDS!

- Je.... Je ne comprends pas.

Raphaël repris d'une voix douce.

- Quand tu te touche, quand tu te masturbe, quand tu te roule la bille, tu pense à quoi? Tu te masturbe parfois?

- ......Parfois.

- Alors, à quoi tu pense?

- Aux hommes monsieur.

- Ce n'était pas ma question. Aux queues ou aux chattes?

- ...Aux queues...

- Et plus précisément, tu fais quoi avec?

- Je... je leur touche.

Le rire de Da Silva envahit de nouveau la pièce. Marie était au bord de l'évanouissement et avait du mal à respirer.

- Et toi Sylvie, tu es vierge?

L'ambiance surréaliste, l'alcool et les regards de Maxime se mélangèrent dans l'esprit de Sylvie qui se mit à ricaner comme une gamine.

- Hi! Hi!... Est-ce que je suis obligée de répondre?

- Allez, pas de cachette entre nous.

- Hi! Hi!... Euh... Non.

- Et tu as un petit ami dans le moment?

- Non, pas présentement.

- Mais tu as déjà eu des amants?

- ....... Oui

- Et ça te manque?

- Quoi? Un Amoureux Hi! Hi!

- Non, le sexe.

Sylvie était de plus en plus rouge et en sueur. Elle hésita un moment et roula des yeux vers Da Silva.

- Un peu...

- Et tu fait quoi pour te soulager?

- Hi! Hi! Hi!... je ne peux pas répondre à ça.

- Allez.

- Hi! Hi!

- Réponds!

- Je... je... je me masturbe.

- Souvent?

- Non... Oui... Ben... Oui, souvent...

- Tu le fais comment, avec tes doigts ou avec un vibrateur?

Jeanne regardait sa fille d'un regard glacial sur lequel on pouvait lire le dégoût. Dans sa tête, la voix de sa mère lui répétait sans cesse: « Pute ».

- ... Les deux.

- Alors tu as un vibrateur. Il est comment?

Sylvie avait déjà eu ce genre de discussion avec des amis, mais jamais devant des hommes matures et une mère haineuse. Elle en était presque fiévreuse.

- Ben... Heu... Il est rose.

- Ha! Ha! Ha! Et quand tu suces, Tu craches où tu avales?

Sylvie qui prenait une gorgée de vin s'étouffa et recracha son vin violemment. Maxime ajouta d'un ton posé qui déclencha une hilarité totale chez son patron.

- Elle crache.

La pauvre fille était écarlate et se mis à ricaner nerveusement sans pouvoir s'arrêter.

- Dis moi Sylvie, Quand tu baise, quelle est ta position préférée?

Sylvie répondit difficilement à travers ses petits rires nerveux.

- À... quatre... pattes....

- Pourquoi?

- Parce... Parce... Parce que je sens mieux le pénis...

Da Silva émis un grand rire sonore. Sylvie vida d'un trait son verre et mis son front sur la table dans un ultime signe d'embarrassant. Ce n'était pas tant de parler de sa sexualité devant sa mère ou devant Raphaël qui l'embarrassait. C'était d'en parler devant Maxime. Elle se sentait comme une dinde.

Raphaël changea le sujet de conversation et après un moment, il invita tout le monde à passer au salon. Maxime mit une musique entraînante et Da Silva encouragea les femmes à danser. Jeanne resta de marbre alors que Sylvie sauta sur l'occasion pour chasser son malaise. Une chose l'aidait, Maxime dansait lui aussi. L'aînée des Castillos se déhanchait et virevoltait au son de la musique. Raphaël dû cependant insister pour que Marie se joigne à la danse. Complètement timorée, elle restait comme figée sur place en balançant nonchalamment les bras tout en faisant de petits pas qui ne suivait absolument pas le rythme de la musique.

Après un certain temps, tout le monde retourna à sa place. Raphaël au centre du canapé, les deux filles à ses côtés. Il regarda Sylvie.

- Tu danses bien. Ce sont des vrais?

- Pardon?

- Tes seins, ils sont naturels?

Sylvie s'était fait poser cette question mille fois. Pour elle, c'était une insulte et elle répondit avec force.

- Oui monsieur, ils sont naturels et oui ils se tiennent très bien sans soutien gorge.

- Ah oui? Montre nous ça.

Elle avait bu beaucoup trop de vin et était dans un état second. Elle se leva et se plaça directement en face de Da Silva et fit ce qu'elle avait fait de nombreuses fois en boite et qui lui avait valu toute une réputation au collège. Elle pris le bord de son chandail et d'un geste rapide et précis, elle exposa en un clin d'œil ses deux superbes mamelles à la vue de tous pour ensuite redescendre son chandail tout aussi rapidement. Le tout dura à peine deux secondes.

- Wow! Spectaculaire. Mais ce n'est pas ce que je voulais dire. Ma belle Sylvie, tu va nous recommencer ça plus doucement. Et comme je ne voudrais pas te manquer de respect, je demanderais à Maxime de t'aider.

- Mais, je ...

- Recommence lentement.

Sylvie était totalement perdue, mais elle obéie au commandement du Parrain. Elle avait souvent exhibé ses seins en un clin d'œil, mais elle ne les avait jamais exposé comme ceci. Elle reprit son geste maladroitement. Elle n'avait jamais été aussi gênée. Toujours, la voix de sa mère qui lui répétait dans sa tête; « Tu es la catin de Da Silva ». Elle ferma les yeux et libéra ses seins.

Elle sursauta soudainement. Deux mains masculines venaient de se poser sur ses hanches. Elle ouvrit les yeux. Maxime n'était plus à sa place. Son cœur s'arrêta presque. Avec une infinie douceur, il laissa glisser ses mains sur sa peau. Subtilement, il s'appuya sur le dos de Sylvie. Elle senti son érection à travers le tissus de son pantalon. Elle frémit lorsque ses doigts arrivèrent à ses globes laiteux. Elle se mit à trembler lorsqu'il effleura du bout des doigts la pointe durcie de ses mamelons. Jamais un homme ne l'avait touché ainsi. Elle se mordit les lèvres pour faire taire son orgasme naissant.

- Vraiment superbe.

La voix de Raphaël ramena la belle à la réalité. Maxime la lâcha et retourna s'asseoir. Sylvie rajusta ses vêtements et retourna sur le canapé en silence, honteuse. Peu après, les deux hommes prirent congé complimentant les Castillos pour la belle soirée.

8.

La famille Castillo fut de nouveau réunie le lendemain après midi. Maxime, venu seul, leur annonça d'un ton solennel que Raphaël Da Silva avait fait son choix et que les trois femmes devaient se rendre à sa maison de campagne ce Samedi pour la cérémonie des fiançailles.

Jeanne et Marie restèrent de glace devant la nouvelle, mais Sylvie plongea dans une angoisse profonde. Elle pourrait bientôt venger sa famille. Cependant, elle était profondément amoureuse de Maxime et ces fiançailles sonneraient le glas de leur relation.

Le jour fatidique arriva. Irène avait fait porter des robes aux deux filles. C'est ainsi que les Castillos firent leur entrée dans l'antre de Da Silva. Jeanne était toute habillée de noir. Marie portait une grande robe fleurie et des sandales qui rendaient particulièrement justice à son style naturel. Elle avait également reçu de nouvelles lunettes rondes qui lui donnaient un tout autre air. Sylvie portait une élégante robe de soirée qui mettait parfaitement ses formes en valeur. Des stylistes avaient même été envoyés pour les coiffer et les maquiller. Les deux filles étaient superbes.

Après d'interminables présentations avec des gens qu'elles ne connaissaient pas, Da Silva invita les deux filles à monter sur une estrade où trônait deux grandes chaises à dossiers hauts. Une fois assises, le Parrain se lança dans un discours de plusieurs minutes ventant la gloire de sa famille. Il rappela la mémoire de Fernando Castillo et combien il regrettait la guerre fratricide qu'ils s'étaient menés. Il revint au mariage qu'il présenta comme étant un moyen d'unir les deux familles etc. Finalement il déclara:

- Le choix que je m'apprête à faire n'a pas été facile. Ces deux demoiselles étant charmantes (applaudissements). Cependant, une d'elle a su gagner mon cœur par sa candeur et sa beauté.

Il sortit de sa poche une petite boite. Il l'ouvrit et dans un geste théâtrale, il montra la bague de fiançailles à la petite foule. Il se retourna vers les deux sœurs et dans une génuflexion solennelle, il s'accroupit devant Marie pour lui mettre la bague au doigt sous un tonnerre d'applaudissements.

Bien que totalement désemparée, celle-ci encaissa le choc avec calme. Sylvie de son côté était estomaquée. Un tourbillon de pensées s'agitait dans sa tête. Son plan de vengeance était ruiné. Elle scruta la foule des yeux et tomba sur Maxime qui la fixait intensément, un large sourire illuminant son visage. Maxime, elle pourrait vivre avec Maxime.

De nombreux toasts furent portés, d'innombrables mains se tendirent et les félicitations fusèrent de toutes part. Marie suivait Da Silva partout comme un animal de compagnie. Se forçant à sourire tout en tentant de comprendre. Alors que les invités quittaient et que la foule se faisait plus clairsemée, Maxime se présenta devant le Parrain, tenant Sylvie par la main.

- Padre, Je vous félicite pour votre choix. Vous formerez un couple royale.

- J'ai cependant une faveur à vous demander.

- Je ne peux rien te refuser Maxime.

- J'aimerais, avec votre permission, amener Sylvie en ville ce soir. Elle n'est pas sortie depuis plusieurs semaines et elle a besoin de s'amuser un peu.

- Allez y mes enfants et amusez vous bien.

Raphaël retourna à ses invités. Maxime et Sylvie sortirent main dans la main. Les yeux de la jeune fille remplie de larmes de joie.

9.

Il était deux heures passé lorsque la porte de la villa des Castillo s'ouvrit. Sylvie, terriblement éméchée, trébucha en riant. Elle tituba jusqu'au canapé du salon tirant Maxime par la main. En se retournant, Sylvie embrassa son amant avec fougue. Les deux jeunes gens se pelotaient sans réserve, leurs langues s'entremêlaient et leurs vêtements tombaient.

- Vas-tu me faire l'amour Maxime?

- Vas-tu me faire l'amour Sylvie?

- Viens dans ma chambre mon amour.

- Non ma belle. Je n'en peux plus. Je te veux ici et maintenant.

- Hi! Hi! Mais on pourrait nous surprendre.

- Mais non, Ta mère est enfermée dans sa chambre et tous les domestiques sont dans leur pavillon. Laisse moi te voir dans toute ta splendeur.

Maxime fini de dégrafer la robe de Sylvie qui se retrouva bientôt totalement nu devant son amant. Celui-ci la couvrit de compliment tout en caressant son jeune corps avec une délicatesse infinie. La jeune femme ronronnait dans les bras de son amant. Elle le dénuda à son tour et entrepris une fellation experte sur son membre érigé. Toujours en contrôle, le jeune homme retourna la situation et se mis à fourrager dans la chatte humide de Sylvie qui s'abandonnait à son orgasme. Une fois revenue sur terre, elle dit.

- Prends moi Maxime. Je t'aime. Prends moi complètement, fait de moi ta femme Ohhhh!

- Oui Sylvie. Je t'aime.

Il pénétra tendrement sa partenaire et le bruit de leurs ébats passionnés se répandit dans la villa obscure. Sylvie jouie deux fois de plus avant que, toujours enlacées, presque fusionnés, Maxime vienne dans son ventre. Loin d'être rassasiés, les deux amants se lancèrent dans une succession de cunnilingus et de fellations à travers les rires et autres mots d'amour. Alors que Maxime s'apprêtait à enfourcher de nouveau sa princesse, elle lui dit d'un ton triste.

- J'aurais tant voulu t'offrir ma virginité Maxime, mais je ne suis pas comme ma sœur. Es-tu déçu?

- Mais non ma belle. Tu es une femme passionnée et je t'aime tel que tu es.

Il lui caressa tendrement les cheveux pendant un long moment.

- Tu pourras toujours m'offrir ta virginité si tu le veux vraiment.

- Comment Maxime? Comment?

- As-tu déjà fait l'amour anal Sylvie?

- Non...

- Alors, si tu le veux toujours, tu pourras m'offrir cette virginité un jour.

- C'est ce que tu voudrais mon amour?

- Oui, j'aimerais beaucoup, un jour. Quand tu seras prête, je serai doux. Je ne voudrais surtout pas te faire de mal.

- Non Maxime, pas un jour. Maintenant.

- Mais Sylvie...

- Prends moi par là Maxime. Je te l'offre... Je t'offre mon cul.

Elle tomba à genoux et pris son sexe dans sa bouche. Elle le suça jusqu'à ce qu'il devienne dur comme le fer. N'y tenant plus, Maxime la retourna. Elle était à genoux devant le canapé, la tête dans les coussins. Il sorti un tube de lubrifiant des poches de son veston et en enduit généreusement l'anus de son amante. Il fit glisser doucement un doigt et puis deux dans son orifice tout en la caressant habillement. La main de Sylvie s'activait sur son sexe et caressait furieusement son clitoris. Sa chatte était inondée. Maxime approcha lentement son gland de son petit trou.

- Tu es sure Sylvie?

- Oui! Oui! Vas-y! Vas-y!

- Encule moi!

Il pressa son gland contre sa rondelle et la pénétra doucement. Sa queue était de taille moyenne et plutôt fine facilitant ainsi l'acte.

- AHHHH! Oui! Maximmmme.

Sylvie, les doigts dans la chatte eu un autre violent orgasme. La pénétration avait été moins douloureuse que prévu et le simple fait de s'offrir à cet homme la comblait. Maxime commença à la pistonner lentement, doucement. Complètement perdue dans son plaisir, elle s'exclama :

- AHHH Maxime! Vas-y!

Elle cria de manière à ce que la planète l'entende.

- MON TROU DU CUL T'APPARTIENT MAXIME!

- Je t'aime Sylvie.

La nuit avait été nuageuse, mais la pleine lune perça le ciel à ce moment précis, éclairant la pièce d'une lumière vive. Pendant que Sylvie criait son plaisir dans les coussins du divan, Maxime se retourna vers le corridor. Il y vit le visage grimaçant d'une petite asiatique penchée sur une petite table. Elle serrait le rebord du meuble de toutes ses forces. Malgré la douleur évidente qui déchirait son visage, elle n'émettait aucun son tel qu'on le lui avait ordonné. Derrière elle, Raphaël Da Silva balançait les reins avec vigueur pénétrant la petite femme profondément.

Maxime souri. Il leva le pouce vers son patron en signe de victoire et retourna besogner le cul de Sylvie Castillo.

12
Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
Partagez cette Récit

récit TAGS

LIRE LA SUITE DE CETTE SÉRIE

Histoires SIMILAIRES

Helen, Tänzerin und Hure 01 Perverse Fantasien und viel zu viel Geld.
Whitewash High Ch. 01 Mrs. Jackson goes white.
The F Company Ch. 01: Lonely Mother In an Indian Mafia family, a couple helps a lonely mother.
The Commando and the Call Girl Clashing worlds and ideologies.
Funeral: The Mob Boss Wife A graphic funeral Mafia scene.
Plus d'histoires