La Ferme Bio Ch. 03

BÊTA PUBLIQUE

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Christine s'effondra dans ses liens, soulagée d'être maintenue par les sangles. Guillaume prit une ventouse beaucoup plus petite et écarta les grandes lèvres de sa fille ainée pour accéder plus facilement à son clitoris. Elle gémit de honte mais les sangles l'empêchaient de bouger et d'échapper à ces doigts inquisiteurs. Guillaume fit quelques commentaires égrillards à propos de l'état déliquescent de la chatte qu'il était en train d'explorer.

- He bien, Christine! Ne me dis pas que tu n'apprécies pas l'effet d'une pompe à lait sur tes seins : tu es positivement trempée! Ca coule jusque dans ta raie des fesses et ta chatte est béante! on pourrait y mettre sans difficultés un chibre d'âne et ils sont bien montés, tu peux me croire!

Christine frémit sous la moquerie mais elle se trouva incapable de réagir. Son père caressa la pointe de son clitoris et la petite pointe enfla démesurément pour atteindre la taille d'un petit piment d'Espelette. Christine se sentait mouiller de plus en plus fort, comme une possédée. Le bruit lancinant de la pompe et l'agilité des doigts de Guillaume sur son clitoris étaient trop forts pour elle. Elle sentit un orgasme violent qui se préparait dans sa chatte inondée. Elle se rendit compte que les sangles qui la maintenaient avaient un certain jeu qu'elle mit à profit pour se masturber contre les doigts de son père. Elle cria très fort lorsque le premier orgasme la terrassa...

Guillaume retira son doigt et posa la ventouse sur la petite excroissance. Christine banda son corps comme un arc lorsque la jouissance la reprit, plus rapide et plus forte que la première fois! Ses hanches se mirent en mouvement d'instinct, décrivant de petits cercles rapides autour de la position de la ventouse qui lui taraudait la chatte! Ce n'était plus un éclair de jouissance suivi de quelques minutes de repos puisque la pompe ne s'arrêtait jamais. Le plaisir explosait en elle en rafales avec seulement quelques secondes de répit.

- Oui, Papa, continue, fais-moi jouir très fort! Je le veux! J'en ai besoin! Encore!

Guillaume la laissa endurer ce rodéo du plaisir pendant dix minutes. Elle crut dix fois s'évanouir mais son père finit par appuyer sur l'interrupteur. La machine cessa de remplir son office à la grande déception de Christine.

- Oh OOOOhhhh! Papa, s'il te plait, remets le en marche, je veux jouir encore!

- Tu ne crois pas que tu es un peu égoïste, Christine? Et moi? Qu'est ce que je gagne à te faire du bien?

- Que... Qu'est ce que tu veux de moi, papa? Dis le et j'obéirai, je te le promets!

- D'abord, cesse de m'appeler Papa! Tant que tu es prisonnière de cette trayeuse, tu dois m'appeler Maitre! Vas-y, dis le! Ca m'excite

- S'il vous plait, Maitre, remettez la machine en route! Je veux encore jouir, Maitre!

- Pas si vite, petite chienne lubrique! Je ne trouve pas assez excitante comme tu es! Le mieux serait de te faire des injections d'hormone pour te faire grossir les seins pour qu'ils soient aussi gros que ceux de ta sœur, voire plus encore! Je trouve les tiens beaucoup trop petits. Et je veux aussi les voir gorgés d'un lait délicieux que tu m'offriras lorsque nous irons en promenade...

- Non, je ne veux pas : c'est dégoutant!

Guillaume ralluma les pompes mais les éteignit presque aussitôt. Le but n'était pas de satisfaire Christine, juste d'exacerber son désir et de la forcer à accepter les conditions que voulait lui imposer son père!

- Alors, j'attends! Que décides-tu? Je te fais ces piqures ou bien, on oublie tout cela : tu n'auras jamais de poitrine à faire rêver la plupart des hommes et rendre jalouses la plupart des femmes mais tu n'auras plus jamais l'occasion de ressentir ce plaisir total que je t'ai fait découvrir!

Christine mit longtemps avant de répondre. Comme Guillaume s'impatientait, il relança la pompe mais l'arrêta dès que Christine se mit à gémir, apparemment au seuil d'un nouvel orgasme dévastateur. Cette fois, Christine reconnut sa défaite et dit à voix haute comme le lui demandait son père :

- Pitié, Maitre! Remettez en marche cette pompe. Je veux bien que vous me fassiez des injections pour faire grossir ma poitrine!

- Tu oublies quelque chose : je veux aussi que tu entres en lactation et que tu m'offres de téter tes seins lorsque nous serons seuls...

- Oh non! C'est trop... C'est inacceptable!!!

Guillaume n'eut qu'à remettre la pompe en route d'une pression du doigt sur l'interrupteur puis de l'éteindre presqu'aussitôt pour vaincre la volonté de Christine!

- Non, Maitre, c'est assez! Je ferai tout ce que vous voudrez : lorsque j'aurai de gros seins, vous pourrez les téter et boire mon lait!

- Et en offrir à mes amis, directement de tes tétons ou de ce que la pompe aura recueilli!

- Et en offrir à vos amis, comme vous voudrez!

- Bien! Maintenant je vais te faire les piqures et te laisser jouir tout son saoul de cette petite pompe et je ne l'arrêterai que lorsque tu te seras évanouie de trop de jouissance, c'est promis!

- Merci, Maitre!

Guillaume retira ensuite la ventouse sur le clitoris de Christine. Il releva la partie arrière de la trayeuse, découvrant les fesses de Christine, totalement à sa merci. Sa fille vibrait encore du contre coup des orgasmes innombrables que la machine lui avait fait subir. La pompe fonctionnait toujours et la poitrine de la jeune fille continuait à bouger sous son action continue. Guillaume s'avança entre les jambes de Christine. Il fit glisser son pantalon par terre et mit à jour un braquemart impressionnant. Christine bascula les reins pour frotter son bouton érigé contre la matraque raidie. Elle était morte de honte mais elle ne pouvait s'empêcher de se masturber contre lui. Elle n'aspirait plus qu'à une seule chose : que cet homme consomme l'inceste qu'elle en était venue à désirer de toute son âme, qu'il prenne sa virginité et inonde sa chatte de son sperme. Elle pourrait tomber enceinte mais c'était maintenant son dernier souci!

Christine s'ébroua et le sexe sur lequel elle se masturbait lui échappa un instant et se retrouva contre son anus. Elle gémit et grogna pour lui dire qu'elle ne le voulait pas à cet endroit mais dans un autre orifice tout proche... Guillaume fit semblant de ne pas comprendre ce qu'elle voulait dire et il accentua la pression sur cet orifice encore inviolé. Christine fit tout son possible pour éviter de se retrouver empalée sur le membre dressé mais chacune de ses tentatives faisait pénétrer plus profondément le gland. Lorsqu'il disparut entièrement dans l'anneau dilaté, Christine beugla comme un bouvillon qui venait d'être marqué. Cela eut pour conséquence de relâcher quelque peu son sphincter. Une fois le gland passé, la verge était moins grosse et pouvait coulisser plus facilement. Guillaume saisit sa chance et poussa très fort. Son sexe pénétra de près de dix centimètres dans le rectum vaincu.

Christine fut terrassée par un orgasme violent : comment pouvait elle jouir alors que son père était en train de violer son anus! Etait-elle devenue une fille aussi facile que cela, une pute de bas étage! Son anus la brulait et elle pleurait de douleur mais guillaume poursuivait son invasion victorieuse. Christine cessa de lutter et se tendit sous son suborneur... Elle comprit que le viol de son anus était total lorsqu'elle sentit les poils pubiens de Guillaume contre ses fesses. Il se figea, enfoncé jusqu'aux couilles dans son orifice le plus secret.

Guillaume se retira jusqu'à ce que seul son gland soit encore en elle. Christine gémit et tenta de pousser en arrière : le vide qui se développait dans son ventre était encore plus pénible que la sensation de plénitude qu'elle avait ressentie lorsqu'elle avait été embrochée jusqu'à la garde! Guillaume eut un sourire de triomphe et plongea à nouveau son sexe dans l'anus déjà beaucoup plus accueillant. Guillaume se mit à aller et venir dans l'étui délicieux. Christine ne put qu'attraper des poignées d'herbes sèches pendant que Guillaume jouissait de son corps.... Guillaume finit par exploser tout au fond de l'anus de sa fille qui jouit avec lui puissamment et s'effondra dans l'herbe.

- Ne bouge pas! Tant qu'à faire, autant compléter ton éducation tout de suite! Je vais appeler un très bon ami qui va nous aider!

Guillaume appela Jean, bien entendu et son compère arriva une demie heure plus tard. Guillaume avait sorti Christine de la trayeuse mais il avait profité de son hébétude pour lui passer la tête dans une mangeoire qui lui bloquait le cou. Christine ne pouvait pas dégager sa tête ni se relever. A coté d'elle, Guillaume avait amené la trayeuse. Bien sur, Christine refusa de coopérer lorsque Guillaume lui demanda de prendre le sexe de Jean dans sa bouche et de le sucer. Sans s'énerver, Guillaume plaça les ventouses de la trayeuse sur les seins de la patiente et mit en marche l'appareil. Christine se remit à jouir et Jean en profita pour forcer ses lèvres. Elle eut un hoquet et eut le choix entre étouffer et recevoir le membre bien dressé. Guillaume s'approcha tranquillement derrière Christine qui poussait des gémissements affolés, taraudée au plus profond par le plaisir. Sa chatte était inondée et béait de façon indécente, tant son corps était tendu vers son assouvissement sexuel le plus éhonté.

Guillaume prit sa verge à la main et la dirigea vers la cible qu'il s'était choisi. Christine était tellement mouillée que le gland entra sans que Guillaume rencontre la moindre résistance. Il fit par buter contre une membrane qui fermait efficacement la chatte de sa fille : elle était encore vierge à vingt deux ans. Guillaume se demanda un instant si sa fille ainée n'était pas un peu arriérée puis il laissa tomber l'idée. Il fit aller et venir sa bite dans le fourreau qui s'adaptait progressivement au calibre qui allait bientôt la ravager jusqu'au fond. Guillaume leva les yeux vers Jean qui s'activait dans la bouche de Christine. Celui-ci opina de la tête pour informer Guillaume qu'il était prêt à faire avaler à Christine sa première giclée de sperme!

Guillaume se retira jusqu'à ce que la moitié du gland soit encore dans la chatte de Christine. Jean pendant ce temps là s'astiquait la bite à la main pour suivre la croissance de l'érection de son compère. Guillaume se lança à l'assaut avec un han de bucheron. L'hymen de Christine ne résista que quelques secondes à l'assaut violent. Christine poussa un grand cri au moment de sa défloration. L'instant d'après, le membre de Jean stoppa net son cri. Elle avait maintenant deux grosses bites profondément enfoncées, l'une dans sa gorge et l'autre dans sa chatte encore vierge un instant auparavant. Christine émit un gargouillement désespéré lorsque les deux bites dégorgèrent presque en même temps des volumes copieux d'une crème épaisse et particulièrement riche. Affolée à l'idée de mourir étouffée, elle avala consciencieusement ce qu'elle avait dans la bouche bien qu'une partie fut expulsée par ses narines mais elle ne pouvait rien contre la salve qui lui ennoya l'utérus où deux ovules attendaient patiemment pour connaître leur devenir!

Les deux hommes restèrent toute la nuit et la journée d'après avec Christine qui apprit ainsi encore plus vite que sa sœur tout ce qu'une fille soumise doit apprendre. Guillaume n'attachait pas d'importance à savoir qui serait le père de la progéniture de Christine. Il n'eut donc aucun scrupule à téléphoner à ses amis et aux clients que Christine avait livrés pour leur annoncer que sa fille avait intégré le cheptel de sa ferme et qu'elle était déjà entièrement disponible. Ils pouvaient user d'ores et déjà en toute liberté de sa bouche, de sa chatte et de son anus, autant de fois qu'ils le souhaiteraient. Il y eut tellement de candidats que Guillaume décida de faire venir Hélène et les deux sœurs purent s'occuper de six hommes en même temps! La liste d'attente se réduisit rapidement! Lorsque les derniers eurent pris congé, les deux hommes se retrouvèrent seuls avec les deux filles. Entre temps ils avaient pu reprendre des forces et Hélène fut chargée de mettre un collier de cuir avec une grosse cloche au cou de Christine avant de la reconduire à l'étable. Jean et Guillaume leur emboitèrent le pas, tranquilles : Hélène était totalement domptée et se ferait tuer plutôt que d'aider sa sœur à s'enfuir mais Christine était aussi matée. Elle n'avait même pas protesté lorsque dix hommes avaient successivement assouvi leurs désirs lubriques dans ses différents orifices!

Jean demanda à Guillaume jusqu'à quel point il comptait faire grossir la poitrine de Christine.

- Oh Un 90 C ou D, à mon avis, qu'elle ait une belle paire de loches comme sa sœur. Pourquoi cette question?

- Juste une idée en passant : Hélène est déjà très bien avec son 95D. Avec deux laitières, tu pourrais commencer à les spécialiser : Hélène pour les tétées directes qui sont plus chères et Christine pour la production de masse. Si les clients n'ont plus besoin de voir la fille, tu pourrais augmenter encore la taille de ses mamelles : disons des bonnets G ou H, cinq ou six litres de lait par jour! Hélène ne donne pas deux litres par jour : une misère!

- Mais ce serait irréversible à moins d'une opération importante.

- Sans doute mais tu garderais Hélène pour le plaisir et Christine pour arrondir tes fins de mois!

- Dis, mon cher Jean, ta perversité m'enchante parfois!

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6 Commentaires
Vanessatv30Vanessatv30il y a 7 mois

Vache laitiére : un réve de femelle perverse soumise a la Patriarchie ! Ne plus penser a rien ,ne plus s occuper de rien , laisser son Propriétaire décidait de tout à ta place quoiqu il désire ,le vrai bonheur ...

vavientvavientil y a plus de 2 ans

Bonjour, la découverte puis le passage sur la trayeuse font partie depuis longtemps de mes coups de coeur parmi tout ce que j'ai pu lire, et je saisis ici l'occasion de vous témoigner de ce plaisir. cordialement.

AnonymousAnonymeil y a environ 3 ans

Dommage que la suite n'est jamais arrivée.

J'adore

Rudy

dan57dan57il y a plus de 11 ansAuteur
bien sur mais il faudra encore un peu de patience (janvier ou février)

les aventures de gupta en anglais ont pas mal de fans

AnonymousAnonymeil y a plus de 11 ans
Suite

Serait il possible d'avoir une suite ?

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