La Ferme Bio Ch. 03

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Hélène contribue à la soumission de sa soeur.
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Récit n'a pas de balises

Partie 3 de la série de 3 pièces

Actualisé 11/01/2022
Créé 09/29/2011
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dan57
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Par Dan57 et Darkminou

Hélène contribue à la soumission de sa sœur

Après les deux jours d'initiation, la foire de Saint Azul avait continué pendant deux semaines ce qui permettait aux amateurs de comparer la qualité de la production de lait des différents fournisseurs mais aussi de gouter aux charmes des plus belles laitières... Hélène avait été très sollicitée pendant ces deux semaines et sa bouche et son anus avaient connu beaucoup plus de visiteurs que la jeune femme n'eût jamais imaginé recevoir! Elle avait aussi régulièrement des clients qui souhaitaient la monter. Quatre cents euros pour une heure, l'affaire était intéressante et Guillaume se félicitait tous les jours de son idée. Il allait pouvoir déménager pour une demeure plus vaste entourée d'une piste en dur ceinturée d'arbres où les filles pourraient évoluer tranquillement à l'abri des regards.

Huit jours après la journée où Hélène avait été montée pour la première fois en tant que pony girl, son test de grossesse était devenu positif. Guillaume et Jean avaient sablé le champagne dans des coupes de cristal tandis que l'intéressée n'avait eu droit qu'à un peu d'eau dans une auge à même le sol au milieu des badauds. Elle n'en avait pas pris ombrage, consciente qu'elle n'était qu'un objet de propriété dont Guillaume était le seul à pouvoir disposer. Son père lui avait cérémonieusement retiré le gode qui empêchait d'accéder à sa chatte. Guillaume avait fait une annonce publique selon laquelle Hélène était maintenant totalement accessible pour les amateurs! Sa première journée avait été bien remplie avec vingt et un amateurs.

Hélène avait à peine le temps de recevoir le sperme d'un homme qu'elle était soulevée, passée de mains en mains pour se retrouver empalée sur une autre verge bien raide. Elle avait rapidement perdu le compte de ses amants successifs et du nombre d'orgasmes qu'elle avait ressentis! Une vraie prostituée est censée ne pas jouir avec ses amants d'un jour mais une laitière ou une pony girl n'était pas autorisée à garder son calme dans ses moments là : elle était censée jouir très fort et le montrer par ses cris et ses manifestations de plaisir qu'elle ne simulait absolument pas : jouir plusieurs fois par jour avec des partenaires différents lui était maintenant aussi naturel que respirer!

Hélène réalisait pleinement qu'elle s'était adaptée sans problèmes à sa nouvelle carrière. Elle n'avait plus à prendre des décisions et cela seul lui manquait. Elle n'avait plus de libre arbitre, plus le choix de dire qu'elle refusait de se soumettre à tel ou tel homme. Elle n'avait plus qu'à déterminer la meilleure stratégie pour satisfaire l'homme devant ses yeux le plus complètement possible et avec le minimum d'efforts pour elle! Elle devait jauger le client en quelques secondes et c'était le challenge qui l'excitait par dessus tout!

Hélène avait décidé de rester juste pour le plaisir de voir comment les évènements allaient se développer...

La poitrine d'Hélène la démangeait. Elle avait l'impression que ses seins grossissaient et devenaient de plus en plus lourds. Ses clients semblaient apprécier le changement dans sa silhouette, des seins massifs et haut perchés défiant la gravité au lieu de ses petits œufs au plat. Ses tétons avaient suivi sa transformation. Elle avait maintenant deux framboises dressées là où il n'y avait à l'origine qu'un dôme discret! Pourtant, pas la moindre gouttelette de lait. Elle évaluait la fermeté de sa poitrine chaque matin, sachant que Guillaume et Jean attendaient avec impatience de gouter à sa production la plus intime et ses nombreux clients n'étaient pas en reste!

Un jour, Hélène fut invitée à passer la nuit avec Jean et Guillaume. Ils la prirent à tour de rôle en alternant entre ses trois orifices qu'elle leur livrait totalement sans aucune réserve lorsqu'elle sentit quelque chose d'humide entre son corps et celui de Guillaume. Elle pensa qu'il venait d'éjaculer sur elle. D'instinct, elle s'essuya avec ses doigts. Il y avait bien un liquide blanchâtre mais il n'avait ni le gout ou l'odeur du sperme, ni de l'urine, sa pensée immédiate. Elle porta son doigt à ses lèvres et constata que c'était du lait. Elle en informa Guillaume et Jean qui devinrent comme fous et se mirent à la téter frénétiquement. Cette première production était bien trop faible pour apaiser la soif des deux hommes mais elle crut rapidement...

Le matin, réveillée aux aurores, Hélène se rendait dans la chambre de Guillaume ou Jean avait aussi élu domicile Elle se mettait à genoux sur une table et offrait ses deux mamelles aux deux bouches avides. Lorsque les deux hommes avaient gouté à son lait matinal, Hélène était conduite soit dans le box où on la faisait monter sur une rampe où elle était traite à la main dans un seau comme une vache ordinaire dans une ferme traditionnelle mais en public pour exciter l'assistance, soit à la laiterie de la foire pour être traite avec une trayeuse mécanique. C'était plus humiliant mais Hélène appréciait la puissance tranquille de la pompe... Outre les deux manchons qui étaient placés sur ses mamelons et s'animaient l'un après l'autre, un petit manchon d'aspiration était placé sur son clitoris pour le stimuler en même temps. Hélène se mettait immanquablement à haleter avant de jouir puissamment comme une bête sous les yeux goguenards de l'opérateur.

L'après midi, Hélène devenait un distributeur mobile de lait frais que les clients de la foire appelaient d'un claquement de doigts. Comme elle était très demandée, la traite du soir était souvent faite par simple acquit de conscience plutôt que pour un réel besoin! Lorsqu'elle retourna au domicile de Guillaume, la routine ne fut guère modifiée, sauf qu'il y avait moins de clients vivant à proximité et Hélène devait prendre sa voiture pour leur rendre visite. Guillaume lui avait fait boire du café et de la soupe chaude : sa voix lui était revenue presque par magie. C'était nécessaire pour discuter avec les clients qu'elle rencontrait! Hélène se déshabillait complètement dans leur séjour et offrait ses seins lourds à leurs bouches avides dans la tenue d'Eve... La traite du soir était alors nécessaire et le lait était souvent transformé en beurre, crème ou fromages. Hélène buvait le petit lait : il n'y avait pas de raison de perdre ces protéines!

La tenue que devait porter Hélène en ville ou pendant le trajet avait été codifiée par Guillaume : une jupe légère de type portefeuille, bien courte pour qu'on puisse voir sa chatte lorsqu'elle descendait de voiture ou montait les escaliers, un chemisier presque transparent sous lequel on distinguait sans difficultés ses aréoles plus foncées et des sandales à plateformes vertigineuses qui plaisaient beaucoup à ses clients. La distribution de lait se prolongeait souvent dans la chambre de l'acheteur qui invitait parfois un ou deux amis à leurs ébats... Au total, Hélène ramenait tous les jours deux ou trois mille euros sans difficultés. A cela s'ajoutaient les habitués qui venaient assister à la traite du soir. Tous les orifices du corps de la jeune femme étaient ensuite mis à contribution dans une orgie qui n'aurait pas déplu à Sardanapale! Sa chatte finissait souvent remplie à dégorger de sperme et elle avait parfois des hauts le cœur tant elle devait avaler de sperme! Hélène trouvait tout cela maintenant parfaitement normal! La surprise de la jeune prostituée fut donc totale lorsque la personne qui lui ouvrit la porte fut son père Guillaume avec sa sœur ainée Christine juste derrière lui...

Christine ouvrit de grands yeux incrédules lorsqu'elle prit conscience de la tenue de sa sœur! Hélène qui, la dernière fois que les deux sœurs s'étaient rencontrées, portait, comme beaucoup de jeunes un jean et un tee-shirt avec des baskets à la mode arborait ce jour-ci une mini jupe ultra courte, un chemisier ouvert presque jusqu'à son nombril, hyper moulant et quasi transparent sans rien en dessous ainsi que des chaussures à talons très hauts, du genre qu'une fille faisant le trottoir pourrait porter! Sa tenue était tout simplement indécente, voire obscène et leur père qui était juste à coté et ne semblait pas gêné le moins du monde! Christine ne put s'empêcher de faire une réflexion :

- Tu vas à un bal masqué ou quoi? Tu ressembles à une pute! Si tu sors, un flic va t'arrêter pour racolage! Tu es devenue folle?

Hélène ne se démonta pas et répondit à sa sœur :

- C'est ma tenue de travail habituelle et cela plait beaucoup! D'ailleurs, je gagne ma vie bien mieux que toi!

Christine encaissa sans répondre : c'était un coup bas car Hélène savait très bien que sa sœur enchainait les petits boulots payés une misère : baby-sitter, livreuse de pizzas ou de journaux gratuits. Au total, elle devait ramener environ mille euros par mois, juste de quoi se nourrir et se loger sans aucun luxe mais Hélène portait des vêtements de marque : foulard de chez Hermès, sac Vuitton, chaussures Lauboutin! Sa tenue avait du lui couter au moins deux mois de salaire pour Christine. Un éclair de jalousie la frappa au cœur : qu'est ce que Hélène pouvait bien faire pour gagner autant d'argent alors qu'elle n'avait en poche qu'un bac tout neuf! Hélène toisa sa sœur avec un sourire condescendant. Christine réalisa à ce moment que la silhouette de sa sœur avait beaucoup changé : sa poitrine, il n'y a pas si longtemps discrète, s'était étoffée ; son petit 90 B s'était transformé au moins en un royal 95 D et ses seins ne nécessitaient plus vraiment un soutien massif, apparemment! Christine ne distinguait pas l'ombre d'un soutien gorge enveloppant sous son chemisier qui ne pouvait pas dissimuler quoi que ce soit!

- Qu'est ce que tu as trouvé comme job? A voir ta mise, ça doit rapporter un max!

- Merci, sœurette, mais ce n'est pas dans tes cordes! Tu n'aimerais pas! Je me fais entre 3 et 5000 euros par jour!

- Par JOUR! Mais comment fais-tu?

- Simple, je vends du lait frais bio au porte à porte. Les clients me le payent assez cher : environ quarante ou cinquante euros pour un verre, vingt euros pour une motte de beurre...

- Mais c'est affreusement cher! Tu escroques tes clients!

- Tu crois? J'en ai tellement que je ne peux plus suffire à la production! Il me faudrait une autre laitière et quelqu'un pour assurer la traite et la distribution! Nous sommes une petite entreprise en plein essor!

- Nous? Vous êtes déjà plusieurs dans cette aventure?

- Juste Papa et moi, pour l'instant, mais à terme, j'espère que nous serons bientôt vingt ou plus! Il y a une très grosse demande!

- Tant que cela? Est ce que je ne pourrais pas participer à cette affaire?

- Ce serait possible mais tu devras garder le secret absolu!

- C'est promis!

- De toutes façons, tu ne serais initiée que très progressivement : d'abord simple distributrice puis tu pourrais travailler sur les produits dérivés : beurre, crème et fromages avant de participer à la collecte ... Comme cela tu n'auras besoin que de savoir ce qui est nécessaire à ton activité! Pas de risque de divulgations de secrets tant que tu ne seras pas initiée à la collecte du lait!

- Si tu veux mais ça me semble diablement compliqué!

- Il le faut car une vache normale produit un lait très gras qu'il faut écrémer au moins à moitié pour le rendre buvable par la moitié des humains. Le notre est déjà naturellement à teneur réduite en matières grasses, directement assimilable pour un être humain! Tu veux en goûter un verre? Il m'en reste un peu dans ce bidon!

- Pourquoi pas? Tu as excité ma curiosité! Hmmmm! C'est délicieux! C'est très doux!

- Tu ne trouves pas que ça a le goût du lait maternel?

- Aucune idée : comme toi, je n'ai jamais connu ma mère et j'ai été élevée au biberon d'après papa!

- Et bien moi, je suis allé faire un tour dans le massif central avec papa et j'ai rencontré notre mère. Elle paraît en pleine forme mais elle parle peu!

Guillaume avait suivi les échanges entre ses deux filles et il admirait discrètement sa cadette : elle avait agité sous le nez de sa sœur les objets de luxe qu'elle portait. Il lui donnait généreusement le quart de ce qu'elle lui rapportait et cela suffisait à financer ses tenues de luxe. Cela avait aussi suffi à appâter Christine. Le mystère dont Hélène s'entourait était aussi une touche de génie : Christine voudrait en savoir toujours plus et Guillaume trouvait de plus en plus judicieuse son idée de faire d'Hélène son assistante, sa rabatteuse et plus tard de lui laisser la ferme... Elle lui serait bien plus utile que comme laitière, une fois que la ferme serait bien partie avec cinq ou six productrices!

Guillaume s'imaginait déjà en train de faire exploser l'hymen de sa fille ainée! Il le ferait certainement en compagnie de Jean mais, cette fois, ses inquiétudes ne l'empêcheraient pas de cracher son venin au fond du vagin qu'il viendrait de déflorer! Il serait le père et le grand père du premier rejeton de sa fille ainée! Cette perspective lui semblait le summum de la dépravation et le comble de l'excitation pour lui! Cela suffisait à le faire bander comme un cerf en rut!

Christine commença à faire les livraisons les plus lointaines mais les clients avaient été avertis que Christine n'était pas dans le secret et qu'elle n'était pas une laitière, en tout cas pas encore. Cela n'empêchait pas les personnes à qui elle livrait le lait de la payer en lui laissant souvent un bon pourboire et en lui disant qu'ils seraient prêts à doubler les commandes si Guillaume l'acceptait. Christine transmettait fidèlement ces demandes incessantes. L'importance des sommes qui lui étaient versées ne manquait pas d'aiguiser sa cupidité. Elle s'en ouvrit à Hélène qu'elle voyait nettement plus souvent qu'avant de travailler pour la ferme!

- Pourquoi ne pas augmenter le cheptel : il y a une demande très importante et nos revenus augmenteraient considérablement!

- Bien sur mais il faudrait que tu participes à la production, toi aussi!

- Si je gagne plus, cela ne me gênerait pas et j'ai du temps libre!

- Ca te dirait d'assister à une traite mécanique? Tu comprendrais vite comment cela marche, à moins que tu ne préfères une traite à l'ancienne : cela plait beaucoup à certains clients! mais tu risques d'être choquée par le spectacle!

- Tu es en train de te moquer de moi! J'ai vu traire des vaches dans quantité de films!

- Comme tu voudras...

Quelque temps plus tard, Guillaume l'amena à la laiterie : une vache placide se faisait traire sans y attacher trop d'importance. Christine prit un peu de lait dans un verre et le porta à sa bouche. Elle le recracha aussitôt. :

- C'est beaucoup plus gras que ce qu'Hélène m'a fait gouter : je n'aime pas trop!

- Bien, Christine, mais c'est le produit d'origine. Tu vas pouvoir découvrir le produit fini dans des conditions plus confortables...

Ils passèrent par un sas et le tapis de paille sèche fut remplacé immédiatement par des herbes fraiches et odorantes qui embaumaient la pièce. La trayeuse était en pleine action d'après les bruits qu'on entendait mais elle était entièrement capotée. Guillaume se tourna vers Christine et lui dit :

- Alors, tu veux vraiment participer à la production et tu promets de n'en parler à personne?

- Oui, papa, je serais discrète comme une tombe!

Guillaume appuya sur un bouton et les capots qui empêchaient de voir ce qui se passait se relevèrent. La trayeuse était du même type que celle utilisée pour la vache mais les ventouses avaient un embout en matière plastique beaucoup plus souple et il n'y en avait que deux contre quatre pour la vache. Ce qui retint pourtant le plus l'attention de Christine fut pourtant de découvrir sur l'estrade non quelque banal ruminant mais sa propre sœur, le visage transfiguré par une jouissance bestiale et prolongée. Hélène n'attachait visiblement pas la moindre importance à se retrouver nue et soumise à une trayeuse mécanique : elle avait les yeux clos, elle haletait comme une femme sur le point de jouir!

- Elle ne t'entend pas : la trayeuse lui masse les seins et la fait jouir sans discontinuer comme cela depuis près d'une demie heure. Lorsque ses mamelles sont bien gonflées comme aujourd'hui, elle peut tenir plus d'une heure et je n'arrête la machine que si elle s'évanouit!

- Mais c'est dégoûtant! Comment peux-tu faire subir cela à ta propre fille!

- Elle semble beaucoup apprécier, pourtant! Tu veux que je la débranche et que tu prennes sa place?

- Je n'ai pas de lait mais à ce que je vois, ma sœur attend un enfant! Ca me semble bizarre car elle disait qu'elle ne voulait pas d'enfant!

- C'est vrai mais son propriétaire en a décidé autrement!

- Son propriétaire??? Mais Hélène est un être humain! Il n'y a plus d'esclaves de nos jours!

- Tu as raison : ta sœur n'a pas été forcée à se soumettre : un zeste de persuasion, un soupçon de séduction et un solide fond de perversion ont suffi à la convaincre! Mais pour en revenir à toi, un passage sur la trayeuse, même si tu ne produis pas de lait est une occasion unique de gouter à des plaisirs ineffables! Tu jouirais très fort sans qu'aucun homme ne te touche!

Christine partageait le fond de perversion dont lui parlait son père : il est certain que les gémissements d'extase que poussait Hélène avaient un effet ravageur sur ses résolutions... Hélène poussa un grand cri et s'effondra sur le tas d'herbe, inconsciente. Guillaume se précipita et arrêta la trayeuse et retira les ventouses avec des gestes tendres, laissant Hélène récupérer tranquillement, étendue sur le dos.

- C'est de ma faute : j'ai laissé les réglages précédents et c'était trop fort pour Hélène en temps normal! Elle a encore pas mal de lait mais il va falloir une demie heure qu'elle reprenne ses esprits!

- Une bonne paire de gifles la réveillerait surement!

- Et c'est toi qui t'inquiètes de ce que je fais subir à Hélène! Je parie que tu ne tiendrais pas si longtemps avec ces pompes! Tu ne veux vraiment pas essayer?

La réponse de Christine fut inintelligible mais Guillaume n'y discerna pas un refus définitif. Il lui murmura à l'oreille :

- Si tu veux essayer, il faut que tu te mettes nue et entres dans la trayeuse à quatre pattes. Si tu veux, tu peux graisser tes tétons avec un peu d'huile pour bébé, toi-même. De l'huile d'olive ou une graisse silicone feraient l'affaire mais l'huile d'olive sent un peu! Mets en aussi un peu sur ton clitoris!

- Pourquoi faire?

- Il y a une buse de succion qui s'adapte dessus et contribuera à te donner du plaisir! Laisse-moi faire : j'ai une certaine expérience!

Christine hésita et commença à se déshabiller. Elle se badigeonna les seins et le clitoris de l'huile que lui tendit Guillaume et avança dans le couloir étroit jusqu'à ce que sa tête s'engage dans le logement rembourré. Guillaume appuya sur un bouton et des barres de fixation vinrent lui bloquer la tête tandis que des sangles venaient soutenir sa taille et prendre sa poitrine en sandwich. Christine cria de surprise et Guillaume se crut obliger de lui expliquer après avoir arrêté la machine un instant. :

- N'aie pas peur, c'est pour ton bien! Si tu te mets à jouir très fort et que tu t'effondres sur la paille, tu peux te faire mal alors les sangles sous ton ventre et au dessus de tes seins te soutiendront. La sangle supérieure te maintiendra en position pour t'empêcher de quitter la position idéale! Maintenant, je vais poser les ventouses. Prête?

- Oui! Vas y! Ahhhh!

Dès que les ventouses furent en place, Guillaume mit la pompe en marche et les ventouses se collèrent à la poitrine de la jeune femme. Elle ne mit que quelques minutes avant de se mettre à gémir comme l'avait fait sa sœur. Christine essaya de résister vaillamment : elle voulait garder le contrôle des évènements mais c'était sans espoir! La stimulation était tout simplement irrésistible : elle pouvait sentir une chaleur de plus en plus palpable envahir son ventre et sa chatte se mit à suinter à sa grande honte, comme si elle était la dernière des salopes!

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