Douce revanche Chapitre 01

BÊTA PUBLIQUE

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- "Je ... Je ... j'ai juste besoin d'un peu de temps pour te donner ton fric ...... Dans quelques jours j'aurai réuni ce que je te dois!....." bégayait John effrayé, craignant pour sa vie alors que l'ex détenu le fixait du regard.

- "Argent que tu me dois John!... Je comptais dessus pour m'instal-ler en Amazonie, là où on ne viendrait pas me rechercher ... Tout ce qu tu avais à faire c'était de me télégraphier le fric ...... Mais tu as tout gardé pour toi! ..." ricana son ex complice."

John ne pouvait que rester assis à écouter les accusations de son ex comparse.

- "Ecoute moi bien Johnny ..... Je vais te faire une proposition ...... je voudrai bien recommencer des affaires dans le coin ..... mais j'au-rai besoin d'une bonne couverture .... Quelqu'un qui porte un nom respecté ...... Comme la personne que j'ai devant moi .... Qu'en dis Johnny? ..... t'a's une bonne réputation .... .

Assis sur un baril de poudre, John ne pouvait qu'opiner :

- "Bien sur .... Bien sur ..... Comme tu voudras Carl!.... "

- "C'est bon ..... J'ai ici quelques papiers que tu vas me signer ....J'ai pris la liberté de les préparer auparavant ..... Tu seras mon homme de paille pour ma nouvelle société appelée "Fantasmes Filmés" ... je vais me faire quelques billets avec ce que j'ai en tête ..... Les gens paieront pas mal de fric pour avoir ce que je propose ...... Ouai les gens paieront pour voir d'innocentes jeunes femmes se faire violer et dégrader ....... Obligées à coucher avec de nombreux ados noirs ..... " l'informa Carl.

Yeux braqués sur les formulaires, John n'avait pas d'autre choix que les signer sans même savoir ce qu'ils contenaient même s'il doutait pouvoir y injecter l'argent nécessaire.

Enfin ça lui permettait déjà de se tirer d'affaire sans se faire estropier ou tuer par ses sbires, conjoncturait John bien qu'il sache que les ennuis s'accumulaient sur sa tête.

Comme le géant tendait la main vers lui ricanant :

- "Sers moi la main partenaire " il avala sa salive et étreignit ferme-ment la main de l'ex détenu.

Surpris il l'entendit alors s'esclaffer :

- "Maintenant que les contrats sont signés, il est temps de te montrer notre première production!... Son titre est : "Une salope blanche paie les dettes de son mari!...."

Carl se rendit alors compte qu'ils se trouvaient dans une salle insonori-sée, muni d'un miroir sans teint qui allait leur permettre de suivre les ébats des acteurs.

D'une chiquenaude sur le commutateur il alluma les hauts parleurs. Puis la salle fut plongée dans le noir alors qu'une lumière s'allumait dans la pièce adjacente.

Une jeune blonde tenant l'ardoise annonçant la production souriait dans leur direction. Dans son dos une chambre bourgeoise meublée d'un grand lit.

- "C'est Connie qui est chargée de recruter les actrices pour nos productions..... C'est moi qui choisit les gaillards qui vont jouer avec ces beautés" l'informa Carl.

Puis Carl saisit le micro et dit :

- "C'est bon Connie .... Fais entrer les jeunes acteurs du show ....."

Trois noirs musculeux, en costume d'Eve, paradèrent devant le miroir. John ouvrait des grands yeux stupéfaits :

- "Bordel ... Où Carl avait-il bien pu trouver ces gars!.....Bordel ils ont tous une bâte de base-ball en guise de bite ...... Putain si j"avais la moitié de la taille de leur queue je serai déjà heureux comme tout!....." pensait-il abasourdi.

Alors que les trois gaillards se branlaient machinalement, Connie était sortie de la pièce. Carl expliqua :

- "Elle est partie chercher la ravissante vedette de notre première production porno.... j'espère que tu apprécieras cette jeune beauté Johnny ... On dirait un bonbon crémeux ..... Une fille innocente ..... Vraiment naïve en fait ...... Elle n'a couché qu'avec son mari depuis son mariage l'année dernière ..... Elle va avoir une sacrée partouze ....."

John haleta, frôlant l'arrêt cardiaque, à la vue de sa femme qui était amenée à contre coeur dans la chambre par une Connie triomphante.

Bouche grande ouverte il avait les yeux rivés sur la scène, Il entendit son sacarstique ex complice dire :

- "N'est-elle pas mignonne hein Johnny? .... 24 ans... Regarde l'an-neau à son doigt .....Visiblement elle est mariée à un partenaire qui lui donne assez de plaisir!.....Eh ...."

Avalant sa salive, pantelant de peur pour son adorable femme, John ne savait ni que dire, ni que faire alors que Carl poursuivait :

- "Regarde moi ça Johnny, quel beau morceau ...... Eh oui mec .... Je l'ai testée moi-même .... Dans le lit qu'elle partage avec son petit blanc de mari ....Bordel .... J'aurais aimé que tu l'entendes couiner quand j'ai enfoui ma grosse bite dans son étroite petite chatte .... On aurait dit un cochon qu'on égorge .... Mais une fois que j'ai mis en route, elle s'est réjoui de se faire fourrer la chatoune par une belle grosse queue noire!..."

Dans l'attente de son destin fatal, Shannon avait bue la boisson que Connie lui avait donnée.

Elle avait senti alors une certaine euphorie l'envahir, ne se sentant plus la même. Une vague de chaleur parcourait son corps des pieds à la tête, la chaleur gagnait son entrecuisse alors que ses sécrétions jaillissaient poissant le fond de sa petite culotte.

Elle savait pourquoi Connie l'avait amenée ici, Connie lui avait dit carré-ment qu'elle allait se faire baiser.

Elle savait qu'une bite allait la pénétrer, qu'un homme autre que son mari allait la posséder, Elle espérait que ce serait encore le dénommé Carl.

Mais au moment d'entrer dans la chambre, ses jambes se paralysèrent à la vue des trois musculeux gaillards noirs qui l'attendaient, chacun d'en-tre eux doté d'un imposant outil entre les cuisses.

Elle essaya de se retourner pour s'enfuir, mais Connie la tenait ferme-ment, et une voix familière résonna lui dictant ses instructions.

- "Bonjour chérie .... Ces trois gaillards sont là exprès pour toi .... Regarde leurs grosses bites ....Maintenant montre leur combien t'aime les grosses queues noires.

Réfrénant ses larmes, Shannon sentit les doigts de Connie déboutonner l'agrafe de sa robe dans son dos, puis elle descendit la fermeture éclair jusqu'à ses reins.

Comme elle se redressait pour faire passer la robe au dessus de ses épaules, Shannon ne savait pas qu'elle se donnait en spectacle à d'au-tres que le caméraman, Connie et les trois étudiants noirs.

Derrière le miroir Carl, ses deux gardes du corps et son propre mari la mataient.

John Cumberland ne parvenait pas à croire ce que l'ex-détenu venait de lui confier, qu'il avait couché avec Shannon il y a peu.

En voyant l'élégante robe noire chuter aux pieds de sa femme ils vite les acteurs empoigner leurs bites alors que Shannon se tenait face à eux vêtu d'un soutien gorge en dentelle et de sa froufroutante petite culotte.

- "Elle n'aura pas à tous les subir ..... Pas ensemble! ..." s'inquiétait John.

Lorsqu'il la vit se débarrasser de son soutien gorge exposant ses nibards tout roses, John les entendit apprécier le spectacle :

- "Oooooo ..."

- "Quelle belle paire!..."

Puis elle roula sa petite culotte sur ses chevilles sous les encourage-ments des trois gaillards déchaînés. Il sembla à John qu'elle n'agissait plus tant que ça à contre coeur, comme lorsqu'on l'avait introduite dans la chambre.

Il la vit quitter ses chaussures puis Connie la mena vers ses futurs amants.

John se refusait à en croire ses yeux lorsqu'il entendit Connie faire les présentations :

- "Les gars, je vous présente Shannon, elle est ici pour répondre des dettes de son fou de mari..."

John avala sa salive, sachant qu'il ne pouvait rien faire pour arrêter ce qui advenait, qu'il allait être le témoin de la souillure de sa femme qui al-lait payer de son corps pour son escroquerie.

Sa mâchoire tomba en entendant Connie poursuivre :

- "Shannon, voici Bill et John. ..."

Les deux premiers hommes présentés, John vit que Connie plaçait les mains de sa femme sur leurs grosses queues ... Il vit les doigts de son épouse se refermer sur les fûts ébène et se mettre à les branler vigou-reusement.

Comme le troisième homme faisait un pas en avant , Connie le présenta :

- "Et voila Willie! ..."

Comme elle avait les deux mains occupées, John comprit qu'elle allait satisfaire ce troisième homme d'une façon tout à fait différente, alors que mains posées sur ses épaules Connie la forçait à s'agenouiller.

C'était était totalement inconcevable pour John et pourtant sa jeune épouse si prude tendait une langue frétillante sur le gland turgescent.

- "Mon Dieu .... Elle se comporte comme une petite pute!.... Elle tend la langue sur sa bite ..... Elle a toujours refusé de poser la langue sur ma queue en dépit de mes supplications!....." frisson-nait-il.

La tête entre les mains de l'homme qu'elle suçait, Shannon continuait à branler les deux autres qui la soulevèrent et l'allongèrent sur le grand lit.

- Tout en faisant une pipe à Willie, Shannon sentit une des hommes qu'elle branlait se glisser sous elle promenant son gland dans sa fente entrouverte.

- "Mmmmmmmmmmmm ..... Mmmmmmmmmmm!...." grogna-t-elle alors que Willie reculait sa bite enfouie dans sa bouche, alors qu'une autre bite explorait sa chatte juteuse.

Elle posa les mains sur la taille de l'homme qu'elle suçait alors que la bite dans sa chatte continuait son expertise.

Elle trembla alors de peur en sentant l'homme posté dans son dos poser son gland sur son oeillet frémissant, elle n'avait jamais été enculée et elle avait mortellement peur de devoir subir cet acte dégradant.

L'homme elle suçait se sentait concerné, Carl et Connie les ayant préve-nu qu'ils pariaient que la jeune femme était vierge du cul.

En voyant le signe de tête que lui faisait Bill, Willie lui saisit ses longs cheveux soyeux et se retira de sa bouche, juste le temps que Bill lui casse le cul

- "Aieeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee.......Nonnnnnnnnnnnnn ...... arrê-tez ...... J'ai mal ...... Si maaaaaaaaaaalllll ...." se lamentait la jeune femme angoissée.

Ce ne fut que lorsque Shannon exprima humblement sa douleur, que Willie se replanta dans sa bouche avide.

Cela dura des heures et des heures, ses amants échangeant leurs posi-tions, afin de goûter à tous ses charmes.

Chatte, cul, lèvres eurent tous droits à de bonnes doses de foutre cré-meux de la part de chacun des étudiants.

Ressentant les effets de la drogue, elle finit par s'évanouir épuisée, Shannon ne sut rien de l'acte dégradant auquel dut se livrer son mari sous la menace de se faire briser les bras par les deux sbires de Carl.

Alors que Carl s'agenouillait face à son visage, John Cumberland dut sortir sa bite et le branler jusqu'à ce qu'il éjacule sur son visage, ses che-veux, son cou ....

Même si savoir que l'ex détenu avait assouvi ses appétits de luxure avec sa petite femme l'avait profondément humilié, ce n'était rien à coté de ce qu'il ressentait après ce qu'il venait de lui faire subir.

C'était à son tour, alors que sa jolie femme se faisait baiser dans la salle contiguë de se faire tapisser le visage avec du foutre glaireux.

Il avait senti l'odeur de transpiration émanant du corps de Carl alors qu'il éjaculait sur sa figure.

Sa trique s'était ramollie sous les sarcasmes des hommes de main. Sa bite ne mesurant que la moitié de la taille des acteurs qui venaient de s'envoyer sa femme, John se sentait gêné, déplacé.

Alors qu'il pénétrait son con marécageux, un des hommes railla :

- "J'espère que je ne me noierai pas, mon gars ....."

En fait, la lumière de la chambre était toujours éteinte lorsqu'il se vidait dans le ventre de sa femme. Il n'avait jamais vu sa chatte béante, pendant ce temps, son amant momentané voyait glisser sa bite hors du cloaque sans avoir éjaculé, sa chatte était vraiment trop engorgée de foutre.

Quelques heures plus tard, ayant laissé le temps à Connie d'assister Shannon pour se nettoyer, puis de rentrer à la maison, John Cumber-land se rangea dans l'allée de son garage.

Se dirigeant tranquillement vers la chambre conjugale, il vit son adorable petite femme blottie sous les couvertures.

Il se rendit dans la salle de bain pour prendre une douche, il allait déposer ses vêtements dans la corbeille à linge sale lorsqu'il vit ses sous vêtements noirs.

S'emparant de la petite culotte en dentelles noires, il sentit et vit le foutre tachant le fond du cache sexe.

Le lendemain matin, en se levant, John sentit l'odeur appétissante des oeufs au bacon qui allait de conserve avec celle du café.

S'étant rafraîchi, il descendit à la cuisine et obtint un sourire et un baiser sur la joue, comme tous les jours.

- "Désolé je suis rentré plus tard que prévu chérie!.... Je ne pouvais pas quitter la négociation en cours et il m'était impossible de te passer un coup de fil!....

- "C'est rien chéri ..... J'ai été prise moi aussi ..... Quelque chose d'inhabituel m'a retenu .... Quelque chose de plutôt osé....;."

FIN DE L'EPISODE

Coulybaca avec l'aimable autorisation de l'auteur

Black Demon.

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