Une semaine en Ecosse

BÊTA PUBLIQUE

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Un léger clic m'indiqua l'ouverture du cadenas de ma cage, libérant ainsi mon sexe qi se mit à bander immédiatement. Maitresse me dit de bien en profiter et à son ton, je compris que j'allais souffrir de là. Me terrifiant, Elle me dit n'avoir pas encore pris la décision de savoir ce qu'Ils allaient en faire, même si je ne devais pas avoir trop d'espoir, car Elle adorait débiter un pénis en rondelles. Mais en attendant, il Leur permettait de bien me faire souffrir. Joignant le geste à la parole, je sentis une main gantée saisir mon sexe, le tirant sans ménagement. Il fut plongé dans une eau glacé, me faisant sursauter, et le faisant se recroqueviller. Une fois séché, je sentis un anneau coulisser et se positionner à la base du prépuce. Puis, une à une, 6 points furent vissée pour le maintenir en place. La sensation n'était pas désagréable au début, mais une fois les 6 points bien en place, Maitresse refit un tour de vis supplémentaire pour chacune, les enfonçant profondément dans mes chairs délicates. Je pleurais mais sans l'apitoyer. Elle discuta avec Maitre de l'opportunité d'un second tour, et ils décidèrent que oui. La souffrance fut atroce, les vis pénétraient profondément dans mon sexe et comme le fit remarquer Maitresse, se touchaient presque deux à deux au travers de ma chair maltraitée. Mais je n'avais encore rien vu : pour s'amuser Maitresse me caressa doucement les couilles et le sexe, et les cachets aidant, je sentis une érection monter inexorablement, faisant gonfler mon sexe et mon prépuce, provoquant une douleur insupportable.

Je hurlais malgré mon bâillon que j'avais gardé, essayant maladroitement de calmer mon érection. Maitresse me dit se caresser en même temps qu'Elle me faisait bander, jouissant de mes cris et de mes souffrances. Je la sentis jouir tandis qu'Elle tirait fortement sur mon sexe, m'arrachant des cris d'agonie. Je ne doutais plus qu'Elle me découperait le sexe en morceau, rien que pour Se faire jouir. J'avais croisé la vie d'une folle sadique. Mon consentement initial était factice, elle faisait de moi une victime non consentante.

Maitre pris sa place et m'expliqua qu'il allait s'occuper de mes couilles et de mon cul. Pourtant celui-ci était monstrueusement distendu depuis des heures, je ne pensais pas qu'il était possible d'en faire plus. Il prit une fine cordelette, la nouant à la base des couilles puis la faisant passer entre les deux pour bien les séparer. Il disposait maintenant de deux grosses noix avec la peau très tendue. Il rit à mes sursauts tandis qu'Il les pressait mais ce n'était qu'un apéritif. Avec dextérité Il empaqueta chacune des couilles comme un rôti avec une cordelette coupant chacune des couilles en 4 morceaux, créant une tension intolérable dessus. La douleur me fit oublier toutes les autres, je cru qu'elles allaient éclater. Ils décidèrent du poids à appliquer, et je cru qu'Ils bluffaient en m'annonçant s'être décidé sur 5 kg suspendus aux cordelettes pour chaque couilles. Soit j'étais un bon sujet et je les supportais, soit ce n'était pas le cas et les couilles se détacheraient et cela n'aurait aucune importance, je serais jeté dans une décharge publique.

Je pleurais doucement, je ne pouvais rien faire, Ils ne plaisantaient pas du tout, je le savais à leur férocité. Je retrouvais les scenarios que j'avais écrits et que je leur avais envoyés, mais c'était des rêveries. Mes rêves étaient des cauchemars.

La tension du poids sur la première couille me révulsa, je cru perdre connaissance mais hélas il n'en fut rien. Je tremblais de tous mes membres, attendant la seconde tension qui fut encore plus douloureuse. Je rêvais à cet instant que mes couilles se détachent, n'importe quoi, mais que cela cesse. Evidemment cela ne cessa pas.

Je sentis à peine la ceinture maintenant le pieu monstrueux en moi se défaire, ni celui-ci sortir de mon trou définitivement béant. Je ne remarquais rien, perdu dans une fièvre de douleur. Maitre installa une fuck machine très puissante bien en face de mon trou, et y fixa le pieu après l'avoir bien huilé. Il vérifia le bon alignement et lança le moteur pneumatique de la machine. Je sentis alors mon fondement se faire envahir profondément, jusqu'à ce que le pieu cogne au fond, puis déjà se vider, comme aspiré. Progressivement la vitesse augmenta, mais la profondeur resta la même, je me faisais défoncer alors que mon cul était déjà tout cassé et brisé par ces heures de dilatation. Je ne savais plus où j'avais le plus mal, d'autant que mon sexe fut attaché à la machine, et étiré à chaque fois que le gode sortait de mon cul, enfonçant sadiquement les pointes dans mon prépuce déchiré.

Maitre vint se poster devant moi, me forçant à relever la tête, il m'urina longuement, sans que je ne perde une seule goutte, bien conscient que je jouais là ma vie. D'autant que j'avais très soif à force de crier. J'étais faible, violenté de toutes les façons, et je ne pensais qu'à le satisfaire en buvant tout. La tête me tournait, sans doute du jeûne, mais aussi des drogues qu'Ils m'avaient données. Maitresse défit le bâillon anneau que je portais, me soulageant à peine puisque mes muscles étaient tétanisés. En prenant son temps, Elle m'enfonça un bâillon en forme de sexe, qui alla au-delà de ma glotte et s'enfonça dans ma gorge. Je devais me concentrer pour respirer correctement par le nez, la sensation était paniquante. Il fallut à nouveau serrer fort le bâillon autour ma nuque, je ne savais plus à quel tourment me consacrer. Maitresse me susurra dans l'oreille, sous ma cagoule dégoulinante de sueur qu'Ils viendraient voir dans quel état j'étais dans 12 heures, pour me libérer au plus tôt dans 24 heures. Je ne pouvais rien répondre à cela, juste m'enfoncer dans ma solitude masochiste.

***

J'avais tenu les 24 heures, mais je ne savais pas comment et surtout ne m'en rappelait absolument pas. Je me réveillais dans une cave sans lumière, allongé sur un lit en pierre, et sans surprise, totalement entravé. Je sentais à peine mon corps, flottant dans les vapeurs opiacés, rempli de ce bonheur d'être en vie. Certainement pas sauvé, mais en vie. J'étais ivre d'amour pour mes tortionnaires, rien qu'à Leur pensée je sentais mon sexe s'ériger. Hélas l'affreux anneau était encore là et la souffrance procurée toujours aussi terrible. Mais cette fois-ci je la reçu pleinement, ne cherchant pas à calmer l'érection, mais au contraire à la nourrir pour éprouver ma souffrance, Leur offrir cette souffrance.

Après un temps que je n'aurais pu évaluer, Maitresse apparu, sans un mot. Je baissais simplement les yeux pour La saluer, ne pouvant rien faire d'autre. Elle me libéra les mains, les pieds, me fit me redresser, difficilement. J'étais assis sur ma couche dure, et Elle me fit boire un biberon remplit d'un liquide que je n'aurais pu qualifier, dense, nourrissant. J'appris que j'aurais dorénavant droit à un tel biberon par jour. Ce qui me permit de compter le nombre de jours où je resta dans cette cave totalement noire. Une fois rassasié, je ne pu résister et me jetais à Ses pieds pour les Lui embrasser longuement. Je restais ainsi longtemps plein de bonheur, malgré la souffrance terrible de mon sexe gonflé, percé par les pointes sadiques, mais je n'en avais cure. Jamais je ne m'étais senti plus à ma place qu'à cet instant.

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Anonymous
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2 Commentaires
meo75meo75il y a plus d’un anAuteur

Merci . lorsqu'un titre ne contient pas de chapitre c'est qu'il n'aura pas de suite !

AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

Y aura-t'il une suite ?

Ce récit est tellement prenant !

Merci

Rudy

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