Une semaine en Ecosse

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Je pars rencontrer un couple dominant pour une semaine.
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L'avion atterrit en Ecosse, une sourde appréhension m'envahit. Une fois encore j'ai hésité à aller plus loin, et puis quoi, tout ce chemin pour renoncer si facilement? Et mon sexe qui se raidit dans sa cage trop étroite. Je n'ai pas trop le choix, j'ai refermé ce matin le cadenas qui la maintient bien en place. J'ai essayé d'enlever la cage de chasteté de toutes les façons, c'est vraiment impossible et en plus douloureux, car elle est garnie de picot qui irrite ma peau sensible.

J'ai bien entendu suivi les instructions à la lettre. Je suis toujours parfaitement obéissant. Cela fait maintenant deux jours que je n'ai plus rien mangé, je n'ai droit qu'à boire un litre d'eau et la moitié de mon urine à chaque fois que je vais me soulager. Hier et ce matin j'ai pratiqué de longs lavement profonds pour que mes reins soient totalement propres. J'ai dû mettre avant d'embarquer le plug qui m'a été adressé avec la cage de chasteté. Il est vraiment gros, envahissant, mais rond il ne me blesse pas. Cependant je ne pense qu'à cela en permanence. Depuis ces deux jours de jeune j'avale également des pilules qui m'ont été envoyées. C'est une folie car je ne sais pas ce que c'est mais je le fais. J'aime obéir. Mais depuis je plane, je suis incroyablement bien, même si je ne dors plus. Je supporte sans doute bien le plug grâce à ces pilules, parce qu'en temps normal, au bout de quelques minutes je n'aurais pas pu tenir plus.

Je suis monté dans l'avion sans aucun bagage, j'ai sur moi mes chaussures sans chaussettes, mon jean sans rien en dessous, une chemise, mon passeport et mon billet. Bien sur ma cage de chasteté, mon plug bien vissé, et mon envie démentielle.

J'ai croisé ce couple sur un chat bdsm, et la relation a pris en quelques messages. Ils cherchaient à réaliser des folies et ne pouvaient mieux tomber que sur moi. Et j'ai eu la chance de leur plaire, malgré le fait de ne plus être tout jeune. Ils ont aimé mon corps, mes muscles, ma carrure, mon côté très viril à anéantir. Surtout ils ont aimé que je sois totalement obéissant, ne mettant aucune limite, et que je sois déjà très bien éduqué.

Je n'ai rien demandé d'eux, je sais simplement qu'Elle a 36 ans, et lui 45 ans, et qu'ils semblent très aisés compte tenu d'une photo du lieu où je vais, que j'ai pu voir. Mais pour le reste, je ne me suis pas permis de poser de question, et comprenant rapidement à qui Ils avaient à faire, Ils ne m'ont pas permis d'en poser. J'ai simplement reçu un billet d'avion par email, et les instructions allant avec.

J'ai dû poser des jours en catastrophes, Ils ne s'étaient même pas interrogés sur mes disponibilités. Mais qu'importe, je suis un esclave, je suis là pour obéir, et Leur façon de faire m'a totalement emballé, c'est pour cela que je suis ici maintenant en train de faire la queue à la douane d'arrivée.

Je reçois un sms avec un numéro de parking, c'est là que la voiture m'attend. Je connais les instructions, et cela m'excite. Je peine un peu à trouver le parking. La voiture est dans un endroit retiré, il y a très peu de monde. Le coffre est ouvert, il est vide ou presque. Je me déshabille sans même prendre garde si je suis seul, c'est rapide. Puis je cherche à tâtons dans le coffre, j'en retire une cagoule en latex que j'enfile difficilement, je ne vois plus rien, je panique un peu avant de trouver les trous pour la respiration. Le bâillon boule trouve rapidement sa place, je le sers très fort comme demandé. Les menottes sont là, c'est ma dernière possibilité de reculer. Pourtant je n'hésite pas, mon premier poignet est cadenassé, mes mains dans le dos, je galère un peu pour fermer la seconde partie des menottes, me voici sans défense, m'étant moi-même jeté dans la gueule du loup.

J'aime cette folie, cette perte totale de contrôle. Je rentre en aveugle dans le coffre, je ne vois rien. Je sens la ficelle mise à mon intention, je claque le coffre, m'enfermant dans un silence noir. Je ne sais où je vais, ni avec qui. Et pendant un long moment je me demande même si je vais aller quelque part. Le demi-sommeil, qui m'accompagné depuis deux jours avec ces cachets que je prends de façon très scrupuleuse, me rejoint. J'ai l'impression qu'il s'est écoulé des heures lorsque j'entends des talons de femme s'approcher, des voix échanger, deux portes claquer. Un instant de doute, puis le moteur qui démarre, je suis en route vers une semaine d'enfer.

***

Je n'avais aucune idée de l'heure, je ne voyais de toute façon rien du tout. La douleur dans les bras était très forte, tout comme celle de mon anus distendu. Je me demandais s'il resterait ainsi toujours béant, en ignorant que mes tortionnaires iraient beaucoup plus loin encore dans la béance de ma chatte comme ils l'appelaient.

La voiture s'arrêta après des bruits de graviers, les portes s'ouvrirent, le silence m'envahit à nouveau, le temps recommença sa course folle. Puis j'entendis le coffre s'ouvrir, deux bras forts m'aidèrent à m'extirper, je flageolais sur mes jambes, les pieds cisaillés par le gravier coupant. Un large collier que je devinais en métal fut serré à mon cou. Il était ajusté, je comprenais les dimensions qui m'avaient été demandées : il était fortement serré en pressant un peu mes carotides, mais pas assez pour m'étrangler. Mais la sensation était paniquantes, je respirais pour garder le contrôle. Un clic et l'engin fut verrouillé. Une chaine y était accrochée, et la traction qu'une main, que je ne connaissais pas, créa, me fit partir vers l'avant. Je suivais tant bien que mal le chemin qui m'était montré, aucun mot n'avait été prononcé (moi je ne pouvais pas avec mon bâillon dans lequel je bavais très fortement), je ne voyais rien, ma tête tournait, j'avais envie de pleurer, de me lover dans ces bras réconfortants. Ce n'était pourtant pas le programme. Un fort sentiment de déréliction me prit.

Après avoir monté des escaliers en pierre, être entré dans la demeure, nous étions montés à l'étage, avec des tapis qui recouvrait les dalles froides qui apaisaient les brûlures de mes pieds. J'entendis une lourde porte s'ouvrir et toujours suivant aveuglément la tension de la chaîne que ma Maitresse tenait (j'avais repéré qu'il s'agissait d'Elle au martèlement de Ses talons), nous entrâmes dans ce qu'il me semble une grande pièce. Sans ménagement je fus courbé sur une sorte de cheval d'arçon, me forçant à me plier, me mettant sur la pointe des pieds. Mes chevilles furent attachées solidement à la base, puis ce fut le tour de mes poignets, très écartés, et la chaine de mon collier fut également fortement tirée, m'interdisant de relever ma tête d'un seul centimètre. De toute façon je ne voyais rien. J'étais ainsi le cul exposé, sans doute ridicule avec la base du plug émergeant de mes fesses, et mon pauvre sexe encagé pendant inutilement. Ma tête tournait, j'entendais des glissements, je ne pouvais absolument plus rien faire.

J'entendis la voix de ma Maitresse pour la première fois, complimentant Maitre sur Son choix, et se délectant de me faire souffrir ainsi sans fin. Puis leurs échanges me glaça le dos. J'entendis Maitre expliquer à Maitresse qu'il disposait de toutes mes coordonnées, et que Lundi Elle appellerait mon employeur, en se faisant passer pour ma mère, indiquant que j'étais décédé dans un accident de moto. A mes parents ils avaient envoyé un texto de ma part indiquant que je partais quelques semaines en maison de repos suite à un surmenage et que les visites m'étaient interdites. Dans quelques jours Maitre irait à mon domicile pour tout fermer, et envoyer une résiliation de mon loyer à mon bâilleur, il cita le nom, le montant de mon loyer, ainsi que nombre de détails que je n'avais jamais fourni. J'étais pétrifié de terreur. Elle conclut avec une voix pleine de perversion et de joie contenue que personne ne savait que j'étais ici, personne ne m'avait vu monter dans leur voiture, et que ma disparition resterait un mystère comme bien d'autres. Se tournant clairement vers moi Elle me parla :

« Nous allons te dresser à être Mon parfait esclave. Tant que tu te comporteras comme nous l'attendons tout ira bien. Sinon il t'en coutera gravement, sachant que nous avons le droit de vie et de mort maintenant sur toi. Souviens-toi de ce que tu nous as écrit sur tes désirs. Nous t'offrons d'aller bien au-delà, ceci étant tu n'es plus en position de donner ton avis. Tu as cru que c'était un jeu, cela l'est mais pour nous seulement, pour toi... C'est bien autre chose. Tu vas découvrir progressivement ce que nous avons envie de faire de toi, et je suis sûre qu'à l'arrivée cela va te plaire. »

Et Elle se mit à rire, tandis que je gémissais dans mon bâillon. Je les entendis se caresser et commencer à faire l'amour, lorsqu'Elle l'interrompit, lui demandant de corser un peu l'environnement sonore. Evidemment je ne compris pas que ce serait à mon détriment. Maitre ôta mon plug délicatement me faisant pousser un soupir de soulagement. Je Le sentis me nettoyer l'anus très sensible d'une serviette, avant de me le tartiner d'un gel épais. Mon repos ne serait que très court. Lorsque je sentis le contact de l'objet, je me mis à paniquer, il était dur, très épais, jamais il ne passerait. Il s'agissait d'un cylindre en bois ou autre, très dur, et d'une épaisseur que je n'avais jamais avalée ou presque. Maitresse me rappela que je Lui avait dit un jour dans nos échanges avoir pris un gode de 8 centimètres mais que je ne l'avais supporté que quelques instants. C'était cette taille que Maitre enfonçait maintenant inexorablement dans mon cul déjà maltraité.

Je hurlais dans mon bâillon, sans pouvoir bouger ni me défendre. Maitre retira un instant l'engin, me permettant de respirer un peu. J'aurais voulu les supplier, mais je ne pouvais rien faire, rien dire, tandis que l'engin revenait déjà me fendre en deux. La douleur était intolérable, j'attendais le renflement du plug pour être un peu soulagé, mais celui-ci ne vint pas : il s'agissait d'un cylindre qui était maintenu par une ceinture qui me fut fixée très serrée à la taille, le maintenant en place sans aucun soulagement. Je m'imaginais dans ma position indécente, avec un pieu en bois de 8 centimètre sortant du fondement, hurlant comme un dément. Ils reprirent leurs ébats, Maitresse terriblement excitée par mes cris et mes hurlements, je l'entendis jouir plusieurs fois. Je n'avais plus de voix. J'étais à peine arrivé que j'étais déjà détruit, et terrorisé de ce qui m'attendait. Cette fois-ci j'étais allé trop loin dans la prise de risque. Peut être tout ceci était pour m'impressionner? En même temps ils avaient tant de chose en leur connaissance que j'en doutais.

Je n'entendis plus de bruit, Ils semblaient s'être endormis, oubliant leur chose horriblement dilatée. J'aurais voulu comme Eux dormir, mais cela m'était impossible, je pleurais dans ma cagoule de latex.

***

Combien de temps s'était-il passé? Impossible de le savoir. J'aurais cru que la douleur s'apaiserait, mais elle était au contraire de plus en plus présente, délirante. J'entendis des mouvements derrière moi, les lanières de mes poignets et de mes chevilles furent retirées sans un mot, ma chaine détachée. J'étais courbaturé. Une tension sur la chaîne me fit comprendre que je devais me mettre à 4 pattes. Maitresse m'enleva mon bâillon, ma bouche resta ouverte, incapable de la refermer. Je l'entendis me dire qu'à force de porter des bâillons de plus en plus larges, mes muscles s'adapteront et que je resterais ainsi la bouche définitivement ouverte.

J'appris qu'avec l'aide d'un chirurgien, j'aurais de petites cales au fond des dents pour bien bloquer cette mâchoire devenue ainsi inutile. Elle ne le vit pas, mais je pleurais sur mon sort, tandis que l'effet des médicaments rendit mon sexe terriblement dur dans sa cage d'acier. Maitresse rit en s'en apercevant et m'appris que ma cage serait recouverte de pointes acérées à l'avenir. Ma bouche était sèche, je sentis une chaleur s'approcher de mes lèvres, et je devinais rapidement de quoi il s'agissait. Cela me fit l'effet d'une douceur incroyable tandis que le jet chaud se mit à me couler dans la gorge. J'avalais à toute vitesse, me désaltérant avec joie. Maitresse m'indiqua que je n'aurais plus jamais aucun autre liquide que leur champagne à Elle et à Maitre, sauf bien sur l'urine d'autres animaux. Je ne savais comment interpréter cette restriction.

L'urine me réchauffa le cœur, où en étais-je pour être dans cette abjection. Obéissant, je léchais doucement le sexe de Maitresse pour bien la sécher. Elle se retourna et je compris sans peine ce que je devais faire. Je sortis le plus possible ma langue et la léchais profondément. Etait-ce exprès, Elle était très sale, et le goût amer remplit rapidement ma bouche. Je me dis qu'il ne fallait surtout pas qu'Elle s'aperçoive de mon dégout et je léchais avec application, rendant bientôt son cul tout propre. Puis ce fut au tour de son sexe qui débordait du sperme de Maitre. Je me sentis flatté de pouvoir ainsi la nettoyer et c'est avec joie que j'avala le sperme de Maitre. Maitresse s'en rendit compte et me traita de bonne chienne. Tout ce temps m'avait détourné de ma souffrance, et alors que j'allais supplier, je L'entendis me dire, sans doute avec prémonition, que je n'avais aucun droit à la parole. En aucune occasion. Qu'au premier mot Elle me couperait à vif une couille, et à récidive je serais eunuque. Je sus qu'Elle était très sérieuse, et m'effondrais un peu plus. Je n'étais plus rien, j'étais perdu.

Sadiquement elle enfonça encore plus le pieu en moi, serrant la large ceinture au maximum, mon ventre était coupé en deux. Et pourtant mon sexe était si dur, malgré moi. Mais Elle rit de constater que cela me plaisait et que je n'allais pas cesser d'avoir plein de plaisir ces mois qui venaient. Le dressage commencerait Lundi me promit Elle, en attendant je devais profiter de tous les plaisirs. Je ne voyais pas très bien de quels plaisirs Elle parlait, mais Elle se moquait de moi.

Maitre Lui demanda si Elle était satisfaite de moi, et je fus terrorisé d'entendre qu'Elle préférait le précédent qui pourtant n'avait pas convenu. Qu'était-il donc devenu? Prémonition encore, Maitresse semblait lire mes pensées, Elle m'apprit qu'il n'avait pas été un très bon esclave, et qu'après avoir été opéré en lui remplaçant son sexe par un vagin, qu'il avait été envoyé dans un bordel pour routiers en Argentine. Je n'en croyais pas un mot, mais toujours me devinant, Elle m'indiqua que dans quelques jours quand j'aurais droit de recouvrir la vue, Elle me montrerait les vidéos de l'opération et des vidéos de sa situation actuelle. A Son ton, je savais qu'Elle ne mentait pas, mais j'étais surtout préoccupé de ne pas pouvoir voir avant quelques jours m'avait-Elle dit.

Mes bras furent retournés dans le dos, par Maitre, qui me les tordit très fort jusqu'à ce que mes coudes se touchent. Je ne pensais pas cela possible, je criais de douleur tandis qu'une sangle les maintint dans cette position particulièrement inconfortable. Maitre me dit de me calmer, tandis qu'il enfonçait dans la bouche distendue un très large anneau la maintenant totalement béante, l'anneau étant de fort diamètre, je retrouvais la douleur qui m'avait quittée quelques instants plus tôt. Mis à genoux, je sentis le sexe de Maitre pénétrer ma gorge. Il n'était rien que je puisse faire, et j'étais frustré de ne pouvoir le lécher comme j'aurais aimé le faire. Maitre m'utilisait comme une poupée, me coupant régulièrement l'air, et me tenant par mes oreilles. Maitresse se moquait de la chienne que j'étais et demandait à Maitre ce qu'Il pensait de son vagin artificiel. Maitre appréciait que je cherche à le lécher de toutes les façons, et je crois que cette fois-ci je marquais des points. Je sentis son sexe grossir encore un peu plus, mais l'anneau était vraiment large et malgré la taille de Son engin, Maitre circulait facilement dans ma bouche. Il jouit doucement, assez peu, ayant déjà rempli le sexe de Maitresse de son jus épais.

A peine fut Il reposé, qu'à Son tour Il m'utilisait comme toilettes, je le bus à gorge déployée pour ne pas en perdre une goutte, j'étais certain sinon d'être puni. De toute façon je le serai mais je voulais leur faire plaisir au maximum, c'était devenu pour moi une clause de survie. Maitre fut satisfait, et j'appris avec soulagement que dans le cas contraire j'aurais reçu le gode de taille supérieur. Mais ce n'était que partie remise. Peu importait, déjà je ne pouvais pas supporter cet engin au fond de moi.

Maitre me fit avaler deux cachets, sans que je sache de quoi il s'agissait, mais très vite la tête me tournait, je perdais le sens de la réalité. La chaine de mon collier fut attachée à un treuil, puis tirée vers le haut, jusqu'à ce que je ne touche le sol qu'avec la pointe des pieds en équilibre. La douleur dans la nuque était terrible, et le sang battait à mes tempes. Je grognais des mots incompréhensibles attisant le rire de Maitresse. Elle m'indiqua que je ne pouvais le voir, mais qu'Elle faisait des photos de moi, et que j'aurais beaucoup de succès avec ma page slavebook. Bien sûr pour l'instant avec ma cagoule je n'étais pas reconnaissable, mais Elle avait mis les photos de moi que je lui avais envoyées. Ainsi je pourrais avoir de nombreux fans qui me suivront. Je savais qu'il s'agissait d'un site de présentation d'esclave, mais pour moi cela avait tout du fake, je n'y avais jamais vraiment cru, même si cela avait nourri de nombreuses nuits de fantasmes. Et d'un coup d'un seul, j'étais au centre. J'avais bien sur rêvé de cela, mais de là à le vivre, jamais je n'aurais osé. Et là je n'avais plus le choix.

Je sentis le coup avant d'entendre le bruit bien reconnaissable de la badine. Le cri que je poussais était pitoyable. J'avais le ventre coupé en deux. Déjà un second, puis un troisième coup, Ils se mettaient à deux pour me marquer. Je ne pouvais pas bouger au risque de m'étrangler, et je cessais rapidement de lutter contre la souffrance, je ne pouvais rien y faire, aussi, porté par les opiacés qui m'avaient été donnés, je me suis mis à accepter, à désirer cette souffrance. J'avais une terrible envie de me caresser, mon sexe cadenassé bondissait en dehors de sa cage. Certains coups me faisaient plus bondir que d'autres, mais cette féerie dura un temps infini. Seul mon dos, protégé par mes bras, fut épargné. Le constatant, Maitre me détacha les bras pour les passer devant, et Ils se mirent à marquer aussi mon dos. Je comptais 120 coups, en pleine euphorie sans doute mélange des endorphines du corps et des opiacés. Maitresse apprécia mon érection, en fit la remarque à Maitre. Ils discutèrent longuement s'il fallait ou pas me couper le sexe, j'écoutais hébété de douleur, de plaisir, de désir, sans plus réagir.

Maitresse me demanda si j'avais envie de continuer les coups. Je savais qu'il fallait répondre oui, et de toute façon j'en avais profondément envie. Ma réponse la satisfit, et les coups retombèrent sur tout le corps. Avec une cravache, Elle visa mes couilles, frappant devant plus fort et riant de mes cris et de mes bonds inutiles. Elle m'intima l'ordre de ne plus bouger, et j'obéis malgré les terribles souffrances. A nouveau Elle me demande si j'avais envie de continuer, et sans cesse je dis oui. Je voulais tout Lui donner, je n'avais plus de limite. Je m'évanouis, totalement ivre d'émotions.

***

Revenu à moi par quelques claques violentes sur le visage, je fus détaché pour être installé sur un meuble bas en bois : mon torse et ma tête reposaient sur le dessus, tandis que j'étais à genoux par terre, maintenu dans une position en levrette. Mes bras furent attachés dans le dos, par une sangle réunissant mes deux coudes, tandis qu'une large ceinture serrée très fort, maintenait mon dos au meuble qui devait être fixé au sol car il ne bougeait pas du tout. J'étais forcé de creuser mes reins tant la ceinture rentrait dans mes chairs. Mes genoux furent attachés à la base du meuble, bien écartés, la position était très inconfortable. Mon esprit était totalement embrouillé, je flottais dans une sorte d'ivresse.

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