Viols lors de la crosière inaugural

BÊTA PUBLIQUE

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Ses collants noirs aussi étaient déchirés, ils rejoignirent son soutien-gorge dans son sac. Elle ne pouvait qu'espérer que Brad ne remarquerait pas ces changements dans sa tenue.

Elle remit sa robe noire, et se chaussa avant d'ouvrir la porte de la ca-bine à quelque pas de la sienne.

Prenant un bon bol d'air, elle se prépara, se força à sourire, Melissa ou-vrit la porte de leur cabine et entra.

Ne voulant pas ravoir à répondre à ses questions, elle mit tout de suite les choses au point, elle pensait que dans ce cas la meilleure défense était l'attaque.

- "Oh chéri, je suis désolée .... J'aurai du te laisser un mot te disant que je sortais un petit moment ..... Je suis allée boire un coca au bar, mais le pianiste était si bon que je me suis assise pour l'écou-ter et que j'ai perdu la notion du temps qui passait!....." mentit-elle sans vergogne.

Elle fut très heureuse de voir que Brad lui souriait et se relevait pour ve-nir l'embrasser, mais elle frémit lorsqu'il la prit dans ses bras, elle se sentait indigne de son amour. Elle chassa ses larmes, réalisant que fort probablement son agresseur l'avait violée alors que son mari était dans une cabine à quelques mètres d'eux.

Le jour suivant fut encore un jour de totale frustration pour Omar, deux beautés insouciantes lui échappèrent de justesse. Sauvées par d'autres passagers qui étaient apparus dans le couloir à l'instant où il allait les agresser.

Cette nuit, il ne pourrait que rêver à ces ravissantes jeunes femmes et se remémorer le plaisir qu'il avait pris à violer la jeune blonde la veille.

Le lendemain après-midi, Omar se pourlécha les lèvres en lorgnant une de ses proies potentielles se faire bronzer étendue sur une chaise lon-gue sur le pont supérieur.

C'était une voluptueuse rousse, avec un joli ton de peau, avec un corps sans défaut. Il dévisageait tous les hommes présents avec insistance cherchant à repérer son compagnon.

Omar avait les yeux braqués sur la jeune beauté lorsqu'elle se retourna sur le dos pour se faire dorer l'autre face. Elle portait un minuscule bikini blanc.

- "Ohhhhhh Je n'ai jamais vu d'aussi jolie rousse auparavant!.... Ca doit être un excellent coup .... Mmmmmmmmm je sens qu'elle va se défendre pour m'empêcher de lui fourrer ma grosse bite noire d'Africain dans son ravissant petit corps!.... " réfléchissait-il en-vieusement.

-

Jetant un oeil sur ses notes, il constata que la jeune beauté avait une cabine au 6ème niveau, au milieu du couloir, la cabine était enregistrée au nom de monsieur et madame John Atkins.

Il remarqua une pastille verte dans les notifications particulières concer-nant le couple, il consulta alors son lexique pour déterminer la significa-tion de cette marque. Il sourit en lisant que ce point vert signifiait qu'il s'agissait d'un couple de jeunes mariés en lune de miel.

La seule cabine libre dans ce couloir, était située entre l'ascenseur et la leur au N° 638. Ce ne serait pas aussi facile que la nuit dernière.

Quitterait-elle un moment donné son mari pour regagner seule sa cabine se demandait-il assez anxieux.

Sa bite palpitait follement dans son caleçon, il avait une envie folle de se faire cette beauté rousse.

Sous son poste de guet, John et Carol Atkins allongés cote à cote se te-naient main dans la main. Leur lune de miel se déroulait au mieux. La noce s'était déroulée sans accros, et ils éperdument épris l'un de l'autre, et ce depuis leur dernière année collège.

Ils avaient quitté le collège ensemble, avaient obtenus leurs diplômes ensemble, ils avaient tous deux un bon boulot et semblait former un couple modèle.

Les quatre premiers jours de croisière, ils se seraient crus au paradis gaspillant leur temps au restaurant d'honneur, mais le plus souvent, ils restaient dans leur cabine à faire l'amour.

La chaleur du soleil augmentant, Carol se dit qu'elle ne pouvait pas s'exposer plus longtemps, elle risquait un coup de soleil.

Soucieuse de ne pas écourter les délices de son mari, elle lui dit de res-ter sur le pont à profiter du soleil, qu'elle allait se changer puis qu'elle irait visiter la galerie d'art.

Elle savait pertinemment que John n'aimait pas ce genre de distraction, ils convinrent de se retrouver à la cabine une paire d'heures plus tard pour se rendre au restaurant français.

Omar commença à saliver en voyant la jeune beauté prendre son sac et sa serviette. Il se dirigea vers le chemin menant aux ponts inférieurs dans l'espoir de voir ses espoirs se concrétiser. Il l'observa se pencher pour embrasser son mari, puis posant la serviette sur ses épaules puis elle traversa la haie de choses longues garnissant le pont.

Si elle se rendait à sa cabine, il avait tout le temps de lui dresser un traquenard, il emprunta rapidement le monte charge de l'équipage.

Il saisit une pile de serviettes disposée à chaque niveau passager, les étendit sur son bras et se posta près des portes des ascenseurs.

Lorsque le signal indiqua qu'il allait s'arrêter au 6ème niveau, suivit du bruit sourd de l'ouverture de la porte, il partit vers la cabine vide.

Il tenait le bras tendu, serviettes pendantes, faisant comme s'il amenait des serviettes dans une cabine.

Comme l'ascenseur descendait au 6ème niveau, Carol ne pouvait réprimer un large sourire en voyant les deux hommes dans l'ascenseur lorgnaient discrètement ses charmes alors qu'ils étaient en compagnie de leurs épouses.

En quittant l'ascenseur, elle sentait leurs yeux collés à sa croupe

- "Désolé les gars, mais mon petit cul n'est plus libre!.... " rigolait-elle intérieurement en prenant le chemin de sa cabine.

Elle savait que ses formes captivaient les hommes et ces deux là ne dé-rogeaient pas à la règle, en la voyant parader dans son minuscule bikini.

Gardant une distance constante entre l'insouciante jeune femme et lui, Omar se tourna de profil pour ouvrir la porte de la cabine sans fournir d'image claire de lui-même.

Il laissa dépasser une serviette qui bloquait la fermeture de la porte, la jeune femme était sur le point de le dépasser, une seconde plus tard il lui covrait la bouche de sa large main et l'entraînait dans la cabine obscure.

Sentant la jeune femme serrée contre lui frémir d'angoisse, il relacha son étreinte la laissant respirer tout en lui susurrant à l'oreille :

- "Apprécies tu ta lune de miel madame Atkins? ..... Un époux atten-tionné ne devrait pas laisser sa délicieuse jeune femme déambuler seule, pas même une seconde ......Il devrait se soucier de la proté-ger à chaque instant ... On ne sait jamais ce qui peut arriver sur un paquebot aussi grand que celui-ci ....... Quelqu'un pourrait entraî-ner sa jeune épouse dans une cabine déserte pour lui faire goûter une grosse bite africaine ....." accablait-il la jeune femme qui se débattait.

Carol était en pleine panique, se débattant de toutes ses forces, cher-chant à lui donner des coups de pieds et à desserrer son étreinte. Elle avait perdu ses sandales dans la lutte, ses coups de pieds n'avaient au-cun effet sur lui.

Elle sentit même qu'il l'entraînait plus loin, elle tomba sur le lit, le corps de son agresseur la recouvrant immédiatement.

La main la bâillonnant lui interdisait de crier.

- "Oh, non ...... Nonn ..... Mon Dieu ...." se disait-elle alors qu'elle le sentait lui arracher son cache sexe, puis son soutien-gorge.

Epinglée sur le lit, , incapable de résister plus longtemps, elle frissonnait de peur.

Ses larmes jaillirent et ruisselèrent sur ses joues, elle émettait des cris voilés, soudain une main entreprit de lui caresser l'intérieur des cuisses.

Elle entendit son assaillant lui enjoindre de ne pas crier si elle voulait re-voir son mari. Elle frissonna alors que la main fureteuse la touchait là où jusqu'ici seul son mari l'avait touchée.

Il la menaça à nouveau et soudain enleva sa main qui la bâillonnait, elle était si effrayée qu'elle éclata en sanglots.

Omar caressait sa tendre jeune chair à deux mains, excité à la pensée de posséder cette beauté aux cheveux roux flamboyants.

Il aimait sa façon de se tortiller alors qu'il lui pinçait les tétons, alors que son autre main empaumait son pubis, un doigt se posant sur son clito si sensible.

Puis pour assommer la tendre jeune épouse, il lui murmura à l'oreille :

- "Bien qu'avec du retard, je vais offrir mon cadeau de noce à la jeune épousée ... Une chose qu'one lui a jamais offert!.... Eh oui ma petite chérie, un vrai homme va te posséder aujourd'hui ....."

Remontant un peu, il disposa sa bite devant sa fentine lisse, la parcou-rant d'un gland suintant. Il poussa sa bite entre ses babines, il adora le cri angoissé qu'elle poussa alors que sa grosse bite s'immisçait dans son étroite petite chatte.

Centimètre par centimètre il s'enfonçait lentement dans le fourreau étroit de la jeune femme qui sanglotait. Il l'agrippa aux hanches se préparant à la défoncer d'un brutal coup de boutoir.

- "Oh s'il vous plait ......Non, je vous en prie ..... J'ai mal ... J'ai trop mal .... S'il vous plait nonnnnnnnn .... Vous êtes beaucoup trop gros ........!..." le suppliai-t-elle misérablement.

Elle ne pouvait que sangloter alors que son épreuve se poursuivait, la douleur au creux de son entrecuisse grandissait encore, la paralysant.

- "Oh mon Dieu ... Que vais-je dire à John .... Il ne voudra plus ja-mais me toucher s'il vient à savoir que j'ai été violée par un nègre ..... Oh mon Dieu dire qu'il me répétait que mon petit bikini était bien trop provocant!..... Il me blâmera à coup sur d'avoir allumé cet homme ..." se tracassait-elle.

L'empoignant fermement aux hanches, il prit son élan et s'engouffra en elle brutalement.

- "Oaieeeeeeeeeee ...... Arrrrrggggggh ....... Nonnnnnnnnn ....... Nonnnnnnn ........ Ohhhhhhhhh ...... Nonnnnnnnn!.... " geignait la pitoyable jeune femme effondrée.

Ses plaintes enchantaient Omar comme le faisait une douce musique, il n'aimait rien de mieux que d'entendre gémir les jeunes femme qu'il défonçait comme des truies. Engagé de moitié en elle, il se retira et s'en-fouit d'un dernier élan définitif que brutal.

- "Oarrrrghhhhhhh ...... S'il vous plait ..... Oh, Je vous en prie ... Arrê-tez .... Arrêtez .....!..." sanglotait-elle de plus belle.

Omar rit, sa bite était maintenant entièrement enfouie dans son ventre, il savait qu'elle n'avait jamais été baisée par une bite aussi longue et épaisse.

Il lui massa le clito du pouce alors qu'il entamait des vas et viens langoureux dans sa chatoune dévastée.

Carol n'avait jamais été prise dans cette position, elle ne parvenait pas à repousser ses sensations enivrantes.

- "Ooh ..... Oh ....... Ohhhhhhh ...... Ohhhhhhhhhhhhh!..." geignait-elle alors que le doigt expert affolait ses sens.

- "Oohhhhhhhh ..... Oh, mon Dieu .... Ohhhhh ....... Nonnnnnnn .... Que m'arrive-til? ..... Mon Dieu, je vais jouyiiiiiiiiir!...." haletait-elle serrant les cuisses sur la bite fureteuse.

Terrassée par l'orgasme elle s'est écroulée hors de service pour un bon moment.

Paniquée elle revint à elle quelques instants plus tard, toujours épinglée sur le lit par la grosse mentule de son agresseur. Alors qu'il reprenait ses allées et venues en elle, elle sanglotait constatant que son corps réagissait mécaniquement s'offrant lubriquement à ses assauts.

- "Ohhh mon Dieu ..... Mon Dieu .... Oh ... Oh ... oh .... Nonnnnn ....' se lamentait-elle, alors que la grosse bite palpitait et battait follement dans son ventre, les ce qu'annonçait ces prémisses étaient facile à concevoir:

- "Ohh Mon Dieu .... Non!..... Non ... S'il vous plait .... Nonnnn .....Ne faite pas ça ..... Ne jouissez pas en moi ...... Je vous en prie ...... S'il vous plait ... Je suis en pleine période de fécondité ..... " le sup-pliait-elle.

- "Ohhhhhh ... Ma chère madame Atkins, tu devrais être honteuse de jouir sous les assaut d'un autre homme alors que t'es en voyage de noce ...... Je sens que je vais te faire couler à nouveau chérie ....... " gronda-t-il la baisant encore et encore.

Lui titillant le clito alors qu'il la labourait furieusement, il savait qu'il amenait cette petite salope juste au point qu'il le voulait, il sentait son corps trembler lorsqu'un orgasme majeur la terrassa à nouveau.

En entendant ses lourds gémissements, il sut qu'elle jouissait à nou-veau, lui agrippant les hanches, il bourra son énorme bitte au fin fond de son utérus lui demandant ironiquement :

- "Ton petit couple avait-il programmé de démarrer sa famille pen-dant cette croisière? ..... Alors laisse moi t'aider ......"

Sur ces mots, Omar s'enfouit au plus profond de son fourreau embrasé et projeta des salves de sperme actif dans son ventre fertile.

Une heure plus tard, la belle Madame Carol Atkins sanglotait assise sur le lit.

Ayant trouvé le commutateur, et la salle de bain, elle avait lié ses vête-ments déchirés sur son corps, ils dissimuleraient ses charmes le temps de regagner sa cabine.

Ses cuisses lui faisaient mal d'avoir été si brutalement écartées, il lui semblait que sa chatte avait été déchirée lors de ce viol brutal. Lorsqu'il eut fini de la baiser de dos, il l'avait retournée et était reparti pour une seconde chevauchée.

- "Mon Dieu, pourquoi ai-je répondu à ses assauts?..." sanglotait-elle, se rappelant avoir verrouillé ses chevilles dans son dos le suppliant de la faire jouir à nouveau.

Elle frissonna en se rappelant les deux flashs lumineux alors qu'elle gisait cuisses grandes écartées sur le lit puis son violeur lui avait dit qu'il l'appellerait lorsqu'il reviendrait à Charleston.

La croisière se terminait dans une journée et ses plans pour se faire une dernière touriste avaient tous échoué pour différentes raisons. Il avait eu plusieurs opportunités, mais à chaque fois d'autres passagers avaient surgis au mauvais moment, le laissant totalement frustré dans la cabine vide.

Ainsi plusieurs innocentes beautés ignoraient à quel point elles avaient proches de se faire violer.

Les chances de se faire une ultime victime le dernier jour étaient quasiment nulles, le navire venait de s'amarrer et l'on déchargeait les bagages. Omar soupira de désappointement, les choses avaient été de mal en pis depuis le cinquième jour de croisière.

Maintenant les invités avaient quasiment tous quittés leurs cabines et flâner sur les ponts attendant le moment du départ.

Omar braqua les yeux sur une jeune beauté aux cheveux bruns, couleur de miel, une jeune beauté sur laquelle il avait flashé dès les premiers jours.

Une jeune beauté qu'il avait rayée de sa liste des proies potentielles étant donné le manque de cabine libre proche de la sienne.

Il l'avait vue plusieurs fois, toujours aussi élégante dans ses vêtements de jour et toujours si sensuelle dans ses petits bikinis.

Aujourd'hui elle portait une robe vert émeraude, visiblement elle se pré-parait à quitter le navire.

Sa bite frémit en observant ses longues jambes, regrettant amèrement de ne pas avoir pu goûter à ses charmes.

Mariés depuis trois ans, Wendy et Peter Anderson avaient posés leurs vacances avec leurs employeurs lorsqu'ils avaient entendu parler de la croisière inaugurale programmée au départ de Charleston.

Agés de 26 ans ils possédaient une jolie maison en banlieue et les cho-ses allaient bien pour eux.

C'était un rêve qu'ils caressaient depuis longtemps, ils voulaient aller aux Bahamas mais la plupart des départs se faisaient de Miami et cela de-mandait un long voyage pour s'y rendre. Cette croisière au départ de Charleston leur offrait la possibilité de concrétiser leur rêve.

Ils n'avaient pas d'enfants et se disaient qu'il était temps maintenant de fonder leur famille puisque tous deux jouissaient d'un travail sécurisé et bien payé.

La chance tourna brusquement lorsqu'Omar vit la jeune femme paniquée elle venait de découvrir qu'elle avait oublié un de ses bracelets dans sa cabine.

Le couple écouta le speaker annoncer la couleur de leur code de départ, les avisant de procéder à l'enregistrement de leurs bagages.

Se tenant à proximité du couple, il entendit la jeune femme dire à son mari de s'occuper de leurs bagages tandis qu'elle retournait à leur ca-bine pour y chercher le bracelet oublié.

Omar quitta rapidement le pont et empruntant le monte charge de l'équi-page il se pressa de rejoindre le lieu vers lequel elle se dirigeait.

Ouvrant la porte, il vit un homme de service nanti d'un chariot de net-toyage sur le point de nettoyer les cabines.

L'interpellant il l'informa qu'il y avait un changement et que ce travail était reporté.

Le bruit de l'ascenseur s'arrêtant à ce niveau retentit alors que l'homme de service disparaissait au coin du couloir.

Se ruant dans le couloir, il passa le coin, épiant l'insouciante jeune femme qui s'approchait.

Il entendit les pas s'approcher puis le bruit de la clenche de porte que l'on secoue, Omar surgit dans son dos au moment ou elle ouvrait la porte de la cabine.

Avant qu'elle n'ait pu appuyer sur le commutateur, il l'avait poussée dans la cabine obscure et l'avait bâillonnée de la main. Comme son mari at-tendait son retour sur le pont, il devait la baiser vite fait bien fait.

Mais il avait été si frustré ces deux derniers jours, cela ne prendrait pas longtemps lorsqu'il aurait inséré sa grosse bite entre les lèvres de son petit chaton.

S'entendant menacée par une grosse voix rude, Wendy s'étranglait de peur, alors qu'une large main rampait sur sa robe.

- "Oh s'il vous plait ;... Je vous en prie .... Ne faite pas ça ..." se la-mentait-elle alors qu'il roulait sa petite culotte sur ses cuisses, le repoussant sous ses genoux d'où il chut au sol.

Le sentant tâtonner dans son dos, puis entendant le "zip" d'une ferme-ture éclair que l'on descendait, elle se débattit tout en reprenant ses supplications :

- "Ohhh ... S'il vous plait ..... Arrêtez ... Arrêtez ... je vous en prie .... je suis mariée ..... S'il vous plait .... Je veux rester fidèle à mon mari ..... S'il vous plait .... Nonnnnnn ..... Arrêtez ...... Arrêtez ....."

Il la repoussa contre le mur l'élevant, elle sentit alors un gros bourgeon frôler sa chatte, soudain il la projeta contre le mur, l'épais gland s'encas-trant d'un seul coup de boutoir dans sa chatte affolée.

- "Aieeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee ...... Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhh ........ Aargggggggggggggg!......" grogna-t-elle alors que son vio-leur bourrait sa bite dans son fourreau.

- "Oh s'il vous plait ...... Je vous en prie ..... Mon Dieu .... J'ai mal ..... Si mal ...... Si maaaaaaal ..." criait-elle au bord de l'agonie, elle, pleurnicha de plus belle lorsqu'il s'enfouit au coeur de son intimité.

- "Ooh .... Oh ....... Oh ...... Nonnnnnnnnnn! ....." se lamentait-elle alors que son impitoyable envahisseur commençait d'aller et venir lascivement dans sa moule.

Puis un doigt épais vint frotter rudement son clito, elle en grogna alors que ses muscles vaginaux se crispaient sur l'imposante hampe, inconsciemment ses glandes secrétaient un flot de cyprine qui facilitait le coulissement de la grosse bite en elle.

Ses larges mains posées sur ses hanches, son violeur la martelait, visi-blement pressé de conclure son viol.

- "Oh mon Dieu ..... Nonnnnnnn ... Ahhhhhhhhhh ...... Nonnnnnnnn!...." gémissait-elle alors que son corps était saisi de convulsions lubriques.

Sentant l'adorable jeune femme jouir, Omar s'enfonça jusqu'à la racine dans sa cramouille affolée et projeta ses chaudes salves de foutre au fin fond de son intimité.

Se penchant sur elle il lui murmura à l'oreille :

- "Tu représentes exactement ce que j'ai lu dans les magazines américains ... Une belle plante du sud ..... Maintenant tu pourras dire à ton mari que tu as goûté à une grosse bite africaine ..... Dis lui comment une grosse bite noire t'as dévastée ......"

Sur ces mots, il abandonna la jeune femme sanglotante dans la cabine et gagna une planque où il pourrait l'épier.

Dix minutes plus tard, il vit sa dernière victime se diriger lentement vers le pont supérieur, il la regarda rejoindre son mari pour se rendre au bu-reau des douanes.

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