Viols lors de la crosière inaugural

Informations sur Récit
La saga d'Omar violeurs, traiteur de blanches
8.7k mots
4.42
59.7k
3
0
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici
Coulybaca
Coulybaca
103 Admirateurs

Omar - Viols lors de la croisière inaugurale

Cruise Ship Captives

Couylybaca / Black Demon

Le paquebot de luxe 'Islands of Pleasure" allait partir pour sa première croisière, un long périple de Charleston aux Bahamas.

Cette sortie initiale servait à tester le navire au plan commercial.

Naturellement comme il s'agissait d'une première sortie au départ de Charleston les passagers étaient pour la plupart des autochtones.

Les dates des croisières futures dépendraient du succès de ce voyage inaugural, d'autres villes étaient envisagées comme ports de départ. Le navire avait embarqué environ 2.000 invités et 800 membres d'équi-page.

Beaucoup d'invités voyageaient en couples, jeunes et vieux en vacances et même des jeunes mariés en lune de miel.

Tous ces invités recherchaient les plaisirs de la vie, ils étaient approvi-sionnés pour la prochaine semaine.

L'équipage savait qu'il allait avoir une rude semaine pour satisfaire les demandes émanant des touristes à bord.

Un membre de l'équipage regardait anxieusement les passagers qui embarquaient, ils s'impatientaient de voir toutes les somptueuses beautés qui faisaient la croisière, et plus particulièrement les femmes blanches ravissantes.

Cela faisait 15 ans qu'il travaillait sur des bateaux, Omar Shoron avait obtenu la position qu'il désirait, il était chargé de manager l'équipage.

Dans cette nouvelle fonction, il détenait toutes les informations qui lui étaient indispensables pour atteindre ses buts, c'est à dire satisfaire ses luxurieux appétits de viande blanche. Il aimait sentir vibrer de peur les femmes blanches qu'il violait.

Depuis des années, il violait des passagères blanches alors même qu'il n'était que simple membre d'équipage. La plupart des femmes étaient bien trop honteuses pour révéler à leurs compagnons qu'elles venaient de se faire violer, elles ne pouvaient pas l'identifier, il n'apparaissait que brièvement dans l'obscurité des cabines où il les entraînait prestement.

Il n'y avait qu'un viol qui avait fait l'objet d'une plainte, mais les lois de la mer prévalaient, et il n'y avait pas eu d'enquête, plus particulièrement parce que la beauté violée avait quitté le bateau en arrivant au port.

Comme les passagers embarquaient, Omar cherchait la ravissante jeune femme qui sortirait de l'ordinaire. Il saluerait alors la jeune femme et son escorte s'enquérant de son numéro de cabine pour lui indiquer le chemin ou l'y faire conduire par un membre d'équipage. Bien sur il notait par ailleurs le N° de cabine de ces beautés qui retenaient son attention.

Pendant que les passagers s'installaient à bord, il relut son calepin et sourit, il avait pris des notes sur une vingtaine de femmes.

Il savait qu'il avait manqué quelques somptueuses créatures alors qu'il s'occupait des autres, il voulait pouvoir les ajouter à la liste de ses victi-mes potentielles.

Il se lécha les lèvres, se demandant avec combien de ces beautés il pourrait assouvir ses appétits luxurieux.

Comme son travail de base était de surveiller les agissements de l'équi-page, il disposait de beaucoup de temps pour faire ce qu'il voulait.

Un des aspects de ces nouvelles fonctions lui permettait de connaître les numéros des cabines vides, son passe lui donnait accès à toutes les ca-bines du navire.

Les cabines inoccupées se trouvaient à l'intérieur du navire, toutes les cabines extérieures étaient retenues, elles étaient bien plus confortables avec leurs hublots leur ménageant un peu de lumière naturelle, ainsi qu'une vue sur l'extérieur.

Il adorait les cabines intérieures, comme il n'y avait pas de hublots, elles étaient totalement obscures la porte fermée. Ce qui voulait dire que ses victimes ne pouvaient l'identifier à moins de voir son visage lorsqu'il les transportait dans une des cabines disponible.

Il ne voulait pas être pris, il ne voulait pas que le mari d'une de ses victimes arrive en hurlant au plus mauvais moment, ce qui entraînait qu'il ne voulait pas faire leurs affaires à ses victimes dans leurs cabines même si elles avaient une cabine interne.

Ce premier jour de mer était toujours très fiévreux, les couples restaient collés ensemble, aucune opportunité de trouver une jeune beauté isolée.

le soir, assis dans sa couchette, Omar avait éliminé la moitié de la liste, il avait étudié l'emplacement de leurs cabines, ne gardant que celle qui se trouvaient proches d'une cabine vide, ce qui validait ses projets.

Mais encore fallait-il que un coup de pot pour s'une de ces beautés soit vulnérable pendant un certain temps, il fallait que leur mari, ou leur petit ami soit pris par ailleurs.

Le deuxième jour de la croisière s'était avéré extrêmement frustrant pour Omar, à trois reprises il n'avait pu s'emparer de proies qu'il convoi-tait.

A chaque fois, des passagers étaient apparus dans le couloir ouvrant sur leurs cabines, lui rendant la tâche impossible.

Lors de l'une de ces opportunités, il allait empoigner la jeune femme lorsqu'un autre couple apparut dans le couloir, il dut admettre que cette fois encore sa proie lui glissait entre les griffes.

Il avait été tenté de forcer sa porte, le couple importun ayant disparu, mais elle pourrait l'identifier avant qu'il ne coupe la lumière, le risque était trop grand.

Le soir suivant, il observait une des beautés portées sur sa liste se pren-dre le chemin du casino. Contrôler le personnel du casino lui fournissait un prétexte pour continuer à épier l'adorable beauté.

A l'évidence c'était une femme mariée, elle arborait une alliance en dia-mant à l'annulaire.

C'était une ravissante blonde, la trentaine, de longues jambes blanches ..... La bite d'Omar palpitait dans son pantalon, à l'idée de ses perdre en-tre ces délicieuses jambes.

Melissa et Brad Moore s'étaient offert cette croisière pour célébrer leur dixième anniversaire de mariage, ils étaient toujours aussi amoureux l'un de l'autre, et cela durait depuis leurs années collège.

Ils avaient deux enfants, une fille et un garçon, respectivement âgés de 7 et 5 ans. Ils étaient en vacances chez les parents de Melissa pour la du-rée de la croisière.

A 32 ans, Melissa faisait tourner bien des têtes masculines sur son pas-sage, elle était en pleine forme. Melissa adorait son boulot de dessinatrice d'intérieur alors que Brad travaillait dans une banque d'affai-res.

Comme ils avaient dîné dans la salle à manger d'honneur, les hommes portaient le smoking et les femmes de somptueuses robes du soir.

Ce soir, pour se rendre au casino, Melissa portait une robe du soir noire, des bas noirs et ses hauts talons.

Elle était si élégante que le commandant lui même lui en fit le compli-ment. Ses longs cheveux blonds encadrant ses yeux bleus de bébé faisaient bander bien des hommes dans l'assistance.

Mais un admirateur plus décidé la couvait des yeux ce soir, épiant chacun de ses mouvements, espérant bien lui tendre un traquenard cette nuit même.

Omar observait le couple qui se préparait à jouer, l'époux s'était dirigé vers la table de Black-jack pendant que sa belle femme préférait les machines à sous Il voyait à ses attitudes et ses enjeux que ce n'était pas une véritable joueuse, elle baillait tout en tirant le manche des "bandits manchots".

- "Peut-être bien que la chance va tourner ce soir ... Je l'espère bien ..." se dit-il alors se voyant déjà enfourner sa grosse bite noire dans sa soyeuse chatte blonde.

Rejetant un oeil sur le plan de leur quartier, il nota qu'une des cabines face à celle du couple Moore était libre.

Se pourléchant les babines, Omar vit la ravissante jeune femme quitter les machines à sous pour rejoindre la table de Black-jack, se postant derrière son mari.

Après deux mains, alors que le banquier mélangeait les cartes, ils s'embrassèrent langoureusement puis il lui fit un petit signe.

- "Ohhhhh .. T'es vraiment stupide mec .....On ne doit jamais laisser une telle beauté seule ....... Hey, hey, hey ...... c'est très bien .....Un crime va être commis à cause de ta stupidité et ta soif du jeu ....." marmottait-il se ruant dans le vestibule.

Omar savait qu'elle devait rejoindre l'ascenseur 4 étages plus bas pour retourner à sa cabine.

Empruntant le monte charge de service, il gagna rapidement le 5ème niveau et reprit son souffle dans l'ombre entre deux cabines.

Il jeta un coup d'oeil circulaire et calmement se dirigea vers la cabine 515, juste face à celle de madame Moore, il laissa la porte ouverte, il pouvait ainsi s'assurer que nul importun ne survenait lorsque la ravis-sante beauté inconsciente du danger arriverait à sa cabine.

Le personnel était si aimable, si serviable que les Moore étaient inconscients des dangers que pouvaient présenter une croisière.

Comme l'équipage était composé en grandes parties d'étrangers et sue les lois de la mer variaient d'un pays à l'autre, c'était un véritable sanc-tuaire pour les pervers comme Omar.

Ils n'avaient pas vu le dernier documentaire sur les croisières qui décri-vait les dangers des croisières et plus spécialement ceux encourus par les jeunes femmes qui déambulaient sans escorte dans les couloirs.

Ereintée par une première journée de croisière si excitante, Melissa at-tendait l'ascenseur avec un groupe de passagers sortant du casino. L'ascenseur se vidait en descendant les étages, elle était seule en arri-vant au 5ème.

Elle parcourut le long couloir qui menait à sa cabine, incapable de saisir sa carte magnétique en marchant, elle s'arrêta face à la porte de sa ca-bine, et chercha sa clé dans son sac.

Soudain une large main se plaqua sur sa bouche, une autre la ceintura et saisit son sac et on la tira brutalement dans la cabine dans son dos.

La cabine était plongée dans l'obscurité la plus profonde, Melissa frémit de peur, la main la bâillonnant l'empêchant de pousser un cri alors que l'autre rampait sur son corps.

Elle entendit alors une voix à l'accent étranger lui susurrer à l'oreille :

- "Ca fait longtemps que j'espère me faire une ravissante américaine comme toi .... Ce soir mes rêves les plus fous vont se réaliser ..... ".

Puis il la menaça pour prévenir ses cris :

- "Crie jolie petite madame, et ce sera ton dernier cri!....." se faisant il appuya sur sa gorge illustrant sa menace.

Lentement il enleva sa main posée sur sa bouche, elle sanglota sourde-ment tandis qu'il caressait son corps.

Elle sanglotait de façon incontrôlable, des grosses larmes ruisselant sur ses joues La grande main qui lui serrait la gorge l'empêchait de bouger.

Pendant ce temps l'autre main dans son dos la fermeture éclair de sa robe, une grosse langue mouillée fouilla son oreille, lui donnant des nau-sées

- "T'es si belle madame Moore, je t'ai surveillée toute la soirée, ton mari est stupide de te laisser seule alors qu'il joue au casino. ..."

- "S'il vous plait ...... Laissez moi partir ..... S'il vous plait ........ Non ........ Non ....... Mon mari ...... Il va me chercher ...... Je vous en prie, j'ai de l'argent dans mon sac ..... Prenez le ....... Ne me faite pas mal ......." sanglotait Melissa affolée.

- "Oh s'il vous plait ...... Non Je vous en prieeeeeeeeeee ....... Ne me faite pas ça ........ S'il vous plait, s'il vous pait ....... Je vous en sup-plie ...... " se lamentait-elle alors qu'une main empaumait ses seins les serrant fermement.

- "S'il vous plait, je vous en prie ..... Je vous en prie ne me violez pas ....... S'il vous plait ..." sanglota-t-elle de plus belle.

Pantelante, elle réalisa qu'il devait s'agir d'un homme d'équipage, puis-qu'il connaissait son nom et il semblait étranger, à en croire son accent, comme beaucoup des membres d'équipage.

Elle gémit sachant que la majorité des hommes d'équipage qu'elle avait vu venaient d'Afrique. Elle frémit à l'horrible d'idée d'être violée par un noir.

Elle sentit à ce moment sa robe chuter à ses pieds, la large main courut sur sa poitrine, lui pinçant et roulant les tétons au travers de la fine étoffe de son soutien-gorge en dentelle.

Elle sentit les mains de son agresseur dégrafer son soutien-gorge, le re-poussant sur ses épaules. Elle gémit seins nus livrés à sa convoitise, il les tritura rudement.

Tétanisée elle sentit alors sa main libre saisir la ceinture élastiquée de ses collants et de sa petite culotte les roulant d'un même geste à mi cuisses. Elle frissonna alors qu'il lui caressait la face interne des cuisses, s'approchant lentement de son intimité.

- "Oohhhhhhh ...... Oohhhhhhhhhhh ....... Ohhh, mon Dieu ..... S'il vous plait ......"

Un doigt cherchait son clito si sensible.

- "Mon Dieu ...... Mon Dieu ...... Je vous en priiiiiiiiiiiiieeee ....... Nonn-nnnnnnnn ....." larmoyait-elle alors que des frissons couraient dans tout son corps stimulait par les caresses ensorcelantes de son cli-to.

- "Oahhhhhh ...... Ahhhhh ....... Ohhhhhh!......." gémit-elle humiliée alors qu'un doigt long et épais allait et venait lascivement dans sa féminité.

Omar s'était prestement dévêtu il ne portait plus que son cache sexe.

- "Tends tes mains derrière toi ... Tu vas avoir la chance d'être la première beauté américaine à tester cette conséquente virilité afri-caine ....... Allez tend les mains dans ton dos pour voir ce que j'ai rien que pour toi ...... " gronda-t-il soudain lui serrant brutalement la gorge pour lui enjoindre de s'exécuter.

Tremblant comme une feuille Melissa obéit tendant ses mains dans son dos ses doigts entrèrent en contact avec le fin tissu de son caleçon.

Enervée, elle se força à glisser ses doigts sous l'élastique de la taille, puis elle descendit la main dans son cache sexe.

Elle haleta lourdement lorsque ses doigts rencontrèrent une barre de chair d'une taille monstrueuse, bien plus grosse qu'elle se serait jamais imaginée qu'une bite puisse l'être.

- "Ohhhhhhhhh ... Mon Dieu ........ Qu'elle est grossssssssssse ..... Ca va me tuer ...... Peut être qu'il se contentera d'une branlette à la main ....... " priait-elle serrant ses doigts sur l'épaisse hampe de chair, la branlant le poing fermé.

Elle se mit à le branler de plus en plus rudement, de plus en plus rapidement, elle espérait satisfaire ses appétits de cette façon, puis qu'il la laisserait s'enfuir.

Omar sourit ironiquement en sentant ses mains s'agiter sur sa colonne, il savait pertinemment ce qu'elle espérait.

Sans dénier le plaisir de ses mains le branlant vigoureusement, il savait que son contrôle de soi était suffisant pour éviter toute éjaculation pré-coce.

- "On va voir qui jouira le premier ma petite madame!....." se mar-rait-il tout en triturant son clito de plus en plus fort, de plus en plus vite, la fourrant de plus en plus profondément de trois doigts joints.

Melissa suppliait son agresseur :

- "S'il vous plait .... Je vous en prie ..... Laissez moi partir ...... Je vous en prie .... Je ne le dirai à personne ..... Ne me violez pas ..... S'il vous plait ne me violez pas ...... Je vous en prie ne faite pas ça, je pourrai tomber enceinte!......"

Mais sous les continuelles caresses sur son clito, alors que ses doigts entraient et sortaient divinement de sa chatte, elle ne pouvait s'empêcher de serrer les cuisses sur l'ensorcelante main, ses muscles vaginaux étreignant fermement ses doigts.

- "Ooh, oooohhhhh ...... Nonnnnnnn ...... Nonnnnnnn........" gémit elle à haute voix, elle frissonnait terrassée par un orgasme non désiré.

Elle n'avait jamais atteint l'orgasme de cette façon, pas plus avec d'au-tres hommes qu'avec son mari.

Alors que son corps était parcouru de frissons de plaisir, il lui lâcha la gorge, sa main descendit et captura un de ses mamelons, le triturant langoureusement, la stimulant encore plus.

- "C'est bon petite chienne ....enlève tes chaussures et ne réfléchis pas à comment me blesser en le faisant!....."

Sur ce, comme il connaissait l'exacte disposition de la cabine, l'obscurité ne le gêna pas pour l'entraîner, toute pleurnicheuse, vers le lit.

La retenant d'une main, il la dépouilla rudement de ses collants et de sa petite culotte de l'autre, il disposait d'elle, maintenant, entièrement nue.

Ses pleurs redoublèrent alors qu'elle plaidait :

- "S'il vous plait ... S'il vous plait laissez moi partir .... Je vous en prie ne me violez pas ..... S'il vous plait ...... J'aime mon mari ...... Je vous en prie ...... Ne me faite pas de mal ...... Ne me violez pas ...... Je ne veux pas être enceinte!......."

Ses pleurs redoublèrent tandis que son agresseur lui caressait tendrement les seins, roulant ses mamelons dardés, stimulant ses sens contre son gré.

C'est alors qu'une horrible idée la traversa :

- "Je voulais que Brand me mette enceinte au cours de cette croi-sière ...... Je ne peux pas laisser ce noir m'engrosser ..... Je ne veux pas qu'il me mette enceinte!....."

- "Ooh, nonnnnn ....... Nonnnnnnnnn!......." geignait-elle alors qu'il s'appesantissait sur elle, s'installant de force entre ses cuisses.

- "S'il vous plait ... Je vous en prie ...... S'il vous plait laissez moi partir ..... Ne me violez pas ..... Je vous en supplie .... S'il vous plait ne me faite pas de mal ..... " soupirait-elle effrayée.

Elle sentait le gland épais s'immiscer entre ses babines et savait qu'elle ne pourrait rien faire pour empêcher ce vicieux viol, maintenant qu'elle connaissait de tactu la taille énorme de son pénis, elle craignait qu'il la déchire.

La douleur de l'intrusion initiale était si vive, qu'elle s'obligea à écarter les cuisses au maximum pour minorer la douleur.

- " Nonnnnnnn ..... Ohhhhhhh ..... Ohhhhhh ....... Ohhh, s'il vous plait ..... Je vous en prie ......Ne faite pas cela ...... Argghhhhhhhhhhhh!...."cria Melissa alors que l'épais gourdin s'enfouissait dans son étroite petite chatte.

Puis son agresseur la poignarda de plus en plus profondément, forant impitoyablement son chemin jusqu'au col de son utérus.

- "Oh mon Dieu .....Oh......Oh .......Oh ...... Oh......Oh ..... Oh .....Oh, nonnnnnnn ...... Oh, mon Dieu ..... Nonnnnnnnn!....." hurlait-elle trahie par son corps.

Ses jambes se levaient d'elles mêmes pour se nouer dans le dos de son assaillant, alors que son bassin s'arquait pour accueillir plus profondément son monstrueux visiteur.

Une heure après avoir soumis la jeune américaine, Omar se rhabilla. Sortant son appareil photo, il prit quelques clichés au flash, la capturant nue, souillée de sperme.

Il se pencha sur la jeune femme qui pleurnichait, lui lécha tendrement les lobes des oreilles, susurrant :

- "Rien de mieux qu'un bonne bite d'Africain, n'est ce pas mignonne petite Américaine ...... J'ai ton adresse et ton numéro de téléphone à Charleston madame Moore ..... Peut-être qu'une prochaine croi-sière me ramènera dans ce port ..... Je t'appellerai alors de façon à ce que tu puisses à nouveau goûter à ma grosse queue d'Africain ..."

Sûr qu'elle lui tournait le dos, il ouvrit la porte et disparut aussitôt, lais-sant la jeune femme sangloter dans l'obscurité de la cabine.

Remâchant son épreuve, Melissa explora à tâtons la cabine obscure et trouva finalement le commutateur.

Elle jeta un oeil sur l'horloge du bureau et réalisa qu'il y avait plus d'une heure qu'il l'avait enlevée. Elle réalisa soudain, que son mari venait cer-tainement de rejoindre leur cabine ; il lui avait dit qu'il jouait encore une petite heure à la table de Black-jack, puis qu'il rentrerait.

Elle frissonna, sachant qu'elle était incapable de lui avouer qu'elle venait de se faire violer par un noir dans la cabine face à la leur.

Assise sur le lit elle réfléchissait à ce qu'elle pouvait bien faire, puis elle décida de prendre une bonne douche.

Se regardant dans le miroir, elle chassa ses larmes, et se fit présentable avant de retourner à sa cabine.

Elle se brossa les cheveux et se remaquilla, puis elle chercha sa petite culotte, mais en vain. Son soutien-gorge était déchiré, sa fermeture était cassée, il était inutilisable, elle le rangea donc dans son sac.

Coulybaca
Coulybaca
103 Admirateurs