Viols au lycée 02

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici
Coulybaca
Coulybaca
104 Admirateurs

Comme le groupe était parti quelques minutes avant qu'elle ne sorte de son bureau comme prévu, ils regardèrent par la fenêtre si tout se passait bien comme Dion l'avait prédit.

De retour dans leur repaire, Dion étendu sur le dos planifiait leur intervention dans la bibliothèque ce vendredi.

Al, le chef intervint pour mettre les choses au point, Dion ne serait priori-taire que pour casser le cul de la ravissante salope, mais il se réservait l'honneur d'être le premier à faire crier cette somptueuse blanche sous les assauts de sa grosse bite noire.

A ces mots, les autres membres du gang, étalèrent un jeu de cartes pour tirer au sort, Tony, le plus fort du groupe sauta sur ses pieds en leur je-tant le roi de pique au visage il s'exclama :

- C'est moi le roi de pique, je me sentirais comme un roi lorsque je glisserais mon gourdin entre ses lèvres charnues.

Evelyne Mason était toute excitée de travailler dans un lycée, c'était son premier boulot depuis l'obtention de son diplôme de bibliothécaire.

Elle se sentait encore un peu mal à l'aise lorsque que des étudiants s'occupaient plus de ses formes que de leurs études.

Plus tôt ce matin, elle se sentit parcourue par un frisson d'inquiétude en voyant un groupe de noirs s'asseoir autour d'une table. Elle reconnaissait un des ados qui était venu avec sa classe la semaine dernière, mais elle n'avait jamais vu ses accompagnateurs.

Alors qu'elle inscrivait les livres que sortait une habituée elle s'enquit de savoir s'ils fréquentaient tous le lycée.

Rassurée elle constata qu'ils avaient tous le droit de se trouver là, mais elle ressentait d'étranges appréhensions alors qu'ils la lorgnaient avec insistance.

Cette nuit même dans la chaleur douillette de son appartement, Evelyne regardait la diamant qui étincelait à son doigt cette bague de fiançailles qu'elle avait attendu anxieusement que lui donne son amour de collège.

Et maintenant elle était engagée envers Dave Trask, elle ferma les yeux pour imager son rêve, elle se voyait dans une ravissante robe de mariée, descendre l'allée principale de l'église au bras de l'homme qu'elle aimait depuis si longtemps.

Elle pensait que rien ne s'opposait plus à leur bonheur ce qui lui semblait parfait.

Elle rêvait de fonder une famille avec Dave, elle espérait avoir trois en-fants.

Alors qu'elle rêvait à la famille idyllique qu'elle allait fonder, elle ne pou-vait savoir qu'elle était l'objet des rêves lubriques d'une bande de jeunes brutes noires.

Le vendredi se déroulait calmement, la plupart des étudiants voulant rentrer tôt chez eux pour entamer leur week-end. Elle en fut d'autant plus étonnée de voir revenir le même groupe d'ados noirs que la veille.

Evelyne se sentait mal à l'aise, mais que pouvait elle faire ou dire, ils avaient le droit de fréquenter la bibliothèque aux heures d'ouverture, d'autant plus qu'ils ne perturbaient pas le fonctionnement s'abstenant de faire du bruit...

Cependant lorsqu'elle passait devant eux elle sentait qu'ils la déshabil-laient littéralement des yeux, mettant tous ses charmes à nus pour s'en repaître du regard.

Comme elle aidait un étudiant au fin fond de la salle, deux des membres du groupe s'introduisirent dans la salle de consultation et se blottir de façon à ne pas être vus, se cachant derrière un paravent séparant les cabines.

Le reste du gang se dirigea vers la porte en faisant du bruit pour attirer l'attention de la bibliothécaire, lui donnant l'impression qu'ils partaient tous.

Plus tôt ils s'étaient rendus dans la salle de consultation des ouvrages et avaient pris une pile de livres à consulter qu'ils avaient abandonné sur leur table.

En entendant du bruit à la porte de sortie, Evelyne regarda les derniers ados noirs sortir de la bibliothèque. Elle soupira de soulagement et se retourna

Elle laissa échapper un soupir de soulagement, en se remettant à aider l'étudiant dont elle s'occupait.

Comme Dave s'était absenté pour assister à une conférence dans une ville voisine, elle revit ce qu'elle avait préparé pour son retour le lende-main. Elle disposait de sa soirée pour elle seule, elle avait pensé se promener sur le mail puis de rentrer chez elle lire des magazines.

Comme l'heure de la fermeture approchait, elle fit le tour de la salle en informant les derniers étudiants assis à leurs tables de travail.

Elle jeta un oeil dans la salle de consultation ne vit personne, et se retourna sur les derniers étudiants qui sortaient de la bibliothèque.

Le dernier sortit, elle verrouilla la porte et entreprit de vider les tables de travail. En arrivant à la table qu'occupait les ados noirs, elle vit la pile de livres qu'ils avaient abandonné, il était nécessaire de les rapporter dans la salle de consultation.

Elle ouvrit la porte avant de se glisser dans la petite pièce. Une main se posa brusquement sur ses lèvres, alors qu'une autre lui agrippait fermement la taille elle laissa tomber les livres au sol alors qu'on la poussait dans un coin de la pièce.

C'est alors qu'un ado menaçant apparut devant elle, il faisait miroiter une longue lame menaçante devant ses yeux, lui intimant de rester calme et de se taire.

Le musculeux noir dans son dos la retenait captive alors que celui qui tenait le couteau disparaissait derrière la porte.

Un instant plus tard, elle frémit à son retour, accompagné de plusieurs autres voyous tous noirs.

La porte de la salle de consultation refermée, dans la bibliothèque fer-mée à double tour, le gang savait que ses cris ne porteraient pas à l'ex-térieur.

- A L'AIDE! AU SECOURS! Hurla-telle lorsque son agresseur en-leva la main de sa bouche alors que les membres du gang s'ap-prochaient d'elle.

Des mains venues de toutes parts agrippaient ses vêtements et les dé-chiraient. Tous ses vêtements enlevés, ils la traînèrent jusqu'à la table de consultation, où ils l'allongèrent. Elle était totalement livrée à leur concupiscence. Ils lui écartèrent les cuises de force.

Elle sanglotait de honte, entièrement nue sous les yeux de cette bande de voyous noirs, elle frissonnait de dégoût lorsque leur chef passa son couteau à un de ses comparses pour grimper sur la table.

- S'il vous plait... Je vous en prie... S'ils vous plait ne me violez pas... S'il vous plait... Je vais me marier d'ici peu... Je vous en prie ne me violez pas! Se lamentait-elle terrorisée.

En sentant le musculeux ado noir s'étendre sur elle, elle frémit d'horreur et de dégoût, hurlant son désespoir en sentant son gland épais s'insérer dans sa féminité révulsée.

Elle chercha à se débattre, à repousser ce pervers mais les mains des autres membres du gang la tenaient fermement épinglée sur la table.

Al frotta son épais bourgeon contre sa fente humide, la forçant à l'ac-cueillir entre ses tendres cuisses blanches. Il se mit à haleter :

- Ohhhhhhhh... Yeahhh... alors qu'il plongeait sa grosse bite dans sa fente serrée.

Elle hurla de douleur :

- Aieeeeeeeeeee... Nonnnnnnnnn... S'il vous plait... Mon Dieu... Nonnnnnn... Je vous en prie! Le supplia-t-elle misérablement.

- Vous me faites mal... Cela me fait mal... Oh, s'il vous plaiiiiiiitt... se lamentait-elle sourdement.

Mais elle ne devait attendre aucune pitié de cette jeune brute lubrique, ses plaintes ne faisaient que l'encourager à s'enfouir plus profondément en elle.

- Aieeeeeeeeeee... Ohhhhhhhhhh, s'il vous plait... Oh, mon Dieuuuuuu... Nonnnnnnnn! Criait elle hystériquement.

Il la violait de plus en plus sauvagement, il n'aimait rien de plus qu'en-tendre ses victimes hurler lorsqu'il les poignardait de son énorme bite noire.

Jamais Evelyne ne s'était fait baiser aussi violemment, la douleur irradiait de tout son corps. Elle l'entendit rire cyniquement en entamant des mouvements rotatifs du bassin qui accroissaient sa souffrance, elle hurla de plus belle de désespoir.

Soulagée, elle le sentit soudain se retirer lentement, mais s'était pour s'enfouir encore plus sauvagement en elle reprenant son martelage impi-toyable.

- Mon Dieu... Oh, mon Dieu... Il ne porte pas de capote! Réalisa-t-elle soudain avec horreur.

Al gémit en sentant la jeune beauté crisper ses muscles vaginaux sur sa grosse queue, inconsciemment ses muscles intimes répondaient aux assauts se son violeur serrant fortement son épais gourdin.

- Oh yeah... Chérie... Ahhh, ma douce, yeaahhhhhh... Mon petit sucre... Resserre les muscles de ton con sur ma grosse bite... Aspire mon jus... Yeahhhhhh... Ma douce chérie... Ohhhhhhh yeah... Je vais jouir... Ohhhh yeah ma chérie... Arg-hhhhhhhhhhhhhhhhhh... Grogna-t-il lourdement.

Son corps musclé se mit à tressauter convulsivement alors qu'il crachait des geysers de foutre chaud dans son utérus.

Il se réjouissait d'entendre ses sanglots, la tête tournée vers le mur, se lamentant de s'être fait violer et dégrader par un ado noir.

Lorsque le chef se retira, avec un plop sonore, elle pleura sourdement alors qu'ils la forçaient à se mettre à quatre pattes.

Déjà un autre ado grimpait sur la table s'accolant à ses fesses, elle pen-sa qu'il allait la prendre en levrette.

Dans cette position, humiliée, elle le sentit caresser son corps nu, elle se mordit la lèvre inférieure désireuse de le laisser assouvir sa lubricité sans qu'elle manifeste d'émoi.

Elle grinçait des dents alors que les rudes mains empoignaient ses hanches pour la positionner à sa convenance alors que l'épais gland parcourait sa fente de bas en haut.

C'est alors qu'elle sentit l'épais bourgeon bouger et se présenter devant son anus affolé.

Réalisant ses véritables intentions, elle chercha désespérément à se dérober à cet assaut contre nature, elle le suppliait :

- Mon Dieu... Non! Non... Non... Pas ça... Personne ne m'a fait ça auparavant!

Rien ne pouvait plus réjouir Dion que cet aveu, lui tenant fermement les hanches pour empêcher toute dérobade, il se vanta :

- Je l'ai vraiment bien choisie hein les gars! Et son petit cul blanc m'appartient! Je vais la faire crier lorsque je vais m'emparer de son pucelage anal!

Lui serrant fortement les hanches, il donna un coup de boutoir de toutes ses forces.

- Aieeeeeeeeeeeeeeeee... Mon Dieu Nonnnnnn... Nonnnnnnnnnnnn... Oh, oh... Arrêtez... Arrêtez... J'ai trop mal... S'époumonait Evelyne défaite.

Son corps frémissait de douleur, son violeur se retira lentement, puis il s'engouffra à nouveau entre ses fesses lui déchirant l'anus.

- Ohhhhhhhhhh... Ohhhhhhhh... Arrêtez... Arrêtez... Je vous en prie arrêtez! Soupirait-elle alors qu'il la martelait fiévreusement dans l'attente de lui vomir un torrent de foutre dans les intestins.

Sanglotante, yeux étroitement fermés, elle frémit d'horreur en sentant une main saisir ses cheveux alors qu'une épaisse queue se présentait devant ses lèvres.

Révulsée elle se voyait exiger d'ouvrir la bouche pour recevoir une bite souillée, un acte méprisable qu'elle venait de refuser d'exécuter à la de-mande de son fiancé la semaine dernière!

Sa bouche tremblait alors que la bite s'enfonçait de plus en plus profon-dément entre ses lèvres.

Ouvrant les yeux, elle vit avec horreur que 9 centimètres de bite dépas-saient encore de sa bouche, alors que la main sur sa nuque la forçait à se pencher pour mettre sa gorge dans l'axe de la bite frémissante. Elle entendit alors l'ado souligner :

- C'est bien ma petite dame... Tu suces Tony le roi de pique... Oh chérie tes douces lèvres vont me faire gicler rapidement!

Quelques instants plus tard, la ravissante bibliothécaire était étendue de façon obscène cuisses grandes écartées sur la table de consultation.

Une épaisse crème s'échappait de ses orifices violés. La douleur avait meurtri son corps tout au long de cette immonde épreuve, il était évident que sa défaite était totale, elle était désormais incapable de leur opposer la moindre résistance. Rien ne comptait plus pour elle que le fait qu'elle soit dégradée.

Pleurnichant à gros sanglots, elle gisait sur la grande table, un de ses agresseurs la tira par les cheveux, l'obligeant à regarder son entrecuisse lui exposant ce qu'il lui destinait.

Le plus petit de ces voyous noirs, s'agenouilla à son tour sur le rebord de la table, se branlant en guise de préparatif.

Elle trembla en voyant la bite dans sa main grossir, prenant des dimen-sions incroyables, grotesquement disproportionnées en comparaison de sa taille.

Elle se secoua effrayée par sa longueur et son épaisseur, elle savait que cette monstruosité risquait de la déchirer.

André aimait voir la peur s'inscrire sur le visage de ses futures victimes à la vue de son monstrueux outil.

- Chérie, Je suis peut-être le plus petit de la bande, mais ma bite me vaut le surnom d'André le géant... Rit-il, en voyant ses yeux s'écarquiller d'horreur alors qu'il masturbait son obélisque de chair noire sous ses yeux.

- Allez les gars, retournez la... Je veux la baiser comme une chienne en chaleur! Demanda-t-il à ses copains qui la disposè-rent à quatre pattes selon ses voeux.

Puis il s'agenouilla entre ses blanches cuisses et plaça son épais bubon au centre de sa cible.

Il lui saisit ensuite les hanches et d'un violent coup de rein s'engouffra brutalement dans sa fente.

- Aieeeeeeeeeeeeeeeeeeeee... Aieeeeeeeeeeeeeeeeeee... Oh, mon Dieu... Oh, mon Dieu... Oh, s'il vous plait... Je vous en prie ......Oh, vous me déchirezzzzzzzzzzz! S'époumonait Evelyne hurlant de douleur sous la brutale intrusion.

Elle n'avait jamais ressenti une telle souffrance auparavant, elle était sûre que cette brute avait déchiré ses muqueuses internes.

- Oh mon Dieu... Arrêtez... Arrêtez... Ohhhhh, que ça fait mall-llllllllllll... Se lamentait-elle piteusement

- Oh mon Dieu... Faite moi mourirrrrrrrrrrr... Sanglotait-elle tant elle se sentait humiliée, dégradée.

Il s'empara de son clito affolé le manipulant durement tout en, allant et venant dans ses muqueuses distendues.

- Non... Non... Nonnnnnnn... Oh... Oh non... Non, Je vous en prie... Ohhhhh... Mon Dieu... Ne me laissez pas... Jouir... Ahhhhhhhhhh! Grogna-t-elle alors que son corps était secoué de spasmes convulsifs, qu'elle voyait des étoiles éclater dans sa tête, alors qu'un intense orgasme la terrassait toute.

La brute qui la baisait, la poignardait sans pitié, s'ensevelissant profon-dément dans son utérus pour faire jaillir des geysers de foutre chaud.

Après avoir subi André le géant, Evelyne fut prise et reprise par tous les voyous, la baisant par tous ses trous.

Elle dut embrasser celui qui la prit dans la position du missionnaire, puis lui caresser les couilles à deux mains, le branlant jusqu'à l'amener à gi-cler sur son corps.

Son épreuve terminée, Evelyne s'éveilla sur la table de consultation, couverte de sperme séché qu'ils avaient projeté sur tout son corps.

Abasourdie, elle se débrouilla pour se couvrir du mieux possible de ses vêtements, constatant la disparition de ses sous-vêtements que le gang avait emmenés pour garnir le tableau de leurs trophées.

Puis folle d'humiliation et de dégoût, elle nettoya la grande table elle frémissait de révulsion mais elle ne pouvait laisser personne se rendre compte de ce qui lui était arrivé.

Six semaines s'étaient écoulées depuis ce jour terrible dans la bibliothè-que et Evelyne avait finalement surpassé sa peur de se rendre à la bibliothèque et d'y rester seule, de crainte qu'ils recommencent.

Elle et Dave était intime avant le vol, ils s'aimaient depuis leurs années collège, ils faisaient l'amour dans les occasions spéciales et pas seule-ment pour baiser.

Celui lui prit presque un mois avant de pouvoir refaire l'amour avec Dave, elle se sentait coupable de lui livrer un corps souillé.

Avant le viol faire l'amour avec Dave lui procurait des orgasmes satisfai-sants, mais à son grand désespoir il éjaculait rapidement dans la capote, la laissant souvent frustrée.

Un vendredi après-midi, un peu plus agité que d'habitude : du fait de la proximité des examens de mi-trimestre beaucoup d'étudiants venaient rafraîchir leur mémoire en consultant des auteurs au programme.

Alors qu'Evelyne aidait un étudiant dans ses recherches, elle avala sa salive à la vue d'un noir à l'aspect familier entrer dans la salle et s'as-seoir à une table libre.

Un frisson lui parcourut le corps, il s'agissait d'un des ses noirs qui l'avaient violée dans la salle de consultation.

Elle se rappelait seulement la brutalité de cet ado vicieux lorsqu'il l'avait prise comme une bête sauvage.

Le pire pour Evelyne était de reconnaître la façon dont elle avait répon-due à ses assauts frénétiques, celui la même qui s'était vanté :

- Eh oui ma chérie, tu viens de te faire baiser par André le géant! Je suis peut-être le plus petit de la bande, mais j'ai une énorme bite qui va te dévaster la chatte!

Elle ferma les yeux alors qu'un autre frisson courait dans ses lombes, les muscles de ses cuisses se crispaient alors que sa cyprine lui trempait la fente.

Toutes les nuits, André se masturbait en se représentant l'image de la somptueuse bibliothécaire qu'il avait baisé dans la bibliothèque de l'école, et en se rappelant de quelle manière elle avait répondu à ses assauts.

Il se souvenait comment elle avait verrouillé ses chevilles dan son dos le corps secoué de soubresauts convulsifs alors qu'elle jouissait intensé-ment.

C'était le meilleur coup qu'il ait jamais tiré!

Comme elle ne s'était plainte auprès de personne de son viol, il savait qu'il pouvait retourner en toute sécurité à la bibliothèque, il se demandait seulement quelle serait sa réaction en le voyant de nouveau.

Il pensait que ça valait le coup d'essayer, se murmurant en lui même :

- Peut-être bien qu'après avoir joui comme elle a joui de ma grosse bite, le proverbe qui dit quand tu as baisé avec un noir tu y re-viens toujours, se vérifiera avec elle!

Evelyne avala sa salive lorsqu'il la regarda fixement, elle ne pouvait interrompre les crispations spasmodiques de ses cuisses, ni le flot de cyprine qui poissait le fond de sa petite culotte.

Comme l'heure de la fermeture approchait, les étudiants quittèrent la bi-bliothèque un à un.

Elle regarda André se lever et se rendre dans la salle de consultation. Son coeur battait la chamade lorsqu'elle avisa les derniers étudiants qu'elle allait fermer.

En passant devant la salle de consultation, Evelyne lança un timide sou-rire au jeune noir qui lui souriait en retour.

Elle fit le tour de la bibliothèque vérifiant que tous les étudiants étaient partis, puis elle verrouilla la porte.

Se retournant elle s'appuya contre le mur, puis se dirigea lentement vers la salle de consultation, son esprit lui criait qu'elle était folle et qu'elle ferait mieux d'appeler la sécurité qui la débarrasserait de son ex agres-seur.

En entrant dans la petite pièce, elle se mordait les lèvres alors qu'il l'at-tendait vêtu de son seul jean.

Elle avala sa salive comme il s'approchait d'elle, elle suivait des yeux ses mains qui déboutonnaient son pantalon.

Evelyne le regardait éperdue, avançant vers lui, le repoussant contre les cabines métalliques.

A la vue de la réaction de la belle femme à son entrée, du fait qu'elle était restée seule avec lui dans cette pièce où le gang l'avait violée, il devinait qu'elle espérait se faire baiser à nouveau.

Il savait qu'elle ne se contenterait pas d'une séance pépère, mais qu'il devrait la prendre sauvagement comme le jour de son agression.

Il aimait la voir frémir d'appréhension, la voir mordre ses lèvres inquiètes, la façon dont elle fermait les yeux tout en se collant contre lui.

Il aimait l'entendre haleter yeux écarquillés et vides alors qu'il déboutonnait son corsage gris, repoussant son soutien-gorge pour s'emparer de ses lourdes mamelles aux tétons raidis.

- Ahhhhhh... Mon Dieu... Mugit-elle sourdement alors que sa bou-che s'emparait d'un de ses tétons, le suçant délicatement.

Il s'occupa d'abord d'un nichon, puis de l'autre.

Coulybaca
Coulybaca
104 Admirateurs