Une Gentille Sissy 07

Chapitre 7 Maîtresse Wendy

La semaine suivante, une routine qu'Axel trouva délicieuse s'installa. Tous les matins, ses ablutions terminées - elle appréciait de plus en plus son lavement quotidien - elle prenait soin de préparer une table agréable pour le petit déjeuner des filles. Elle enfilait la jolie robe blanche offerte par Zara ou la robe rose de Wendy, allait à la boulangerie, en rapportait du pain chaud et croustillant, se déshabillait, mettait son tablier, disposait bols et couverts, préparait la cafetière et attendait le lever des filles. Elle aimait les voir arriver, souriantes, flatter ses fesses nues sous le noeud du tablier, et recevoir le baiser gourmand de Wendy. Puis elle aérait, époussetait, rangeait, mettait à laver le linge de ses amies et préparait leur repas qu'invariablement Tina ou Louison venait chercher. A ce moment, souvent, elles aimaient l'exciter, provoquer son érection, le masturber doucement mais sans la laisser aller à la jouissance. "Je sais, ma chérie, c'est difficile, mais ton clitty est tellement mignon qu'on voudrait toujours jouer avec. J'arrête. Il faut te retenir. Je vais te confier un secret: on a prévu de te traire à nouveau cette semaine"...

L'après-midi elle mettait le deux-pièces offert par Wendy puis allait à la plage ou la piscine, où elle pianotait sur son smartphone, consultant des lookbook de "filles" comme elle. De retour à la maison elle s'accordait une session de repassage puis préparait le dîner et mettait le couvert, le plus souvent sur la terrasse. Elle se demanda à plusieurs reprises si finalement elle ne préférait pas le statut de "bonne à tout faire" à celui de future étudiante en école de stylisme. Mais elle se consolait en pensant que, peut-être elle arriverait à concilier les deux.

Le jeudi soir, comme la semaine précédente, elle eut droit à une séance de traite. Wendy la masturba longuement tandis que Tina et Louisa caressaient et pinçaient ses testicules. A un moment, les deux filles lubrifièrent son petit trou avant d'y enfoncer chacune et en même temps, deux doigts. "Regarde comme cette sissy prend bien! Je t'avais dit qu'elle était vicieuse".

-"Oui, elle dandine du cul comme une vraie cochonne!"

Les commentaires volontairement vulgaires de ses amies amusaient Wendy qui sentait Axel réactive à ces propos. La traiter alternativement avec tendresse, sévérité, douceur et vulgarité était un bon moyen d'assurer sa mainmise sur elle. Et puis Axel était tellement demandeuse, tellement désireuse de leur plaire, de devenir un jouet entre leurs mains qu'il était tentant d'en rajouter. Elle accéléra le traitement, branlant la sissy un peu plus sèchement. "Vous avez raison les filles, je crois qu'on a là une jolie petite salope en chaleur!" Puis elle s'arrêta, le temps d'enfiler un préservatif à Axel, et reprit de plus belle, jusqu'à ce que celle-ci éjacule, dans un spasme et un long gémissement qui la fit se cambrer. Elle fit glisser le préservatif le long du sexe de sa soumise, en le pressant de manière à recueillir le plus possible de liquide séminal. Elle en obtint une belle quantité, "de quoi remplir un demi verre" pensa-t-elle. Elle le fit balancer doucement devant les yeux d'Axel: "bravo ma chérie, je crois que tu vas te régaler demain matin. Va vite le mettre au réfrigérateur. Tu le fermes par un élastique et tu le déposes dans un bol. Je m'en occuperai. Et reviens nous voir".

Lorsque Axel fut de retour, Wendy le fit s'allonger et vint délicatement s'asseoir sur sa bouche, lui donnant à goûter sa fente humide et son sexe gonflé. Tout en allant et venant sur le visage de sa sissy, elle lui enduisit les seins de crème et commença à les malaxer, pétrissant les mamelons et pinçant les tétons. Puis elle leur fixa deux pinces qu'elle ajusta en les vissant, juste assez pour que la douleur ne l'emporte pas sur le plaisir. Dans le même temps, Tina et Louison lubrifiaient l'anus d'Axel avant de lui introduire un plug conique en silicone rose, serti d'un cœur synthétique transparent.

Quand Wendy eut joui dans la bouche d'Axel elle resta encore un moment confortablement assise sur le visage de la sissy, savourant cet instant de domination pendant lequel sa poupée lui appartenait en plein. Puis elle céda sa place à Tina, puis Louison, chacune s'installant avec plaisir sur ce siège vivant. Elles s'appliquèrent à bien faire profiter Axel de leur chatte comme de leur petit trou tout en s'amusant avec son clitty.

Vingt minutes plus tard, Axel fut libéré de ses pinces et autorisé à garder son plug encore une heure. Wendy fit de nouvelles photos.

Le lendemain matin, au petit déjeuner, la jeune femme vida consciencieusement dans un bol le préservatif qu'Axel avait mis au réfrigérateur, avant de le retourner en l'enfilant sur une banane et de lui donner à sucer. "Applique-toi, il ne faut rien faire perdre", lui dit-elle. Puis elle lubrifia le plug qu'Axel avait porté la veille et le déposa sur la chaise de la sissy. "Tu vas bien t'asseoir, ma chérie, il faut le faire pénétrer sans avoir à te servir de tes mains. Attends mon signal". Puis elle se plaça à l'arrière, le smartphone hauteur des fesses d'Axel, et filma la scène en gros plan. A mesure qu'elle s'asseyait, Axel sentit avec délice sa petite chatte s'écarter, puis se refermer sur la base du plug. Wendy lui demanda de se relever, et montra la vidéo à Axel : "regarde, ma chérie, tu es une magicienne!" On voyait le plug, au centre de l'image, puis les fesses d'Axel qui entraient dans le champ et descendaient s'asseoir sur l'objet. Lorsqu'elles remontaient, le plug avait disparu. "Je suis fière de toi", fit Wendy, tu as compris l'utilité de ta bouche et de ta chatte. Tu es faite pour sucer, ma chérie, c'est ta fonction première, et ta chatte est là pour aspirer ce qu'on lui présente. Tu régales nos clitos avec ta langue, tu suces la banane avec application et tu prends le plug avec tellement de naturel, c'est merveilleux. Découvrir qui on est et ce à quoi on sert n'est pas donné à tout le monde". Wendy ponctua sa tirade d'une caresse sur la joue d'Axel. "Maintenant, une dernière chose : je reste ta Wendy dans l'intimité, mais, étant donné ton statut de sissy à part entière et le rôle que j'ai joué dans ton éducation, je t'autorise en public à m'appeler "Maîtresse Wendy", et je penses que Tina et Louison seront satisfaites que tu fasses de même avec elles. tu es contente? Axel était au-delà du bonheur, "faite pour sucer", "sissy à part entière", "découvrir ce à quoi on sert", tous les compliments de Wendy lui tournaient la tête. "Merci maîtresse", balbutia-t-elle en rougissant. "Oh mon bébé, comme je te l'ai dit, entre nous, tu peux continuer à m'appeler Wendy. Tu es trop mignonne. Tu peux garder le "maîtresse" pour quand les filles seront levées. Maintenant, allons déjeuner". Wendy fit s'asseoir Axel, lui présenta le bol qu'elle avait préparée et prit une petite cuillère. Louison et Tina arrivèrent à ce moment dans la cuisine.

"Miam miam, je vois que notre petite chérie s'apprête à déguster sa crème!" fit Tina.

-"Oui, et nature, comme une bonne petite femelle", répondit Wendy, en regardant tendrement Axel. Et elle lui donna sa première cuillerée. Sans l'adjonction de fromage blanc, la texture était différente au palais. Un peu moins d'onctuosité, mais un goût plus franc. En déglutissant, Axel se sentit fière d'elle. Lorsque Wendy eut fini de la nourrir, elle lui permit de lécher l'intérieur du bol.

"Et ce que vous ne savez pas", dit-elle aux filles, "c'est que cette petite chérie qui a la bouche pleine de sperme, a aussi la chatte comblée par son plug".

-"Remplie à l'avant et emplie à l'arrière en même temps, le portrait d'une pure sissy!"

-"C'est vrai, allez, avale bien tout, mon chou. Qu'est-ce qu'on dit?"

-"Merci maîtresse".

-"Bonne petite", fit Wendy en caressant les cheveux d'Axel.

La journée de la sissy fila comme dans un rêve, ses pensées allaient aux filles, à sa soirée de la veille, à son petit déjeuner coquin et à son sentiment de pleine acceptation de son statut. Elle était heureuse. Elle déplorait juste que Zara ne puisse leur rendre visite pour le week-end. Elle l'en avait prévenue dans l'après-midi. Ce qu'elle ne savait évidemment pas, c'est qu'avec le concours de Wendy et la complicité de Mona, sa tante avait organisé l'arrivée de cette dernière et de sa belle-fille Kimi , le samedi même. Wendy avait prospecté pour Zara et découvert que dans la résidence - leur résidence - une maison n'avait pas encore de locataires pour les quinze jours suivants. La station balnéaire était un endroit prisé, le cadre parfait pour des vacances au soleil et la préparation de la rencontre entre Axel et Kimi. Mona avait saisi l'occasion et loué la maison. Elle souhaitait offrir à Kimi une histoire d'amour avec une "jeune fille" ayant été éduquée sur le même mode et qui serait toujours sous contrôle, plutôt que d'avoir à négocier avec un "Daddy" qui substituerait son autorité à la sienne et finirait par lui enlever Kimi. La difficulté serait simplement, qans un second temps, la gestion de la vie de couple d'Axel et Kimi, qu'elle aurait à partager avec Zara, habitant la même ville, certes, mais pas la même maison.

Zara avait des préoccupations similaires. Mais il fallait avant tout que la rencontre entre les deux sissies ait lieu. Elle ne pouvait se rendre chez Wendy et les filles avant la fin de la semaine suivante, d'ici là les choses auraient sans doute évolué.

Le soir, en arrivant à la villa, Wendy, Louison et Tina furent accueillies par un joyeux "bonjour maîtresses" et une Axel qui, nue comme à son habitude, avait briqué la maison, dressé la table et préparé le repas. Au moment de l'apéritif, Wendy décida de montrer aux filles comment Axel introduisait le plug entre les fesses sans se servir de ses mains. Elle déposa le bijou sur une chaise et y fit s'installer sa sissy, comme le matin même. Après un petit couinement, cette dernière se releva, le plug n'était plus sur la chaise mais ornait son derrière. Les filles applaudirent en riant. Puis Wendy lui annonça que le lendemain matin, le samedi, elle les accompagnerait au magasin pour y jouer les apprenties vendeuses. Elle lui avait également pris rendez-vous à la boutique de piercing à côté, là où travaillaient Sheila et Cindy, pour lui faire percer les oreilles.

Après le repas, lorsque Axel eut débarrassé la table, Wendy lui demanda de se pencher en avant et lui retira le plug. "Demain, tu pourras le garder toute la journée, ma chérie. Allez, file te coucher, mademoiselle Cul-nu". Et elle ponctua ses paroles par une petite tape sur les fesses d'Axel.

Le lendemain matin, après le petit déjeuner, Wendy présenta à Axel la tenue qu'elle aurait à porter au magasin. Il s'agissait d'une mini-robe blouse fushia doublée d'une mousseline de soie transparente. Le logo de la boutique, un cœur dans lequel s'inscrivait le "F" de Frivolités, était brodé à hauteur de la poitrine. La robe couvrait tout juste le fessier d'Axel, mis en valeur par le port des escarpins de la semaine précédente. "A la boutique nous portons toutes la même tenue. Prends la robe que t'a offerte Zara pour t'y rendre, tu te changeras sur place, comme nous. Et comme tu portes ton plug, ce n'est pas la peine de mettre une culotte. Si jamais tu dois te pencher, c'est joli à voir".

A la boutique, Axel fut émerveillée par tous les modèles présentés: robes légères pour la plage, pour le soir, unies ou imprimées, bustiers, caracos, jupes-shorts, mini-jupes, et maillots bien sûr, sans oublier tous les accessoires que l'on trouve l'été dans une boutique saisonnière : visières, bandanas, bracelets brésiliens ou bagues fantaisie. Wendy lui montra la réserve et comment étaient classés les modèles, pour le cas où une cliente n'aurait pas trouvé sa taille dans la boutique. Axel était toute à la joie de devenir vendeuse pour un jour. Elle observa comment Wendy et les filles accueillaient et conseillaient les clientes, tentant de répondre à leurs attentes.

"Axel!" - c'est Louison qui l'apostropha ainsi - "Pouvez-vous me trouver un 38 dans ce coloris, pour madame? En réserve".

-"Oui, bien sûr mademoiselle Louison". Et Axel fila chercher le modèle demandé.

-"Merci, c'est parfait".

-"Vous avez une nouvelle vendeuse?"

-"Oh, Axel? Disons qu'elle nous seconde de temps en temps. Un petit job d'été pour elle, qu'elle partage avec des ménages ici ou là. Elle est motivée et très serviable".

-"En tout cas, elle est souriante et polie, c'est très agréable quand on entre chez vous".

-"Oh, pour ça, elle sait recevoir", compléta Louison en souriant intérieurement.

La matinée se déroula de la meilleure des manières pour Axel. Plusieurs clientes lui demandèrent même conseil et, après un rapide coup d'œil à Wendy et l'assentiment silencieux de cette dernière, elle leur donna son avis de manière courtoise. A un moment, un couple entra dans la boutique, la femme voulant essayer une robe qu'elle avait pris sur l'un des portants extérieurs. Tina lui indiqua une cabine et proposa à son compagnon un siège à proximité en lui demandant s'il voulait une boisson. "Axel, s il te plaît, peux-tu apporter un café à monsieur?" Axel s'exécuta et en le servant, sentit le regard appréciateur que l'homme posait sur ses cuisses. Elle se sentit étrangement flattée et encouragée dans sa féminité. Puis elle s'aperçut de la bosse qui se formait dans le pantalon de l'homme. Il était en érection! Ce témoignage de la considération qu'on lui portait l'honora. Elle sentit spontanément la nécessité qu'il y avait pour elle à s'agenouiller devant ce symbole de la force mâle et à attendre les ordres qu'on lui donnerait. Prendre en bouche ce sexe qu'elle devinait lui sembla une évidence. Elle se rappela les paroles de Wendy, "tu es faite pour sucer, ma chérie"... C'est à ce moment que Tina lui fit signe : "Axel, j'ai besoin de ton aide en réserve!". Elle s'excusa : "ma responsable a besoin de moi. Si vous le permettez"...

-"Axel chérie, j'ai compris ce qui se passait", lui dit Tina, "je sais que c'est ta nature profonde de sissy qui s'exprime. Malgré ton penchant naturel pour les femmes, ton goût pour leurs chattes, il suffit qu'une bite se dresse devant toi pour que tu te sentes obligée de la prendre en bouche. C'est normal, je le répète, mais n'oublie pas où tu te trouves. Dans la boutique, et non dans l'intimité de la chambre de ce couple".

-"Oh oui, excusez-moi Maîtresse Tina. Pendant un moment je ne savais plus ce qui se passait en moi ni où j'étais. Je n'ai jamais eu de contact avec un homme".

Tina apprécia le vouvoiement et le statut de "maîtresse" dont Axel la gratifiait. Soulevant la jupe d'Axel, elle caressa doucement son sexe.

-"Je le sais, mon chou. Et n'oublie pas à qui tu appartiens. Tant que nous le jugerons nécessaire, nous t'épargnerons tout contact avec les hommes. Rappelle-toi que tu n'as pas à penser, juste à nous obéir. Tu t'en sentiras soulagée.

-" Mais, quand maîtresse Wendy me donne mon yaourt le matin"...

Tina l'interrompit : "oui, tu aimes le sperme, comme toutes les sissies, et le port du plug aussi. Mais vois-tu, ta tante, Wendy et nous, serions heureuses si tu rencontrais plutôt une sissy de ton âge, une gentille femelle bien éduquée, comme toi".

-"Vous voulez dire que nous pourrions...?"

-"Avoir une relation? Bien sûr. Et comme une sissy suce toujours au premier rendez-vous, tu pourrais satisfaire ton goût pour la crème de bite rapidement, et à la source. Tout comme elle. Ce serait charmant. Et l'avantage est que tu serais toujours la propriété de ta tante Zara. Et de Wendy, bien sûr. Pas besoin de te mettre au service d'un Daddy. Ou alors de manière très occasionnelle".

-"Oh, merci maîtresse Tina. Je me sens tellement sotte, parfois. J'ai tellement à apprendre".

-"C'est vrai. Vide ton esprit de tout ce qui n'est pas nécessaire. Nous somme là et si tu te poses une question, nous te donnerons la réponse. Reste notre petite sotte, c'est ce qui nous convient, c'est comme ça que nous t'aimons". Et Tina cessa sa caresse du clitty d'Axel qui, gonflé, dressait maintenant ses six centimètres de chair rose.

"Bon, c'est un peu de ma faute, mais il faut calmer cette petite chose avant de retourner en boutique" fit Tina, souriante, en montrant le sexe d'Axel.

A la caisse, le couple était en train de régler ses achats. En passant près d'eux, Axel se sentit déshabillée du regard par l'homme. Elle en eut un frisson. Quelque chose qui ressemblait à du plaisir.