Une Épouse Trop Zélée

BÊTA PUBLIQUE

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Rainett
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Lorsque le patron a voulu s'éloigner, Cathy a essayé de le ramener avec sa langue exquise entre ses jambes, mais il était beaucoup trop fort pour elle. Elle se sentait comme une poupée dans ses bras puissants tandis qu'il la repoussait pour se relever. Leurs yeux se rencontrèrent, et elle eut soudain honte de l'intensité de son excitation.

Elle détourna le regard, mais il l'enlaça, la pressant contre lui, tournant son visage vers lui. Ses lèvres encore humides du jus de sa chatte s'écrasèrent sur sa bouche. Et cette langue enivrante envahissait sa bouche. Elle la suça goulûment, sans se soucier du goût de sa propre chatte. Guillaume satisfait s'écarta de cette bouche vorace. Il n'avait plus besoin de presser cette femme contre lui. Elle se frottait sensuellement contre sa bite tendue.

« Ta chambre? » Il a demandé. Cathy n'hésita pas et fit un signe de tête pour lui montrer la direction. Le patron passa le bras autour de sa taille fine et l'entraîna. Daniel hésitait, ne sachant pas quoi faire. Puis il se dirigea vers la fenêtre de la chambre, en espérant que Cathy n'avait pas fermé les volets !

Dans la chambre, Guillaume s'affirmait davantage. Sur le seuil, il a soulevé Cathy, puis l'a simplement jetée sur le lit. Elle souffla, surprise et un peu choquée, mais resta passivement allongée pendant que le patron commençait à se déshabiller.

Elle vit le regard affamé braqué sur elle, et elle s'étira pour prendre la pose, montrant tout. Ses charmes féminins, ses rondeurs, et les délices qui l'attendaient. Elle était torride et excitée. Elle ne pensait plus ni à son mari, ni à sa promotion. Elle voulait se faire baiser par cette grosse bite qu'elle devinait sous ses vêtements. Elle voulait cet homme. Elle écarta largement ses longues jambes pour lui. Pour lui montrer combien elle le désirait.

Lorsque son pantalon tomba sur le sol, elle ne put s'empêcher d'admirer sa musculature. Son regard fit le tour de ses larges épaules, de ses pectoraux saillants, de ses cuisses musclées. C'était un bel homme. Dans la fleur de l'âge, la cinquantaine avancée, et elle sentit un petit frisson la parcourir à l'idée qu'elle allait laisser un homme beaucoup plus âgé la lutiner. Son sexe était long et épais. Il se balançait en oscillant dans les airs, et elle était fascinée par son volume. Et long, très long, sa bouche s'asséchait d'anticipation.

Daniel était intimidé. Son patron était autoritaire et imposant au bureau. Sa nudité n'avait pas diminué son emprise. Voir cet homme puissant debout, nu, arborant cette longue poutre obscène lui donnait des complexes. Son cœur chavirait en voyant sa charmante épouse écarter les jambes devant ce taureau qui aurait pu être son père.

Lorsque Guillaume a grimpé sur le lit, la jeune femme a tendu sa main pour l'atteindre, l'a guidé vers son puits d'amour, et l'a accueilli entre ses cuisses ouvertes. Elle semblait être ensevelie sous une masse de muscles lorsque le patron s'installa sur elle. Daniel regarda les mains fines de sa femme s'accrocher aux épaules robustes. Il vit les fesses de l'homme levées haut exécuter une sorte de danse ondoyante pour s'aligner face à son orifice en attente, puis effectuer une vive poussée presque brutale.

Le gémissement étouffé de Cathy témoignait que la pénétration de l'homme à l'intérieur de la femme avait été sauvage et totale. Il avait enfoui sa bite en une seule poussée. Les jambes de Cathy s'agitaient dans les airs des deux côtés du mâle. Puis, l'homme fit plusieurs mouvements énergiques de va-et-vient, et Daniel tressaillit à l'idée de sa jeune femme écartelée par la grosse bite de son patron.

Puis les longues jambes se sont enroulées autour du mâle, qui a commencé une baise plus ample et plus profonde sur Cathy. Elle était encore sous le choc de la pénétration féroce de ce pieu, comme un fer rouge à l'intérieur d'elle. La bite longue et épaisse la remplissait toute. La masse lourde de l'homme la clouait sur le matelas. Cette masse qui l'écrasait était plus excitante qu'elle ne l'aurait cru. Son clitoris était régulièrement broyé par les poussées du pubis masculin. Elle se mordait les lèvres sans parvenir à contrôler son trouble.

Elle se frottait contre lui. Non, il ne s'agissait plus d'un marché. Définitivement, la promotion du mari était passée au second plan. Elle ne savait pas à quel point elle avait besoin de sexe sauvage. Elle s'offrait toute, comblée par cette bite qui s'enfonçait si loin en elle.

Daniel regardait, fasciné et incrédule, l'énergique séance de baise que son patron offrait à sa femme. Un homme dans la force de l'âge, expérimenté autant que puissant, qui lui ravissait sa femme. Il ne pouvait pas reprocher à Cathy d'apprécier cela ! Lui-même était très excité par ce spectacle sexuel privé !

Sauf que ce n'était pas totalement privé. La porte de la chambre s'entrebâillait un peu plus. Une tête sombre se glissait dans l'entrebâillement pour regarder le couple en train de baiser sur le lit. C'était Moussa, le vieux jardinier noir ! L'homme épiait Cathy et Guillaume en pleine fornication.

Daniel ressentit une pointe de jalousie et d'indignation, puis se demanda s'il avait le droit de condamner Moussa, puisque lui-même reluquait depuis le jardin. Mais Moussa n'était qu'un vulgaire employé ! C'était une faute professionnelle. Même si Daniel aurait du mal à se justifier dans cette situation. En même temps, il se demandait si Moussa les avait déjà espionnés, Cathy et lui, en train de faire l'amour. Il résolut d'être plus discret à l'avenir.

Pendant ce temps, les muscles intérieurs de la vulve de Cathy se crispaient autour de la bite de Guillaume. C'en était finalement trop pour lui, et sa semence chaude a jailli dans la chatte accueillante. Cathy l'a sentit tressaillir et grogner. Elle a sentit sa bite palpiter, avant d'être inondée de son sperme. Elle a gémi dans son propre orgasme. Elle serra l'homme dans ses bras alors qu'il se faisait lourd sur elle. Elle ne pensait pas obtenir autant de plaisir avec cet homme mûr, mais sa science du sexe était extraordinaire.

Guillaume se souleva pour regarder l'expression épanouie sur le visage de la jeune femme. Elle était magnifique avec son visage las et son sourire rassasié. Sa bouche aux lèvres pulpeuses l'attirait. Il lui caressa doucement le visage, écartant les mèches errantes, tandis qu'elle pantelait en s'apaisant. Il déposa un tendre baiser sur le bout de son nez. Elle ouvrit enfin les yeux.

« Tu t'en vas maintenant? »

Guillaume lui sourit en secouant la tête négativement. Il n'y eut ni étonnement ni malaise sur son visage, simplement de l'acceptation. Que cette femme était jolie ! Lorsqu'elle avait accompagné son mari pour l'entretien d'embauche, il avait décidé sur-le-champ d'offrir le poste à cet homme si bien marié. Maintenant, en la dominant de toute sa masse, il voulait cette femme toute à lui. Il voulait qu'elle porte leur enfant.

Il caressa son joli visage, passa un doigt sur ses lèvres pulpeuses. Docile, Cathy entrouvrit ses lèvres pour sucer le doigt coquin. Elle était conquise sous lui, ne faisait aucun mouvement pour le repousser. Les yeux dans les yeux, elle attendait le bon plaisir du mâle dominant. Finalement, il se retira, sa bite glissant hors de sa vulve gluante de sperme. Il ignora le regard interrogateur, et se pencha sur ses magnifiques seins.

La jeune femme haleta lorsque sa poigne ferme pressa les globes blancs. Il jouait avec ses seins opulents. Il avait aimé les sucer. Il les serrait fermement, la faisant haleter et palpiter. Il pinçait ses tétons dressés en épiant ses réactions sur son visage. Il rêvait de baiser cette femme pendant qu'elle allaiterait son enfant. Quel plaisir de la prendre en levrette pendant qu'elle donnerait le sein. Il fantasmait de la mettre enceinte.

Mais pour l'instant, il avait d'autres convoitises. Il s'est déplacé au-dessus d'elle en remontant son corps. Elle n'a pas eu besoin de lire dans ses pensées pour savoir ce qu'il voulait. Elle n'était pas aussi innocente qu'il n'y paraît. Comme beaucoup, elle avait appris très tôt que la bouche des filles attirait les hommes. Sa bite brillait dans la pénombre, poisseuse de leurs jus mêlés. Elle n'était pas entièrement dure, mais elle n'était pas non plus entièrement flasque lorsque Guillaume s'approcha de sa bouche. Elle s'humecta les lèvres pour accueillir son magnifique chibre.

Les mains de Guillaume se posèrent sur sa tête. Elle ne résista pas lorsqu'il se pencha sur elle. Sa bite humide gifla sa bouche, et sa langue pointue lécha la chair aigrelette de son gland. Daniel regardait son patron glisser le long du corps de sa femme. Le sexe de l'homme giflant le visage de sa femme. Puis il lui maintenait la tête en l'approchant de lui. Il vit Cathy ouvrir sa bouche, puis le corps épais de son patron lui masqua le reste de l'action.

Même s'il ne pouvait pas voir l'action se dérouler, l'expression du visage de son patron lui disait tout. Les yeux fermés, un rictus d'intense plaisir s'étalait sur son visage. Daniel savait que sa femme était douée pour sucer. Il connaissait son goût pour cela. Il frissonna en voyant son patron vibrer de plaisir.

En arrière-plan, un Moussa en confiance pouvait se pencher ouvertement pour regarder la scène sur le lit, et apprécier le corps nu de sa patronne. Daniel grinça des dents face à l'impertinence de son domestique. Même s'il ne pouvait pas intervenir pour l'instant, il se jura de lui faire payer cela.

C'était maintenant au tour du patron de gémir sous la caresse experte de sa femme. Guillaume maintenait fermement la tête de la jeune femme de peur qu'elle ne se dérobe. Il lui a fallu beaucoup de maîtrise pour retirer sa bite de cet endroit divin. Elle tenta de lui laper les couilles, mais il la repoussa pour redescendre le long de son corps, s'installer de nouveau entre ses cuisses ouvertes.

Prudent, Moussa recula hors de vue. Daniel hoqueta en voyant la longueur et l'épaisseur du sexe, revenu maintenant au mieux de sa forme. Tout cela entrait à l'intérieur de sa femme, et il se demandait s'il pourrait y avoir des conséquences. Puis il se souvint que sa femme avait fait cela pour lui obtenir une promotion. Elle ne pouvait pas connaître l'ampleur de son sacrifice, ce qu'elle aurait à subir quand elle avait fait cette offre stupide. Elle n'aurait jamais dû intervenir !

Pendant ce temps, son patron avait retourné sans effort apparent la jeune femme, le visage contre le matelas. Le nez enfoui dans les draps, le cul levé haut, elle attendait le bon vouloir du mâle. Agenouillé derrière elle, celui-ci caressait le dos et les fesses de sa proie. Ses mains charnues pressaient les fesses rondes de Cathy, et elle se cambrait pour pousser ses fesses contre les mains caressantes.

Daniel regardait son patron positionner Cathy. Il la tenait par les hanches en s'installant derrière elle. Daniel s'inquiéta de ce que Guillaume était sur le point de faire. Cathy n'aimait pas la sodomie, mais la façon dont il se positionnait... Cathy couina lorsque la bite épaisse força l'ouverture de son rectum.

« Non ! Pas là ! Je ne fais pas ça ! » Elle a crié.

Daniel l'entendit crier, et vit le sourire de satisfaction sur le visage de son patron. Il se pencha sur elle tandis qu'elle hurlait, agrippa fermement les hanches de la jeune femme et, impitoyable, il poussa vigoureusement en avant, en ignorant ses plaintes criardes.

Moussa passa la tête dans l'embrasure pour voir ce qui se passait, mais lui non plus ne fit aucun effort pour venir en aide à Cathy. Daniel voyait maintenant leurs deux visages. Le sourire de plaisir sur le visage de son patron contrastait avec le masque de souffrance sur le visage de Cathy, lorsqu'il lui avait défoncé l'anus.

Implacable, ce macho n'a ressenti aucune pitié en s'enfonçant profondément en elle. Cathy a enfoui de nouveau son visage dans les draps pour les mordre. Daniel regardait avec consternation et inquiétude son patron aller et venir dans la gaine anale de sa jeune femme, sans tenir compte de ses protestations larmoyantes.

Il regardait, impuissant, son patron enculer douloureusement sa femme. Tout son corps était secoué par les sanglots. Mais il était bien trop tard pour qu'il intervienne. Sa colère se détourna contre Moussa qui, sans gêne, entrait dans la pièce en caressant sa bite. C'est sûr, il allait le virer, peu importe le prétexte.

Mais, incrédule, il assista alors à une scène étonnante. Cathy se cambrait, tendait son cul vers son tourmenteur en oscillant des hanches, pour que ses poussées répondent aux poussées du patron. Fini les larmes, les cris qui sortaient de sa gorge indiquaient la montée du désir. C'était évident, elle y prenait du plaisir et elle s'offrait, impudique à l'énorme bite qui l'empalait.

Il en avait assez vu ! Il devait se rendre à l'usine pour cette réunion. Il ne pouvait resté caché sous cette fenêtre, à espionner les deux amants. Il a dû faire un effort pour s'arracher à la contemplation du couple en train de baiser fiévreusement.

Il se détournait, déterminé à partir, lorsqu'il remarqua une lueur de l'autre côté du buisson. Il jeta un coup d'œil prudemment. C'était le chauffeur de Guillaume qui attendait son patron, tranquillement installé dans un fauteuil de jardin, en fumant une cigarette.

Planqué dans son buisson, le chauffeur ne s'était pas aperçu de sa présence. Daniel ne l'avait pas vu en arrivant, il avait dû aller boire un pot au café du coin. Il jura entre ses dents, la retraite était coupée. Il devait attendre que le gars change de place. De la fenêtre ouverte, au-dessus de lui, s'échappaient les cris de sa femme qui exhortait son amant à plus d'ardeur.

Il a fallut une demi-heure avant que Guillaume ne sorte de la villa. Il se dirigea vers son chauffeur.

« Êtes-vous prêt à partir, patron? »

« Ouais. Je vais d'abord me détendre un peu en fumant une cigarette avant de rentrer »

« Alors? Elle était bonne? »

« Une affaire ! La chatte, le cul, la bouche, je lui ai tout pris, et elle réclamait encore, cette salope ! »

« Vous pensez qu'elle pourrait être votre régulière? »

« Hé bien, elle aime son mari »

« Est-ce que ce sera un problème? »

« Pour en faire ma régulière, oui. Pour la baiser de temps à autre, pourquoi pas. Après la baise de ce soir, je pense qu'elle en voudra encore. Je la ferai languir un peu pour l'accrocher. On verra bien »

Les deux hommes riaient de sa femme et Daniel bouillait de frustration. Puis ils sont partis. Daniel a filé aussi vite et aussi discrètement que possible. Les trois heures de route jusqu'à l'usine lui permirent de penser. Que devait-il faire? Le positif, c'est que sa femme l'aimait. Et qu'il aurait sa promotion ! Et quand il reviendra, il virera ce bâtard de Moussa !

Daniel n'aurait pas apprécié de savoir comment Moussa occupait sa soirée. Lorsque Cathy est sortie de la douche avec son peignoir en éponge sur elle, ce fut pour trouver le vieux jardinier noir piqué au milieu de la chambre, avec un sourire arrogant sur le visage.

« Moussa ! Qu'est-ce que vous faites ici? Sortez immédiatement de ma chambre ! »

« Pas question ! »

« Qu'est-ce que ça veux dire? Sortez immédiatement ! Mon mari vous virera à son retour ! »

« Tu ne vas rien dire à ton mari ! Pas si tu veux que tes saloperies restent cachées ! »

« Comment osez-vous? J'insiste pour que vous sortiez immédiatement de ... ! » Sa voix s'étrangla en même temps que les paroles de Moussa s'insinuaient dans son cerveau

« Qu'est-ce que ça veux dire? »

Sa voix tremblait maintenant. L'Africain la regardait avec ce sourire arrogant. Il pratiquait les blancs depuis longtemps. Il savait qu'ils pouvaient se déballonner en quelques secondes, si on leur tenait tête. La poulette était bien jolie, alors il la laissa réfléchir un instant.

Cathy regardait cet Africain que son mari avait embauché comme domestique. C'était l'Africain le plus laid qu'on pouvait imaginer. Le visage de l'homme était grêlé, et marqué de profondes cicatrices tribales. C'était quelque chose qui avait à voir avec ses traditions ancestrales, mais son visage était un masque de laideur. Il était costaud. À force de travailler dur, ses muscles étaient apparents.

Cathy s'interrogeait sur la possibilité de se précipiter vers le téléphone, mais même si elle arrivait jusqu'au téléphone, qui pourrait-elle appeler? La police ne viendrait pas dans ce quartier à cette heure avancée de la nuit ! Ils enverraient quelqu'un demain matin pour voir si tout va bien !

« Qu'est-ce que vous voulez? » Sa voix était plus douce maintenant, plus conciliante.

Moussa sourit. Un sourire arrogant. Elle faisait moins la fière, maintenant. Moussa fit deux pas vers elle, s'empara du peignoir en éponge qu'il lui ôta. Subjuguée, elle restait tétanisée. Inutile de crier. C'était l'Afrique. Personne ne viendrait.

Il la poussa sur le tapis. Il ne perdait pas de temps à la conduire jusqu'au lit. Il n'avait pas l'habitude d'utiliser un lit. Le patron de son mari l'avait préparée ! Elle était prête à être utilisée. Sa chatte était encore élargie. Elle sera facile à pénétrer. Il ôta sa salopette de travail.

Il vit la peur dans les yeux de la femme. Cela lui plaisait. Un peu d'angoisse pouvait rendre une femme plus excitée. Cathy ne voyait aucun intérêt à résister. Elle ne pouvait rien faire d'autre que l'accepter. Elle trouvera un moyen de se débarrasser de lui plus tard !

Moussa a attrapé la douce chair blanche de la jeune femme. Cathy haleta quand Moussa la prit fermement.

Il avait noué ses poignets derrière elle avec la ceinture de son peignoir. Elle était nue, impuissante, et cette brute allait la prendre. Ce flot de chaleur qui irradiait dans ses reins était incompréhensible.

Moussa a écarté ses jambes, et elle regardait sa grande bite noire et dure. Ses bras puissants la plaquaient au sol, et la maintenaient fermement. Son sentiment d'impuissance devant cet homme brutal était avilissant. Cette brute ne ressemblait à rien. Même le patron de son mari avait été plus civilisé.

Cet homme était... était... elle écarta davantage ses longues jambes galbées...

Lorsque Daniel revint de l'usine le lendemain soir, il se rendit d'abord au bureau. Il redoutait de rentrer chez lui, ne sachant quoi dire à sa femme. Lui parler sans dévoiler ce qu'il savait. De ce qu'il ressentait. Savait-il seulement ce qu'il ressentait?

« Daniel ! Comment ça va? Tout s'est bien passé? Vous êtes satisfait? » Son patron s'approchait avec sa faconde habituelle. Sa confusion augmentait. L'homme se comportait comme si de rien n'était.

« Venez dans mon bureau, Daniel. Nous avons à parler. Il se fait tard, vous devez vouloir rentrer chez vous pour retrouver votre charmante épouse »

Daniel réussit à retenir sa langue, et suivit son patron jusqu'à son somptueux bureau.

« Asseyez-vous Daniel. J'ai du nouveau pour vous. J'ai bien réfléchi, et j'ai pris ma décision. J'ai décidé de vous accorder cette promotion, et de faire de vous un de mes principaux collaborateurs. Tenez, voici l'avenant à votre contrat de travail. Signez ici »

Daniel a réussi à garder son visage impassible. Il lut le contrat, et ses yeux s'écarquillèrent lorsqu'il vit que son salaire était doublé ! Tout était écrit noir sur blanc. Le poste, la fonction, le salaire ! Il n'était toujours pas sûr d'être à la hauteur, mais après ce qu'il avait vu la nuit dernière...

« Ne réfléchissez pas, Daniel, signez ici »

Daniel prit le stylo et hésita encore.

« Bien sûr, vous comprenez qu'en tant que responsable, maintenant, vous devrez vous déplacer souvent »

« Déplacer? »

« Oui, en fait, je m'attends à ce que vous me remplaciez auprès de nos diverses filiales. Vendredi, vous irez à l'usine de moteurs »

« Vendredi ... L'usine moteurs? »

« Oui, et en y réfléchissant, vous devrez être là-bas aussi lundi, pour la réunion avec les principaux adjoints. Ce serait mieux si vous restiez le week-end là-bas »

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