Une Épouse Trop Zélée

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Vouloir interférer dans les affaires du mari.
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Rainett
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« Chérie, je serai de retour demain soir. Je ne découche qu'une nuit » Daniel tenait à rassurer sa femme tandis qu'il partait pour l'usine où se trouvait le siège de la compagnie. Sa femme Cathy hocha la tête, mais elle eut l'air pensive plus qu'inquiète.

« Promis. Je serai de retour demain en fin de journée » Cathy acquiesça, compréhensive. Il lui donna un tendre baiser, et grimpa dans sa voiture garée à l'ombre, à l'abri du soleil brûlant. Le vieux jardinier noir, Moussa, lui tint la grille ouverte, et il partit. Il avait trois heures de route. En partant maintenant, juste avant le crépuscule, il ferait la route de nuit, à la fraîche.

Ses pensées étaient focalisées sur la réunion d'affaires à laquelle il devait assister, à la première heure le lendemain matin. Quand il croisa la voiture de son directeur, il y prêta peu d'attention, et répondit par un geste poli au salut de son boss. Il préparait sa stratégie pour la réunion en conduisant, mais un doute s'insinuait dans ses pensées. Qu'est-ce que son boss allait faire dans ce quartier? Il vivait de l'autre côté de la ville, dans un quartier chic, et les bureaux étaient en plein centre.

Des pensées moroses chagrinaient la tranquillité d'esprit de Daniel. Cathy avait fortement exprimé sa frustration qu'il ne soit pas plus offensif. Qu'il n'ait pas osé postuler pour ce poste de responsable de secteur vacant. Et qu'il n'avait pas obtenu l'augmentation de salaire qu'il méritait. Daniel savait bien qu'il n'était pas à la hauteur. Tous les autres responsables de secteur le savaient aussi. Ce serait idiot de postuler pour ce poste. Il ne l'obtiendrait jamais ! Non, il n'avait pas dit cela à Cathy, il avait juste tergiversé. Ce qui l'avait encore plus mise en colère.

Ils avaient assez d'argent pour vivre. Ils avaient adapté leur mode de vie à son salaire. Ils vivaient bien, même s'ils devaient vivre dans ce quartier populaire, loin du centre ville. Pourquoi sa femme ne pouvait pas se contenter de ce qu'ils avaient, comme lui. Au travail, ce n'était pas une foire d'empoigne, et ça ne le gênait pas de passer après les autres. Petit à petit, ses pensées ont dévié de ses préoccupations familières.

Pourquoi son patron se rendait-il dans cette banlieue éloignée? Qu'avait-il à y faire? Il ne connaissait personne là-bas, à part Daniel. Alors, pourquoi aller là-bas juste au moment où Daniel partait? Y avait-il un lien? Qu'est-ce qui se tramait? Daniel s'est inquiété. Ses tripes le prévenaient que quelque chose ne tournait pas rond. Sa femme aurait-elle pu commettre l'impair de crier sur son patron?

Elle en était capable. Et son patron était capable d'aller lui expliquer qu'il était au regret d'avoir à se passer de ses services. Et Daniel allait se retrouver au chômage. Il s'est inquiété encore de longues minutes avant que ses errements ne le conduisent à une inquiétude plus profonde. Il ne pouvait accepter de perdre son job sans combattre. Dans un large demi-tour, il a repris le chemin de sa maison.

Lorsqu'il arriva devant chez lui, ses tripes se sont liquéfiées instantanément en voyant la voiture de son patron garée dans l'allée. En panique, il essaya de réfléchir. Cela pouvait être anodin. Ne pas s'enflammer. Aller se garer un peu plus loin. Discrètement. Se faufiler sans sonner à la grille pour que le vieux jardinier noir, Moussa, vienne lui ouvrir. De toute façon, il était probablement déjà parti au bar du quartier.

Il hésita à entrer directement dans la maison. Peut-être valait-il mieux prendre quelques informations. Savoir si l'entretien entre sa femme et son patron était amical ou orageux. Allait-il se ridiculiser en surgissant à l'improviste? Il était censé être en route pour l'usine. Comment justifier sa présence ici? Il hésitait, et s'inquiétait encore plus. Il décida de contourner la villa discrètement. Ils devaient se trouver au salon. Les fenêtres devaient être ouvertes pour laisser entrer la fraîcheur du soir.

Il pouvait écouter leur conversation, caché sous la fenêtre. Il se sentait un peu idiot de se faufiler dans son propre jardin, mais il pouvait entendre la voix de Cathy maintenant, et la voix plus grave de son patron. Le ton de la conversation semblait amical. Rassuré, il se risqua à glisser un coup d'œil dans la pièce. Ils n'étaient pas au salon, mais un peu plus loin, attablés à la salle à manger. La table était mise. Ils étaient face-à face, et il les voyait de profil. Cathy recevait son patron, Guillaume, en son absence?

Tout cela semblait inoffensif, mais pourquoi son patron était-il là en son absence? Pourquoi Cathy n'avait-elle pas mentionné qu'elle l'attendait avant son départ? Qu'est-ce qu'ils tramaient dans son dos? Faire irruption et réclamer des explications n'était pas dans ses principes. Il préférait écouter pour comprendre avant d'agir. Mais ils étaient un peu loin, et Daniel avait du mal à comprendre leur conversation. Ils semblaient parler d'engagement, de respect de la parole donnée. Daniel était intrigué. Il a décidé d'attendre.

« Vous ne me comprenez pas. J'aime Daniel, vraiment. J'aimerais juste qu'il soit un peu plus déterminé » La voix de Cathy avait jailli, forte et claire. Guillaume se contenta de hausser les épaules. Daniel était soulagé. Mais la voix de Cathy perçait de nouveau :

« Daniel me fait confiance. Que penserait-il s'il savait que je vous ai invité à dîner pour discuter de sa promotion? » Daniel s'est liquéfié. Si seulement sa femme arrêtait d'interférer et de provoquer tout le temps. Les choses pouvaient s'arranger. Il réussissait généralement à se débrouiller. Il suffisait parfois d'un peu de patience.

Ce n'était pas de sa faute si la dernière entreprise qu'il dirigeait avait fait faillite, et s'il était resté au chômage pendant un an. Il craignait que l'insistance de Cathy lui fasse perdre son travail. Il en avait besoin. Il pouvait se passer de la promotion, mais pas de son travail. Cathy risquait de tout gâcher !

Un bloc de glace se forma dans son ventre quand Guillaume tendit sa grosse main pour prendre la fine main de Cathy dans la sienne. Le bloc de glace se transforma en iceberg en constatant que Cathy ne retirait pas sa main. À présent, Guillaume caressait doucement la main de Cathy.

« Daniel ne saura jamais que nous avons eu cette discussion »

« Comment puis-je être certaine que vous allez vraiment lui donner cette promotion? »

Guillaume fouilla dans sa poche et en sortit une lettre. Il murmura quelque chose en tendant la lettre à Cathy. Celle-ci s'en saisit pour la lire. Il fallait qu'ils élèvent un peu la voix pour que Daniel comprenne. Ils étaient un peu trop loin de lui. Pendant que Cathy lisait, Guillaume lui caressait la main, le poignet, l'avant-bras. Elle n'a jamais essayé de retirer sa main ou de faire cesser la caresse.

« C'est plus que ce à quoi je m'attendais » Maintenant, Cathy caressait la main de Guillaume. Leurs doigts s'entrelaçaient. Guillaume se racla la gorge pour s'éclaircir la voix.

« Vous êtes une femme magnifique. Daniel a beaucoup de chance d'avoir une si belle épouse. Ne soyez pas soucieuse. Il ne saura jamais rien. Ce ne sont que des affaires. Un échange. J'ai quelque chose que vous voulez, et vous avez quelque chose que je veux. C'est simple »

« Mais j'aime Daniel »

« Je le sais, c'est ce qui rend notre accord tout simplement parfait »

Daniel était perplexe. Quel était l'objet de cet échange? Il lui semblait clair que Cathy souhaitait obtenir la promotion de Daniel. Mais que voulait son patron pour que l'amour de Cathy pour Daniel soit si parfait?

« Je veux le meilleur pour Daniel. Je veux qu'il ait confiance en lui. Je veux qu'il pense qu'il mérite cette promotion. Il me détesterait s'il pensait que j'ai interféré. Il est si fier, si idiot parfois »

Daniel écoutait. Sa femme le connaissait, et pourtant elle était intervenue, même si elle avait de bonnes intentions, elle ne le comprenait pas. Il hésitait sur la conduite à suivre, lorsque Guillaume devint pressant.

« Allez Cathy, mettons-nous à notre aise, plutôt que de rester assis à cette table »

« Vous allez honorer notre accord? »

« Oui, je n'ai qu'une parole, et je tiens toujours mes promesses »

Guillaume se leva sans lui lâcher la main et la conduisit vers le canapé, au centre du salon. Daniel changea de position pour voir sans être vu. Cathy était magnifique. Elle a toujours été magnifique. Pourquoi elle avait choisi Daniel alors que la liste des prétendants était longue, restait un mystère pour Daniel. Elle l'aimait ! Elle venait de le confirmer à Guillaume, et très clairement !

Ce fut donc une surprise pour Daniel lorsque Guillaume enlaça Cathy. Il l'attira contre lui et elle ne résista pas. Son estomac s'est retourné quand les mains puissantes de Guillaume ont empoigné les fesses rondes de sa femme pour l'attirer tout contre lui. Cathy détourna son visage, mais sans se débattre ni protester. Cathy avait de très longues jambes, de belles jambes. Son jeans serré soulignait leur tonicité, et ses fesses musclées étaient pétries par les mains de son patron.

Elle portait des talons hauts, et un pull léger qui moulait ses contours. Une déesse qui se pressait contre le corps lourd de son patron. Un homme assez vieux pour être son père. Et qu'elle ne repoussait pas. Daniel s'inquiétait. Il pouvait toujours faire irruption, mais Cathy avait dit à quel point elle l'aimait, et qu'elle ne voulait pas qu'il découvre leur accord. Sa présence montrerait qu'il ne lui faisait pas confiance.

Mais s'il ne faisait rien... Daniel s'inquiétait. Guillaume se pencha sur elle pour l'embrasser dans le cou. Il frottait son museau dans son cou. Il la bécotait et lui mordillait le lobe de l'oreille. Daniel pouvait voir qu'elle était tendue. Cathy était si jolie. A vingt-cinq ans, sa peau avait la fraîcheur de l'adolescence. Elle semblait vouloir s'éloigner de lui. Ce n'était pas une salope dévergondée, mais une épouse respectable. Mais son boss ne respectait rien. Il lui bavait dans le cou en lui palpant les fesses. Daniel restait abasourdi. Pourquoi ne le repoussait-elle pas?

Cathy était dans un état de trouble et de confusion. La grosse bite du patron de son mari se pressait contre elle. Elle pouvait sentir sa chaleur et son volume. Dans quoi s'était-elle embarquée? Cette bouche dans son cou déclenchait des picotements sensuels dans son système nerveux. Ses mains s'agitèrent en l'air. Elle savait qu'elle ne devait pas le repousser. Elle le voulait, mais elle ne l'a pas fait ! Des papillons voletaient dans son ventre, et son corps réagissait au stimuli de ce corps masculin pressé contre elle.

Elle avait accepté cela, elle ne pouvait plus faire marche arrière. La réalité de son sacrifice n'était pas ce à quoi elle s'était attendue. Elle avait pensé qu'elle pourrait supporter cela, qu'elle pourrait le laisser faire tout en restant froide. La grosse bite qui palpitait contre elle déclenchait une réaction en chaîne, une excitation sexuelle qui la bouleversait.

La langue de Guillaume tourbillonnait autour de son oreille. Elle posa ses mains sur ses épaules pour le repousser, du moins c'était l'intention, mais ses mains caressèrent ses épaules. La langue sur son oreille était intrusive, chaude et humide. Cathy frissonna et ses mamelons enflèrent et durcirent.

Daniel regardait son patron caresser et peloter les formes sexy de sa femme. Sa femme se tortillait dans ses bras, mais sans détermination ni urgence. Elle était presque totalement docile et consentante. Daniel ne pouvait s'empêcher de regarder. Il pensait qu'il devrait être en colère. Mais il ne l'était pas. Il était excité.

Guillaume sentait les seins ronds et fermes de la jeune femme s'écraser contre sa poitrine. Ses mamelons durcis trahissaient son excitation. Il avait deviné quelque chose de très spécial chez elle. Bien qu'elle soit très amoureuse de son mari, en l'amenant à un haut niveau d'excitation sexuelle auquel elle ne s'attendait pas, il pouvait la faire craquer, la faire sortir de sa réserve où son éducation religieuse la confinait, pour en faire une bête de sexe. Jolie fille. Bonne épouse. Il allait la broyer avec sa grosse bite, l'épingler comme un papillon dans sa luxure.

« Je ne fais ça que pour aider mon mari ! » Elle haletait sous ses caresses.

« Je sais, ma chérie. C'est juste pour lui obtenir une promotion »

« Oui, mais, calmez vous ! Je n'ai jamais rien fait de tel ! »

Les mains de Guillaume enserrèrent sa taille, pressant et moulant les hanches fines.

« Puis-je remonter le chandail? » Avec son souffle chaud dans son oreille.

« Oui » Cathy haletait.

Guillaume a commencé à faire glisser son pull moulant vers le haut. Daniel ne pouvait pas détourner les yeux en voyant son patron dénuder sa jeune femme. Elle leva les bras pour l'aider, puis reposa ses mains sur les épaules de Guillaume. Le patron ne s'attendait pas à ce qu'elle cède aussi vite et aussi facilement. Ses mains caressèrent la peau douce de son dos, à la recherche de l'agrafe de son soutif.

Les yeux de Daniel étaient fixés sur la scène devant lui, les mains épaisses de son patron caressant le dos nu de sa femme. Il sentit sa bouche s'assécher et sa bite se tendre en constatant la docilité de Cathy.

« C'est pour votre mari que vous faites cela, uniquement pour votre mari » Il lui parlait à voix basse, mais curieusement, Daniel l'entendit. Daniel hésitait. Sa bite durcissait et son trouble augmentait. Il était confus. Plus son patron séduisait sa jeune épouse, plus cela l'excitait.

Cathy tremblait dans les bras de son tourmenteur, un homme puissant, dominateur, à la bite épaisse et aux mains caressantes. Elle frissonnait sous ses caresses. Les mains de Guillaume la saisirent aux épaules pour la repousser. Il voulait contempler ses seins. Elle regarda ses yeux. Une expression de faim dans son regard la fit vibrer d'émotion. Daniel n'avait jamais eu, en la regardant, cette expression de pure luxure. Elle rejeta inconsciemment ses épaules en arrière, bombant le torse pour faire saillir ses seins.

Les seins pleins et ronds de la femme étaient des joyaux de féminité. Il voulait les caresser et les embrasser, mais il hésitait à lui lâcher les épaules au cas où elle reviendrait à la raison, et s'enfuirait. Il léchait ses lèvres tandis que la jeune femme tremblait d'émotion devant lui, puis il baissa la tête et sa bouche gourmande happa un mamelon érigé.

Daniel lui-même trembla d'émotion lorsque la tête de son patron disparut derrière le torse de Cathy. Il pouvait voir les mains de son patron glisser le long des bras de sa femme pour maintenir fermement ses poignets. Il devait être en train de lui sucer les seins. Il savait à quel point cela ravissait Cathy. Le gémissement rauque a troublé Daniel lorsqu'il s'est rendu compte que cela venait de Cathy. La tête rejetée en arrière et la bouche grande ouverte, elle haletait.

Les mains de l'homme serraient ses poignets plus fort, la maintenant fermement en place, sa bouche vorace suçait et savourait alternativement la chair tendre de ses mamelons. Guillaume pouvait sentir le désir de la jeune femme augmenter. Son gémissement passionné le ravissait. Il relâcha ses poignets pour caresser sa peau nue et douce. Elle n'essaya pas de s'éloigner, alors il attrapa la boucle de la ceinture de son jeans.

Le jeans allait être difficile à enlever. Il dégagea la ceinture et la repoussa de côté. Le haut de son jean s'écarta lorsqu'il défit le bouton en laiton. Quand il fit glisser la fermeture éclair, elle ne fit aucun effort pour s'éloigner, et il sourit. Il avait gagné la partie ! Elle allait lui céder ! Elle allait être sienne !

Ses grandes mains attrapèrent la taille de son jeans pour le descendre. Le tissu était si ajusté que la jeune femme a dû étendre ses jambes pour l'aider. Il s'est agenouillé devant elle pour tirer sur le jean moulant. Lorsque son ventre bombé apparut, il se pencha en avant pour embrasser la chair délicate de son ventre. Lorsque le jeans glissa sous ses genoux, relâchant son emprise sur les cuisses de la jeune femme, les mains robustes caressaient avidement la douillette fermeté.

Daniel regardait son patron caresser et peloter sa jolie femme. Ses mains glissaient sur sa peau douce, pétrissant les chairs voluptueuses, avant de se couler sous le string en dentelle de sa femme. Cathy avait mis ses sous-vêtements sexy ! Ce n'était pas dans ses habitudes. Elle les avait mis pour recevoir son boss. C'était un cadeau récent de Daniel. Il ne les avait jamais vus sur elle. Elle les avait mis pour Guillaume.

Pourquoi? Qu'est-ce qu'elle avait manigancé? C'était donc ça leur accord? Un échange. La promotion de Daniel contre une nuit de baise avec Cathy. Elle lui achetait sa promotion en vendant son corps. Il se dégoûtait. Elle le dégoûtait. Son patron aussi le dégoûtait. Mais il bandait comme un âne en voyant son boss dénuder et peloter sa jeune femme.

Guillaume s'est accroupi devant Cathy, puis il s'est penché sur son puits d'amour. Daniel a vu sa jeune femme écarter davantage ses cuisses, pour qu'il puisse mettre la bouche sur ses parties intimes. Cathy haleta lorsque la langue pointue s'inséra dans sa fente. Daniel n'était pas un expert de ce genre de caresse. Il ne faisait pas cela régulièrement. Cela le dégoûtait, mais Guillaume ne semblait pas s'en préoccuper. Elle voulait profiter de l'occasion ! Elle écarta ses jambes plus largement et saisit la tête du patron pour le tenir fermement appuyé pendant qu'il la léchait.

Guillaume se délectait de la chatte savoureuse fraîchement rasée entre les jambes de la femme. Elle avait pris grand soin de sa toilette, en prévision, et son passage chez l'esthéticienne était gagnant. Guillaume suçait les grandes lèvres, et poignardait de sa langue tendue l'orifice rose qui se liquéfiait. Encore une demi-heure de ce traitement, et elle le supplierait pour sa bite, peu importe à quel point elle aimait son mari.

Cathy maintenait fermement la tête du patron, tandis que ses longues jambes commençaient à s'agiter. La langue sur sa chatte n'avait pas donné quelques coups polis, comme son mari le faisait habituellement. Ce mec avait vraiment du talent, il lapait sa chatte comme un régal savoureux ! Elle gémissait presque continuellement maintenant, tandis que cette langue agile mettait le feu dans son ventre. C'était tout simplement extraordinaire ! La langue, les lèvres, même les dents dansaient un ballet autour de sa chatte, et la rendait folle.

Sa longue langue s'enfonçait en elle, s'agitait en elle, la faisant pleurer de joie. La tête rejetée en arrière, les yeux clos, la bouche grande ouverte sur une mélopée lancinante, elle se délectait du plaisir qu'on lui offrait entre ses cuisses écartées. Jamais elle n'aurait pu supposer que ce type adipeux puisse lui donner autant de plaisir. Elle pensait subir cet adultère comme une pénitence pour compenser sa trahison, même si c'était pour l'avenir de son mari !

La langue léchait et lapait en tournoyant, et la raison de Cathy vacillait. Elle serait tombée si les mains sous ses fesses ne la tenaient pas aussi fermement. La force de cet homme mûr la surprenait et l'excitait. Son mari se serait effondré sous son poids si elle lui avait fait subir le même traitement. Mais le patron semblait la soutenir sans effort, tandis que sa langue travaillait sa chatte comme un artiste utilise son instrument.

Guillaume était ravi de l'effet que sa langue produisait sur la jeune femme. Il savait qu'il ne s'était pas trompé en estimant qu'elle avait un fort potentiel qu'elle ignorait. Elle n'avait que peu d'expérience des nombreuses variétés de sexe masculin. Son goût était divin, et ses jus qui coulaient présageaient du peu de résistance qu'il y aurait quand il lui mettrait sa bite !

Daniel était dans une tourmente émotionnelle en regardant les longues jambes galbées de sa femme s'enrouler autour de son patron, pendant que celui-ci léchait encore et encore la chatte de Cathy. Il n'avait jamais vu sa femme aussi ardente, mais il n'avait jamais pris la peine de la lécher avec autant de passion. Si seulement il avait su que cela aurait autant d'effet sur sa femme !

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